Grihya Sûtra de Hiranyakesin — Prasna I, Patala 3 | Page de titre | Grihya Sûtra de Hiranyakesin — Prasna I, Patala 5 |
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1. Ils lui amènent un char, (ou) un cheval, ou un éléphant.
2. [1] ‘Tu es le (Sâman appelé) Rathantara ; tu es le Vâmadevya ; tu es le Brihat ;’ le (verset), ‘Les deux Aṅkas, les deux Nyaṅkas’ (Taitt. Sarihitâ I, 7, 7, 2) ; (le verset), ‘Que ce char, ô Arivins, ne subisse aucun dommage, ni dans la douleur ni dans la joie. Puisse-t-il faire son chemin sans dommage, dispersant ceux qui nous infestent ;’ (et la formule), ‘Ici se tient, ici se tient à l’écart ; ici est le plaisir, ici puisse-t-il se réjouir :’ avec (ces textes) il monte sur le char, s’il entre (dans le village) sur un char.
3. [2] « Tu es un cheval, tu es un coursier » — avec ces onze « noms de chevaux » (Taitt. Samh. VII, 1, 12) (il monte) le cheval, s’il (a l’intention d’entrer dans le village) à cheval.
4. [3] Avec (la formule) : « Avec la foudre d’Indra, je te chevauche ; porte-moi ; porte le temps ; porte-moi vers la félicité. Tu es un éléphant. Tu es la gloire de l’éléphant. Tu es la splendeur de l’éléphant. Puissé-je être doté de la gloire de l’éléphant, de la splendeur de l’éléphant » — (il monte) l’éléphant, s’il (a l’intention de se rendre au village) dessus. [ p. 171 ]
5. [4] Il va dans un lieu où on lui fera honneur.
6. Avec (le verset) : « Que les horizons s’unissent à moi ; que tous les plaisirs s’y rassemblent. Que tous les vœux qui nous sont chers s’approchent de nous ; que nos vœux les plus chers s’unissent à nous » — il adore les horizons.
7. En s’approchant de la personne qui va lui faire honneur, il le regarde en disant : « Gloire es-tu ; que je devienne gloire avec toi. »
8. Alors (l’hôte qui va offrir l’Argha au Snâtaka), ayant préparé la demeure (pour sa réception), lui dit : « L’Argha (sera offerte) ! »
9. (L’invité) répond : « Fais-le ! »
10. [5] Ils lui préparent (le Madhuparka ou « mélange de miel ») composé de trois ou de cinq substances.
11. Les trois substances sont le caillé, le miel et le ghee.
12. Les cinq substances sont le caillé, le miel, le ghee, l’eau et les grains moulus.
13. Après avoir versé du caillé dans un vase en laiton, il y verse du miel (et ensuite les autres substances mentionnées ci-dessus).
14. [6] Après avoir versé (ces substances) dans un récipient plus petit, et l’avoir recouvert d’un couvercle plus grand que le récipient, (l’hôte) fait accepter (à l’invité) (les choses suivantes) séparément, l’une après l’autre, à savoir une touffe d’herbe (pour s’asseoir), [ p. 172 ] de l’eau pour se laver les pieds, l’eau d’Argha, l’eau à siroter et le mélange de miel (Madhuparka).
15. [7] Allant après (les objets individuels qui sont apportés à l’invité, à l’hôte) d’une voix impeccable, sans hésitation (?), annonce (chacun de ces objets à l’invité).
16. La touffe d’herbe (il l’annonce en disant trois fois) : « La touffe d’herbe ! »
17. [8] (L’invité) s’y assied face à l’est, avec (la formule) : « Tu es un donneur de pouvoir royal, un siège d’enseignant ; puis-je ne pas m’éloigner de toi. »
18. (L’hôte) lui annonce alors : « L’eau pour laver les pieds ! »
19. [9] Avec cette (eau) un _Sûdra ou une S_ûdra femme lui lave les pieds ; le pied gauche en premier pour un Brâhmaûdra ou un a, le droit pour une personne des deux autres castes.
