Grihya Sûtra de Hiranyakesin — Prasna I, Patala 8 | Page de titre | Grihya Sûtra de Hiranyakesin — Prasna II, Patala 2 |
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1. Vient ensuite le Sîmantonnayana (ou la séparation des cheveux de la femme enceinte).
2. Au quatrième mois de sa première grossesse, dans la quinzaine de la lune croissante, sous une constellation propice, il met du bois sur le feu, accomplit les rites jusqu’aux oblations de Vyâhriti, et fait quatre oblations à Dhâtri avec (le verset), ‘Que Dhâtri nous donne la richesse’ (et les trois versets suivants, Taitt. Sarih. III, 3, II, 2. 3).
3. [1] ‘Ceci, ô Varuna’ (&c. ; voir I, chap. 27, Sûtra 2, jusqu’à) : ‘Salut ! Bonne chance !’
Il fait ensuite asseoir l’épouse qui a pris un bain, qui porte une robe et des ornements propres, et qui a parlé avec un Brâhmane, à l’ouest du feu, face à l’est, dans un appartement rond. Debout à l’est (de l’épouse), face à l’ouest, il sépare ses cheveux vers le haut (c’est-à-dire en commençant par le devant) avec une plume de porc-épic à trois taches blanches, tenant (aussi) une grappe de fruits verts, avec les Vyâhntis (et) avec les deux (verset) : « J’invoque Râkâ », (et), « Tes grâces, ô Râkâ » (Taitt. Sanh. III, 3, 11, 5). Puis il récite sur (sa femme les formules) : « Soma seul est notre roi, ainsi disent les tribus Brâhmanes, assises près de tes rives, ô Gaṅgâ, [ p. 209 ] dont la roue ne recule pas (?) ! » (et) « Puissions-nous trouver notre chemin avec toi à travers toutes les puissances hostiles, comme à travers les courants d’eau » (ci-dessus I, 20, 5).
1. Vient ensuite le Pumsavana (c’est-à-dire la cérémonie pour assurer la naissance d’un enfant mâle).
2. [2] Au troisième mois, dans la quinzaine de la lune croissante, sous une constellation propice (&c. ; voir la section précédente, Sûtras 2 et 3, jusqu’à dans un appartement rond. Il lui donne un grain d’orge dans sa main droite avec (la formule) : « Tu es un homme » ;
3. Avec (la formule), « Les deux testicules sont vous », deux graines de moutarde ou deux haricots, de chaque côté de ce grain d’orge.
4. Avec (la formule), ‘_Svâvri_tat’ (? _svâvri_ttat?) (il verse) une goutte de caillé (sur ces grains). Qu’il lui donne à manger.
5. Après qu’elle ait bu une gorgée d’eau, il lui touche le ventre avec (la formule) : « Avec mes dix (doigts) je te touche afin que tu puisses donner naissance à un enfant dans dix mois. »
6. [3] (Il pile) la dernière pousse d’un tronc de Nyagrodha (et mélange la poudre) avec du ghee, ou un ver à soie (et mélange la poudre) avec une bouillie préparée à partir de graines de panic, ou un éclat d’un poteau sacrificiel pris dans la partie nord-est (de ce poteau) exposée au feu, ou (il prend des cendres ou de la suie [?] de) [ p. 210 ] un feu qui a été allumé par attrition, et l’insère dans la narine droite (de la femme) dont la tête repose sur la racine largement répandue (d’un arbre Udumbara ?).
7. Si elle fait une fausse couche, il doit la caresser trois fois, du nombril vers le haut, avec sa main mouillée, en disant : « Que Tvashtri te lie de ses liens, non pas en avant, mais en avant. Fais entrer la mère dans les saisons, vis dix mois (dans le ventre de ta mère) ; n’apporte pas la mort aux hommes. »
8. [4] Lorsque son accouchement est venu, il accomplit le kshipraprasavana (c’est-à-dire la cérémonie pour accélérer l’accouchement). Après avoir placé un pot d’eau près de sa tête et une plante Tûryantî près de ses pieds, il touche son ventre.
