[ p. 337 ]
1. [^865]. (Maintenant sera expliqué) la participation aux prémices (de la récolte), d’une personne qui n’a pas allumé les feux (sacrés Srauta).
2. [1]. Il prépare un plat de nourriture sacrificielle fraîche, sacrifie les deux portions d’Âgya et les deux oblations d’Âgya (avec les formules),
« À celui qui est cent fois armé, cent fois vaillant, cent fois bienheureux, le vainqueur des ennemis, celui qui peut créer cent automnes pour nous, Indra, puisse-t-il nous conduire à travers (le gouffre du) malheur. Svâhâ !
« Les quatre chemins qui relient le ciel à la terre, parcourus par les dieux, de ceux-ci (chemins) nous conduisent à ce qui peut nous libérer de la décadence et du déclin, ô vous tous les dieux. Svâhâ ! »
3. [2]. Après avoir fait des offrandes du plat de nourriture cuite aux divinités Âgrayana, il fait une autre oblation à (Agni) Svishnaknt avec (le verset) : « Agni, rends ce (sacrifice) complet, afin qu’il soit bien offert. Et puisse le dieu détruire toutes les puissances hostiles. Viens ici, montre-nous un bon chemin. Accorde-nous une longue vie, pleine de splendeur et exempte de pourriture. Svâhâ ! »
4. Il mange ensuite (des fruits frais avec les versets [ p. 338 ]), « Puisse Agni manger en premier, car il sait comment le Havis (est apte au sacrifice) ; puisse-t-il, l’ami de toutes les tribus humaines, faire que les herbes nous soient bénies.
Du bien, vous nous avez conduits au meilleur, ô dieux ! Par vous, la nourriture, puissions-nous vous obtenir. Ainsi entre en nous, ô potion, qui apporte le rafraîchissement, pour le bien de nos enfants et de nous-mêmes, et agréable.
5. [3]. Ou avec le (verset) consacré à Annapati (le Seigneur de la nourriture).
6. [4]. Pour l’orge, cependant, (il utilise le Mantra) : « Cette orge, mêlée de miel, ils l’ont labourée à travers Sarasvatî sous Manu. Indra était le maître de la charrue, le centuple sage ; les laboureurs étaient les Maruts, les généreux donateurs. »
7. Puis (suit) l’alimentation des Brâhmanas.
1. Le jour de la pleine lune de Mârgaîrsha, la cérémonie de l’Âgrahâyaîrshaîrshaî est célébrée.
2. [5]. Il prépare un plat de nourriture sacrificielle, sacrifie deux oblations Âya comme lors du sacrifice ya, comme lors du sacrifice _Sya comme lors du sacrifice n_â, et d’autres oblations avec (les versets suivants) :
« La nuit que les hommes accueillent comme une vache qui vient à eux, (la nuit) qui est la compagne de l’année, puisse-t-elle (la nuit) nous être propice. Svâhâ !
[ p. 339 ]
« La nuit qui est l’image de l’année, que nous adorons. Puissé-je atteindre la vieillesse, transmettant la force à ma progéniture. Svâhâ !
« Au Samvatsara, au Parivatsara, à l’Idâvatsara, à l’Idâvatsara, au Vatsara, apportez une grande adoration. Puissions-nous, incorruptibles, invaincus, jouir longtemps de la faveur de ces (années) qui sont dignes de sacrifices. Svâhâ !
« Que l’été, l’hiver et le printemps, les pluies nous soient favorables, et que l’automne soit sans danger pour nous. Que nous puissions vivre sous la protection de ces saisons, et qu’elles durent cent ans. Svâhâ ! »
3. Il fait des offrandes de nourriture cuite à Soma, à (la Nakshatra) Mrigariiras, à la pleine lune de Mârgariîrsha et à l’hiver.
4. [6]. Après avoir mangé (de la nourriture sacrificielle), il jette le reste de farine dans un panier (et suit ensuite les mêmes rites que ceux mentionnés ci-dessus) depuis sa sortie jusqu’à son nettoyage.
5. Après le nettoyage, il dit : « L’offrande de Bali est terminée. »
6. [7]. Après avoir étendu à l’ouest du feu une couche (de paille) et un vêtement qui n’a pas encore été lavé, ils redescendent, après s’être baignés, portant des vêtements qui n’ont pas encore été lavés : le maître (de la maison) au sud, sa femme au nord (de son mari, puis les autres personnes appartenant à la maison) de sorte que chaque plus jeune se trouve plus au nord.
7. Ayant fait asseoir le Brahmane vers le sud, et ayant placé au nord une cruche d’eau, une branche de Samî, une motte de terre prise dans un sillon et une pierre, il murmure en regardant le feu : « Cet Agni est très vaillant, il est très béni, le meilleur dispensateur de mille bienfaits, hautement puissant. Puisse-t-il nous établir tous deux à la plus haute place. »
8. À l’ouest du feu, il joint ses mains (et les tient) vers l’est.
9. Avec les trois (verset), ‘Le navire divin’ (Vâ_g_. Samh. XXI, 6-8) ils montent la couche (de paille).
10. [8]. Il s’adresse au Brahman : « Brahman, nous redescendrons. »
11. Le Brahman ayant donné sa permission, ils redescendent avec (les mots) : « Vie, renommée, gloire, force, plaisir de la nourriture, progéniture ! »
12. [9]. Ceux qui ont reçu l’initiation murmurent : « Qu’un bon hiver, un bon printemps, un bon été nous soient accordés. Que les pluies nous soient bénies ; que les automnes nous soient bénis. »
13. Avec (le verset) « Sois douce pour nous, ô terre » (Vâ_g_. Samh. XXXV, 21), ils se couchent sur le côté droit, la tête tournée vers l’est. [ p. 341 ]
14 14. Ils se lèvent avec (le verset) : « Debout ! avec la vie, avec la vie bénie. Debout ! avec l’œil de Parmanya, avec les sept espaces de la terre. »
15. Ceci (ils le répètent) deux autres fois, avec la permission du Brahman.
16. Laissez-les dormir sur le sol pendant quatre mois (après le Pratyavarohana), ou aussi longtemps qu’ils le souhaitent.
1. [10]. Après l’Âgrahâyatî (pleine lune) suivent les trois Ashtakâs.
2. [11]. (L’Ashtakâ est) sacré pour Indra, pour les devâs Vitves, pour Pratâpati et pour les Pères.
3. [12]. (Les oblations sont faites) avec des gâteaux, de la viande et des légumes, selon l’ordre (des trois Ashtakâs).
4. Le premier Ashtakâ (est célébré) le huitième jour de la quinzaine.
5. [13]. Après avoir préparé un plat de nourriture sacrificielle et avoir sacrifié les deux portions d’Âgya, il sacrifie des oblations d’Âgya avec (les textes) :
(a [14]) « Trente sœurs se rendent au lieu désigné, [ p. 342 ] revêtant le même insigne. Elles étalent les saisons, les sages connaisseuses ; ayant les mètres au milieu d’elles, elles se promènent, les brillantes. Svâhâ !
(b) « Celle qui brille se revêt de nuages, des voies du soleil, de la nuit divine : de multiples animaux qui naissent, regardent autour d’eux dans le giron de cette mère. Svâhâ !
© « L’Ekâshtakâ, se consacrant aux austérités, a donné naissance à un enfant, à la majesté d’Indra. Par lui, les dieux ont conquis les tribus hostiles ; il est devenu le tueur des Asuras par ses pouvoirs (divins). Svâhâ !
(d [15]) « Tu as fait de moi, qui ne suis pas la cadette (sœur), la cadette ; en vérité, je désire ceci : puis-je être dans sa faveur (c’est-à-dire celle du sacrificateur ?), comme tu l’es ; qu’aucune de vous ne supplante l’autre dans son travail.