1. [10] Avec (la formule), « Tu es le lait de Virâg. Que le lait de Padyâ Virâg (habite) en moi » — (l’invité) touche les mains de la personne qui [ p. 173 ] lui lave les pieds, puis il se touche avec (la formule), « Qu’en moi habitent l’éclat, l’énergie, la force, la vie, la renommée, la splendeur, la gloire, la puissance ! »
2. (L’hôte) lui fait alors l’annonce : « L’eau d’Argha ! »
3. [11] (L’invité) l’accepte avec (la formule) : « Tu es venu à moi avec gloire. Unis-moi à l’éclat, à la splendeur et au lait. Rends-moi aimé de toutes les créatures, le seigneur du bétail. »
4. [12] « Je t’envoie à l’océan, toi l’eau impérissable ; retourne à ta source. Que ma descendance ne me fasse pas perdre de vie. Que ma sève ne se répande pas » — ce verset (que l’invité récite) sur le reste (de l’eau d’Argha), lorsqu’elle est versée (par celui qui la lui a offerte).
5. Puis il lui annonce : « De l’eau à siroter ! »
6. [13] Avec (la formule), « Tu es la première couche pour l’ambroisie », il sirote de l’eau.
7. Puis il lui annonce : « Le mélange de miel ! »
8. [14] Il accepte cela avec les deux mains avec le Sâvitra (formule), et le place sur le sol avec (la formule), ‘Je te place sur le nombril de la terre dans la demeure d’Idâ.’ Il mélange (les différentes substances) trois fois de gauche à droite avec son pouce et son quatrième doigt, avec (la formule), ‘Quelle est la forme la plus élevée du miel qui consiste dans le plaisir de la nourriture, par cette forme la plus élevée du miel, [ p. 174 ] puis-je devenir le plus élevé, le plus doux, et un amateur de nourriture.’ Il en prend trois fois avec (la formule), ‘Je te mange pour l’amour de l’éclat, de la chance, de la gloire, du pouvoir et du plaisir de la nourriture’, et donne le reste à une personne qui est bien disposée envers lui.
9. [15] Ou il peut le manger en entier (Madhuparka). Puis il boit de l’eau avec (la formule) : « Tu es l’enveloppe d’ambroisie. »
10. [16] Puis il lui lance l’annonce : « La vache ! »
11. Cette (vache) est soit tuée, soit lâchée.
12. S’il choisit de la lâcher, (murmure-t-il), « Cette vache deviendra une vache laitière.
La mère des Rudras, la fille des Vasus, la sœur des Âdityas, le nombril de l’immortalité. À ceux qui me comprennent, je dis : « Ne tuez pas la vache innocente, qui est Aditi. »
« Qu’il boive de l’eau ! Qu’il mange de l’herbe »
(Et) donne l’ordre (au peuple), « Om ! Lâche-le. »
13. [17] Si on la tue, (il dit) : « Tu es une vache ; le péché est chassé de toi. Chasse mon péché et le péché de NN ! Tuez quiconque me hait. Il est tué quiconque me hait. Préparez (la vache) ! »
14. [18] Si (la vache) est lâchée, un repas est préparé avec d’autres viandes, et il l’annonce (à l’invité) en ces termes : « C’est prêt ! » [ p. 175 ]
15. Il répond : « C’est bien préparé ; c’est le Virâ_g_ ; c’est de la nourriture. Puisse-t-il ne pas manquer ! Puissé-je l’obtenir ! Puisse-t-il me donner de la force ! C’est bien préparé ! » — et ajoute : « Donnez de la nourriture aux Brâhmanas ! »
16. [19] Après que ces (Brâhmanas) ont mangé, (l’hôte) ordonne qu’on lui apporte (c’est-à-dire à l’invité) une nourriture irréprochable (?).