1. « Comme le vent souffle, comme les vagues de l’océan, ainsi l’embryon peut se déplacer ; puisse-t-il naître avec l’arrière-faix » — avec (ce vers) il caresse (son corps) de haut en bas.
2. Quand l’enfant naît, il pose une hache sur une pierre, et une pièce d’or sur cette hache ; après avoir retourné ces choses (de sorte que la pierre soit au-dessus), il tient le garçon au-dessus d’elles avec (les deux versets),
« Sois une pierre, sois une hache, sois un or insurmontable. Tu es vraiment le Véda appelé fils ; ainsi vis cent automnes. »
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« De membre en membre tu es né ; du cœur tu es né. Tu es vraiment le soi (âtman) appelé fils ; ainsi vis cent automnes. »
3. (Le contenu de ce Sûtra est similaire à celui de Pâraskara I, 16, 2.)
4. Ils emportent le feu Aupâsana (ou Grihya ordinaire) et ils apportent le Sûtikâgni (ou le feu de l’enfermement).
5. Ce (feu) ne sert qu’à réchauffer (des plats, etc.).
6. Aucune cérémonie n’est accomplie avec lui, à l’exception de la fumigation (voir le Sûtra suivant).
7. [5] Il fumige (l’enfant) avec de petits grains mélangés à des graines de moutarde. Il les jette dans les braises (du Sûtikâgni) (onze fois, chaque fois avec l’un des mantras suivants) :
(a) « Que Sanaa et Marka, Upavîra, Sanaikera, Ulûkhala, Kyavana disparaissent d’ici. Svâhâ !
(b) 'Âlikhat, Vilikhat, Animisha, Kimvadanta, Upamruti. Svahâ !
© 'Aryamna, Kumbhin, Satru, Pâtrapâni, Nipuni. Svahâ !
(d) « Que Ântrîmukha, Sarshapâruna disparaisse d’ici. Svâhâ !
(e) 'Kesinî, Svalominî, Basâbosâ, Upakâsini—va-t’en, disparais d’ici. Svâhâ!
(f) 'Les serviteurs de Kuvera, Visvavâsa (?), envoyés par le roi des démons, tous d’une origine commune, [ p. 212 ] parcourent les villages, visitant ceux qui s’éveillent (?). Svâhâ !
(g) « Tuez-les ! Liez-les ! » ainsi (dit) ce messager de Brahman. Agni les a encerclés. Indra les connaît ; Brihaspati les connaît ; moi, le Brâhmaria, je connais ceux qui saisissent (les hommes), qui ont les dents proéminentes, les cheveux hérissés, les seins pendants. Svâhâ !
(h) « Les marcheurs nocturnes, portant des ornements sur la poitrine, des lances à la main, buvant dans des crânes ! Svâhâ !
(i) « Leur père Ukkaikkrâvyakarkaka marche (?) à leur tête, leur mère marche à l’arrière, cherchant un vikhura (?) dans le village. Svâhâ !
(k) « La sœur, la noctambule, regarde la famille à travers la faille (?) — celle qui s’éveille pendant que les gens dorment, dont l’esprit est tourné vers l’épouse devenue mère. Svâhâ !
(l) ‘Ô dieu au chemin noir, Agni, brûle les poumons, les cœurs, les foies de ces (démons femelles) ; brûle leurs yeux. Svâhâ !’
8. [6] Puis il se lave les mains et touche le sol avec (les versets) : « Ô toi dont les cheveux sont bien séparés ! Ton cœur qui réside dans le ciel, dans la lune : de cette immortalité, transmets-nous. Puissé-je ne pas pleurer sur la détresse (d’avoir à subir mon sort) à cause de mes fils. »
« Je connais ton cœur, ô terre, qui habites dans le ciel, dans la lune : ainsi puis-je, le seigneur de l’immortalité, ne pas pleurer sur la détresse (qui tombe sur mon sort) à cause de mes fils. »
9. Suit maintenant le medhâganana (ou production [ p. 213 ] de l’intelligence). Avec (un instrument d’)or sur lequel il a posé une pousse de Darbha attachée (à cette pièce d’or), il donne à l’enfant, qui est tenu de manière à ce qu’il fasse face à l’est, du ghee à manger, avec les formules : « Bhû_h_ ! Je sacrifie les Rigas sur toi ! Bhuva_h_ ! Je sacrifie les Yagus sur toi ! Suva_h_ ! Je sacrifie les Sâmans sur toi ! Bhûr bhuva_hgh_ ! Je sacrifie les hymnes Atharvan et Aṅgiras sur toi ! »
10. [7] Il baigne ensuite l’enfant avec de l’eau tiède avec (les Mantras suivants) :
« Je te libère de la maladie chronique, de la destruction, de la ruse, des chaînes de Varuna. Je te rends innocent devant le Brahman ; puissent le Ciel et la Terre être bienveillants envers toi. »
« Que l’Agni et les eaux t’apportent la félicité, que le Ciel et la Terre et les herbes t’apportent la félicité ; que l’air et le vent t’apportent la félicité ; que les quatre coins du ciel t’apportent la félicité.