(e) « En ma faveur résidait l’omniscient ; il a trouvé une assise solide, il a pris pied. Puissé-je être en sa faveur (celle du sacrificateur ?), comme vous l’êtes ; puisse aucun de vous supplanter l’autre dans son œuvre. »
(f [16]) « Aux cinq aubes suit la quintuple traite ; à la vache aux cinq noms, les cinq saisons. Les cinq régions (du ciel) sont établies [ p. 343 ] à travers le quinzième (Stoma) ; avec une face commune (elles regardent) le monde unique. Svâhâ !
(g) « Celle qui a brillé comme la première, est l’enfant de la vérité. L’une (d’entre elles) porte la majesté des eaux ; l’une erre dans les cours du soleil ; l’autre (dans ceux) de la chaleur ; Saviri gouvernera l’une. Svâhâ !
(h) « Celle qui a brillé comme la première est devenue une vache dans le royaume de Yama. Donne-nous du lait, toi qui es riche en lait, année après année. Svâhâ !
(i [17]) « Elle, la propriétaire des taureaux brillants, est venue à nous avec des nuages et de la lumière, elle qui a toutes les formes, la bigarrée, dont la bannière est le feu. Poursuivant l’œuvre commune, nous conduisant à la vieillesse, viens à nous, toi qui es exempt de la vieillesse, Ushas ! Svâhâ !
(k) « L’épouse des saisons, la première venue à nous, la maîtresse des jours, la productrice de la descendance. Étant un, tu brilles de mille feux, Ushas. Étant libéré de la vieillesse, tu conduis tout le reste à la vieillesse. Svâhâ ! »
6. [18]. Il fait des offrandes de nourriture cuite avec (les versets) :
« Que la terre soit paisible, l’air bienveillant pour nous ; [ p. 344 ] que les cieux nous donnent bonheur et sécurité. Que les points (de l’horizon), les points intermédiaires, les points supérieurs nous donnent bonheur, et que le jour et la nuit nous créent une longue vie. Svâhâ !
« Que les eaux, les rayons nous protègent de tous côtés ; que le créateur, que l’océan détourne le mal. Le présent et l’avenir, puissent tout être en sécurité pour moi. Protégé par Brahman, puissé-je être bien gardé. Svâhâ !
« Que tous les Âdityas et les divins Vasus, que les Rudras et les Maruts soient nos protecteurs. Que Pragâpati, le seigneur suprême, nous accorde vigueur, descendance, immortalité et longue vie. Svâhâ ! »
7. Et avec (la formule), ‘Aux Ashtakâ Svâhâ!’
8. L’Ashtakâ du milieu (est célébré) avec (le sacrifice d’) une vache.
9. Il sacrifie l’épiploon de cette (vache) avec (le verset) : « Porte l’épiploon, ô Gâtavedas, aux pères » (Vâg_. Samh. XXXV, 20).
10. Le lendemain de chaque (Ashtakâ), le jour d’Anvashtakâ, (il apporte un sacrifice) avec les côtes gauches et la cuisse gauche, dans une enceinte, selon (le rituel de) la Pittapittyatta.
11. Il fait également des offrandes de Pinda aux femmes (ancêtres) et verse (pour elles) des boissons fortes et des oblations d’eau dans des fosses, et (offre) des collyres, des baumes et des guirlandes.
12. (Il peut aussi faire des offrandes), s’il le souhaite, au maître et aux élèves qui n’ont pas d’enfants. [ p. 345 ]
13 [19]. Et au milieu de la saison des pluies (il y a) un quatrième Ashtakâ sur lequel des légumes sont offerts.
1. Maintenant la construction de la maison.
2. Qu’il fasse construire sa maison un jour propice.
3. [20]. Dans les fosses (où les poteaux seront érigés), il verse une oblation avec (les mots) : « À celui qui est stable, le démon de la terre, svâhâ ! »
4. [21]. Il érige le poteau.
« J’ai érigé ce nombril du monde, un fleuve de richesse, favorisant la richesse. Ici, j’érige une maison solide ; puisse-t-elle subsister en paix, déversant du ghee. »
« Riche en chevaux et en vaches, riche en délices, sois élevé, pour le plus grand bonheur. Vers toi peuvent crier le jeune veau, vers toi les vaches mugissantes, les vaches laitières. »
« Que le jeune enfant aille à toi, que le veau et ses compagnons aillent à toi, que la coupe de Parisrut aille à toi, que les pots de lait caillé aillent à toi.
[ p. 346 ]
« L’épouse de la Paix, la grande, magnifiquement vêtue, accorde-nous, ô bienheureuse, richesse et puissance virile, qui soient riches en chevaux et en vaches, et gorgés de sève comme une feuille d’arbre. Puisse notre richesse s’accroître ici, se parant de prospérité » — avec ces quatre mantras, il s’approche des quatre poteaux.
5. Après avoir allumé le feu à l’intérieur (de la maison), après avoir fait asseoir le Brahman vers le sud, après avoir placé un pot d’eau au nord et préparé un plat de nourriture sacrificielle, il sort (de la maison) et, se tenant près de la porte, il s’adresse au Brahman : « Brahman, j’entre (dans la maison) ! »
6. Lorsque le Brahman a donné son consentement, il entre avec (la formule) : « Vers le droit j’avance, vers la chance j’avance ! »
7. [22]. Après avoir préparé des Âya et sacrifié deux Âya et sacrifié deux Âya et sacrifié deux Âya oblations avec (les deux parties du Mantra), « Voici la joie » (Vâ_g_. Saya et sacrifié deux Âh. VIII, 51 a), il sacrifie d’autres oblations avec (les versets) :
(a) 'Vâstoshpati ! Reçois-nous (sous ta protection) ; accorde-nous l’entrée du bien et éloigne de nous le mal. Pour ce que nous te demandons, accorde-nous cette faveur : sois un sauveur pour nous, pour les hommes et les animaux. Svâhâ !
(b) « Vâstoshpati ! Sois notre soutien ; fais accroître notre richesse en vaches et en chevaux, ô Indu (c’est-à-dire Soma). Que nous puissions demeurer libres de la décadence dans ton amitié ; accorde-nous ta faveur, comme un père pour ses fils. Svâhâ !
© « Vâstoshpati ! Soyons en communion avec toi, qui soit vaillante, joyeuse et prospère. Protège nos souhaits lorsque nous nous reposons et [ p. 347 ] lorsque nous faisons notre travail. Protégez-nous toujours, vous (dieux), et accordez-nous le bien-être. Svâhâ !
(d) « Chasse les calamités, Vâstoshpati, prenant toutes les formes, sois pour nous un ami bienveillant. Svâhâ !
8. Il fait des offrandes de nourriture cuite (avec les mantras suivants) :
(a [23]) Agni, Indra, Brihaspati, les devâs Virives que j’invoque, Sarasvatî et Vâriî. Donnez-moi une demeure, vous qui êtes vigoureux. Svâhâ !
(b [24]) « À toutes les armées divines de serpents, à l’Himavat, au Sudarsana (montagne), et aux Vasus, Rudras, Âdityas, Îsâna avec ses compagnons, à tous ceux-là je m’applique. Donnez-moi une demeure, vous les vigoureux. Svâhâ !
© « Au matin et à l’après-midi, ainsi qu’à midi, au soir et à minuit, à la déesse de l’aube et à son large chemin, à tous ceux-là je m’applique. Donnez-moi une demeure, vous les vigoureux. Svâhâ !
(d) « Au Créateur et au Changeur, à Visvakarman, aux herbes et aux arbres, à tous ceux-là je m’applique. Donnez-moi une demeure, vous les vigoureux. Svâhâ !
(e) « À Dhâtri et Vidhâtri, et au Seigneur des trésors avec eux, à tous ceux-là je m’applique. Donnez-moi une demeure, vous les vigoureux. Svâhâ !
(f) « Comme un lieu heureux et chanceux, donnez-moi cette demeure, Brahman et Pragâpati, et toutes les divinités. Svâhâ ! »
9. Après avoir mangé (la nourriture sacrificielle), qu’il mette dans un récipient en laiton les différentes choses qu’il a rassemblées, des feuilles d’Udumbara avec de la liqueur forte, de la tourbe verte, de la bouse de vache, du lait caillé, du miel, du ghee, de l’herbe de Kusa et de l’orge, et qu’il en asperge les sièges et les sanctuaires (pour les images des dieux).
