Grihya Sûtra de Hiranyakesin — Note introductive | Page de titre | Grihya Sûtra de Hiranyakesin — Prasna I, Patala 2 |
[ p. 136 ]
[ p. 137 ]
1. Nous allons expliquer l’Upanayana (c’est-à-dire l’initiation de l’étudiant).
2. [1] Qu’il initie un Brâhmane à l’âge de sept ans,
3. Un Râganya, de onze, un Vaigya, de douze.
4. [2] Un Brâhmana au printemps, un Rânanya en été, un Vainya en automne.
5. Au moment de la lune croissante, sous une constellation propice, de préférence (sous une constellation) dont le nom est masculin,
6. [3] Il doit servir de la nourriture à un nombre pair de Brâhmanas et les faire dire : « Un jour propice ! Salut ! Bonne chance ! »
7. (Ensuite, il) devrait rassasier le garçon, lui faire raser les cheveux, et après que (le garçon) se soit baigné et ait été paré d’ornements,
8. Il doit l’habiller d’un vêtement (neuf) qui n’a pas encore été lavé.
9. [4] Dans un endroit incliné vers l’est, (ou) incliné vers le nord, (ou) incliné vers le nord-est, ou dans un endroit plat, il soulève (la surface sur laquelle il a l’intention de sacrifier), l’asperge d’eau,
10. Allume le feu par attrition, ou va chercher du feu ordinaire (mondain), éteint le feu et met du bois sur le feu.
11. [5] Il sème de l’herbe Darbha pointée vers l’est autour du feu ;
12. Ou (l’herbe qui est répandue) à l’ouest et à l’est (du feu), peut être pointée vers le nord.
13. [6] Il (arrange les lames du Darbha de manière à) placer les lames du sud vers le haut, celles du nord vers le bas, si leurs pointes sont tournées (en partie) vers l’est et (en partie) vers le nord.
14. [7] Ayant répandu de l’herbe Darbha, au sud du feu, à l’endroit destiné au Brahman,
15. [8] Ayant avec les deux (versets), « Je prends (le feu) pour moi », et « Le feu qui (est entré) » — a pris possession du feu,
16. [9] Et ayant, au nord du feu, étendu de l’herbe Darbha, il prépare les objets (suivants), [ p. 139 ] selon ce qui est requis (pour la cérémonie qu’il va accomplir) :
17. [10] Une pierre, un vêtement (neuf) qui n’a pas encore été lavé, une peau (d’antilope, ou de cerf tacheté, etc.), une ceinture triplement torsadée d’herbe Muñña s’il est un Brâhmaña (qui doit être initié), une corde d’arc pour un Râñanya, un fil de laine pour un Vaiñya, un bâton de Bilva ou de bois de Palâña pour un Brâhmaña, de bois de Nyagrodha pour un Râñanya, de bois d’Udumbara pour un Vaiñya.
18. [11] Il lie ensemble le combustible, vingt et un morceaux de bois, ou autant qu’il y a d’oblations à faire.
19. Avec ce combustible, il attache les (trois) branches de bois qui doivent être disposées autour du feu, (qui doivent avoir la forme de) piquets.
20. [12] (Il prépare, en outre, la cuillère appelée) Darvî, une botte d’herbe, le pot Âgya, le pot pour l’eau de Pranîta, et tout ce qui est nécessaire ;
21. Tous (ces objets) ensemble, ou (l’un après l’autre) comme cela se produit.
22. [13] À ce moment-là, le Brahman suspend le cordon sacrificiel sur son épaule gauche, boit de l’eau, passe du côté ouest du feu au côté sud, jette un brin d’herbe du siège du Brahman, touche l’eau et s’assoit, le visage tourné vers le feu. [ p. 140 ]
23. [14] Il prend comme « purificateurs » deux lames de Darbha droites avec des pointes ininterrompues d’une longueur d’un empan, les coupe avec autre chose que son ongle, les essuie avec de l’eau, verse de l’eau dans un récipient sur lequel il a posé les purificateurs, remplit (ce récipient) jusqu’au bord, purifie (l’eau) trois fois avec les deux passoires de Darbha, en tenant leurs pointes vers le nord, place (l’eau) sur l’herbe de Darbha sur le côté nord du feu, et la recouvre d’herbe de Darbha.
