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1. Je prie avec bénédictions pour un bienfait et pour le bien, même pour toute la création sainte (et pure) ; je les implore pour la (génération qui est) maintenant vivante, pour celle qui vient de naître [^1217], et pour celle qui sera dans l’au-delà. Et (je prie pour cette) sainteté qui mène à la prospérité, et qui a longtemps offert un abri [^1218], qui va de pair avec elle [^1219], qui la rejoint dans sa marche, et devenant d’elle-même son proche compagnon alors qu’elle délivre ses préceptes, (2) portant toutes les formes de vertus curatives qui nous viennent dans les eaux [^1220], appartiennent au bétail, ou se trouvent dans les plantes, et surmontant toute la malice nuisible des Daêvas, (et de leurs serviteurs) qui pourraient nuire à cette demeure [^1221] et à son seigneur, (3) apportant de bons cadeaux, et de meilleures bénédictions, donnés très tôt, et plus tard (des cadeaux), conduisant au succès, et offrant un abri pendant longtemps [^1222]. Ainsi, les plus grands, les meilleurs et les plus beaux bienfaits de la sainteté nous reviennent également (4) pour le sacrifice, l’hommage, la propitiation et la louange des Immortels Généreux, pour la prospérité de cette demeure et pour la prospérité de toute la création sainte, [ p. 293 ] et pure, (et quant à cela, ainsi) pour l’opposition de toute la création mauvaise. (Et je prie pour cela) en louant par la Justice, moi qui suis bienfaisant, choisi qui suis (également d’un meilleur esprit) [^1223]. 5-8. (Voir Y. VIII, 5-8.) (Pour Y. LIII, voir Gâthas, pp. 190-194.)