10. Il touche (le mur et les poteaux) à leur jonction orientale avec (les mots) : « Que la chance et la gloire te protègent à ta jonction orientale. »
11. Il les touche à leur jonction sud avec (les mots) : « Que le sacrifice et les frais sacrificiels te protègent à ta jonction sud. »
12. Il les touche à leur jonction occidentale avec (les mots) : « Que la nourriture et le Brâhmana te protègent à ta jonction occidentale. »
13. Il les touche à leur jonction nord avec (les mots) : « Que la vigueur et le plaisir te protègent à ta jonction nord. »
14. Il sort alors (de la maison) et adore les quartiers (de l’horizon, l’est) avec (les formules) : « Que Ketâ (c’est-à-dire la volonté ?) et Suketâ (c’est-à-dire la bonne volonté ?) me protègent de l’est.
« Agni est Ketâ ; le Soleil est Suketâ : à eux je m’adresse ; à eux soit l’adoration ; puissent-ils me protéger de l’est. »
15. Puis vers le sud : « Que celui qui protège et celui qui garde, me protège du sud.
« Le Jour est celui qui protège, la Nuit est celle qui garde ; à eux je m’adresse ; à eux soit l’adoration ; puissent-ils me protéger du sud. »
16. Puis vers l’ouest : « Que celui qui brille et celui qui s’éveille me protègent de l’ouest.
« La nourriture est celle qui brille ; le souffle est celui qui éveille ; à eux je m’adresse ; à eux soit l’adoration ; puissent-ils me protéger de l’ouest. »
17. Puis au nord : « Que celui qui ne dort pas et celui qui ne dort pas me protègent du nord.
[ p. 349 ]
« La Lune est celle qui ne dort pas ; le Vent est celui qui ne dort pas ; à eux je m’adresse ; à eux soit l’adoration ; puissent-ils me protéger du nord. »
18. [25]. Quand (la maison) est terminée, il y entre avec (les formules),
« La loi, le poste principal ! La fortune, le pinacle ! Le jour et la nuit, les deux panneaux de la porte !
« La maison d’Indra est riche et protectrice ; j’y entre avec mes enfants, avec mon bétail, avec tout ce qui est à moi.
« Ici est convoqué l’ensemble des parents, les amis dont la venue est heureuse. Ainsi (j’entre) en toi, ô maison. Que nos demeures soient remplies de héros inviolables de tous bords ! »
19. Puis (suit) l’alimentation des Brâhmanas.
1. Vient ensuite la mise en place du tonneau d’eau.
2. Au nord-est, il creuse une fosse semblable à celle d’un poteau sacrificiel, y répand de l’herbe Kusa, des grains frits, des fruits de l’arbre à savon et d’autres choses de bon augure, et y installe le tonneau d’eau avec les mots : « Tu es la mer. »
3. [26]. Il y verse de l’eau avec (le verset) : « Vous, eaux, riches en richesses, vous possédez des biens. Vous nous apportez la bonne perspicacité et l’immortalité. Vous êtes les maîtres de la richesse et de la descendance bénie. Que Sarasvatî donne de la force à celui qui la loue ! »
4. Et avec les trois (versets), « Ô eaux, vous êtes » (Vâ_g_. Samhitâ XI, 50 seqq.).
5. Puis (suit) l’alimentation des Brâhmanas.
1. Maintenant le remède contre les maux de tête.
2. Après s’être humidifié les mains, il les passe sur ses sourcils avec (le verset) : « Des yeux, des oreilles, des moustaches, du menton, du front, je chasse cette maladie de la tête. »
3. Si (seulement) un côté (de la tête) lui fait mal, il récite le verset : « Couperet ! Toi aux yeux défigurés ! Aile blanche ! Célèbre ! Et toi à l’aile multicolore ! Que sa tête ne lui fasse pas mal. »
4. Alors ça ira mieux.
1. [27]. (Maintenant sera déclaré) le fait de faire couler de l’eau autour d’un serviteur qui est disposé à s’enfuir.
2. Pendant que (le serviteur) dort, il doit évacuer son urine dans la corne d’un animal vivant, et doit marcher trois fois autour de lui, en tournant son côté gauche vers lui, et asperger (l’urine) autour de lui, [ p. 351 ] avec (le verset) : « De la montagne (sur laquelle tu es né), de ta mère, de ta sœur, de tes parents et de tes frères, de tes amis, je te sépare.
« Serviteur fugitif, j’ai fait couler de l’eau autour de toi. Une fois abreuvé, où iras-tu ? »
3. [28]. S’il s’enfuit (son maître, néanmoins), devrait allumer un feu provenant d’un bois en feu et sacrifier (dans ce feu) des plaques de Kusa (utilisées pour protéger les mains lorsqu’on tient un plat sacrificiel chaud) qui ont été ointes de ghee, avec (la formule) : « Que le trébuchant trébuche autour de toi,… puisse-t-il t’attacher avec les chaînes d’Indra, te détacher pour moi, et puisse-t-il en conduire un autre (vers moi). »
4. [29]. Alors il restera tranquillement (dans la maison de son maître).
1. [30]. Le bœuf craché (sacrifié à Rudra).
2. [31]. Il procure (au sacrifiant) des récompenses célestes, du bétail, des fils, des richesses, de la renommée, une longue vie.
3. [32]. Après avoir apporté le feu domestique sacré dans la forêt et avoir effectué la « propagation », il doit sacrifier l’animal à Rudra.
4. Celui qui n’est pas castré.
5. [33]. Ou (peut-être) une vache, en raison de la désignation.
6. [34]. Après avoir cuit l’épiploon, un mélange de nourriture sacrificielle, et les portions coupées (de la victime), il sacrifie l’épiploon à Rudra, la graisse à l’Air, et les portions coupées avec le mélange de nourriture cuite à Agni, Rudra, Sarva, Pasupati, Ugra, Asani, Bhava, Mahâdeva, Îsâna.
7. (S’ensuit ensuite un sacrifice à) Vanaspati.
8. (À Agni) Svishtaktt à la fin.
9. [35]. Puis (suit) l’aspersion circulaire vers les différents quartiers (de l’horizon).
10. [36]. Après l’aspersion, ils sacrifient les offrandes de Patnî-samyâma à Indrâmî, Rudrâmî, _Smn_i, Bhavânî et Agni Gmhapati.
11. [37]. Il offre son sang en feuilles, sur des touffes d’herbe, en guise de Bali à Rudra et à ses hôtes, avec (les Mantras),
« Les armées que tu possèdes à l’est, Rudra, sont à elles, ce Bali (est donné). À elles et à toi soit l’adoration ! »
« Les armées, Rudra, que tu as au sud… à l’ouest… au nord… vers le haut… [ p. 353 ] vers le bas, à elles ce Bali (est donné). À elles et à toi soit l’adoration ! »
12. [38]. Le contenu de l’estomac et des entrailles, maculé de sang, il le jette au feu ou l’enterre dans la terre.
13. [39]. Ayant placé l’animal de manière à ce que le vent souffle de lui vers lui, il s’en approche en récitant les hymnes Rudra, ou en récitant le premier et le dernier Anuvâka.
14. Ils n’emportent rien de cet animal au village.
15. [40]. C’est ainsi que le sacrifice de la vache a été déclaré.
16. (Il est combiné) avec (l’offrande de) riz au lait ; (les rites) ne correspondant pas (à cette occasion spéciale) sont omis.
17. Le prix du sacrifice est une vache du même âge (que la victime).
1. [41]. Maintenant, le lâcher du taureau.
2. [42]. (La cérémonie) a été déclarée dans le sacrifice de la vache.
3. [43]. (Elle est exécutée) le jour de la pleine lune de Kârttika, ou le (jour où la lune est en conjonction avec) Revatî dans le mois Âvayuvayuvayua.