24. [15] Après avoir consacré l’eau de Prokshanî au moyen des purificateurs comme précédemment, après avoir placé les récipients debout et après avoir détaché le combustible, il asperge (les récipients sacrificiels) trois fois avec toute l’eau (de Prokshanî).
25. [16] Après avoir réchauffé la cuillère Darvî (sur le feu), l’avoir essuyée et réchauffée à nouveau, il la pose.
26. Après avoir aspergé (d’eau) l’herbe Darbha avec laquelle le combustible a été lié, il la jette dans le feu.
27. [17] Il fait fondre l’Âya dans l’Âya, verse l’Âya dans l’Âya dans l’Âya dans l’Âya dans le pot d’Âya sur lequel il a posé les purificateurs, prend des charbons (du feu) vers le nord, met (l’Âya dans l’Âya dans l’Âya) sur ces (charbons), jette la lumière (sur le [ p. 141 ] Âya dans l’Âya au moyen de lames de Darbha brûlantes), jette deux jeunes pousses de Darbha dedans, fait tourner un tison autour d’elle trois fois, la prend (des charbons) vers le nord, repousse les charbons (dans le feu), purifie l’Âya dans le Âya trois fois avec les deux purificateurs, en tenant leurs pointes vers le nord, (en les tirant à travers le Âya dans le Âya d’ouest en est et) en les ramenant (à l’ouest à chaque fois), jette les deux purificateurs dans le feu,
1. [18] Et place les (trois) piquets autour (du feu).
2. Sur le côté ouest (du feu) il place le milieu (piquet), avec son extrémité large au nord,
3. Du côté sud (du feu le deuxième piquet), de sorte qu’il touche celui du milieu, avec son extrémité large vers l’est,
4. Du côté nord (du feu le troisième piquet), de sorte qu’il touche celui du milieu, avec son extrémité large vers l’est.
5. A l’ouest du feu (le maître qui va initier l’élève), s’assoit avec le visage tourné vers l’est.
6. Au sud (du maître) le garçon, portant le cordon sacrificiel sur son épaule gauche, après avoir bu une gorgée d’eau, s’assoit et touche (le maître).
7. [19] Ensuite (le professeur) asperge d’eau autour du feu (de la manière suivante) :
8. Du côté sud (du feu, il asperge [ p. 142 ] d’eau) d’ouest en est avec (les mots) : « Aditi ! Donne ton consentement ! » —
9. À l’ouest, du sud au nord, avec (les mots) : « Anumati ! Donne ton consentement ! » À l’ouest, d’ouest en est, avec (les mots) : « Sarasvatî ! Donne ton consentement ! »
10. De tous côtés, de manière à garder son côté droit tourné vers (le feu), avec (le Mantra), « Dieu Savitri_ ! Donne ton impulsion ! » (Taitt. Samh. I, 7, 7, 1).
11. [20] Après avoir aspergé (d’eau) le feu et oint le combustible (d’Âgya), il le pose sur le feu avec (le Mantra) : « Ce combustible, c’est toi, Gâtavedas ! Par lui, tu seras enflammé et tu grandiras. Enflamme-nous et fais-nous grandir ; par la progéniture, le bétail, l’éclat sacré, et par le plaisir de la nourriture, fais-nous croître. Svâhâ ! »
12. Il sacrifie ensuite avec la (cuillère appelée) Darvi (les oblations suivantes) :
13. [21] S’approchant du Darvi (au feu) par la jonction nord des piquets (disposés autour du feu), et fixant son esprit sur (la formule), ‘À Pragâpati, à Manu svâhâ!’ (sans prononcer ce Mantra), il sacrifie un (courant d’Âgya) droit, long, ininterrompu, dirigé vers le sud-est.
