Annexe V. Analyses de Lin Hsî-kung sur plusieurs livres de Kwang-dze | Page de titre | Annexe VII. La tablette de pierre du temple de Lao-Dze. Par Hsieh Tao-Häng de la dynastie Sui |
[ p. 298 ]
Paragraphe 1. La jouissance du Tâo par des créatures aussi vastes que les Khwän et les Phäng.
2. Le plaisir et les jugements insensés des petites créatures. Les grands arbres et Phäng Zû.
3. Questions posées par Thang à Kî. Le Tao chez différents hommes : Yung-dze ; Lieh-dze ; et un taoïste idéal. L’homme parfait, l’homme spirituel et l’homme sage.
4. Yâo souhaitant céder le trône à Hsü Yû.
5. Kien Wû et Lien Shû sur le Taoïste idéal.
6. Un vendeur de casquettes de Sung. Yâo après avoir rendu visite aux quatre Parfaits.
7. Hui-dze et Kwang-dze : les grandes calebasses ; le baume protecteur des mains ; et le grand arbre Ailantus.
Par. 1. Nan-kwo Dze-khî en transe et son disciple. Les notes du ciel, de la terre et de l’homme.
4. « Le matin trois » : les singes et leurs glands.
7. Yâo et Shun, — sur le désir du premier de frapper quelques petits États.
9. Lî Kî avant et après son mariage.
10. La pénombre et l’ombre. Le rêve de Kwang-dze où il était un papillon.
[ p. 299 ]
Par. 2. Le roi Wän-hui et son cuisinier ; comment ce dernier dépeçait ses bœufs.
3. Kung-wän Hsien et le Maître de la Gauche qui n’avait qu’un pied.
4. La mort de Lâo-dze ; et le jugement défavorable sur sa vie.
Par. 1, 2. Yen Hui et Confucius ; — sur la proposition du premier d’aller convertir le souverain de Wei.
3, 4. Dze-kâo et Confucius ; — sur la mission du premier de Khû à Khî.
5. Yen Ho et Kü Po-yü ; — sur l’engagement du premier d’être le tuteur du fils rebelle du duc Ling de Wei.
6. Le maître mécanicien et le grand arbre, si grand et si vieux par son inutilité.
7. Nan-po Dze-khî et le grand arbre, préservé par son inutilité. Arbres des Song abattus pour leur bon bois. Particularités exemptant de la mort en tant que victimes sacrificielles.
8. L’objet déformé Shû et sa valeur.
9. Rencontre entre Confucius et le fou de Khû.
Par. 1. Confucius explique l’influence de l’infirme Wang Thâi sur le peuple de Lû.
2. Les condisciples Dze-khân et l’infirme Shän-thû Kiâ.
3. Confucius et Toeless de Shû-shan. jugement de Toeless et de Lâo-dze sur Confucius.
4. Duc Âi de Lû et Confucius ; — sur l’homme laid mais très capable et fascinant, Âi-thâi Tho. Admiration du duc Âi pour Confucius.
5. Les favoris déformés du duc Ling de Wei et du duc Hwan de Khî. Dispute entre Kwang-dze et Hui-dze, issue du récit que le premier en fait.
[ p. 300 ]
Par. 8. Nan-po Dze-khwei et Nü Yü, qui a vécu longtemps. Comment Pû-liang Î apprit le Tâo.
9. Quatre taoïstes, et la soumission de Dze-yü, l’un d’eux, un pauvre bossu difforme, à son sort, alors qu’il était très malade.
10. La soumission de Dze-lâi, un autre des quatre, alors que sa vie s’épuisait.
11. Trois taoïstes, et les voies de deux d’entre eux à la mort du troisième. Conversation à ce sujet entre Confucius et Dze-kung.
12. Confucius et Yen Hui sur le deuil de Mäng-sun Zhâi.
13. Î-r Dze et Hsü Yû. Comment le Tâo éliminera les blessures de l’erreur et régénérera l’esprit.
14. Confucius et Yen Hui. L’essor de ce dernier dans le taoïsme.
Par. 1. Nieh Khüeh, Wang Î et Phû-î-dze. Ce Shun était inférieur dans ses réalisations taoïstes à l’ancien souverain, Thâi.