17. Il accepte cela avec (la formule) : « Que le ciel te le donne ; que la terre l’accepte. Que la terre te le donne ; que le souffle l’accepte. Que le souffle te mange ; que le souffle te boive. »
18. Avec (le verset) « Qu’Indra et Agni me donnent de la vigueur » (Taitt. Samh. III, 3, 3, 3), il mange autant qu’il le souhaite et donne le reste à une personne qui est bien disposée envers lui.
19. S’il désire que quelqu’un ne s’éloigne pas de lui, il doit boire de l’eau avec (le Mantra) : « Là où reposent le passé, le futur et tous les mondes, par là je te saisis ; je (te saisis) ; par le Brahman je te saisis pour moi-même, NN ! » —
1. Et si, après que cette personne a mangé, elle lui saisit la main droite,
2. [20] S’il désire qu’un de ses compagnons, ou un élève, ou un serviteur, reste fidèlement avec lui et ne s’en aille pas, il doit se baigner le matin, mettre des vêtements propres, faire preuve de patience (avec ce serviteur, etc.) pendant la journée, parler (uniquement) avec des Brâhmanas, et la nuit, il doit se rendre à la demeure de cette personne, transformer de l’eau en une corne d’animal vivant, et faire trois fois le tour de sa demeure, l’aspergeant (de son urine) tout autour, avec (le Mantra) : « De la montagne (je te sépare ?), de ton frère, de ta sœur, de toutes tes relations. parishîdah kleshyati (c’est-à-dire kvaishyasi ?) snsnmnnnknidâ, ûlena parimînoऽsi parimînoऽsy ûlena.’
3. Il dépose la corne de l’animal vivant dans un endroit généralement accessible.
4. [21] Celui dont les compagnons, les élèves ou les serviteurs ont l’habitude de s’enfuir devrait les réprimander avec (le mantra) : « Que celui qui appelle ici (?), vous appelle ici ! Celui qui ramène, vous a ramené (?). Que la réprimande d’Indra vous réprimande toujours. Si vous, qui adorez votre propre tromperie, me méprisez (?), […] qu’Indra vous lie de son lien, et puisse-t-il vous ramener à moi. » [ p. 177 ]
5. Puis il entre dans sa maison, met un morceau de bois de Sidhraka sur (le feu) et sacrifie avec le « verset qui attire », « Ramenez-les, ramenez-les » (Taitt. Samh. III, 3, 10, 1).
6. Maintenant (nous allons expliquer) comment on doit protéger sa femme.
7. [22] Celui dont la femme a un amant devrait réduire en poudre de gros mille-pattes (?) et insérer (cette poudre), pendant que sa femme dort, dans ses parties secrètes, avec le Mantra : « Indra… d’autres hommes que moi. »
8. Maintenant (suit le sacrifice pour procurer) la prospérité dans le commerce.
9. Il coupe (une partie) de (chaque) article de commerce et le sacrifie —
1. [23] Avec (le verset), « Si nous commerçons, ô dieux, en essayant par notre richesse d’acquérir (de nouvelles) richesses, ô dieux, que Soma y accorde de la splendeur, Agni, Indra, Brihaspati et Îriâna. Svâhâ ! »
2. Voici maintenant le chemin pour apaiser la colère.
3. [24] Il s’adresse à la personne en colère avec (les versets) : « La puissance de la colère qui habite ici sur ton front, détruisant ton ennemi (?), que les dieux chastes et sages l’enlèvent.
« Si tu tires, pour ainsi dire, la pensée qui habite ton visage, vers le haut de ton front, je délie la colère de ton cœur comme la corde de l’arc d’un archer.