14. S’approchant du Darvi (vers le feu) par la jonction sud des piquets (disposés autour du feu), [ p. 143 ] (il sacrifie) un (courant d’Âgya) droit, dirigé vers le nord-est, avec (le Mantra qu’il prononce), ‘À Indra svâhâ!’
15. Ayant (ainsi) versé les deux oblations d’Âghâra, il sacrifie les deux Âgyabhâgas,
16. [22] Avec (les mots), ‘À Agni svâhâ!’ sur la partie orientale de la partie septentrionale (du feu) ; avec (les mots), ‘À Soma svâhâ!’ sur la partie orientale de la partie méridionale (du feu).
17. [23] Entre eux, il sacrifie l’autre (oblations).
18. [24] (Il fait quatre oblations avec les Mantras suivants) : « Toi que nous avons mis au travail, Gâtavedas ! Poursuis (nos offrandes). Agni ! Perçois ce travail (c’est-à-dire le sacrifice), tel qu’il est accompli (par nous). Tu es un guérisseur, un créateur de médecine. Par toi puissions-nous obtenir des vaches, des chevaux et des hommes. Svâhâ !
« Toi qui te couches en travers, pensant : « C’est moi qui sépare (toutes choses) » : à toi qui m’es propice, je sacrifie ce jet de ghee dans le feu. Svâhâ !
« À la déesse propice svâhâ !
« À la déesse accomplie svâhâ ! »
[ p. 144 ]
1. C’est le rite de tous les sacrifices de Darvi.
2. [25] À la fin des Mantras, le mot Svâhâ (est constamment prononcé).
3. [26] (Les oblations) pour lesquelles aucun Mantra n’est prescrit (sont faites simplement avec les mots), ‘À telle et telle (déité) svâhâ!’ — selon la déité (à laquelle l’oblation est faite).
4. [27] Il sacrifie avec les Vyâhritis, ‘Bhû_h_! Bhuva_h_! Suva_h_!’ — avec l’unique (trois Vyâhritis) et avec (les trois) ensemble.
5. [28] (Les Mantras pour les deux principales oblations sont), le (verset), ‘Donneur de vie, Agni !’ (Taitt. Brâhmana I, 2, 1, 11), (et),
« Donneur de vie, ô dieu, qui choisis une longue vie, toi dont le visage est plein de ghee, dont le dos est plein de ghee, Agni, buvant du ghee, la noble ambroisie qui vient de la vache, conduis ce (garçon) à la vieillesse, comme un père (conduit) son fils. Svâhâ ! »
6. (Suivez ensuite les oblations avec les versets),
« Ceci, ô Varuna » (Taitt. Sanh. II, 1, 11, 6),
« Pour cela, je t’en supplie » (Taitt. Samh., loc. cit.),
[ p. 145 ]
‘Toi, Agni’ (Taitt. Samh. II, 5, 12, 3),
‘Ainsi tu, Agni’ (Taitt. Samh., loc. cit.),
« Toi, Agni, tu es prompt. Étant prompt, désigné (par nous) dans notre esprit (comme notre messager), toi qui es prompt, tu es sérieux dans l’offrande (aux dieux). Ô prompt, accorde-nous le remède ! Svâhâ ! » — (et finalement) le (verset),
‘Pragâpati !’ (Taitt. Sagh. I, 8, 14, 2).
7. [29] (Avec le verset) : « Ce que j’ai fait de trop dans ce sacrifice, ou ce que j’ai fait ici de manière déficiente, tout cela peut être bien sacrifié et bien offert pour moi par Agni Svishtaktt, celui qui le sait. À Agni Svishtaktt, celui qui offre les sacrifices bien offerts, celui qui offre tout, à celui qui nous fait réussir dans nos offrandes et dans nos souhaits, svâhâ ! » — il offre (l’oblation Svishtaktt) sur la partie orientale de la partie septentrionale (du feu), séparée des autres oblations.
