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LA GÉNÉALOGIE DES SEPT POÈTES ARABES.
Ce tableau est tiré de la généalogie qui précède la traduction de Sir W. Jones des Mu‘allaqāt, telle qu’elle figure dans le dixième volume de l’édition in-octavo de ses œuvres. Le mode de transcription des noms propres arabes adopté par Sir W. Jones diffère de la plupart des systèmes utilisés par les arabisants anglais modernes : il représente la lettre Qāf par K, et Kāf par C ; ‘Ayn, pour laquelle il n’existe pas de lettre correspondante dans notre alphabet, et qui est généralement représentée aujourd’hui par [‘] ou, lorsque Hamza n’est pas représenté, par [’], il semble souvent la transcrire par aa, ou ā ; et le Hā fortement aspiré, par hh.
Il a été remarqué, dans la première partie de l’Introduction, que les Arabes qui prétendent descendre d’Ismaël ne font généralement remonter leur généalogie qu’à Adnân, à cause de l’incertitude des descendances entre Adnân et Ismaël. Selon Sale, « la série la plus approuvée énumère huit générations entre ces deux personnes, dans l’ordre suivant : Ismaël, Kidâr, Hamal, Nabet, Salâmân, al-Homeisa, al-Yasá, Odad, Odd, Adnan. »
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Transcription ordonnée et en profondeur de l’image ci-dessus :
La généalogie des sept poètes arabes