Grihya Sûtra de Hiranyakesin — Prasna I, Patala 1 | Page de titre | Grihya Sûtra de Hiranyakesin — Prasna I, Patala 3 |
1. [1] « À celui qui vient (à nous), nous sommes venus. Chassez la mort ! Puissions-nous marcher avec lui en toute sécurité ; puisse-t-il marcher ici dans la félicité ; puisse-t-il marcher dans la félicité jusqu’à ce qu’il retourne à sa maison » — ce verset (que répète le maître) tandis que (le garçon) contourne le feu de manière à garder son côté droit tourné vers lui.
2. [2] (Le maître) lui fait alors dire : « Je suis venu ici pour être un étudiant. Initie-moi ! Je serai un étudiant, poussé par le dieu Sâvitrî. »
3. (Le professeur lui demande alors) :
4. « Quel est ton nom ? »
5. [3] Il dit : « NN ! » — quel est son nom.
6. [4] (Le professeur dit) : « Heureusement, Dieu Savit_ri_, puis-je atteindre le but avec ce NN » — ici il prononce les deux noms (de l’élève).
7. [5] Avec (le vers) : « Pour notre bonheur, que les déesses nous protègent ; que les eaux nous abreuvent. Qu’elles nous inondent de bonheur et de félicité » — tous deux s’essuient. [ p. 151 ]
8. [6] Alors (le maître) touche de sa main droite l’épaule droite (du garçon), et de sa main gauche son épaule gauche, et attire le bras droit (du garçon) vers lui avec le Vyâhritis, le verset Sâvitrî, et avec (la formule) : « Par l’impulsion du dieu Savit_ri_, avec les bras des deux Arivins, avec les mains de Pûshan, je t’initie, NN ! »
9. [7] Il saisit alors avec sa main droite la main droite (du garçon) avec le pouce, avec (les mots) : « Agni a saisi ta main ; Soma a saisi ta main ; Savitri a saisi ta main ; Sarasvatî a saisi ta main ; Pûshan a saisi ta main ; Birihaspati a saisi ta main ; Mitra a saisi ta main ; Varuria a saisi ta main ; Tvashri_ri_ a saisi ta main ; Dhâtri a saisi ta main ; Vishriu a saisi ta main ; Prariâpati a saisi ta main. »
10. [8] « Que Savitri te protège. Mitra est ton droit ; Agni est ton maître.
« Par l’impulsion du dieu Savitri, deviens l’élève de Birihaspati. Mange de l’eau. Fais le plein de combustible. Accomplis le service. Ne dors pas pendant la journée » — ainsi (le maître) lui ordonne-t-il.
11. [9] Puis (le professeur) déplace progressivement sa main droite [ p. 152 ] vers le bas sur l’épaule droite (du garçon) et touche l’endroit de son cœur avec (les formules) : « Ton cœur demeurera dans mon cœur ; tu suivras mon esprit avec ton esprit ; tu te réjouiras de ma parole de tout ton cœur ; que Brihaspati t’unisse à moi !
« À moi seul tu t’attacheras. En moi demeureront tes pensées. Ta vénération se portera sur moi. Quand je parlerai, tu te tairas. »
12. Avec (les mots) « Tu es le nœud de tout souffle ; ne te desserre pas » — (il touche) l’endroit de son nombril.
13. [10] Après que (le maître) lui ait récité (la formule),
« Bhû_h_ ! Bhuva_h_ ! Suva_h_ ! Par ma descendance, puissé-je devenir riche en descendance ! Par des fils vaillants, riche en fils vaillants ! Par la splendeur, riche en splendeur ! Par la richesse, riche en richesse ! Par la sagesse, riche en sagesse ! Par des élèves, riche en éclat sacré ! »
Et (encore les formules),
'Bhû_h_! Je te place dans les Rikas, dans Agni, sur la terre, dans la voix, dans le Brahman, NN!
« Bhuva_h_ ! Je te place dans le Yagus, dans Vâyu, dans l’air, dans le souffle, dans le Brahman, NN !
'Suva_h_! Je te place dans le Sâmans, dans Sûrya, dans le ciel, dans l’œil, dans le Brahman, NN!