8. [30] Ici, certains ajoutent comme oblations subordonnées, avant le Svishtaktt, le Gaya, l’Abhyâtâna et le Râshtrabhtt (oblations).
9. [31] Il sacrifie les Gaya (oblations) avec (les treize Mantras), « Pensée, svâhâ ! Pensée, svâhâ ! » — ou « À la pensée svâhâ ! À la pensée svâhâ ! » (&c.) ;
10. [32] L’Abhyâtâna (oblations) avec (les dix-huit Mantras), ‘Agni est le seigneur des êtres ; puisse-t-il me protéger’ (&c.).
11. [33] (Les mots), « Dans ce pouvoir de sainteté, dans [ p. 146 ] ce pouvoir mondain (&c.) » sont ajoutés à (chaque section des) formules d’Abhyâtâna.
12. [34] Avec (la dernière des formules Abhyâtâna) « Pères ! Grands-pères ! » il sacrifie ou accomplit un culte, portant le cordon sacrificiel sur son épaule droite.
13. [35] Il sacrifie le Râshtrabhtt (oblations) avec (les douze Mantras), ‘Le champion de la vérité, celui dont la loi est la vérité.’ Après avoir rapidement répété (chaque) section, il sacrifie la première oblation avec (les mots), ‘À lui svâhâ!’ la seconde (oblation) avec (les mots), ‘À eux svâhâ!’
14. [36] Ayant placé une pierre près de la jonction nord des piquets (qui sont disposés autour du feu), (le professeur)—
1. [37] Le garçon marche sur (cette pierre) du pied droit, avec (le vers) : « Marche sur cette pierre ; sois ferme comme une pierre. Détruis ceux qui cherchent à te faire du mal ; surmonte tes ennemis. » [ p. 147 ]
2. [38] Après que (le garçon) a enlevé son vieux (vêtement), (le professeur) lui fait mettre un (nouveau) vêtement qui n’a pas encore été lavé, avec (les versets),
« Les déesses qui filaient, qui tissaient, qui étendaient et qui tiraient les jupes des deux côtés, puissent ces déesses te vêtir d’une longue vie. Bénie par la vie, revêts ce vêtement. »
« Habille-le ; par ce vêtement, fais-le atteindre l’âge de cent ans ; prolonge sa vie. Birhaspati a donné ce vêtement au roi Soma pour qu’il le mette sur lui.
« Puisses-tu vivre jusqu’à un âge avancé ; revêts ce vêtement ! Sois le protecteur des tribus humaines contre l’imprécation. Vis cent ans, plein de vigueur ; revêts-toi de l’augmentation de la richesse. »
3. [39] Ayant (ainsi) fait (mettre) au garçon (le vêtement neuf, le maître) récite sur lui (le verset),
« Tu as revêtu ce vêtement pour le bien-être de tes amis ; tu es devenu leur protecteur contre les imprécations. Vis cent longues années ; homme noble, béni par la vie, puisses-tu distribuer les richesses. »
4. [40] Il enroule ensuite la ceinture trois fois de gauche à droite autour (du garçon, de sorte qu’elle couvre) son nombril. (Il ne le fait que) deux fois, selon certains (enseignants). (Cela se fait) avec (le verset),
[ p. 148 ]
« Voici qu’elle est venue à nous, celle qui chasse le péché, purifiant notre garde et notre protection, nous apportant la force par (le pouvoir de) l’inspiration et de l’expiration, la sœur des dieux, cette ceinture bénie. »
5. Sur le côté nord du nombril, il fait un nœud triple (dans la ceinture) et le tire vers le côté sud du nombril.
6. [41] Il dispose ensuite pour lui la peau (d’une antilope, etc., voir Sûtra 7) comme vêtement extérieur, avec (les Mantras),
« L’œil ferme et fort de Mitra, splendeur glorieuse, puissante et flamboyante, un vêtement chaste et mobile, cette peau revêtue, un vaillant (homme), NN !