2. Kien Wû et le reclus Khieh-yü ; — sur l’idéal du gouvernement.
3. Thien Kan et un homme sans nom : que la non-action est la manière de gouverner le monde.
4. Yang Dze-kü et Lâo Tan sur le gouvernement sans nom des Rois Intelligents.
5. Lieh-dze et son maître Hû-dze. Comment ce dernier a vaincu le sorcier de Käng.
6. La fin du Chaos, provoquée par les dieux des mers du sud et du nord.
Par. 4. Comment deux bergers esclaves perdent leurs moutons de différentes manières. Les cas correspondants du juste Po-î et du brigand Kih.
Par. 1. Meurtre du souverain de Khî par Thien Khäng-dze, et son usurpation de l’État.
2. Comment les hommes les meilleurs et les plus capables, tels que Lung-fäng, Pî-kan, Khang Hung et Dze-hsü, peuvent connaître une fin désastreuse et ne semblent avoir servi que les desseins d’hommes tels que le brigand Kih.
3. Des maux résultant d’hommes aussi capables que Zäng Shän, Shih Khiû, Yang Kû, Mo Tî, Shih Khwang, Khui et Lû Kû.
4. Caractère de l’âge de la Vertu Parfaite et des souverains qui y ont prospéré en contraste avec l’époque de Kwang-dze.
Par. 3. Zhui Khü et Lâo-dze. Ce dernier dénonce l’ingérence dans l’esprit, commencée avec Hwang-Tî, et la propagation du savoir, comme étant la cause de tous les maux.
4. Hwang-Tî et Kwang Khäng-dze, son maître, qui discourt sur le mystère du Tâo et sur la façon dont il favorise une longue vie.
5. Yün Kiang et Hung Mung, ou le Chef des Nuages et du Grand Éther ; — le souhait du premier de nourrir toutes choses, et comment elles seraient transformées par son inaction.
Par. 4. La perte et la récupération par Yâo de sa perle de couleur sombre : le Tâo.
5. Réponse de Hsü Yû à Yâo sur le caractère de Nieh Khüeh et son inaptitude à prendre la place de Souverain.
6. Yâo rejette les bons vœux que lui adresse le garde-frontière de Hwâ.
7. Yü et Po-khang Dze-kâo. Ce dernier justifie son renoncement à la dignité et son choix de se consacrer à l’agriculture.
9. Confucius et Lâo-dze ; — sur l’attitude envers le Tâo d’un grand sage et souverain. [ p. 302 ] 10. Kiang-lü Mien et Ki Khêh ; — sur le conseil que le premier avait donné au souverain de Lû.
11. Dze-kung et le vieux jardinier ; — argument de ce dernier en faveur de la simplicité primitive, et remarques à ce sujet par Confucius.
12. Kun Mâng et Yüan Fung ; — sur le gouvernement du sage ; de l’homme vertueux et bienveillant ; et de l’homme spirituel.
13. Män Wû-kwei et Khih-kang Man-khî ; — qu’il y avait eu confusion et désordre avant l’époque de Shun ; et le caractère de l’âge de la Vertu Parfaite.
Par. 6. Yâo et Shun ; — sur la méthode de gouvernement du premier.
7. Confucius, souhaitant déposer des écrits à la bibliothèque royale, est repoussé par Lâo-dze. Dispute entre eux sur la bienveillance et la droiture en relation avec la nature humaine.
8. Shih-khäng Khî et Lâo-dze ; — les étranges conférences entre eux, et les accusations portées l’un contre l’autre.
10. Le duc Hwan et le charron Phien ; — que le talent d’un art ne peut être transmis à un autre, et que l’esprit de la pensée ne peut être pleinement exprimé par écrit.
Par. 2. Tang, ministre de Shang, et Kwang-dze sur la nature de la bienveillance.
3. Pei-män Khäng et Hwang-Tî ;—une description de la musique de Hwang-Tî, le Hsien-khih.
4. Yen Yüan et Kin, le maître de musique de Lû, sur le cours de Confucius ; l’opinion de ce dernier selon laquelle il avait échoué et était sur le point d’échouer complètement.
5. Confucius et Lâo-dze. Le premier n’a pas encore obtenu le Tao, et Lâo-dze en explique la raison.
6. Confucius et Lâo-dze. Confucius parle de Bienveillance [ p. 303 ] et de Droiture ; et comment la situation se retourne contre lui. Il est profondément impressionné par l’autre.
7. Dze-kung, à la suite du rapport du Maître sur son entretien, va également voir Lâo-Sze ; il est déconcerté et sermonne par lui.
