[ p. 389 ]
1. [^1003]. Parmi les sacrifices de la nouvelle et de la pleine lune, celui de la pleine lune doit être accompli en premier.
2. Si (le terme pour le sacrifice) de la nouvelle lune vient en premier, il doit d’abord célébrer le sacrifice de la pleine lune et ensuite l’exécuter.
3. Certains disent qu’il ne devrait pas l’accomplir et attendre le jour de la pleine lune.
4. [1]. L’après-midi, le mari et la femme, après s’être baignés, devraient manger un repas de jeûne.
5. [2]. Mânadantavya a dit : « Celui qui mange de la nourriture de jeûne obtient une descendance meilleure que la sienne ; il gagne la faveur ; la faim ne l’atteindra pas. »
6. C’est pourquoi chacun devrait manger (les aliments de jeûne) qu’il aime.
7. Il ne doit rien faire d’impur (comme cohabiter avec sa femme).
8. Après avoir sacrifié l’oblation du matin,
9. [3]. Il doit verser la nourriture sacrificielle avec (la formule) : « Agréable à telle ou telle (divinité), je te la verse » (cette formule) se référant à
II, 1, 1. paurnamâsopakramau darsapaurnamâsau. 2. dharsam et punyam upapadyeta paurnamâseneshtvâtha tat kuryâd. 3. akurvan paurnamâsîm âkâṅkshed ity eke. 4. ऽparâhne snâtvaupavasathikam dampatî bhuñgîyâtâm. 5. Mânadantavya uvâka : le prêtre sauve le corps de l’ascète qui l’a élevé au-dessus de lui. 6. Il est temps de se débarrasser de la maladie. 7. nāvratyam âkaret. 8. prâtarâhutim hutvâ 9. havir nirvaped amushmai tvâ gusham nirvapâmîti devatâsrayam sakrid yaur vm.
[ p. 390 ] divinité, ou un Yanus, (est répété) une fois ; deux fois (c’est fait) silencieusement.
10. Il doit laver (la nourriture) trois fois, (si elle est destinée) aux dieux ;
11. Deux fois, si c’est pour les hommes ;
12. Une fois, si pour les Pères.
13. En remuant avec la louche de gauche à droite, il devrait le cuire.
14. Quand il l’aura cuit, il l’aspergera (Âgya), le retirera du feu vers le nord, et l’aspergera de nouveau (Âgya).
15. Ainsi toutes sortes de Havis (sont préparés).
16. Ayant placé (les Havis) sur l’herbe sacrificielle,
17. [4]. Il doit sacrifier les deux portions d’Âriya (de la manière suivante) : Après avoir pris quatre portions d’Âriya — cinq portions sont prises par les Bhrigus (ou au moins ?) par les Gâmadagnyas [voir Indische Studien, 10, 95] — (il doit faire deux oblations), au nord avec (la formule), ‘À Agni Svâhâ !’ au sud avec (la formule), ‘À Soma Svâhâ !’
18. D’autres (le font) à l’inverse.
19. Après avoir « étalé sous » Âgya, il doit couper avec la louche (des portions) du Havis du milieu et du côté est ;
[ p. 391 ]
20. Celui qui prend cinq portions coupées (voir Sûtra 17), également du côté ouest.
21. Après avoir aspergé (Âgya) sur (les portions coupées), il oint les endroits d’où il les a coupées, (avec Âgya).
22. (Cette onction) est omise lors de l’oblation Svishtaktt.
23. Il doit sacrifier avec (la formule) « À NN Svâhâ ! » — selon le dieu à qui appartient l’oblation.
24. Lors de l’oblation Svishtaktt, il « étend sous » une fois — deux fois s’il est un Bhtgu — (coupe) une fois (une portion) du Havis, l’asperge (Âtya) deux fois et le sacrifie en direction du nord-est avec (la formule) : « À Agni Svishtaktt Svâhâ !