« Qu’Aditi retrousse ton vêtement, afin que tu puisses étudier le Véda, pour la perspicacité et la croyance et pour ne pas oublier ce que tu as appris, pour la sainteté et le saint éclat ! »
7. [42] La peau d’une antilope noire (est portée) par un Brâhmana, la peau d’un cerf tacheté par un Rânanya, la peau d’un bouc par un Vainya.
8. [43] Il le confie ensuite (aux dieux), à un Brâhmane, avec (le vers) : « Nous confions ce (garçon) à Brahman, ô Indra, pour le bien du grand savoir. Puisse-t-il (Brahman ?) le conduire à la vieillesse, et puisse-t-il (le garçon) veiller longtemps sur l’apprentissage. »
[ p. 149 ]
Un Râganya (il confie la charge aux dieux) avec (le vers) : « Nous confions ce garçon, ô Indra, à Brahman, pour l’amour de la grande royauté. Puisse-t-il le conduire à la vieillesse, et puisse-t-il veiller longtemps sur la royauté. »
Un Vaisya (il confie la responsabilité) avec (le vers) : « Nous confions ce garçon, ô Indra, à Brahman, pour l’amour d’une grande richesse. Puisse-t-il le conduire à la vieillesse, et puisse-t-il veiller longtemps sur la richesse. »
9. [44] (L’enseignant) le fait asseoir à l’ouest du feu, face au nord, et lui fait manger les restes de la nourriture sacrificielle, avec ces (Mantras), ‘Sur toi puisse la sagesse, sur toi puisse la progéniture’ (Taitt. Âranyaka, Andhra redaction, X, 44), — modifiant (le texte des Mantras).
10. [45] Certains font manger (à l’étudiant) du « beurre saupoudré ».
11. (Le professeur) regarde (l’élève) pendant qu’il mange, avec les deux versets : « À chaque poursuite, nous invoquons le fort (Indra) » (Taitt. Samh. IV, 1, 2, 1), (et), « Lui, Agni, mène à une longue vie et à la splendeur » (Taitt : Samh. II, 3, 10, 3).
12. Certains font manger (au garçon) (cette nourriture avec ces deux versets).
13. [46] Après que (le garçon) a bu une gorgée d’eau, (le maître) lui fait toucher (l’eau) et récite sur lui (le verset) : « Cent automnes sont devant nous, ô dieux, avant que vous n’ayez fait pourrir nos corps, avant que (nos) [ p. 150 ] fils ne deviennent pères ; ne nous détruisez pas avant que nous ayons atteint (notre âge). »
Fin du Premier Patala.