8. Confucius revoit Lâo-dze et lui raconte comment il a tiré profit de ses instructions. L’autre lui exprime sa satisfaction.
Par. 2. L’état d’Unité Parfaite et sa Décadence progressive.
Par. 1-7. Le Comte-Esprit des Ho et Zo de la Mer du Nord ; — sur diverses questions métaphysiques découlant de la doctrine du Tâo.
8. Le khwei, le mille-pattes, le serpent, le vent, l’œil et l’esprit ; comment ils avaient leurs différents pouvoirs, mais ne savaient pas comment.
9. Confucius en péril à Khwang est pourtant serein et plein d’espoir.
11. Kwang-dze refuse l’invitation du roi de Khû à prendre ses fonctions. La magnifique carapace du roi.
12. Hui-dze et Kwang-dze. Le jeune phénix et la chouette.
13. Hui-dze et Kwang-dze ; — comment Kwang-dze comprenait le plaisir des poissons.
Par. 2. Hui-dze et Kwang-dze ; — justification par ce dernier de son comportement lors de la mort de sa femme.
3. M. Déformé et M. Un-pied ; leur soumission sous la douleur et dans la perspective de la mort.
4. Kwang-dze et le crâne ; ce qu’il lui dit, et son apparition la nuit dans un rêve. [ p. 304 ] 5. La tristesse de Confucius au départ de Yen Hui pour Khî ; et sa défense de ce dernier auprès de Dze-kung. L’apparition d’un étrange oiseau chez Lû, et ses moralisations à son sujet.
6. Lieh-dze et le crâne. Les transmutations des choses.
Par. 2. Lieh-dze et Kwan Yin ; — sur les capacités de l’homme parfait.
3. Confucius et le bossu, qui était habile à attraper les cigales avec sa verge.
4. Le batelier sur le golfe de Khang-shan et son habileté.
5. Thien Khâi-kih et le duc Wei de Kâu : sur la meilleure façon de nourrir la vie supérieure. Comment elle fut illustrée par le maître de Thien et comment Confucius la mit en pratique.
6. L’officier du sacrifice et ses porcs à sacrifier.
7. Le duc Hwan tombe malade après avoir vu un esprit fantomatique et comment il a été guéri.
8. Le dressage d’un coq de combat.
9. Confucius et le nageur dans la gorge de Lü.
10. Khing, l’ouvrier du bois de rottlera et du cadre de la cloche ; comment il a réussi à le fabriquer comme il l’a fait.
11. Tung-yê Kî et sa conduite de char ;—comment ses chevaux sont tombés en panne.
12. L’habileté de l’artisan Shui.
14. Le faible Sun Hsiû et le Maître Dze-pien Khing-dze, avec ses disciples.
Par. 1. Kwang-dze et ses disciples : le grand arbre qui ne servait à rien et l’oie qui ne pouvait pas caqueter.
2. Î-liâo de Shih-nan et le marquis de Lû ; — comment le premier presse le marquis d’aller dans une utopie du taoïsme dans le sud, pour échapper à ses ennuis et à sa tristesse.
3. Pei-kung Shê et le prince Khing-kî ; — comment le premier collectait les impôts et faisait sonner les cloches.
4. Comment le Thâi-kung Zän a présenté ses condoléances à Confucius pour ses détresses et a essayé de le convertir au taoïsme. [ p. 305 ] 5. Confucius et Dze-sang Hû. L’effet taoïste de leur conversation sur le premier. La dernière charge de Shun à Yü.
6. Kwang-dze en haillons devant le roi de Wei. L’apologue du singe grimpeur.
7. Confucius et Yen Hui ; — à l’occasion de la situation périlleuse entre Khän et Zhâi. Confucius expose les principes qui l’ont soutenu.
8. Les expériences de Kwang-dze dans le parc de Tiâo-ling ont le caractère d’un apologue.
9. Les deux concubines de l’aubergiste : la belle détestée et la laide honorée.
Par. 1. Thien Dze-fang et le marquis Wän de Wei.