« Jour, ciel et terre : nous apaisons ta colère, comme le ventre d’une mule (ne peut concevoir). »
4. Voici maintenant le chemin pour obtenir la victoire dans les conflits.
5. [25] Il met du bois sur le feu la nuit dans un appartement intérieur, accomplit les rites jusqu’aux oblations de Vyâhriti, et sacrifie de petits grains mélangés à de l’A ya, avec (le verset) : « Toi qui es sans langue, toi qui es sans langue ! Je te chasse par mon sacrifice, afin que je puisse remporter la victoire dans la dispute, et que NN soit vaincu par moi. Svâhâ ! »
6. [26] Puis, en présence (de son adversaire), tourné vers lui, il murmure (les versets) : « J’enlève la parole de ta bouche, (la parole) qui habite ton esprit, (la parole) de ton cœur. De chaque membre, j’enlève ta parole. Partout où ta parole habite, de là, je l’enlève. »
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Rudra aux cheveux noirs ! Héros ! À chaque combat, abats mon adversaire, comme un arbre est abattu par la foudre.
« Sois vaincu, sois conquis, quand tu parles. Enfonce-toi sous terre, quand tu parles, frappé par moi irrésistiblement (?) avec le marteau de… (?). C’est vrai ce que je dis. Tombe, inférieur à moi, NN ! »
7. 7 Il touche la salle de réunion (dans laquelle se déroule le concours) et murmure : « La déesse bénie aux bras d’or, dont les yeux ne sont pas faibles, qui est parée d’ornements, assise au milieu des dieux, a parlé pour mon bien. Svâhâ ! »
8. 8 ‘Pour moi ont les hauts et les bas, pour moi a cette vaste terre, pour moi Agni et Indra ont accompli mon but divin’ - avec (ce vers) il regarde l’assemblée, et murmure (il) tourné vers (l’assemblée).
Fin du Quatrième Patala.
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170:2 12, 2. Comp. Pâraskara III, 14, 3-6. ↩︎
170:3 Dans ce Sûtra, trois « noms de chevaux » sont donnés comme Pratîka du Yagus cité : « Tu es agva, tu es haya, tu es maya. » Mâtgdatta observe que le troisième d’entre eux ne se trouve pas dans le Taittirîya Saghitâ, qui ne donne que dix, et non onze, noms de chevaux. ↩︎
170:4 Pâraskara III, 15, 1 seq. ↩︎
171:5 Âsvalâyana III, 9, 3; Sâṅkhâyana III, 1, 14. ↩︎
171:10 10 seq. Pâraskara I, 3, 5; Âsvalâyana I, 24, 5 seq. ↩︎
171:14 Pâraskara, loc. cit.; Âsvalâyana, loc. cit., § 7. ↩︎
172:15 Le texte est corrompu et la traduction très douteuse. Les manuscrits ont : anusamvmminâ soऽnupakimmayâ vâmâ. La note de Mâtmdatta, qui est également très corrompue, est ainsi rédigée : anusamvraminâ saha kûrmâdinâ dravyema tad agrata_hmri_tvânugantâ. anusamvmmineti (sic : anugamamnnusamv°, MS. du Dr Kielhorn) pramâdapâma_h_. sampradâtânupakimmayâ na vidyata upaghâtikâ vâg yasya [yasyâ, MS. du Dr K.] seyam anupakimmâ vâk . . . L’anus (anus, Dr Kirste) est un traitement médical d’urgence. apare yathâpâmam evârtham immanti. — Peut-être pouvons-nous corriger, anusamvmminayânupakimmayâ vâmâ. Comp. ci-dessous, I, 4, 13, 16. ↩︎
172:17 Voir ci-dessus, I, 2, 6, 9. ↩︎
172:19 Pâraskara I, 3, 10. 11; Âsvalâyana I, 24, 11. ↩︎