25. Après avoir mis un morceau de bois (sur le feu),
26. Il doit tremper les brins de Darbha (de l’herbe sacrificielle répandue autour du feu) trois fois, les pointes, le milieu et les racines, dans l’Âgya ou dans le Havis en disant : « Que les oiseaux viennent lécher ce qui a été oint. » Puis, après avoir aspergé (ces brins de Darbha d’eau), il doit les jeter dans le feu en disant : « Toi qui es le seigneur du bétail, Rudra, qui marches avec les rangs (du bétail), le viril : ne fais pas de mal à notre bétail ; que ceci te soit offert. Svâhâ ! »
20. paskaka pañkâvatty. 21. abhighârya pratyanakty avadânasthânâni. 22. na svishtakrito. 23. ऽmushmai svâheti guhuyâd yaddevatyam syât. 24. svishtakritah sakrid upastîrya dvir Bhrigûnâm sakrid dhavisho [sic] dvir abhighâryâgnaye svishtakrite svâheti prâgudîkyâm guhuyât. 25. samidham âdhâya. 26. darbhân âgye havishi vi trir avadhâyâgramadhyamûlâny aktam rihânâ viyantu vaya ity abhyukshyâgnâv anuprahared yah pasûnâm adhipatî Rudras tantikaro vrishâ pasûn asmâkam mâ himsîr etad astu hutan tava svâheti.
[ p. 392 ]
27. Cette (cérémonie est appelée) Yassavâstu.
28. [5]. Il doit l’accomplir à tous (sacrifices).
29. [6]. Il devrait emporter les restes des Havis vers le nord et les donner au Brahman.
30. Un vase plein constitue le prix du sacrifice ;
31. Ou autant qu’il peut se le permettre.
27. tad yagñavâstu. 28. sarvatra kuryâd. 29. dhavir ukkhishtam udag udvâsya brahmanne dadyât. 30. pûrnapâtram dakshinâ. 31. yathotsâham vâ.
1. [7]. Celui qui n’a pas allumé les feux sacrés offre un plat de nourriture cuite, consacré à Agni, lors des fêtes de la pleine et de la nouvelle lune ;
2. Par celui qui les a érigés, un lieu consacré à Agni et Soma à la pleine lune ;
3. Un sacré pour Indra, ou pour Mahendra, ou pour Indra et Agni, à la nouvelle lune ;
4. Ou comme (le sacrifice est accompli) par quelqu’un qui n’a pas allumé les feux sacrés.
5. [8]. Le moment où l’oblation du matin peut être offerte est toute la journée ;
6. Pour l’oblation du soir, la nuit ;
7. Pour le sacrifice de la pleine lune toute la deuxième quinzaine (du mois) ;
2, 1. Âgneya sthâlîpâkonâhitâgner darsapûrnamâsayor. 2. agnîshomîyah paurnamâsyam âhitâgner. 3. aindro mâhendro vaindrâgno vâmâvâsyâyâm. 4. yathâ vânâhitâgnes. 5. sarvam ahah prâtarâhute sthânam. 6.ratris sâyamahutes. 7. tous les parapakshah paurnamâsasya.
[ p. 393 ]
8. Pour le sacrifice de la nouvelle lune la première quinzaine.
9. Certains disent qu’il devrait tenir son vœu (jusqu’à ce que le sacrifice soit accompli) en s’abstenant de nourriture.
10. Si la nourriture sacrificielle (appropriée) fait défaut, qu’il offre des fruits de plantes ou d’arbres sacrificiellement purs ;
11. Ou des feuilles (de telles plantes ou arbres) ;
12. Ou de l’eau.
13. Car (même s’il offre de l’eau) le sacrifice a été accompli.
14. Une pénitence (est prescrite) pour celui qui n’accomplit pas le sacrifice.
15. [9]. Si aucun Havis n’est indiqué, il faut proposer Âgya.
16. La divinité (seule doit être nommée), si aucun mantra n’est indiqué.
17. [10]. Au troisième mois de la première grossesse (de la femme du sacrificateur), il doit accomplir le Pumsavana (c’est-à-dire la cérémonie pour assurer la naissance d’un fils).