« Que je te sois aimé (?) et cher, NN ! [ p. 153 ] Que je te sois cher, le feu (?), NN ! Demeurons ici ! Demeurons dans le souffle et la vie ! Demeurons dans le souffle et la vie, NN ! »
14. [11] Il saisit ensuite avec sa main droite (celle du garçon) avec le pouce, les cinq sections : « Agni a une longue vie. »
15. « Que (Agni) t’accorde une longue vie partout » (Taitt. Samh. I, 3, 14, 4) —
1. (Ce verset, le professeur) le murmure à l’oreille droite (du garçon) ;
2. (Le verset), « Donneur de vie, Agni » (Taitt. Samh. I, 3, 14, 4) dans son oreille gauche.
3. [12] À chaque fois, il ajoute (aux versets cités dans la formule du dernier Sûtra) : « Tiens-toi ferme en Agni et sur la terre, en Vâyu et dans l’air, en Sûrya et au ciel. La félicité dans laquelle Agni, Vâyu, le soleil, la lune et les eaux suivent leur chemin, dans cette félicité va ton chemin, NN ! Tu es devenu l’élève du souffle, NN ! »
4. [13] Approchant sa bouche de celle du garçon, il murmure : « Que Indra te donne l’intelligence, que la déesse Sarasvatî te donne l’intelligence. Que les deux Asvins, couronnés de lotus, te l’accordent. »
5. [14] Il donne ensuite (le garçon) la charge (aux dieux et aux démons, avec les formules), « À Kashaka (?) je te donne la charge. À Antaka je te donne la charge. À Aghora (« celle qui n’est pas effrayante ») je te donne la charge. À la Maladie . . . à Yama . . . à Makha . . . à Vasinî (« la déesse régnante ») . . . à la terre avec Vaisvânara . . . aux eaux . . . aux herbes . . . aux arbres . . . au Ciel et à la Terre . . . au bien-être . . . à l’éclat sacré . . . aux devâs Visves . . . à tous les êtres . . . à toutes les divinités je te confie la garde.
6. [15] Il lui enseigne maintenant le Sâvitrî, s’il a (déjà) été initié auparavant.
7. S’il n’a pas été initié (auparavant, il lui enseigne le Sâvitrî) après que trois jours se soient écoulés.
8. (Il le fait) immédiatement, dit Pushkarasâdi.
9. [16] Ayant placé à l’ouest du feu une touffe d’herbe dont les pointes sont dirigées vers le nord, (le maître) s’assoit dessus, face à l’est, avec (la formule) : « Tu es un dispensateur de pouvoir royal, un siège de maître. Puissé-je ne pas m’éloigner de toi. »
10. Le garçon lève ses mains jointes vers le soleil, embrasse (les pieds de) son maître, s’assoit au sud (du maître), s’adresse à (lui) : « Récitez, monsieur ! » puis dit : « Récitez le Sâvitrî, monsieur ! »
11. Après avoir récité (au garçon le verset) « Nous t’appelons, le Seigneur des armées » (Taitt. Samh. II, 3, 14, 3), il lui récite ensuite (le Sâvitrî), d’abord Pâda par Pâda, puis hémistiche par hémistiche, puis le verset entier (de la manière suivante) :
[ p. 155 ]
'Bhûs! Tat Savitur varenyam (Cette adorable splendeur)—
« Bhuvo ! Bhargo devasya dhîmahi (puissions-nous obtenir le divin Savitri) —
« Suvar ! Dhiyo yo na_h prak_odayât (qui devrait susciter nos prières). —
'Bhûr bhuvas ! Tat Savitur varenyam bhargo devasya dhîmahi—
« Souvar ! Dhiyo yo na_hprak_odayât.—
« Bhûr bhuvah suvas ! Tat Savitur . . . prakodayât. »
1. [17] Il fait ensuite mettre au feu sept morceaux de bois de Palâsa frais, aux sommets intacts, d’une longueur d’un empan, qui ont été oints de ghee.