4. [44]. Ayant allumé un feu au milieu des vaches, et ayant préparé Âmya, il sacrifie six (oblations) avec (les Mantras), ‘Ici est le délice’ (Vâ_g_. Samh. VIII, 51).
5. [45]. Avec (les vers), « Que Pûshan aille après nos vaches ; que Pûshan veille sur nos chevaux ; que Pûshan nous donne de la force » — il sacrifie (la nourriture sacrificielle) destinée à Pûshan.
6. [46]. Après avoir murmuré les hymnes Rudra, ils ornent un taureau unicolore ou bicolore qui protège le troupeau ou que le troupeau protège. Il peut aussi être roux, sans membre, le veau d’une vache qui a des veaux vivants et qui donne du lait ; et ce doit être le plus beau taureau du troupeau. De plus, ils ornent les quatre meilleures jeunes vaches du troupeau et les lâchent avec ce verset : « Ce jeune taureau, je te le donne comme époux ; cours et joue avec lui, ton amant. Ne fais pas tomber de malédiction sur nous, bénis par la nature. Puissions-nous nous réjouir de l’augmentation de nos richesses et de notre confort. »
7. [47]. Lorsque (le taureau) se tient au milieu des vaches, il récite sur lui (les textes commençant par) « Apporter du rafraîchissement », jusqu’à la fin de l’Anuvâka (Vâ_g_. Samh. XVIII, 45-50).
8. Avec le lait de toutes (les vaches), il devrait cuire du riz au lait et le donner aux Brâhmanes pour qu’ils le mangent. [ p. 355 ]
9 [48]. Certains sacrifient également un animal.
10. [49]. Le rituel en a été déclaré par le (rituel du) bœuf craché.
1. Maintenant les libations d’eau (qui sont effectuées pour les personnes décédées).
2. [50]. Lorsqu’un enfant de moins de deux ans meurt, son père et sa mère deviennent impurs.
3. Les autres (relations) restent pures.
4. (L’impureté dure) une nuit ou trois nuits.
5. Ils enterrent le corps sans le brûler.
6. Si (un enfant meurt) pendant l’impureté de sa mère (causée par la naissance de l’enfant), l’impureté dure jusqu’au lever (de la mère) (du lit d’enfant), de la même manière que l’impureté causée par la naissance d’un enfant.
7. [51]. Dans ce cas (l’enfant a moins de deux ans), aucune libation d’eau n’est pratiquée.
8. Si un enfant de plus de deux ans décède, tous ses proches doivent suivre (le corps) au cimetière.
9. [52]. Chanter le chant Yama et murmurer l’hymne Yama, selon certains (enseignants).
10. [53]. Si (le défunt) a reçu l’initiation, [ p. 356 ] (les rites) de l’élection du site (pour le _SmasmaSrauta) s’enflamme.
11. Ils le brûlent avec son feu domestique (sacré), s’il l’a gardé ;
12. Silencieusement, avec un feu commun, d’autres personnes.
13. Ils doivent demander à quelqu’un qui est lié (au défunt) par le sang ou par alliance, (sa permission d’effectuer) la libation d’eau, en disant : « Nous effectuerons la libation. »
14. (Il répond) : « Faites-le maintenant et plus jamais », si la personne décédée n’avait pas cent ans.
15. (Il dit) seulement : « Fais-le », s’il l’était.
16. [54]. Tous les parents (du défunt), jusqu’au septième ou au dixième degré, descendent dans l’eau.
17. S’ils habitent dans le même village, (tous) dans la mesure où ils peuvent retracer leur lien de parenté.
18. Ils portent (un seul) vêtement et ont le cordon sacré suspendu sur l’épaule droite.
19. Avec le quatrième doigt de la main gauche, ils font jaillir (l’eau) avec (les mots) : « Qu’il chasse le mal loin de nous par sa splendeur » (Vâ_g_. Samh. XXXV, 6).
20. Orientés vers le sud, ils plongent (dans l’eau).
21. Ils versent, les mains jointes, une libation d’eau au défunt en disant : « NN ! Cette eau est à toi ! »
22. Lorsqu’ils seront sortis (de l’eau) et [ p. 357 ] se seront assis sur un endroit pur et couvert d’herbe, (ceux qui sont versés dans les contes anciens) devraient les divertir (en leur racontant de tels contes).
23. [55]. Ils retournent au village sans se retourner, en rang, le plus jeune marchant devant.
24. [56]. À la porte de leurs maisons, ils mâchent des feuilles de l’arbre Pikumanda (ou Nimba), boivent de l’eau, touchent de l’eau, du feu, de la bouse de vache, des graines de moutarde blanche et de l’huile, marchent sur une pierre, puis ils entrent.
25. [57]. Pendant trois nuits, ils doivent rester chastes, dormir à même le sol, ne faire aucun travail et ne demander de l’aide à personne.
26. Qu’ils mangent la nourriture qu’ils ont achetée ou reçue (d’autrui) ; (ils ne la mangeront) que pendant la journée, (et ne mangeront) pas de viande.
27. [58]. Après avoir offert le Pinda au défunt, en prononçant son nom lors du lavage, lors de l’offrande (du Pinda) et lors du second lavage,
28. [59]. Ils devraient cette nuit-là mettre du lait et de l’eau dans un récipient en terre cuite, à l’air libre, avec les mots : « Défunt, baigne-toi ici ! »
29. [60]. L’impureté causée par la mort dure trois nuits ;
30. Pendant dix nuits, selon certains (enseignants).
31. (Pendant cette période, ils) ne devraient pas pratiquer le Svâdhyâya (ni étudier les textes védiques par eux-mêmes). [ p. 358 ]
32. Ils devraient interrompre les rites debout, à l’exception de ceux accomplis avec les trois feux (Srauta),
33. Et (à l’exception de celles exécutées) avec le feu domestique (sacré), selon certains (enseignants).
34. D’autres devraient accomplir (ces rites pour eux).
35. Ceux qui ont touché le corps mort ne doivent pas entrer dans le village jusqu’à ce que les étoiles apparaissent.
36. S’ils l’ont touché pendant la nuit, ils n’y entreront pas avant le lever du soleil.
37. [61]. L’entrée et ce qui suit sont les mêmes (pour ces personnes) que pour les autres.
38. (Leur) impureté dure une ou deux quinzaines.
39. Les mêmes (rites doivent être accomplis) lorsque l’enseignant (est décédé),
40. Ou le grand-père ou la grand-mère maternelle,
41. Ou des femmes célibataires.
42. [62]. Pour ceux qui étaient mariés, les autres devraient le faire,
43. [63]. Et eux pour les (autres).
44. [64]. Si quelqu’un meurt en voyage, (ses proches) doivent s’asseoir (sur le sol, comme prescrit pour les personnes impures) à partir du moment où ils ont appris (son décès), effectuant la libation d’eau [ p. 359 ] (à ce moment-là), jusqu’à ce que la période (de leur impureté) soit expirée ;
45. Si (cette période est déjà) écoulée, une nuit ou trois nuits.
46. La libation d’eau est facultative pour un prêtre officiant, un beau-père, un ami, pour des parents (éloignés), pour un oncle maternel et pour le fils d’une sœur ;
47. [65]. Et pour les femmes mariées.
48. Le onzième jour, il doit donner à un nombre impair de Brâhmanes un repas au cours duquel de la viande est servie.
49. Certains tuent également une vache en l’honneur de la personne décédée.
50. Lorsque les Pindas sont préparés, le défunt, s’il a des fils, sera considéré comme le premier des (trois) Pères (à qui les Pindas sont offerts).
51. [66]. Le quatrième devrait être laissé de côté.
52. [67]. Certains (font des offrandes de Pinda à une personne décédée) séparément pendant un an (avant de l’admettre à une part du Pitnyanda commun).
53. [68]. Mais il y a une règle : « Il ne peut y avoir de quatrième Pinda » — car cela est indiqué dans le Sruti.
54. [69]. Chaque jour, il lui donnera de la nourriture (c’est-à-dire au défunt), et s’il s’agissait d’un brahmane, un récipient rempli d’eau.