2. Wän-po Hsüeh-dze et les érudits des États du Milieu.
3. Confucius et Yen Hui ; — sur l’incompréhensibilité pour ce dernier du cours du Maître.
4. Conversation entre Confucius et Lâo-dze sur le commencement des choses.
5. Kwang-dze et le duc Âi de Lû ; — sur la tenue du savant.
6. Pâi-lî Hsî.
7. Le duc de Sung et ses dessinateurs de cartes.
8. Le roi Wän et le vieux pêcheur de Zang. Confucius et Yen Hui sur le rêve du roi Wän sur le pêcheur.
9. Le tir à l’arc de Lieh-dze et Po-hwän Wû-zän.
10. Kien Wû et Sun Shû-âo, l’Homme Véritable. Récit de Confucius sur l’Homme Véritable. Le roi de Khû et le souverain de Fan.
Par. 1. Connaissance, Inaction muette, Bègue obstiné et Hwang-Tî sur le Tâo.
3. Nieh Khüeh interrogeant Phei-î à propos du Tâo.
4. Shun et son ministre Khäng ; cet homme ne lui appartient pas. [ p. 306 ] 5. Confucius et Lâo Tan ; sur le Tâo Parfait.
6. Question de Tung-kwo Dze à Kwang-dze sur l’endroit où se trouvait le Tâo, et la réponse.
7. Â-ho Kan, Shän Näng, Lâo-lung Kî, Yen Kang ;—Grande Pureté, Infinitude, Ne rien faire et Sans-début :—sur ce qu’est le Tâo.
8. Lumière des étoiles et non-entité.
9. Le ministre de la Guerre et son forgeron d’épées.
10. Zin Khiû et Confucius ; — comment c’était avant le ciel et la terre.
11. Confucius et Yen Hui : — Aucune manifestation à accueillir, aucun mouvement à rencontrer.
Par. 1. Käng-sang Khû et les habitants de la colline Wei-lêi.
2. Käng-sang Khû et ses disciples. Il rejette toute comparaison avec Yâo et Shun.
3. Käng-sang Khû et le disciple Nan-yung Khû.
4-12. Lâo-dze enseigne à Nan-yung Khû les principes du taoïsme.
Par. 1, 2. Hsü Wû-kwei, Nü Shang et le marquis Wû de Wei : discours de Hsü au marquis.
3. Hwang-Tî, accompagné de six sages, en quête du Tâo, rencontre un garçon sage qui garde des chevaux.
5. Débat entre Kwang-dze et Hui-dze, illustrant la sophistique de ce dernier.
6. L’artisan Shih nettoie le nez d’une statue avec le vent de sa hache ; mais refuse d’essayer son habileté sur un sujet vivant.
7. Conseils de Kwan Kung sur son lit de mort au duc Hwan de Khî sur le choix de son successeur.
8. Le roi de Wû et le singe rusé. Sa leçon de sa mort à Yen Pû-î.
9. Nan-po Dze-khî et son serviteur Yen Khäng-dze.
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La transe est le résultat le plus élevé du Tâo. Leçon pratique à en tirer.
10. Confucius à la cour de Khû en compagnie de Sun Shû-âo et Î-liâo.
11. Dze-khî, et ses huit fils, avec le physionomiste Kiû-fang Yän.
12. Nieh Khüeh rencontre Hsü Yû fuyant la cour de Yâo.
Par. 1. Zeh-yang cherchant à se présenter au roi de Khû. Î Kieh, Wang Kwo et le reclus Kung-yüeh Hsiû.
3. L’ancien souverain Zän-hsiang ; Thang, le fondateur de la dynastie Shang ; Confucius ; et Yung-khäng Dze.
4. Le roi Yung de Wei et ses conseillers : sur son désir et ses plans pour se venger de Thien Mâu de Khî. Tâi Zin-zän et son apologue sur les cornes d’un escargot.
5. Confucius et le reclus de la fourmilière de Khû.
6. Les leçons du garde-frontière de Khang-wû à Dze-lâo. Leur application par Kwang-dze.
7. Lâo-dze et son disciple Po Kü : — que les interdictions de la Loi incitent à la transgression.
8. La conversion au taoïsme de Kü Po-yü.
9. Confucius et les historiographes ; — à propos du titre honorifique du duc Ling de Wei.
10. Petites connaissances et bon harmonisateur : — sur le discours des hameaux et des villages.
11. Sur l’absence de nom du Tâo ; et que Tâo n’est qu’un nom emprunté ou métaphorique.
Paragraphe 2. Contre le fait de retarder une bonne action lorsqu’on est en son pouvoir. Apologue de Kwang-dze rencontrant un gobie sur la route.