2. [18] Il met un de ces morceaux de bois sur le feu avec (le mantra) : « J’ai apporté un morceau de bois à Agni, aux grands Gâtavedas. Comme tu es enflammé, Agni, par ce morceau de bois, enflamme-moi ainsi par la sagesse, la perspicacité, la progéniture, le bétail, l’éclat sacré et par le plaisir de la nourriture. Svâhâ ! »
3. (Puis il met sur le feu) deux (morceaux de bois avec le même Mantra, en utilisant le duel au lieu du [ p. 156 ] singulier), ‘À Agni (j’ai apporté) deux morceaux de bois ;’
4. (Puis) quatre (morceaux de bois, en utilisant le pluriel), ‘À Agni (j’ai apporté) des morceaux de bois.’
5. [19] Il asperge ensuite (de l’eau) autour (du feu) comme ci-dessus.
6. [20] « Tu as donné ton consentement » ; « Tu as donné ton impulsion » — ainsi il change la fin de chaque Mantra.
7. Il vénère ensuite les divinités (suivantes) (avec les mantras suivants),
8. [21] Agni avec (les mots), ‘Agni, seigneur du vœu, je tiendrai le vœu ;’
9. Vâyu avec (les mots), ‘Vâyu, seigneur du vœu, (&c.);’
10. Âditya (le soleil) avec (les mots), ‘Âditya, seigneur du vœu, (&c.);’
11. Le seigneur des vœux avec (les mots), ‘Seigneur des vœux, régnant sur les vœux (&c.).’
12. [22] Il donne ensuite un cadeau facultatif à son gourou (c’est-à-dire à l’enseignant).
13. [23] (Le professeur) le fait se lever avec (le verset que l’élève récite), « Debout ! avec la vie » (Taitt. Samh. I, 2, 8, 1) ; il le confie (au soleil) avec (les mots), « Soleil ! Ceci est ton fils ; je te le confie » ; et il adore le soleil avec (le Mantra), « Cet œil brillant créé par les dieux qui se lève à l’est : puissions-nous le voir cent automnes ; puissions-nous vivre cent automnes ; puissions-nous [ p. 157 ] nous réjouir cent automnes ; puissions-nous être heureux cent automnes ; puissions-nous prospérer cent automnes ; puissions-nous entendre cent automnes ; puissions-nous parler cent automnes ; puissions-nous vivre sans décliner cent automnes ; et puissions-nous voir longtemps le soleil.
14. [24] « Qu’Agni te donne encore la vie. Qu’Agni t’accorde encore la félicité. Qu’Indra et les Maruts ici présents te donnent cela ; que le soleil et les Vasus te le donnent » — avec (ce verset), le maître lui donne un bâton, puis lui tend un bol (pour recueillir les aumônes).
15. Puis il lui dit : « Sors pour demander l’aumône. »
16. [25] Qu’il demande d’abord à sa mère ;
17. [26] Alors (qu’il mendie) dans d’autres maisons où l’on est bien disposé à son égard.
18. Il apporte (la nourriture qu’il a reçue) à son Guru (c’est-à-dire au maître), et la lui annonce en disant : « (Ce sont) les aumônes. »
19. (Le professeur l’accepte) avec les mots : « Ce sont de bonnes aumônes. »
20. [27] « Que tous les dieux te bénissent, toi dont nous acceptons le premier vêtement. Qu’après toi naissent l’homme prospère, l’homme de bien, de nombreux frères et amis » — avec (ce verset), le maître reprend (pour lui) l’ancien vêtement (de l’élève).
21. Lorsque la nourriture (avec laquelle les Brâhmanas seront régalés) est prête, (l’étudiant) prend une portion de riz bouilli, de gâteaux et de farine, mélange [ p. 158 ] (ces substances) avec du beurre clarifié et sacrifie avec (les formules) : « À Agni svâhâ ! À Soma svâhâ ! À Agni, le mangeur de nourriture, svâhâ ! À Agni, le seigneur de la nourriture, svâhâ ! À Pranâpati svâhâ ! Aux Vinve devâs svâhâ ! À toutes les déités svâhâ ! À Agni Svishnaknt svâhâ ! »
22. Ainsi (qu’il sacrifie) partout où (les oblations de nourriture sont prescrites) pour lesquelles les divinités (à qui elles doivent être offertes) ne sont pas indiquées.