55. Certains proposent également un. Pinda.
[ p. 360 ]
1. [70]. Si un animal (doit être sacrifié), qu’il le lave, si ce n’est pas une vache ; qu’il fasse le tour des feux et qu’il enfonce devant eux une branche de Palâsa dans le sol.
2. [71]. L’enroulement (d’une corde Kusa) autour (de cette branche), le contact (de l’animal avec le brin d’herbe), l’attachement (de celui-ci à la branche) et l’aspersion (de l’animal avec de l’eau) doivent être effectués de la manière prescrite (dans le Srauta-sûtra), et tout ce qui doit être fait d’autre.
3. [72]. Après avoir sacrifié les deux oblations avant et après avoir tué l’animal, il sacrifie silencieusement cinq autres (oblations, adressées à Pragâpati).
4. [73]. On retire l’épiploon (de l’animal tué). On l’asperge (d’eau) et on nomme la divinité (à laquelle le sacrifice est destiné).
5. [74]. (Il devrait également nommer cette divinité) au moment où l’animal touche le brin d’herbe, au moment où il est attaché à la branche, au moment où il est aspergé d’eau et à la préparation et à l’oblation du plat de nourriture cuite.
6. Après avoir sacrifié l’épiploon, il coupe les portions d’Avadâna, [ p. 361 ]
7 [75]. Tous, ou trois, ou cinq.
8. [76]. Il sacrifie les portions d’Avadâna avec le désordre de la nourriture cuite.
9. Un membre de l’animal constitue le sacrifice.
10. [77]. Lors d’un sacrifice destiné à une divinité particulière, il doit sacrifier un animal appartenant à cette divinité, en réserver une portion et lui dire (au messager qui doit apporter l’offrande à un lieu sacré pour cette divinité) : « Veille à ce que cela parvienne à ce dieu. »
11. S’il y a une rivière entre (le sacrificateur et ce lieu sacré), il peut faire construire un bateau, ou il peut s’en passer.
1. [78]. Voici maintenant la pénitence pour l’étudiant qui a rompu son vœu de chasteté.
2. Un jour de nouvelle lune, il sacrifiera un âne à un carrefour (à la déesse Nirriti).
3. (Et) il offrira un plat de nourriture cuite à Nirriti.
4. [79]. Les parties de l’Avadâna sont sacrifiées dans l’eau (et non dans le feu). [ p. 362 ]
5 [80]. Le Purodâda (ou gâteau sacrificiel), qui appartient au sacrifice animal, est cuit sur le sol (et non dans les Kapâlas).
6. (Le coupable) doit revêtir la peau (de l’âne),
7. Avec la queue tournée vers le haut, selon certains (professeurs).
8. Il devra, pendant un an, faire l’aumône et proclamer son action.
9. [81]. Après ce temps, il sacrifie deux oblations Âgya avec (les formules) : « Ô Luxure, j’ai rompu mon vœu de chasteté. J’ai rompu mon vœu de chasteté, ô Luxure. À la Luxure svâhâ ! » — « Ô Luxure, j’ai fait le mal. J’ai fait le mal, ô Luxure. À la Luxure svâhâ ! »
10. [82]. Il s’approche alors (du feu) avec (le verset) : « Que les Maruts m’arrosent, qu’Indra, que Birhaspati, que cet Agni m’arrose de descendance et de richesse. »
11. C’est la pénitence.
1. Maintenant l’entrée dans un tribunal de justice.
2. [83]. Il s’approche de la cour en disant : Cour ! Toi qui appartiens aux Angiras ! Tu es nommément trouble ; tu es nommément véhémence. Ainsi soit l’adoration à toi !
3. [84]. Il entre alors (dans la cour) avec (les mots) : « (Que) la cour et l’assemblée, les deux filles unanimes de Pragâpati (me protègent). Que celui qui ne me connaît pas soit inférieur à moi. Que (tous) les gens soient prévenants dans ce qu’ils disent. »
4. Lorsqu’il arrive à l’assemblée, il murmure : « Supérieur (à mes adversaires), je suis venu ici, brillant, sans être contredit. Le seigneur de cette assemblée est un homme d’une puissance invincible. »
5. [85]. S’il pense : « Cet homme est en colère contre moi », il lui adresse ces vers : « La puissance destructrice de la colère et de la fureur qui habite ici sur ton front, que les dieux chastes et sages puissent l’enlever. »
« Je suis le Ciel et je suis la Terre ; nous enlevons tous deux ta colère ; la mule ne peut pas avoir de descendance ; NN ! »
6. [86]. Mais s’il pense : « Cet homme me fera du mal », il lui dit : « J’ôte la parole de ta bouche, j’ôte la parole de ton cœur. Où que ta parole se trouve, je l’ôte. Ce que je dis est vrai. Tombe, inférieur à moi. »
7. C’est la même manière de soumettre (une personne) à soi-même.
1. Maintenant, le montage d’un char (est déclaré).
2. Après avoir donné l’ordre : « Mettez les chevaux au travail », et qu’il a été annoncé : « Ils y sont », il va (au char, en disant) : « C’est la Vierge », et touche les deux roues, [ p. 364 ]
3. La roue droite avec (les mots), « Tu es le Rathantara » —
4. La gauche avec (les mots), ‘Le Briqu’es-tu’—
5. Le poteau avec (les mots) : « Tu es le Vâmadevya. »
6. [87]. Il touche l’intérieur du char de la main (en disant) : « Les deux Aṅkas, les deux Nyaṅkas qui sont de chaque côté du char, qui avancent avec le vent impétueux, celui qui file au loin et aux sens aigus, celui qui ailé, puissent ces feux, les promoteurs, nous promouvoir. »
7. [88]. Avec (les mots) « Adoration à Mâninara », il conduit la bête sur le côté droit.
8. (S’il va dans son char) vers (les images des) dieux, qu’il descende (du char) avant de les avoir atteints ; s’il va vers les Brâhmanes, juste avant (de les atteindre) ; s’il va vers les vaches, lorsqu’il est au milieu d’elles ; s’il va vers les pères, lorsqu’il les a atteints.
9. Une femme ou un étudiant védique ne doit pas être conducteur de char. [ p. 365 ]
10. Après avoir dépassé un instant (le point où il a l’intention d’aller), il devrait murmurer : « Voici le repos, reposez-vous ici » (Vâ_g_. Samh. VIII, 51).
11. [89]. Certains ajoutent : « Ici, il n’y aura pas de repos. »
12. Si le char est faible, il doit murmurer, après l’avoir monté : « Que ce char, ô Asvins, ne subisse aucun dommage sur les mauvais chemins ou en étant renversé. »
13. [90]. Si les chevaux s’enfuient avec le char, il doit toucher le poteau (?) ou la terre et murmurer : « Que ton char, ô Asvins, ne subisse aucun dommage sur les mauvais chemins ou en étant renversé. »
14. Ainsi, il ne subira aucun préjudice ni aucun dommage.
15. [91]. Lorsqu’il a terminé son chemin et dételé les chevaux, qu’on lui donne de l’herbe et de l’eau. « Car c’est ainsi que l’on satisfait la bête qui tire (la charrette) », dit le Sruti.