18. Après qu’elle se soit baignée, son mari lui mettra un vêtement (neuf) qui n’a pas encore été lavé, et après avoir sacrifié, il se tiendra derrière elle.
19. Saisissant par-dessus son épaule droite, il [ p. 394 ] devrait toucher la partie découverte de son nombril avec (le vers), « Les deux hommes » (MB. I, 4, 8).
20. Puis une autre (cérémonie). Ayant acheté pour trois fois sept grains d’orge ou de fèves, une pousse de Nyagrodha portant des fruits des deux côtés, qui n’est ni sèche ni touchée par les vers, il doit la planter avec (la formule) : « Vous, herbes de partout, étant bien intentionnés, accordez de la force à cette (pousse) ; car elle fera son œuvre. »
21. Il doit ensuite le prendre et le placer à l’air libre.
22. Une fille, ou une (épouse) dépendante (de son mari), ou un étudiant, ou un Brâhmane devrait piler (cette pousse de Nyagrodha) sans déplacer en arrière (la pierre avec laquelle elle la pile).
23. (Le mari) doit faire s’allonger (la femme) qui s’est baignée, et doit insérer (cette substance pilée) dans sa narine droite avec (le verset) : « Un homme est Agni » (MB. I, 4, 9).
24. [11]. Puis, au quatrième ou sixième mois (de sa grossesse), le Sîmantonnayana (ou la séparation des cheveux) est effectué pour elle.
25. Après qu’elle se sera baignée, son mari lui mettra un vêtement qui n’a pas encore été lavé,
20. athâparam nyagrodhasuṅgâm ubhayatahphalâm asrâmâm akrimiparisriptâm trissaptair yavaih parikrîyotthâpayen mâshair vâ sarvatraushadhayas sumanaso bhûtvâ (hutvâ, hutvâm le MSS.) ऽsyâm vîryam samâdhatteyam karma karishyatîty. 21. âhritya vaihâyasîm kuryât. 22. kumârî vratavatî brahmakârî brahmanî vâ peshayed apratyâharantî. 23. snâtâm samvesya dakshine nâsikâsrotasy âsiñket pumân Agnir ity. 24. athâsyâs katurthe mâsi shashthe vâ sîmantonnayanam. 25. snâtâm ahatenâkhâdya hutvâ patih prishthatas tishthann anupûrvayâ phalavrikshasâkhayâ sakrit sîmantam unnayet trisvetayâ salalyâyam ûrgâvato vriksha iti.
26. Tandis qu’elle regarde un plat de riz bouilli avec des graines de sésame, recouvert de ghee, il devrait lui demander : « Que vois-tu ? »
27. Il devrait lui faire répondre : « Des rejetons ! »
28. [12]. Lorsque l’enfant apparaît, le sacrifice pour la femme en travail (doit être accompli) —
29. Avec les deux versets, « Celle qui traverse » (MB. I, 5, 6 seq.).
30. Il devrait donner un nom à l’enfant, « NN ! »
31. C’est son nom secret.
32. Avant que le cordon ombilical ne soit coupé et que le sein ne soit donné (à l’enfant, le père) doit avoir des grains de riz et d’orge pilés de la manière prescrite pour la pousse de Nyagrodha (voir Sûtra 22).
33. Il doit en prendre avec son pouce (droit) et son quatrième doigt et le donner à manger à l’enfant, avec (la formule), « Cet ordre » (MB. I, 5, 8).
34. Et du beurre avec (le verset), « Que l’intelligence te soit » (MB. I, 5, 9).
[ p. 396 ]
1. [13]. Le troisième jour (Tithi) de la troisième quinzaine lumineuse après sa naissance, le père doit faire baigner l’enfant le matin, et après le coucher du soleil, il doit, levant les mains jointes vers les directions propices (de l’horizon), adorer la lune.
2. La mère, après avoir habillé (le fils) d’un vêtement propre, doit le remettre, le visage tourné vers le nord, au père.