23. [28] Si la divinité est indiquée, (qu’il sacrifie) avec (les mots) : « À telle et telle (divinité) svâhâ ! » selon la divinité dont il s’agit.
24. [29] Prenant (à nouveau) une portion du même genre de nourriture, il l’offre comme un Bali sur l’herbe Darbha pointée vers l’est, avec (les mots) : « À Vâstupati (c’est-à-dire Vâstoshpati) svâhâ !
25. [30] Après avoir servi ces trois sortes de nourriture aux Brâhmanes et leur avoir fait dire : « Jour propice ! Salut ! Bonne chance ! »
1. [31] Il garde pendant trois jours le vœu (suivant) :
2. [32] Il ne mange pas d’aliments piquants ou salés, ni de légumes ; il dort à même le sol ; il ne boit pas dans un récipient en terre ; il ne donne pas les restes de sa nourriture à un Sûdra ; il ne mange ni miel ni viande ; il ne dort pas pendant la journée ; [ p. 159 ] matin et soir, il apporte (à son maître) la nourriture qu’il a reçue en aumône et un pot d’eau ; chaque jour, il va chercher un fagot de bois ; matin et soir, ou chaque soir, il met du combustible sur le feu de la manière suivante :
3. [33] Avant d’asperger (d’eau) tout autour (du feu), il essuie (avec sa main mouillée) de gauche à droite tout autour (du feu) avec le verset, ‘Comme tu as lâché, ô Vasus, la vache-buffle’ (Taitt. Samh. IV, 7, 15, 7), et asperge (d’eau) tout autour (du feu) comme ci-dessus.
4. [34] (Ensuite) il met (quatre) morceaux de bois (sur le feu) avec le seul (Vyâhritis) et avec (les trois Vyâhritis) ensemble, et (quatre autres morceaux) avec (les quatre versets suivants),
« Ce combustible est à toi, Agni ; par lui tu grandiras et gagneras en vigueur. Et puissions-nous grandir et gagner en vigueur. Svâhâ !
« Qu’Indra me donne la perspicacité ; que Sarasvatî, la déesse, me donne la perspicacité ; que les deux Asvins, couronnés de lotus, me confèrent la perspicacité. Svâhâ !
« La perspicacité qui réside chez les Apsaras, l’esprit qui réside chez les Gandharvas, la perspicacité divine et ce qui est né des hommes : puisse cette perspicacité, la parfumée, se réjouir en moi ! Svâhâ !
« Que la perspicacité, celle qui parfume, prend toutes les formes, celle qui est dorée et mobile, vienne à moi. Riche en sève, gorgée de lait, puisse-t-elle, la perspicacité, celle au beau visage, se réjouir en moi ! Svâhâ ! »
5. [35] Après avoir essuyé (le feu) de la même manière, il asperge (le feu) d’eau comme ci-dessus. [ p. 160 ]
6. [36] Il adore le feu avec les Mantras : « Quelle est ta splendeur, Agni, puis-je par là » (Taitt. Samh. III, 5, 3, 2), et « Sur moi puisse la perspicacité, sur moi la progéniture » (Taitt. Âramyaka X, 44).
7. [37] Après l’écoulement de ces trois jours (Sûtra 1), il sert de la même manière les trois sortes de nourriture (mentionnées ci-dessus) aux Brâhmanes, leur fait dire : « Un jour propice ! Salut ! Bonne chance ! » et se libère de son vœu en (répétant) ces (Mantras) avec (les) modifications (nécessaires), « Agni, seigneur du vœu, j’ai tenu le vœu » (voir ci-dessus, I, 2, 7, 8).
8. [38] Il garde les mêmes observances par la suite (aussi),
9. [39] Habitant dans la maison de son maître, il peut toutefois manger des aliments et des légumes piquants et salés.