1. Maintenant, comment il devrait monter un éléphant.
2. Il s’approche de l’éléphant et le touche (en disant) : « Tu es la gloire des éléphants. Tu es l’honneur des éléphants. »
3. Il le monte alors avec (les mots) : « Avec la foudre d’Indra, je te chevauche. Fais-moi arriver sain et sauf. »
4. Il a également été déclaré comment il devait monter à cheval. [ p. 366 ]
5. Lorsqu’il s’apprête à monter un chameau, il s’adresse à lui : « Tu es le fils de Tvashtri ; Tvashtri est ta divinité. Fais-moi arriver sain et sauf. »
6. [92]. Lorsqu’il s’apprête à monter un âne, il s’adresse à lui : « Tu es un Sûdra, un Sûdra de naissance. Tu appartiens à Agni, avec un double sperme. Fais-moi arriver sain et sauf. »
7. Un chemin qu’il aborde : « Adoration à Rudra qui demeure sur les chemins. Fais-moi arriver sain et sauf. »
8. À un carrefour, il s’adresse : « Adoration à Rudra qui habite au carrefour. Fais-moi arriver sain et sauf. »
9. Lorsqu’il a l’intention de traverser une rivière à la nage, il s’adresse à elle : « Adoration à Rudra qui habite les eaux. Fais-moi arriver sain et sauf. »
10. Lorsqu’il monte à bord d’un navire, il s’adresse à elle : « Le bon navire » (Vâ_g_. Samh. XXI, 7).
11. Lorsqu’il va traverser (le fleuve), il s’adresse (au navire) : « Le bien-protège » (Vâ_g_. Samh. XXI, 6).
12. Il s’adresse à une forêt (dans laquelle il erre) : « Adoration à Rudra qui habite les forêts. Fais-moi arriver sain et sauf. »
13. À une montagne (qu’il va traverser), il s’adresse : « Adoration à Rudra qui habite les montagnes. Fais-moi arriver sain et sauf. »
14. Il s’adresse à un cimetière : « Adoration à Rudra qui demeure parmi les Pères. Fais-moi arriver sain et sauf. »
15. Il s’adresse à une étable : « Adoration à Rudra qui habite parmi les tas de fumier. Fais-moi arriver sain et sauf. » [ p. 367 ]
16. Et partout ailleurs, qu’il dise toujours : « Adoration à Rudra. » Car le Sruti dit : « Rudra est cet univers. »
17. Si le pan (de son vêtement) est emporté par le vent, il s’adresse à lui : « Tu es un pan. Tu n’es pas un éclair. Adoration à toi. Ne me fais pas de mal ! »
18. Il s’adresse au tonnerre : « Que les pluies nous soient favorables ; que les dards (d’Indra) nous soient favorables, que ceux que tu lances, ô tueur de Vritra, nous soient favorables. »
19. [93]. Il s’adresse à un chacal hurlant : « Amical de nom » (Vâ_g_. Samh. III, 63).
20. [94]. Il s’adresse à un oiseau hurlant : « Oiseau aux ailes d’or qui vas là où les dieux t’envoient ! Messager de Yama, adoration à toi ! Que t’a dit le Kârkârina ? »
21. À un arbre servant de borne (d’une frontière, etc.), il s’adresse : « Que ni l’éclair, ni la hache, ni le vent, ni le châtiment que le roi envoie, ne te détruisent. Que tes pousses poussent ; que la pluie tombe sur toi, à l’abri du vent. Que le feu ne détruise pas tes racines. Sois béni, ô seigneur de la forêt ! Sois béni, ô seigneur de la forêt ! »
22. S’il reçoit quelque chose, il l’accepte avec la formule : « Que le Ciel te donne ; que la Terre t’accepte ». Ainsi, la chose donnée ne diminue pas pour celui qui la donne, et ce qu’il reçoit augmente. [ p. 368 ]
23. Si on lui donne du riz bouilli, il l’accepte avec (la formule) « Que le Ciel, etc. », et il en mange deux fois avec (les formules) « Que Brahman te mange ! » — « Que Brahman te mange ! »
24. Si on lui donne du gruau, (comme ci-dessus) . . . . trois fois avec (les formules) : « Que Brahman te mange ! » — « Que Brahman prenne part de toi ! » — « Que Brahman te boive !
1. [95]. Maintenant, chaque fois qu’une leçon (du Véda) est terminée, afin d’éviter d’oublier (les textes étudiés), la prière suivante doit être récitée :
Que ma bouche soit habile, et ma langue douce comme le miel. J’ai beaucoup entendu de mes oreilles ; ne m’ôte pas ce que j’ai entendu, ce qui demeure en moi.
Tu es la parole du Brahman ; tu es la position du Brahman ; tu es le grenier du Brahman. Tu es l’accomplissement ; tu es la paix ; tu es l’inoubli ; entre dans mon grenier du Brahman. De la voix je te couvre ! De la voix je te couvre ! Puissé-je être capable de former les voyelles, de produire, de retenir et de prononcer les sons gutturaux, pectoraux, dental et labiaux. Puissent mes membres se fortifier, ma voix, mon souffle, mes yeux, mes oreilles, mon honneur et ma puissance. Ce que j’ai entendu et étudié, puisse-t-il être gravé dans mon esprit ; puisse-t-il être gravé dans mon esprit.
Fin du Troisième Kânda.
Fin du Grihya-sûtra de Pâraskara.
2. Les premiers versets dans lesquels la nuit Âgrahâyatî est appelée l’épouse de l’année, ou l’image de l’année, apparaissent ailleurs en référence à la nuit Ekâshtakâ. Voir Atharva-veda III, 10 ; Taitt. p. 339 Sathitâ V, 7, 2, 1. Voir aussi ci-dessous, Pâraskara III, 3, 5. Satvatsara, Parivatsara, Idâvatsara, etc. sont des termes désignant les différentes années de la période quinquennale du Yuga. Voir Zimmer, Altindisches Leben, 369, 370.
Dans le Mantra, je propose de lire : pari tvâ hvalano, etc. Nivrittendravîrudhah semble corrompu ; il semble être un composé de nivritta, un second membre douteux, et de vîrudh (la plante). Le sens pouvait être « l’abandonner pour consommer les plantes ».
22. Yâggavalkya III, 7 : apavadeyus tan itihâsai_hgh_.
337:1 1, 1. La cérémonie correspondante du rituel Srauta est traitée dans Kâty. IV, 6. ↩︎
337:2 Un Sthâlîpâka frais signifie probablement un Sthâlîpâka préparé à partir du grain frais de la nouvelle récolte. ↩︎
337:3 Les divinités de la cérémonie Âgrayana, qui occupe dans le rituel Srauta la place correspondant au rite décrit ici, sont Indra et Agni, les devâs Vinfs, le Ciel et la Terre. ↩︎
338:5 Le verset Annapatîya est Vâ_g_. Samh. XI, 83. ↩︎
338:6 Comp. manâv adhi, Rig-veda VIII, 72, 2. ↩︎
338:2 2, 2. Les deux oblations appartenant à la cérémonie _Sravan_â sont celles indiquées ci-dessus, II, 14, 4. 5. ↩︎
339:4 Voir ci-dessus, II, 14, 1I-21 (et non 19-21 comme indiqué par le professeur Stenzler). ↩︎
339:6 « Redescendre » signifie qu’ils ne dorment plus sur des lits surélevés, comme ils le faisaient depuis le jour de Srâvanî jusqu’à l’Âgrahâyan_î, à cause du danger des serpents, mais à même le sol. Voir les notes sur le jour de Sâṅkh.-Grâvanî jusqu’à l’Âgrahâyahya IV, 15, 22 ; 17, 1. ↩︎