3. Elle doit ensuite passer derrière le dos (de son mari) et se placer vers le nord.
4. Après avoir rendu un culte (à la lune) avec les trois (verset) « Ton cœur, ô toi aux cheveux bien séparés » (MB. I, 5, 10 seqq.), et avoir remis le fils, en le tournant vers le nord, à sa mère, il doit verser de l’eau de ses mains jointes avec (le verset) « Qu’est-ce qui se passe dans la lune » (ll 13).
5. (Il devrait faire la même chose) deux fois en silence.
6. [14]. Après une période de dix nuits, ou de cent nuits, ou d’un an après (la naissance de l’enfant), il devrait lui donner un nom.
7. Celui qui va accomplir (cette cérémonie - le père ou un représentant du père), après avoir baigné le garçon, doit s’asseoir, et la mère, l’ayant habillé d’un vêtement propre, doit le remettre, le visage tourné vers le nord, à l’exécutant (de la cérémonie).
3, 1. gananâgyautsne tritîye tritîyâyâm prâta snâpya kumâram astam ite sântâsu dikshu pitâ kandramasam upatishthet prâñgalih. 2. sukinâkhâdya mâtâ prayakhed udaksirasam. 3. anuprishtham gatvottaratas tishthed. 4. yat te susîma iti tisribhir upasthâyodañkam mâtre pradâya yad ada ity apâm añgalim avasiñked. 5. dvis tûshnîm. 6. gananâd ûrdhvam dasarâtrâk khatarâtrât samvatsarâd vâ nâma kuryât. 7. snâpya kumâram karishyata upavishtasya sukinâkhâdya mâtâ priakhed udaksirasam.
8. Elle doit ensuite marcher derrière son dos et s’asseoir vers le nord.
9. Il devrait sacrifier et toucher les organes sensoriels de la tête (du garçon) avec le (Mantra) : « Qui es-tu ? » (MB. I, 5, 14, 15.)
10. ‘NN!’—(à l’endroit ainsi indiqué dans le Mantra) il devrait lui donner un nom.
11. Le même (il devrait prononcer) à la fin du Mantra.
12. Il devrait d’abord le dire à la mère.
13. [15]. (Le père) au retour d’un voyage, doit saisir (avec ses deux mains) son fils par la tête, avec (les versets) : « De membre en membre » (MB. I, 5, 16-18).
14. Avec (la formule), ‘Avec le bétail’ (ll 19), il devrait l’embrasser.
15. En silence (il devrait faire la même chose) avec une fille.
16. [16]. La tonsure (de la tête de l’enfant) est pratiquée au cours de la troisième année.
17. Là, le barbier, de l’eau chaude, un miroir ou un rasoir en bois d’Udumbara et des lames de Darbha placées vers le sud.
18. Une crotte de taureau et un plat de riz bouilli avec des graines de sésame qui peuvent être plus ou moins cuites, au nord ;
19. Et la mère avec le fils sur ses genoux.
20. (L’exécutant de la cérémonie), après avoir sacrifié, devrait regarder, avec (le Mantra), « Voici venu » (MB. I, 6, 1), le barbier, fixant ses pensées sur (le dieu) Savit_ri_.
21. Avec (le Mantra), « Avec de l’eau chaude » (ll 2), il devrait regarder l’eau chaude, fixant ses pensées sur Vâyu.
22. Avec (le Mantra), « Que les eaux » (ll 3), il humidifie (les cheveux du garçon).
23. Avec (le Mantra), 'Vishnu’s (ll 4), il devrait regarder le miroir ou le rasoir en bois d’Udumbara.
24. Avec (le Mantra), ‘Herbe !’ (ll 5) il met sept lames de Darbha, avec leurs pointes vers le haut (c’est-à-dire vers la tête du garçon ?), dans (ses cheveux).
25. Avec (la formule), ‘Hache !’ (ll 6) (il les appuie) avec le miroir ou avec le rasoir en bois d’Udumbara.
26. Avec (le Mantra), ‘Avec lequel Pûshan’ (ll 7), il doit avancer (le rasoir) trois [ p. 399 ] fois vers l’est sur le côté droit (des cheveux du garçon).