« Les dieux ont bien fait de libérer le soleil des ténèbres et du démon envahissant ; ils l’ont libéré de sa culpabilité ; ainsi je délivre ce garçon d’une maladie chronique, de la malédiction qui vient de sa famille, de la ruse, des chaînes de Varuna. »
11. Il place ensuite l’enfant sur les genoux de sa mère avec (le verset) :
1. ‘Les quatre divins quartiers du ciel, les épouses du Vent, que le soleil observe : vers leur [ p. 214 ] longue vie je te tourne ; que la consomption s’en aille vers la destruction !’
2. [8] Après l’avoir placé là, il s’adresse à sa femme avec le Mantra : « Qu’aucun démon ne fasse de mal à ton fils, aucune vache ne se précipite sur lui (?). Puisses-tu devenir l’ami des trésors ; puisses-tu vivre dans la prospérité à ta manière. »
3. Il lave son sein droit et le fait donner à l’enfant avec (la formule) : « Que cet enfant tète longue vie ; qu’il atteigne la vieillesse. Que ton sein soit exubérant pour lui, et vie, gloire, renommée, splendeur, force. »
4. De la même manière le sein gauche.
5. Avec (les mots) « Il ne souffre pas, il ne pleure pas, quand on lui parle et quand on le touche » — il touche les deux seins. Puis il place un pot d’eau couvert près de sa tête, avec (la formule) : « Ô eaux, veillez dans la maison. Comme vous veillez avec les dieux, veillez ainsi sur cette épouse, mère d’un bon fils. »
6. Le douzième jour, la mère et le fils prennent un bain.
7. Ils rendent la maison propre.
8. [9] Ils emportent le Sûtikâgni et apportent le feu Aupâsana.
9. Après avoir mis du bois sur ce feu et accompli les rites jusqu’aux oblations de Vyâhriti, ils sacrifient douze oblations avec les versets : « Que Dhâtri nous donne la richesse » (III, 3, II, 2-5) ; selon certains (enseignants), ils en font treize. [ p. 215 ]
10. « Ceci, ô Varuria » (&c. ; voir I, chap. 27, Sûtra 2, jusqu’à) : « Salut ! Bonne chance ! » Puis qu’il donne à l’enfant un nom de deux syllabes ou de quatre syllabes, commençant par une sonante, avec une semi-voyelle dedans, avec une voyelle longue (ou) le Visarga à sa fin, ou un nom qui contient la particule su, car un tel nom a une base solide ; c’est ainsi qu’il est compris.
11. [10] Que le père et la mère prononcent (ce nom) en premier. Car il est entendu : « Mon nom en premier, ô Gâtavedas. »
12. Il devrait lui donner deux noms. Car il est entendu (Taitt. Samh. VI, 3, I, 3) : « Par conséquent, un Brâhma qui a deux noms aura du succès. »
13. [11] Le deuxième nom doit être un nom Nakshatra.
14. L’un des noms doit être secret ; l’autre doit être utilisé pour l’appeler.
15. Il devrait lui donner le nom de Somayâgin (c’est-à-dire celui qui accomplit les sacrifices de Soma) comme troisième nom ; c’est ainsi que cela est compris.