340:10-11 10, 11. Voir la note sur le § 6. ↩︎
341:14 Le verset apparaît, avec quelques différences, dans le Kânva Sâkhâ du Vâg. Sanhitâ, II, 7, 5. ↩︎
341:1 3, 1. Sur les Ashtakâs, célébrés le huitième jour des trois quinzaines sombres qui suivent la pleine lune Âgrahâyatî, voir Sâṅkhâyana III, 12 seqq.; Âtvalâyana II, 4; Gobhila III, 10. ↩︎
341:2 Comme il y a quatre divinités nommées, je pense qu’il est probable qu’elles se rapportent à tous les Ashtakâs sans distinction ; comp. Âtvalâyana II, 4, 12. Ainsi, dans les Mantras prescrits pour le premier Ashtakâ (Sûtras 5 et 6), Indra, les devâs Vitves et Pratâpati sont nommés ; aux Pères appartient la cérémonie d’Anvashtakya. ↩︎
341:3 En ce qui concerne l’ordre de ces substances, les textes Grihya diffèrent. ↩︎
341:5 Comp. Taitt. Samhitâ IV, 3, 11; Atharva-veda III, 10. ↩︎
341:a (a) Les trente sœurs semblent être les jours du mois. Quant à la p. 342 madhyekhandas, comp. Taitt. Sakhh. loc. cit. § 1 : khkhs_âne ; § 2 : kkhtkhgkhasya pakshâv rishayo bhavantî, gâyatrî_mkhtkhmkhgkhtkhrikhmkhñkhânâh suvar âऽbharann idam. ↩︎
342:d (d) Il est probable qu’une Ashtakâ s’adresse aux autres, ses sœurs, tandis que Gayarâma explique ce verset. ↩︎
342:f (f) L’explication par laquelle la « traite quintuple » est rapportée à ce qui est appelé dans Taitt. Brâhmana II, 2, 9, « les traites de Pranâpati », me semble plus que douteuse, car les « traites p. 342 de Pranâpati » ne sont que quatre : à savoir la nuit noire, le clair de lune, le crépuscule et le jour. ↩︎
343:i (i) Sukra-_ri_shabhâ ne peut pas être traduit, comme le fait le professeur Stenzler, par « die schönste unter den Lichtern » (Mâdhava : _sukreshu nakshatrâdishu sukreshu nakshatrâdishu th_â), car cette signification de rishabhâ n’apparaît que dans des textes ultérieurs. Le mot est un composé Bahuvrîhi, comme l’explique le Petersburg Dictionary. ↩︎
343:6 Dans le premier vers, j’ai omis vyasnavai, ce qui gêne la construction et viole le mètre. Le mot s’est infiltré dans le texte, sans doute à cause de l’expression dîrgham âyur vyasnavai figurant au chap. 2, 2. Dans le deuxième vers, p. 344, akstad est corrompu. J’ai traduit abhayam ; comp. Âsvalâyana II, 4, 14. Dans le troisième vers, j’ai omis mayi, comme l’a fait le professeur Stenzler dans sa traduction. ↩︎
345:13 J’ai exposé dans la note sur Sâṅkhâyana III, 13, 1 mes raisons de croire que la véritable lecture de ce Sûtra n’est pas madhyâvarshe (au milieu de la saison des pluies), mais mâghyavarshe (la fête célébrée pendant la saison des pluies sous le Nakshatra Maghâs). Il n’y a pas de règles expresses données concernant le troisième Ashtakâ, mais je pense que nous devrions comprendre ce Sûtra comme impliquant une déclaration sur cet Ashtakâ : (Le troisième Ashtakâ) et le quatrième, le jour du Mâghyavarsha, sont des Sâkâshtakâs (Ashtakâs sur lesquels des légumes sont offerts). Sâṅkhâyana (Gthya III, 13, 1) déclare que le rituel du quatrième Ashtakâ est identique à celui du second. ↩︎
345 : 3 4, 3. Ârivalâyana-Grihya II, 8, 15. ↩︎
345:4 Sur gagadai_h saha (dans le troisième verset) voir ma note sur S_âṅkhâyana-G saha (dans le troisième verset) voir ma note sur hya III, 2, 9. ↩︎
346 : 7 Rig-veda VII, 54 ; 55, 1. ↩︎
347:a 8 a. Vâgî est, comme son nom l’indique, la déesse de la vigueur rapide. Gayarâma explique Vâgî, un nom de Sîtâ, comme une personnification de la nourriture. ↩︎
347:b Comp. Âsvalâyana II, I, 14. Sur gagada, comp. ci-dessus, § 4. ↩︎
349:18 Comp. Sâṅkhâyana-Grihya III, 3, 7 seq.; chap. 4, 10. La comparaison de Sâṅkhâyana montre que nous devons diviser saha prariayâ pariubhi_h_, saha yan me kiririid asty, upahûta_h_, etc. Sâdhusarivritah (si la lecture est correcte) me semble être le nom. pluriel de sâdhusarivrit. Je comprends qu’il s’agit d’un composé Bahuvrîhi, dans lequel sarivrit signifie « l’approche ». Dans l’Atharva-veda VII, 60, 4, nous avons sakhâya_hrimrih_. Après sâle, un verbe signifiant « j’entre », ou quelque chose de similaire, a été perdu. ↩︎
349 : 3 5, 3. Rig-veda X, 30, 12. ↩︎
350:1 7, 1. Utûla-parimeha_h_. Il est probable qu’utûla, comme signifiant un esclave qui s’enfuit habituellement, est lié à l’utilisation de ce mot comme nom d’une tribu du nord-ouest de l’Inde. ↩︎
351:7_3 Ukhâ yâbhyâ_mgrign_gvau. Comm. sur Kâtyâyana, Sraut. XVI, 4, 2. ↩︎
351:4 Ce Sûtra est mot pour mot identique au chap. 6, 4. ↩︎
351 : 18, 1. Ârivalâyana-Grihya IV, 8. ↩︎
351:2 Âsvalâyana, loc. cit. § 35. ↩︎
351:8_3 La « propagation » est l’établissement des trois feux sacrés Srauta, de sorte que le feu Grihya est considéré comme le Gârhapatya, et l’Âhavanîya et le Dakshiriâgni en sont tirés. ↩︎
352:5 En raison de la désignation du sacrifice comme sûla-gava. ↩︎
352:6 Âsvalâyana, loc. cit. § 19. ↩︎
352:9 Gayarâma : la tâche de vasayâ bhavati yathâgnishomîye. ↩︎
352:10 Sur les offrandes de Patnî-samyâma, ainsi appelées parce qu’elles sont principalement destinées aux épouses des dieux, voir Hillebrandt, Neu- und Vollmondsopfer, pp. 151 seqq. ↩︎
352:11 Âsvalâyana, loc. cit. § 22. ↩︎
353:12 Quant à ûvadhya, comp. Âsvalâyana, § 28. ↩︎
353:13 Les hymnes Rudra forment le seizième Adhyâya du Vâgasaneyi Saghitâ. On récite soit l’intégralité de cet Adhyâya, soit le premier et le dernier Anuvâka. ↩︎
353:15 Gobhila III, 6. ↩︎
353 : 19, 1 suiv. Comp. Sâṅkhâyana III, 11. ↩︎
353:2 Voir ci-dessus, chap. 8, 15. ↩︎
353:3 Sâṅkhâyana, loc. cit. §2. ↩︎
353:4 Sâṅkhâyana, § 3. Bien sûr, dans la traduction du professeur Stenzler, « in der Mitte der Küche » est une erreur d’impression pour « in der Mitte der Kühe ». ↩︎
354 : 5 Rig-veda VI, 54, 5 ; Sâṅkhâyana, § 5. ↩︎
354:6 Sâṅkhâyana, §§ 6-54. Sur les hymnes Rudra, voir ci-dessus, chap. 8, § 13. Il est possible que les mots mâ na_h s_âpta soient corrompus ; la lecture correcte pourrait être mâऽvasthâta. ↩︎
354:7 Sâṅkhâyana, § 15. Il n’y a pas de Mantra dans le Vâgasaneyi Saghitâ commençant par le mot mayobhû_h_, mais ce mot apparaît au milieu de XVIII, 45 a ; les textes qu’il récite commencent à ce mot et s’étendent jusqu’à la fin de l’Anuvâka. Il est clair que mayobhûh était prévu dans le texte original, d’où Sâṅkhâyana et Pâraskara ont tous deux tiré ce Sûtra, comme le _Ri_k-Pratika, Rig-veda X, 169, 1. ↩︎