27. Après avoir coupé (les cheveux) une fois avec un rasoir en métal, il devrait jeter les cheveux sur la bouse du taureau.
28. Les mêmes rites, commençant par l’humidification (des cheveux, sont répétés) sur le côté gauche et sur le côté arrière (de la tête de l’enfant).
29. Saisissant (avec ses deux mains) le garçon par la tête, il devrait murmurer (le verset) : « Le triple âge » (ll 8).
30. S’éloignant (du feu) en direction du nord, il devrait faire arranger les cheveux (du garçon) selon la coutume de son Gotra et de sa famille.
31. Qu’ils enterrent les cheveux dans la forêt.
32. Certains les jettent sur un tas (d’herbe ou autre).
33. Une vache constitue le prix du sacrifice.
1. [17]. Qu’il initie un Brâhmane dans sa huitième année.
2. Pour lui, le temps (d’être initié) n’est pas passé avant sa seizième (année).
3. Dans le onzième un Kshatriya.
4, 1. ashtame varshe brâhmanam upanayet. 2. tasyâ shodasâd anatîtah kâla. 3. ekâdase kshatriyam.
[ p. 400 ]
4. Pour lui (le temps n’est pas passé) jusqu’au vingt-deuxième.
5. Dans le douzième un Vaisya.
6. Pour lui (le temps n’est pas passé) jusqu’au vingt-quatrième.
7. Après que l’élève a été coiffé, paré et vêtu d’un vêtement non encore lavé, l’enseignant doit sacrifier avec les mantras récités par l’élève : « Agni ! Seigneur du vœu ! » (MB. I, 6, 9-13.)
8. Il doit demander à l’étudiant de se tenir au nord du feu, face à l’ouest, et de joindre ses mains.
9. Et il devrait lui-même joindre ses mains au-dessus (les mains de l’étudiant).
10. Un Brâhmane versé dans les Mantras qui se tient vers le sud, devrait remplir d’eau les mains jointes du maître.
11. Pendant que (l’étudiant ?) le regarde, (le professeur) devrait murmurer (le Mantra) : « Avec celui qui vient à nous » (MB. I, 6, 14).
12. (L’étudiant) à qui (le professeur) a dit : « Quel est ton nom ? » doit prononcer un nom qu’il doit utiliser lors de salutations respectueuses, dérivé (du nom d’) une divinité ou d’un Nakshatra, « Je suis NN ! » (ll 17.)
4. tasyâ dvâvimsâd. 5. dvâdase vaisyam. 6. tasyâ katurvimsât. 7. kusalîkritam alamkritam ahatenâkhâdya hutvâgne vratapata ity. 8. uttaratoऽgneh pratyaṅmukham avasthâpyâñgalim kârayet. 9. svayam kopari kuryâd. 10. dakshinatas tishthun mantravân brahmana âkâryâyodakâñgalim pûrayé. 11. âgantreti gapet prekshamâne [sic]. 12. ko nâmâsîty ukto devatâsrayam nakshatrâsrayam vâbhivâdanîyam nâma brûyâd asâv asmîty.
[ p. 401 ]
13. Après avoir laissé couler l’eau (de ses mains jointes sur les mains de l’élève), le maître doit saisir avec ses deux mains, en tenant la droite en haut, les mains jointes (de l’élève), avec (la formule), Par l’impulsion du dieu Sâvitrî’ (ll 18).
14. Avec (la formule), ‘Se déplacer dans la course du soleil’ (ll 19) il devrait le faire tourner de gauche à droite.
15. En saisissant son épaule droite, il doit toucher son nombril découvert avec (la formule) « (Tu es le nœud) de tout souffle » (ll 20).
16. Il devrait alors le remettre en charge (aux dieux) avec l’Antaka et les autres formules (ll 20 seqq.).
17. (Il touche) son épaule droite avec (la formule), ‘À Pragâpati (je te) donne (la charge)’ (ll 23),
18. Son épaule gauche avec sa main gauche avec (la formule), ‘Au dieu Saviri (je te donne) (la charge)’ (ll 24).
19. Après lui avoir ordonné (d’observer les devoirs du Brahmakarya, par la formule), « Tu es un étudiant » (ll 25, 26), (le professeur) assis doit, de gauche à droite, attacher autour de l’étudiant, qui plie son genou droit et joint ses mains, la ceinture faite d’herbe Mukka, et doit lui faire répéter (le verset), « Nous protégeant des mauvaises paroles » (ll 27).