10. [40] Il porte un bâton, ses cheveux sont attachés en un seul nœud et porte une ceinture,
11. Ou il peut attacher la mèche sur le sommet de la tête en un nœud.
12. Il porte (un vêtement supérieur) teint avec du Loth rouge, ou la peau (d’une antilope, etc.).
13. Il n’a pas de relations avec les femmes.
14. [41] (La durée de l’étude) est de quarante-huit ans, ou [ p. 161 ] vingt-quatre (ans), ou douze (ans), ou jusqu’à ce qu’il ait appris (le Veda).
15. Il ne doit cependant pas omettre d’observer les observances.
16. [42] Au début et à la fin de l’étude d’un Kânda (du Yanur-veda Noir, il sacrifie) avec (le verset) : « Le seigneur du siège, le merveilleux, l’ami d’Indra, le cher, j’ai imploré le don de la perspicacité. Svâhâ ! »
En second lieu, le Rishi du Kânda (reçoit une oblation).
(Suivez ensuite les oblations avec les versets) : « Ceci, ô Varuna ; » « Pour cela je t’en supplie ; » « Toi, Agni ; » « Ainsi toi, Agni ; » « Toi, Agni, tu es vif ; » « Pranâpati ! » et « Que j’ai fait de trop dans ce sacrifice. » Ici, certains ajoutent comme oblations subordonnées les Gaya, Abhyâtâna et Râshnrabhnt (oblations) comme ci-dessus.
Fin du deuxième Patala.
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150:1 5, 1. Je lis, pra su mrityum yvyotana; comp. Mantra-Brâhmaria I, 6, 14 (Rig-veda I, 136, 1, etc.). Quant au dernier Pâda, comp. Rig-veda III, 53, 20. ↩︎
150:2 2 seq. Comp. Gobhila II, 20, 21 seq.; Pâraskara II, 2, 6; Sâṅkhâyana II, 2, 4, etc. ↩︎
150:5 Mâtridatta, ‘Comme il est dit ci-dessous, « il prononce ses deux noms » (Sûtra 6), l’étudiant devrait ici aussi prononcer ses deux noms, par exemple, « Je suis Devadatta, Kârttika. »’ ↩︎
150:6 ‘Son nom commun (vyâvahârika) et son nom Nakshatra.’ Mâtridatta. ↩︎
150:7 Rig-veda X, 9, 4. ↩︎
151:8 Le mot que j’ai traduit par « attire… vers lui » est le même que celui qui est également utilisé dans le sens de « il l’initie » (upanayate). Il faudrait peut-être corriger le texte : dakshinam bâhum anv abhyâtmam upanayate, « il le tourne vers lui de gauche à droite (littéralement, en suivant son bras droit). » Comp. Sâṅkhâyana II, 3, 2. — Concernant le Mantra, comp. Sâṅkhâyana II, 2, 12, etc. ↩︎
151:9 Sâṅkhâyana II, 2, 11; 3, 1, etc. ↩︎
151:10 Sâṅkhâyana II, 3, 1; 4, 5. Nous devrions lire apoऽsâna, au lieu de apoऽsânah comme le font les MSS. ↩︎
151:11 Sâṅkhâyana II, 4, 1, &c. ↩︎
152:13 La lecture du dernier Mantra est douteuse. Ishtatas devrait peut-être être ishtas, mais le génitif analasya, ou, comme le disent certains manuscrits, anasasya (lire analasasya ?), pointe plutôt vers un génitif comme ittatas. Si nous écrivons ittatas et analasasya, la traduction serait : « Puisse-je t’être cher, toi qui m’aimes, NN ! Puis-je t’être cher, toi qui es zélé, NN ! » Comp. Sâṅkhâyana II, 3, 3. ↩︎
153:14 Comp. ci-dessus, Sûtra 9. ↩︎