16. Lorsqu’il revient d’un voyage, ou lorsque son fils revient, il le touche avec (la formule) : « Avec l’éclat de Soma je te touche, avec la splendeur d’Agni, avec la gloire du soleil. »
17. [12] Avec (la formule), « Avec le humkâra (la syllabe mystique hum) du bétail, je t’embrasse, NN ! Pour la longue vie et la gloire ! Hu_m_ ! » il [ p. 216 ] embrasse sa tête. Puis il saisit de sa main droite (celle de son fils) avec le pouce, avec les cinq sections, « Agni a une longue vie. »
18. [13] « Qu’Agni t’accorde une longue vie partout » (Taitt. Samh. I, 3, 14, 4) — ce (verset) il le murmure à l’oreille droite (de son fils) comme ci-dessus.
1. Puis (suit) au sixième mois l’Annaprâsana (c’est-à-dire la première tétée avec de la nourriture solide).
2. Dans la quinzaine de la lune croissante, sous une constellation propice, il met du bois sur le feu, accomplit les rites jusqu’aux oblations de Vyâhriti et sacrifie (avec les Mantras), « Ceci, ô Varuria » (&c. ; voir I, chap. 27, Sûtra 2, jusqu’à) : « Salut ! Bonne chance ! » Puis il donne (à l’enfant) une triple nourriture à manger, du lait caillé, du miel et du ghee, avec (la formule), « Bhûh je m’étends sur toi ! Bhuvah je m’étends sur toi ! Suvah je m’étends sur toi ! »
3. Puis il lui donne (d’autres) aliments à manger avec (la formule) : « Je te donne à manger l’essence de l’eau et des plantes. Que l’eau et les plantes soient bienveillantes envers toi. Que l’eau et les plantes ne te fassent aucun mal. »
1. La troisième année (il effectue) le _Kûd_âkarman (c’est-à-dire la tonsure de la tête de l’enfant).
2. Dans la quinzaine (&c., comme dans la section précédente, Sûtra 2, jusqu’à) : « Salut ! Bonne chance ! » Le garçon s’assoit à l’ouest du feu, face à l’est ; [ p. 217 ]
3. [14] Au nord (du feu) sa mère ou un étudiant (brahmakârin) tient un morceau de crottin de taureau ;
4. Avec cela, il (ou elle) reçoit les cheveux (coupés).
5. Il verse ensuite de l’eau froide et de l’eau chaude ensemble.
6. [15] Après avoir versé de l’eau chaude dans de l’eau froide, il humidifie les cheveux près de l’oreille droite avec (la formule) : « Que les eaux t’humidifient pour la vie » (Taitt. Samh. I, 2, I, 1).
7. [16] Avec (la formule), ‘Herbe, protège-le !’ (Taitt. Samh., loc. cit.) il met une herbe, la pointe vers le haut, dans (les cheveux).
8. Avec (la formule), « Hache, ne lui fais pas de mal ! » (Taitt. Samh., loc. cit.) il touche (cette herbe) avec le rasoir.
9. Avec (les mots), « Entendu par les dieux, je rase ces (cheveux) » (Taitt. Samh., loc. cit.) il le rase.
10. De la même manière (il humidifie, etc.) les autres (côtés de sa tête) de gauche à droite.
11. Derrière (le Mantra), « Le rasoir avec lequel Savitri_, le connaisseur, a rasé (la barbe) du roi Soma et de Varuna, avec cela, vous Brâhmanas, rasez-lui (la tête) ; faites qu’il soit uni à la vigueur, à la richesse, à la gloire. »
Sur le côté gauche avec (le Mantra), ‘(Le rasoir) avec lequel Pûshan a rasé (la barbe) de Brihaspati, d’Agni, d’Indra, pour le bien de la longue vie, avec celui-ci je te rase (la tête), NN!’
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Avant avec (le Mantra), « Qu’il puisse vivre longtemps dans la joie et puisse voir longtemps le soleil. »
12. Après avoir rasé les cheveux, ils arrangent les mèches (qui restent), selon la coutume ou selon la famille à laquelle il appartient.