Grihya Sûtra de Hiranyakesin — Note introductive | Page de titre | Grihya Sûtra de Hiranyakesin — Prasna I, Patala 2 |
137:2 1, 2. L’affirmation communément donnée dans les Grihya-sûtras et les Dharma-sûtras est que l’initiation d’un Brâhmaria doit avoir lieu dans sa huitième année, bien qu’il existe des divergences d’opinion quant à savoir si c’est dans la huitième année après la conception ou après la naissance (Ârivalâyana-Grihya I, 19, 1. 2). Mâtridatta déclare que la règle donnée ici dans le Grihya-sûtra se réfère à la septième année après la naissance. Dans le Dharma-sûtra (comp. Âpastamba I, 1, 18), il est déclaré que l’initiation d’un Brâhmaria doit avoir lieu dans la huitième année après sa conception. Comp. les remarques du professeur Bidder, SBE, vol. ii, p. xxiii. ↩︎
137:4 Âpastamba I, 1, 18. ↩︎
137:6 Comp. Âpastamba I, 13, 8 avec la note de Bühler. ↩︎
138:9 Pâraskara I, 1, 2; 4, 3; Âsvalâyana I, 3, 1, &c. ↩︎
138:11 Âsvalâyana ll; Sâṅkhâyana I, 8, 1, &c. ↩︎
138:13 Gobhila I, 7, 14. ↩︎
138:14 Gobhila I, 6, 13; Pâraskara I, 1, 2, etc. ↩︎
138:15 Taittirîya Samhitâ V, 9, 1. Comp. aussi les passages parallèles, Satapatha Brâhmama VII, 3, 2, 17 ; Kâtyâyana-Sraut. XVII, 3, 27. ↩︎
138:16 Gobhila I, 7, 1. ↩︎
139:17 Sâṅkhâyana II, 1, 15 seqq., etc. Quant à la pierre, comp. ci-dessous, I, 1, 4, 13. ↩︎
139:18 Comp. Âsvalâyana I, 10, 3, et les passages cités dans la note (vol. xxix, p. 173). ↩︎
139:20 Concernant la touffe d’herbe, voir ci-dessous, I, 2, 6, 9. ↩︎
139:22 Gobhila I, 6, 14 seq. Comp. les passages cités dans la note. ↩︎
140:23 Gobhila I, 7, 21 seq.; Sâṅkhâyana I, 8, 14 seq. L’eau mentionnée dans ce Sûtra est l’eau Pranîta. ↩︎
140:24 Concernant l’eau Prokshariî, voir la note de Sâṅkhâyana I, 8, 25. Le mot que j’ai traduit par « vases » est bilavanti, qui signifie littéralement « les choses qui ont des bords ». Cette expression a probablement une connotation technique qui m’est inconnue. Mâtridatta dit simplement : bilavanti pâtrârii. « Comme précédemment » signifie « comme indiqué à propos de l’eau Prariîta. » ↩︎
140:25 Paraskara I, 1, 3. ↩︎
140:27 Sâṅkhâyana I, 8, 18 seq. ↩︎
141:1 2, 1. Les « chevilles » sont les morceaux de bois mentionnés ci-dessus, I, 19. ↩︎
141:7 7-10. Gobhila I, 3, 1 seq. Le vocatif Sarasvate au lieu de Sarasvatî est donné par les MSS. également dans le Khâdira-Grihya 1, 2, 19. ↩︎
142:11 Quant au Mantra, comparez Sâṅkhâyana II, 10, 4, &c. ↩︎
142:13 13, 14. Les deux oblations décrites dans ces Sûtras sont les soi-disant Âghâras ; voir Sûtra 15, et Pâraskara I, 5, 3 ; Ârivalâyana I, 10, 13. Concernant la jonction nord et sud des bois de Paridhi, voir ci-dessus, Sûtras 3 et 4. Selon Mâtridatta, les mots « long, ininterrompu » (Sûtra 13) doivent également être ajoutés dans le Sûtra 14. ↩︎
143:16 Ânvalâyana I, 10, 13; Sâṅkhâyana I, 9, 7, etc. Quant aux expressions uttarârdhapûrvârdhe et dakshinârdhapûrvârdhe, comp. Gobhila I, 8, 14 et la note. ↩︎
143:17 C’est-à-dire entre les endroits où les deux « portions Âgya » sont offertes. Comp. Sâṅkhâyana I, 9, 8. ↩︎