172:1 13, 1. Comp. Sâṅkhâyana III, 7, 5, &c. ↩︎
173 : 3 Pâraskara I, 3, 15. ↩︎
173 : 4 Pâraskara I, 3, 14. ↩︎
173:6 Âsvalâyana I, 21, 13. ↩︎
173:8 Pâraskara I, 3, 18 seq.; Âsvalâyana I, 21, 15 seq. — La formule de Sâvitra est : « Sur l’impulsion du dieu Saviri… je te prends. » Comp. ci-dessus, I, 3, 11, 7. ↩︎
174:9 Âsvalâyana I, 21, 27. 28. ↩︎
174:10 10 seq. Âsvalâyana I, 21, 30 seq.; Pâraskara I, 3, 26 seq.; Sâṅkhâyana II, 15, 2. 3 note; Gobhila IV, 10, 18 seq. ↩︎
174:13 NN, bien sûr, signifie le nom de l’hôte. ↩︎
174:14 14 séq. Comp. Gobhila I, 3, 16 suiv.; Âpastamba II, 2, 3, 11. ↩︎
175:16 La signification de anusamvmminam (comp. ci-dessus, I, 4, 12, 15) est incertaine. Voir le commentaire, p. 120 de l’édition du Dr Kirste. ↩︎
175:2 14, 2. Mâtridatta: ‘La description du Samâvartana est terminée. p. 176 Maintenant, certaines cérémonies liées aux souhaits spéciaux de la personne qui a accompli le Samâvartana et s’est installée dans une maison, vont être décrites.’ À mon avis, il serait plus correct de considérer le Sûtra 18 de la section précédente comme le dernier des aphorismes qui concernent le Samâvartana. Avec le Sûtra 2, comparez Pâraskara III, 7 ; Âpastamba VIII, 23, 6. Il semble impossible de tenter de traduire les dernières lignes du Mantra désespérément corrompues. ↩︎
176:4 Une partie de ce Mantra est également très corrompue. Dans la première ligne, je propose d’écrire : nivarto vo nyavîvritat. Avec la dernière ligne, comp. Pâraskara III, 7, 3. Je pense que le texte de Pâraskara devrait être corrigé de la manière suivante : pari tvâ hvalano hvalan nivartas tvâ nyavîvritat, indra_hris_ena sitvâ tvâ mahyam . . . (trois syllabes) ânayet. L’Âpastambîya Mantrapâria, selon la copie du Dr Winternitz, donne le texte suivant : anupohvad anuhvayo vivartto p. 177 vo nyavîvridhat. aindra_hrisrihrisrih_. yadi mâm atimanyâdvâ â devâ devavattara indra_hrisrisris_am ânayât svâhâ. Comp. Remarques du professeur Pischel, Philologische Abhandlungen, Martin Hertz zum siebzigsten Geburtstage von ehemaligen Schülern dargebracht (Berlin, 1888), p. 69 seq. ↩︎
177:7 Sur sthûrâ dridhâ[h] Mâtdhdatta dit, sthûrâ ddhâ_hdhhdhsdhh_. Une partie du Mantra est intraduisible en raison de l’état très corrompu du texte. La lecture donnée par la plupart des MSS. est, Indrâya yâsya sdhh purushebhyoऽnyatra mat. L’Âpastambîya Mantrapâdha dit, indrâyâsya phaligam anyebhyah purushebhyonyatra mat. La signification est très probablement qu’Indra est invoqué pour éloigner de la femme le sepha de tous les autres hommes à l’exception de celui de son mari. ↩︎
177:1 15, 1. Comp. Atharva-veda III, 15, 5; Gobhila IV, 8, 19. ↩︎
178:3 Pâraskara III, 13, 5. Il serait peut-être judicieux de remplacer mriddhasya par mridhrasya. Avadyâm devrait être ava gyâm ; voir Atharva-veda VI, 42, 1. ↩︎
178:5 Le commentaire explique les kanâs (petits grains) comme des graines de laurier-rose (karavîra). ↩︎
178:6 Comp. Pâraskara III, 13, 6. Le texte des Mantras est corrompu. ↩︎