13. utsrigyâpo devasya ta iti dakshinottarâbhyâm hastâbhyâm añgalim grihnîyâd âkâryas. 14. Sûryasyeti pradakshinam âvartayed. 15. dakshinam amsam anvavamrisyânantarhitâm nâbhim âlabhet prânânâm ité. 16. athainam pariadyâd antakaprabhritibhir. 17. dakshinam amsam Pragâpataye tveti. 18. savyena savyam devâya tveti. 19. brahmakâry asîti sampreshyopavisya (samprekshy°, samprokshy° le MSS.) dakshninagânvaktam añgalîkritam pradakshinam muñgamekhalâm âbadhnan vakayed iyam duruktâd ity.
[ p. 402 ]
20. Avec (les mots), « Récitez, monsieur ! » (l’élève) doit s’asseoir respectueusement près (du professeur).
21. Il lui récite ensuite le Sâvitrî (ll 29), Pâda par Pâda, hémistiche par hémistiche, (et finalement) le tout - ainsi il devrait lui enseigner le Sâvitrî,
22. Et les Mahâvyâhritis, un par un,
23. Et le mot Om.
24. Il lui remet le bâton, qui doit être fait de bois d’arbre.
25. Avec (la formule que l’étudiant doit réciter), « Ô glorieux, rends-moi glorieux » (ll 34).
26. Qu’il mette un morceau de bois (sur le feu) avec (le verset) : « À Agni un morceau de bois » (ll 32).
27. Qu’il aille mendier de la nourriture ;
28. D’abord de sa mère,
29. Puis d’autres amies.
30. Il doit annoncer l’aumône (reçue) à son maître.
31. Il devrait rester silencieux jusqu’au coucher du soleil.
32. Pendant une période de trois nuits, il doit éviter de manger des aliments salés et de boire du lait.
1. [18]. Lors du Godâna (ou coupe de la barbe), le rite [ p. 403 ] est identique à celui du Kaula (coupe des cheveux ; voir ci-dessus, chap. 3, 16 seq.).
5, 1. gardien de but atha kaulavat kalpah.
2. Il doit avoir (sa barbe) et les cheveux de son corps rasés.
3. Le prix sacrificiel consiste en un bœuf et une vache, ou en une paire de chevaux, ou en un mouton, pour les (trois) castes respectivement,
4. Ou d’une vache pour toutes (castes).
5. Une chèvre (est donnée) à la personne qui attrape les cheveux.
6. L’initiation (liée au Godânakarman, etc.) a été déclarée.
7. (On ne doit) pas initier quelqu’un qui n’a pas l’intention de respecter son vœu pendant un an.
8. (L’usage d’) un vêtement, cependant, qui n’a pas encore été lavé (voir chap. 4, 7), n’est pas prescrit (ici),
9. Ni l’ornement (chap. 4, 7).
10. (Les observances prescrites pour le Godânavrata sont les suivantes
Il devrait dormir par terre.
11. Il devrait éviter de manger du miel et de la viande.
12. Il doit éviter les rapports sexuels, le rasage, les bains (luxueux), le peignage de la tête et le nettoyage de ses dents et de ses pieds (de manière luxueuse).
13. Le poème est un peu un argot.
14. Qu’il ne monte pas sur un char attelé de vaches,
[ p. 404 ]
15. Ne portez pas de chaussures au village.
16. Porter la ceinture, faire la tournée des aumônes, porter un bâton, mettre du combustible sur le feu, toucher de l’eau, saluer respectueusement le maître le matin : tels sont les devoirs permanents.
17. Le Godâna-vrata, le Vrâtika-vrata, l’Âditya-vrata, l’Upanishad-vrata et le _Gyeshth_asâma-vrata (durent) un an (chacun).