143:18 Satapatha Brâhmana XIV, 9, 3, 3 (= Bnhad Âranyaka VI, 3, 1; SBE, vol. xv, p. 210); Mantra-Brâhmana I, 5, 6. ↩︎
144:2 3, 2. Gobhila I, 9, 25. ↩︎
144:3 Sāṅkhâyana I, 9, 18. ↩︎
144 : 4 Sâṅkhâyana I, 12, 12. 13 ; Gobhila I, 9, 27. Quant à suva_h_, l’orthographe des Taittirîyas pour sva_h_, voir Indische Studien, XIII, 105. ↩︎
144:5 5, 6. Dans le deuxième Mantra, nous devrions lire vririâno au lieu de gririâno; comp. Atharva-veda II, 13, 1. Quant aux Mantras qui suivent, comp. Pâraskara I, 2, 8; Taittirîya Ârariyaka IV, 20, 3. — Concernant le Mantra tvam Agne ayâsi (sic), comp. Taitt. Brâh. II, 4, 1, 9; Ârivalâyana-Srauta-sûtra I, 11, 13; Kâtyâyana-Srauta-sûtra XXV, 1, 11; Études indiennes, XV, 125. ↩︎
145:7 Ârivalâyana-Grihya I, 10, 23 ; Satapatha Brâhmaria XI V, 9, 4, 24. ↩︎
145:8 Comp. les Sûtras suivants et Pâraskara I, 5, 7-10. ↩︎
145:9 Taittiriya Samhit III, 4, ↩︎
145:10 Taittiriya Samhit III, 4, ↩︎
145:11 Voir la fin de la section citée dans la dernière note. ↩︎
146:12 ‘Il accomplit un culte avec ce Mantra, portant le cordon sacrificiel sur son épaule droite, aux Mânes. Selon d’autres, il vénère Agni. Mais cela serait en contradiction avec les paroles (du Mantra).’ Mâtridatta. ↩︎
146:13 Taittirîya. Samhitâ III, 4, 7. « À lui » (tasmai) est masculin, « à eux » (tâbhyah) féminin. Le sens de ces mots sera mieux expliqué par une traduction de la première section des formules du Râshmrabhmt : « Le champion de la vérité, celui dont la loi est la vérité, Agni est le Gandharva. Ses Apsaras sont les herbes ; « sève » est leur nom. Puisse-t-il protéger ce pouvoir de sainteté et ce pouvoir temporel. Puissent-ils protéger ce pouvoir de sainteté et ce pouvoir temporel. À lui svâhâ ! À eux svâhâ ! » ↩︎
146:14 Voir ci-dessus, section 2, § 13. ↩︎
146:1 4, 1. Comp. Sâṅkhâyana I, 13, 12; Pâraskara I, 7, 1. ↩︎
147:2 Pâraskara I, 4, 13. 1 2; Atharva-veda II, 13, 2. 3 (XIX, 24). Au lieu de paridâtavâ u, nous devrions lire, comme l’a fait l’Atharva-veda, paridhâtavâ u. ↩︎
147:3 Atharva-veda II, 13, 3; XIX, 24, 6. ↩︎
147:4 Sâṅkhâyana II, 2, 1; Pâraskara II, 2, 8. Le texte du Mantra tel que donné par Hiranyakenin est très corrompu, mais les corruptions peuvent être aussi anciennes que le Hiranyakeni-sûtra lui-même, ou même plus anciennes. ↩︎
148:6 Je propose de corriger _garishnarishkarishn_u. Voir Sâṅkhâyana II, 1, 30. ↩︎
148:7 Sâṅkhâyana II, 1, 2. 4. 5, &c. ↩︎
148:8 Dans le premier hémistiche, je propose de corriger pari dadhmasi en pari dadmasi. Le verset semble être une adaptation d’un Mantra qui contenait une forme du verbe pari-dhâ (comp. Atharva-veda XIX, 24, 2) ; ainsi, la lecture pari . . . dadhmasi trouvée dans les manuscrits peut être facilement expliquée. Le deuxième hémistiche est très corrompu, mais l’Atharva-veda (loc. cit. : yathaina_m g_arase nayât) montre au moins le sens général. ↩︎
149:9 Le texte de ces Mantras est ainsi rédigé : « Que la sagesse soit sur moi, etc. » ; il les modifie de manière à dire : « Sur toi », etc. ↩︎
149:10 Concernant le terme beurre saupoudré, comp. Ârivalâyana-Grihya IV, 1, 18. 19. ↩︎
149:13 Rig-veda I, 89. 9. ↩︎