355:9_9 Selon les commentateurs, une chèvre est sacrifiée. ↩︎
355:9_10 Voir chap. 8. ↩︎
355 : 2 10, 2. Manu V, 68 ; Yâggavalkya III, 1. ↩︎
355:7 Manu V, 68 ; Yâggavalkya III, 1. ↩︎
355:10_9 Le chant Yama est présenté comme étant le deuxième verset du Taittirîya Âranyaka VI, 5, 3 (« Celui qui, jour après jour, emmène les vaches, les chevaux, les hommes et tout ce qui bouge, le fils de Vivasvat, Yama, est insatiable des cinq tribus humaines ») ; l’hymne Yama est le Rig-veda X, 14. Comp. Yândavalkya III, 2. ↩︎
355:10_10 Le bhûmigoshaga (élection du site pour le Smagâna) est traité p. 356 dans Satapatha Brâhmaga XIII, 8, 1, 6 seqq.; Kâtyâyana Srauta-sûtra XXI, 3, 15 seqq. Sur le bain pris après la cérémonie, voir Satapatha Brâhmaga XIII, 8, 4, 5; Kâtyâyana XXI, 4, 24. ↩︎
356:16 Yâgavalkya III, 3. ↩︎
357:23 Yâgavalkya III, 12. ↩︎
357:24 Yâggavalkya III, 12. 13. ↩︎
357 : 25-26 25, 26. Yâggavalkya III, 16 ; Manu V, 73 ans ; Vasishga IV, 15. ↩︎
357:27 Voir sur le lavage et sur l’offrande du Pinda, Kâtyâyana-Srauta-sûtra IV, 1, 10. 11. Comp. Weber, Indische Studien, X, 82. ↩︎
357:28 Yâgavalkya III, 17. ↩︎
357 : 29-30 29, 30. Yâggavalkya III, 18 ; Manu V, 59 ans. ↩︎
358:37 La position de ce Sûtra après les 35 et 36 me semble indiquer qu’il se réfère à ceux qui ont touché le corps du défunt ; comp. Yâggavalkya III, 14 : praveganâdika_mgmgs_inâm api. Je crois que les mêmes personnes sont également concernées dans le Sûtra 38. ↩︎
358:42 C’est-à-dire le mari et ses proches. Comp. Vasishtha IV, 19. ↩︎
358:43 Une femme mariée doit accomplir les rites pour son mari et sa famille. Voir la note du professeur Bühler sur Vasishta IV, 19 ; SBE, XIV, 28. ↩︎
358:44 Yâggavalkya III, 21; Manu V, 75, 76. Comp. Gautama XIV, 37; Vasishga IV, 14. ↩︎
359:47 Voir ci-dessus, § 42. ↩︎
359:51 Voir Sâṅkhâyana-Grihya IV, 2, 8. ↩︎
359:52 Sâṅkhâyana-Grihya VIII, 2. Comp. la description du Sapiriîkararia, ibid., chap. 3. ↩︎
359:53 Il y aurait quatre Pindas, si l’un était offert à la personne récemment décédée, et les trois autres aux Pères qui avaient reçu des offrandes de Pinda avant sa mort. Par conséquent, l’un de ces trois Pères est omis ; voir § 51. ↩︎
359:54 Comp. Âpastamba I, 13, 1; Baudhâyana II, 11, 3. ↩︎
360:1 11, 1. La branche remplace le poteau sacrificiel (yûpa) du rituel Srauta. Quant à agrena, comp. Kâty.-Sraut. VI, 2, 11 et le commentaire. ↩︎
360:2 Voir Kâty.-Sraut. VI, 3, 15 sur le parivyayana, ibid. §§ 19, 26 sur l’upâkarana, § 27 sur le niyonana, § 33 sur le prokshana. ↩︎
360:3 Kâtyâyana VI, 5, 22: Il sacrifie (Âsya) avec les mots, Svâhâ aux dieux. § 24: Il sacrifie (Âsya) avec les mots, Aux dieux svâhâ. Dans le commentaire du § 25, ces deux oblations sont appelées paripasavyâhutî. ↩︎
360:4 Voir Kâtyâyana VI, 6, 13 ; Ârivalâyana-Grihya I, 11, 10. ↩︎
360:5 Voir ci-dessus, Sûtra 2. ↩︎
361:7 Le nombre complet des Avadânas (c’est-à-dire les parties de l’animal tué qui doivent être coupées, comme le cœur, la langue, etc.) est de onze ; voir Kâty.-Sraut. VI, 7, 6 ; Ârivalâyana-Grihya I, II, 12. ↩︎
361:8 Ârivalâyana-Grihya, loc. cit. § 13. ↩︎
361:10-11 10, 11. La manière d’interpréter ces Sûtras est montrée par Ârivalâyana-Grihya I, 12. Je ne pense pas qu’ils aient quoi que ce soit à voir, comme le dit Gayarâma, en référence au Sûtra II, avec l’offrande due à un parent décédé en voyage (chap. 10, 44). ↩︎
361 : 1 12, 1. Voir les passages parallèles cités par le professeur Bühler dans sa note sur Âpastamba I, 26, 8 (SBE, II, 85), et par ailleurs, Kâtyâyana I, I, 13 suiv. ; Gautama XXIII, 17 suiv., etc. ↩︎
361:4 Ce Sûtra est identique au Kâtyâyana I, I, 16. ↩︎
362:5 Ce Sûtra est identique au Kâtyâyana I, 1, 15. ↩︎
362:9 Baudhâyana II, 1, 34, ↩︎
362:10 Baudhâyana II, 1, 35. ↩︎
362:2 13, 2. Le Sandhi régulier serait sabha (pour sabhe) âṅgirasi, au lieu duquel le texte a sabhâṅgirasi. ↩︎
362:3 En sanskrit, les mots sabha (tribunal) et samiti (assemblée) sont de genre féminin. J’ai traduit upa ma sa tishthet dans le sens indiqué par Pâthini I, 4, 87. ↩︎
363:5 Peut-être devrions-nous lire garbhenânvataryâh saha : nous enlevons ta colère avec la progéniture de la mule (qui ne peut pas mettre bas). Comp. Kullavagga VII, 2, 5 ; SBE, XX, 238. ↩︎
363:6 Il est impossible de donner une restitution certaine de ce Mantra corrompu. Peut-être devrions-nous lire quelque chose comme ceci : â te vâkam âsya â te hkdaya âdade. Comp. Hiraky.-Gkhya I, 4, 15, 6. ↩︎
364:6 14, 6. La signification de aṅkau et nyaṅkau ne peut être déterminée, autant que je sache. Les commentateurs expliquent ces mots comme les deux roues et les deux côtés du char, ou comme les deux roues droites et les deux roues gauches d’un char à quatre roues. Le professeur Zimmer (Altindisches Leben, pp. 251 suiv.) compare aṅka avec ἄντυξ et dit : « Mit aṅkau (resp. aṅkû) ware daher die obere Einfassung des Wagenkastens (kosa, vandhura) bezeichnet, mit nyaṅkau (resp. nyaṅkû) ein zu grösserer Befestigung etwas weiter unten (ni) herumlaufender Stab.’ Il me semble qu’aṅkau et nyaṅkau doivent être compris à la fois comme des désignations de certaines parties du char et comme des noms de différentes formes d’Agni habitant dans le char. — Comp. Taittirîya Sashitâ I, 7, 7, 2; Passavissa Brâhmasa I, 7, 5. ↩︎
364:7 Le nom du démon Mâninara n’apparaît, à ma connaissance, qu’ici. ↩︎
365:11 Si la lecture du texte est correcte, le sens semble être : Nous nous reposerons ici un moment, mais ensuite nous irons plus loin. ↩︎
365:13 Je ne peux pas dire ce que signifie ici « le poteau » (stambha) ; il peut faire partie du char. _Gayarâma a dhvag_astambha, c’est-à-dire le mât d’un drapeau, que nous supposons transporté sur le char. C’est peut-être la bonne explication. ↩︎
365:15 Satapatha Brâhmana I, 8, 2, 9. ↩︎
366:6 L’âne a un sperme double, car il engendre à la fois des ânes et des mulets. Taittirîya Samhitâ VII, 1, 1, 2. ↩︎
367:19 Le jeu de mots est intraduisible ; « chacal » est sivâ, « amical », sivah. ↩︎
367:20 Je ne connais pas le sens de kârkârina_h_. Gayarâma le prend pour un génitif au lieu d’un accusatif, et l’explique par asmadbâdhakam. ↩︎