18. Certains ne subissent pas l’Âditya-vrata.
19. Ceux qui le subissent portent un seul vêtement.
20. Ils ne laissent rien s’interposer entre eux et le soleil.
21. Et ils ne descendent pas dans l’eau.
22. [19]. Pour les versets Sakvarî, douze, neuf, six ou trois (années pendant lesquelles le Vrata doit être gardé) constituent les différentes possibilités.
23. Celui (qui garde le Sâkvara-vrata) porte des vêtements sombres.
24. Il mange des aliments foncés.
25. Il est complètement accro à son professeur.
26. Il devrait se tenir debout pendant la journée.
27. Il devrait s’asseoir la nuit.
28. Selon certains (enseignants, le Vrata peut ne durer qu’un an, si les ancêtres (de l’étudiant) ont appris (les versets Sakvarî).
[ p. 405 ]
29. (Le professeur) devrait chanter (ces versets) à (l’élève) qui a jeûné et voilé ses yeux (en pensant) : « Que (le professeur) ne me brûle pas (avec les versets Sakvarî). »
30. Le matin, ils font regarder à l’étudiant des choses qui, selon eux, ne le brûleront pas, à savoir l’eau, le feu, un veau, le soleil.
31. Il doit regarder l’eau en disant : « J’ai vu de l’eau ! » Au feu en disant : « J’ai vu de la lumière ! » Au veau en disant : « J’ai vu du bétail ! » Au soleil en disant : « J’ai vu le ciel ! » — ainsi il doit rompre son silence.
32. Une vache est le prix (pour le professeur),
33. Un vase d’airain, un vêtement et un ornement d’or.
34. Lors des cérémonies d’Anupravakanîya (voir Âkvalâyana-Gkhya I, 22, 12), il doit sacrifier Âkya avec (les deux versets) : « Au Ri__k, au Sâman nous sacrifions » (Sâma-veda I, 369) et « Le seigneur du siège » (Sv. I, 171).
35. [20]. S’il a touché un autel du feu ou un poteau sacrificiel, s’il a des bourdonnements dans les oreilles, ou si son œil [ p. 406 ] palpite, ou si le soleil se lève ou se couche pendant son sommeil, ou si ses organes des sens ont été souillés par quelque chose de mauvais, il doit sacrifier deux oblations d’Ânya avec les deux (verset) : « Que (ma force) me revienne ;
36. Ou deux morceaux de bois oints avec Âgya.
37. Ou il peut murmurer (ces versets) à la lumière (des offenses). Ou il peut murmurer (ces versets) à la lumière (des offenses).
Fin du deuxième Patala.
389:1-3 II, 1,1-3 sont manquants. ↩︎
389:4 4 = Gobhila I, 5, 26. ↩︎
389:5-8 5-8 = 1, 6, 1-13. ↩︎
389:9-16 9-16 (15 déest) = I, 7, 2-19. ↩︎
390:17-27 17-27 (18, 23 manquent) = I, 8, 3-29. ↩︎
392:28 28 manquants. ↩︎
392:29-31 29-31 = I, 9, 1. 6. 11. ↩︎
392:1-4 2, 1-4 = Gobhila I, 8, 22-25. ↩︎
392:5-14 5-14 = I, 9, 14 et suiv. ↩︎
393:15-16 15, 16 sont manquants. ↩︎
393:17-23 17-23 = II, 6. ↩︎
394:24-27 24-27 = II, 7, 1 et suiv. ↩︎
395:28-34 28-34 = II, 7, 13 et suiv. ↩︎
396:1-5 3, 1-5 = Gobhila II, 8, 1-7. ↩︎
396:6-12 6-12 = II, 8, 8-17. ↩︎
397:13-15 13-15 = II, 8, 21-25. ↩︎
397:16-33 16-33 = II, 9. ↩︎
399:1 4, 1 = Gobhila II, 10. ↩︎
402:1-21 5, 1-21 = Gobhila III, 1. ↩︎
404:22-34 22-34 = III, 2. ↩︎