153:3 6, 3. Âsvalâyana I, 20, 8. ↩︎
153:4 Âsvalâyana I, 15, 2; 22, 26; Pâraskara II, 4, 8. ↩︎
153:5 Comp. Sâṅkhâyana II, 3, 1; Pâraskara II, 2, 21. Le nom p. 154 dans la première section du Mantra s’écrit Kashakâya et Kasakâya. Comp. Mantra-Brâhmasa I, 6, 22: Kssana, idam te paridadâmy amum; Atharva-veda IV, 10, 7: Karsanas tvâbhirakshatu. ↩︎
154:6 ‘Une répétition de l’initiation a lieu comme une pénitence.’ Mâtridatta. ↩︎
154:9 9-11. Comp. Sâṅkhâyana II, 5, &c. ↩︎
155:1 7, 1 seq. Comp. Ârivalâyana I, 21, 1; Sâṅkhâyana II, 10, etc. ‘Le fait de mettre du combustible sur le feu, et ce qui suit, fait partie de la cérémonie principale, et non de la récitation du Sâvitrî. Par conséquent, dans le cas de quelqu’un qui n’a pas encore été initié (voir I, 2, 6, 7), il doit être accompli immédiatement après que (l’étudiant) a été confié à la charge (des dieux et des démons; I, 2, 6, 5).’ Mâtridatta. ↩︎
155 : 2 Pâraskara II, 4, 3. ↩︎
156:5 Comp. ci-dessus, I, 1, 2, 7 seq. ↩︎
156:6 Il dit : « Anumati ! Tu as donné ton consentement ! » etc. ↩︎
156:8 8 séq. Comp. Gobhila II, 10, 16. ↩︎
156:12 Comp. Sâṅkhâyana I, 14, 13 seq. ↩︎
156 : 13 Pâraskara I, 8, 7 ; Moi, 6, 3. ↩︎
157:14 Sâṅkhâyana II, 6, 2, &c. ↩︎
157:16 16 seq. Sâṅkhâyana II, 6, 4 seq.; Âpastamba I, 3, 28 seq. ↩︎
157:17 Le commentaire explique râtikuleshu par gñâtiprabhñtishu;—comp. yosya râtir bhavati, I, 3, 9, 18. ↩︎
157:20 Voir ci-dessus, I, 1, 4, 2, et comp. Atharva-veda II, 13, 5. ↩︎
158:23 Comp. ci-dessus, I, 1, 3, 3. ↩︎
158:24 « Le même », bien sûr, fait référence au Sûtra 21. ↩︎
158:25 Voir ci-dessus, I, 1, 1, 6. ↩︎
158:1 8, 1. C’est le Sâvitra-vrata. Comp. I, 2, 6, 7; Sâṅkhâyana, Introduction, p. 8. ↩︎
158:2 Concernant le terme « aliment piquant », voir les notes du professeur Bühler sur Âpastamba I, 1, 2, 23 ; II, 6, 15, 15. ↩︎
159:3 Voir I, 1, 2, 7 suiv. ; Âpastamba Dharma-sûtra I, 1, 4, 18. ↩︎
159:4 Âpastamba I, 1, 4, 16; Sâṅkhâyana II, 10, 4, etc. ↩︎
159:5 Voir Sûtra 3 et la note. ↩︎
160:6 Ârivalâyana-Grihya I, 21, 4. ↩︎
160:7 Voir I, 2, 7, 21. 25. ↩︎
160:8 Il observe les observances énoncées dans le Sûtra 2. ↩︎
160:9 Voir ci-dessus, Sûtra 2. Comp. Âpastamba Dharma-sûtra I, 1, 2, II, et Sûtra 23 de la même section, qui est en contradiction avec ce Sûtra de Hiranyakenin. ↩︎
160:10 10, 11. Comp. Âpastamba I, I, 2, 31. 32. Mâtridatta a reçu dans son explication du onzième Sûtra les mots « il devrait raser le reste des cheveux », qui dans l’Âpastambîya-sûtra se trouvent dans le texte. ↩︎
160:14 Ârivalâyana-Grihya I, 22, 3 ; Âpastamba Dharma-sûtra I, 1, 2, 12 suiv. ↩︎
161:16 Rig-veda I, 18, 6. Sont considérés comme les Rishis des Kândas individuels, Pranâpati, Soma, Agni, les devâs Vinve, Svayambhû. Concernant les Mantras cités dans la dernière section de ce Sûtra, voir ci-dessus, I, 1, 3, 5-7. ↩︎