13. [17] Une personne bien disposée envers lui, ramasse les cheveux (coupés) et les enterre dans une étable, ou près d’un arbre Udumbara, ou dans une touffe d’herbe Darbha, avec (le Mantra) : « Là où Pûshan, Birihaspati, Savitri, Soma, Agni (habitent), ils ont cherché de plusieurs manières où ils devraient les déposer, entre le ciel et la terre, les eaux et le ciel. »
14. [18] Il fait un don à un Brâhmane selon sa libéralité.
15. Au barbier (il donne) du riz bouilli avec du beurre.
16. De la même manière, le Godânakarman (ou la cérémonie du rasage de la barbe) est exécuté la seizième année.
17. Il l’a rasé, y compris la mèche supérieure.
18. Certains déclarent qu’il laisse là le top-lock.
19. [19] Ou il accomplit le Godâna sacré à Agni.
20. Il donne une vache à son gourou.
Fin du Premier Patala.
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208:3 1, 3. Le mot corrompu vivrittariakrâ(h) semble contenir un vocatif féminin se référant à Gaṅge — avivrittariakra ? L’Âpastambîya Mantrapâria se lit ainsi : vivrittariakra âsînâs tîreria yamune tava. Comp. Ârivalâyana I, 14, 7 ; Pâraskara I, 15, 8. ↩︎
209:2 2, 2. Comp. la note sur Âsvalâyana I, 13, 2. ↩︎
209:6 La traduction de ce Sûtra doit être considérée comme une simple ébauche. Certains mots du texte sont incertains, et les remarques de Mâtridatta sont très incorrectement données dans les manuscrits. ↩︎
210:8 Comp. Âpastamba-Grihya VI, 14, 14; Ârivalâyana II, 8, 14; IV, 4, 8. ↩︎
211:7 3, 7. Selon Pâraskara (I, 16, 23) cela se fait quotidiennement le matin et le soir, jusqu’à ce que la mère se lève du lit d’enfantement. — Comp. les noms des démons, Pâraskara I, 16, 23. — Pour vikhuram (Mantra i) l’Âpastambîya Mantrapâtha a vidhuram (« détresse » ou « une personne en détresse »). ↩︎
212:8 Paraskara I, 6, 17. ↩︎
213:10 Comp. Atharva-veda II, 10; Taitt. Brahms. II, 5, 6. ↩︎
214:2 4, 2. Je ne suis pas certain de la traduction de dhenur atisârithî. L’Âpastambîya Mantrapâtha a atyâthârithî. Atisârin signifie « souffrant de diarrhée » ; peut-être devrions-nous lire abhisârithî. ↩︎
214:8 Comp. chap. 3, Sûtra 4. ↩︎
215:11 Le verset commençant par « Mon nom », etc., contient les mots « que mon père et ma mère m’ont donné au commencement » (pitâ mâtâ ka dadhatur yad agre). ↩︎
215:13 Comp. Deuxième article du professeur Weber, « Les nouvelles védiques des Naxatra » (illus. de l’Académie de Berlin), pp. 316 seq. ↩︎
215:17 Comp. ci-dessus, I, 2, 5, 14. ↩︎
216 : 18 18. 1, 2, 5, 15 ; 2, 6, 1. ↩︎
217:3 6, 3, 4. Certains considèrent, selon Mâtridatta, ces deux Sûtras comme un seul. Il dit (p. 149 de l’édition du Dr Kirste), uttarata ity etadâdi pratigrihriâtîty etadanta_mrim_, dhârayaris tenâsya keriân pratipariitavyam (lire, pratigrihriâtîti pariitavyam). ↩︎
217:6 Quant à dakshinam godânam unatti, comp. la note sur Pâraskara II, 1, 9. Comp. également ci-dessus, I, 3, 9, 12. ↩︎
217:7 7 seq. Voir ci-dessus, I, 3, 9, 13 seq. ↩︎
218:13 Comp. I, 3, 9, 18. ↩︎
218:14 Littéralement, selon sa foi (yathâsraddham). ↩︎
218:19 Le dieu du feu et le kumāro bhavati upasamādhānādi punyāhavākānātam agnikāryam iva vā bhavatīty artha_h_. Matkdatta. Comp., cependant, la note sur Âpastamba-Gkhya VI, 16, 13. ↩︎