3. Le gros poisson pêché par le fils du duc de Zän.
4. Les étudiants résurrectionnistes. [ p. 308 ] 5. Comment Lâo Lâi-dze a réprimandé Confucius.
6. Le rêve du souverain Yüan de Sung à propos d’une tortue.
7. Hui-dze et Kwang-dze ; — sur l’utilité d’être inutile.
11. Illustrations du mal qui résulte d’un excès d’action ou d’une action trop soudaine.
Par. 2. Kwang-dze et Hui-dze sur Confucius : a-t-il changé d’avis au cours de sa soixantième année ?
3. Confucius et ses autres disciples : — sur Zäng-dze et ses deux prises de fonctions avec des états d’esprit différents.
4. Yen Khing Dze-yû raconte à son Maître Tung-kwo Dze-khî ses accomplissements progressifs.
5. Les pénombres et les ombres.
6. L’enseignement de Yang Dze-khî par Lâo-dze et ses effets sur lui.
Par. 1. Les offres de trône de Yâo à Hsü Yû et Dze-kâu Kih-fû. Shun en offre à Dze-kâu Kih-po, à Shan Küan et au fermier de Shih-hû. Thâi-wang Than-fû et les tribus du nord. Prince Sâu de Yüeh.
2. Conseil de Dze-hwâ Dze au marquis Kâo de Han.
3. Le souverain de Lû et le taoïste Yen Ho, qui se cache des avances de l’autre.
4. Lieh-dze et sa femme, après avoir refusé un cadeau du souverain de Käng.
5. Le boucher de moutons Yüeh, à l’esprit élevé et résolu, et le roi Kâo de Khû.
7. Le prince Mâu de Kung-shan, vivant retiré, n’était pas loin du Tâo.
8. Confucius et les disciples Yen Hui, Dze-lû et Dze-kung, pendant la période périlleuse entre Khän et Zhâi. [ p. 309 ] 9. Shun et le nordiste Wû-kâi qui refuse le trône. Thang, et Pien Sui et Wû Kwang, qui tous deux le refusèrent.
10. Le cas des frères Po-î et Shû-khî, qui refusèrent les offres du roi Wû.
Par. 1. La visite de Confucius au brigand Kih, et l’entrevue entre eux.
2. Dze-kang et Mân Kâu-teh (M. Plein de Gain-obtenu sans réfléchir) sur la poursuite de la richesse.
3. M. Insatisfait et M. Connaisseur ; sur la poursuite et l’effet des richesses.
Comment Kwang-dze s’est occupé du roi de Kâo et de ses épéistes, guérissant le roi de son amour du combat à l’épée. Les trois épées.
Confucius et le vieux pêcheur ; y compris l’histoire de l’homme qui a essayé de fuir son ombre.
Par. 1. Lieh-dze et les conséquences de la sur-manifestation de ses qualités attirantes. L’échec des avertissements de son maître.
2. Le triste sort de Hwan de Käng, un confucianiste, qui en voulait à son père de prendre parti pour son frère mohiste.
5. Kû Phing-man et son massacre du dragon.
8. Réprimande de Kwang-dze ou de Zhâo Shang pour avoir flatté le roi de Sung et ainsi obtenu des cadeaux de sa part.
9. Description du duc Âi de Lû de Confucius par Yen Ho comme inapte à se voir confier le gouvernement.
11. Khâo-fû le Correct, et son humilité.
12. Réprimande de Kwang-dze à l’encontre de l’homme qui se vantait d’avoir reçu des chars du roi de Song, et comparaison de celui-ci avec le garçon qui avait volé une perle sous le menton du Dragon Noir pendant son sommeil. [ p. 310 ] 13. Kwang-dze décline l’offre de dignité officielle. Apologue du bœuf sacrificiel.
Par. 1. La méthode du Tâo jusqu’à l’époque de Confucius.
2. La méthode de Mo Tî et de ses disciples immédiats.
3, 4. La méthode des disciples ultérieurs de Mo.
5. La méthode de Kwan Yin et de Lâo-dze.
6. La méthode de Kwang-dze.
7. Les voies de Hui Shih, Kung-sun Lung et d’autres sophistes.
Annexe V. Analyses de Lin Hsî-kung sur plusieurs livres de Kwang-dze | Page de titre | Annexe VII. La tablette de pierre du temple de Lao-Dze. Par Hsieh Tao-Häng de la dynastie Sui |