Dans les Ajusteurs, Dieu fraternise avec l’homme. Un fragment de Dieu réside dans l’homme.
A. Fraterniser : « S’associer ou avoir une communion avec des frères ou dans des conditions de camaraderie ; avoir des sentiments fraternels.
B. Résidence : « Avoir un lieu d’habitation ; être présent en tant qu’élément; inhérent comme une qualité; être investi comme un droit - principalement à l’intérieur.
Chaque mortel à l’esprit normal et moralement conscient possède un tel fragment de Dieu.
RÉFÉRENCE : LU 5:1.10 — « Le Père ne se cache pas… »
COMMENTAIRE
Dieu ne se cache pas ; nous nous cachons loin de lui dans les brumes de notre propre égoïsme, perversité et intolérance.
¶ XI. LU 5:1.11 — « L’homme mortel peut s’approcher… »
RÉFÉRENCE : LU 5:1.11 — « L’homme mortel peut s’approcher… »
COMMENTAIRE
L’homme mortel peut abandonner Dieu plusieurs fois et revenir tant qu’il a le pouvoir de choisir.
A. Différence entre les maladies aiguës et chroniques.
B. Formation d’habitudes.
C. Délai de choix irrévocable. Fusion de l’Ajusteur de Pensée.
D. Le cas de Lucifer.
Le destin de l’homme n’est scellé que lorsqu’il a perdu le pouvoir de choisir.
Dieu ne ferme jamais son cœur. C’est l’homme qui ferme son cœur à toutes les influences divines.
L’homme n’est perdu que lorsqu’il refuse de faire la volonté de Dieu.
A. Conscience de Dieu—connaître Dieu.
B. L’unité de Dieu—la justice.
(1) Divinité de caractère.
(2) Porter des fruits de l’esprit.
(3) Unité avec l’Ajusteur.
La fusion de l’Ajusteur assure la destinée éternelle de l’homme. La décision est irrévocable. Remarque : Le statut de « choix irrévocable » se rapporte au statut de salut ainsi qu’à celui de destruction. C’est:
- A. Lucifer ne peut pas (ne veut pas) se repentir.
- B. Un mortel fusionné avec un Ajusteur ne peut pas (ne veut pas) pécher.
- C. La différence vitale : Dans un cas, le libre arbitre cesse de fonctionner. Dans l’autre, elle opère encore, mais s’est éternellement spiritualisée.
Dieu donne une partie de son moi infini pour vivre dans l’homme. Remarque : la différence entre l’individualité et la personnalité. L’Ajusteur de Pensée ne fait pas partie de la personnalité du Père, mais est une partie de lui-même. L’Ajusteur a l’individualité – l’individualité – mais pas la personnalité.
Dieu s’est embarqué avec nous dans l’aventure éternelle.
Si nous cédons à nos assistants spirituels, nous ne pouvons manquer d’atteindre notre destinée paradisiaque.
Le secret du salut consiste à « se plier aux directives de l’esprit ».
A. L’esprit conduit—ne pousse ni ne contraint—choisir librement.
B. Après avoir cédé, vous ne pouvez pas échouer.
C. La survie - si vous la voulez - est sûre, certaine et simple.
D. Ce serait facile s’il n’y avait pas les doutes nés de la peur.
La présence physique de Dieu est la réalité du cosmos matériel. Remarque : Dieu a une présence physique ainsi qu’une présence mentale, spirituelle, de personnalité et d’individualité (Ajusteur).
La présence mentale de la déité est déterminée par la profondeur de la mentalité et le niveau de personnalité.
La présence spirituelle est déterminée par la capacité spirituelle de réceptivité et de dévouement à la volonté du Père.
La spiritualité dépend de deux conditions :
A. Capacité réelle de réceptivité spirituelle. Factuel et littéral. Dépendance aux antécédents.
B. Consécration de la volonté de la créature—le libre arbitre au niveau spirituel—à faire la volonté du Père. Définitions :
(1) CONSACRER : Consacrer—consacrer à un but.
(2) DÉDIÉ : Se consacrer exclusivement au service d’adoration d’un être divin.
Les Fils du Paradis ont toujours accès à la « main droite du Père ».
Faisons une étude de la « droite de Dieu » dans la Bible :
Moïse dans son discours d’adieu a dit : Deut 33:2. « ‘Le Seigneur est venu du Sinaï… avec un feu flamboyant à sa droite.’ » Symbole d’autorité. Ps 20:6. « Je sais que le Seigneur aidera son oint… avec de grandes victoires par sa main droite. » Symbole de puissance. Ps 63:8. « Mon âme s’attache à toi ; ta droite me soutient. Symbole de sécurité. Isa 62:8. « Le Seigneur a juré par sa droite et par son bras puissant. » Symbole de la force fiable. Matthieu 26:64. « ’ Désormais, vous verrez le Fils de l’homme assis à la droite de la Puissance. Remarque : C’est le pouvoir associé de Dieu le Père et de Dieu le Fils Créateur. Symbole de souveraineté. Marc 16:19. « Ainsi donc, le Seigneur Jésus, après leur avoir parlé, fut enlevé au ciel et s’assit à la droite de Dieu. »
Pierre, dans son discours sur cette élévation de Jésus, a dit : Actes 2:33. « Etant donc exalté à la droite de Dieu. »
Paul envisageait Jésus comme demeurant à la droite du Père—probablement jusqu’à sa seconde venue. Voir Rom 8:34. « C’est le Christ Jésus… qui est à la droite de Dieu, qui intercède en effet pour nous. »
Le fait que Paul ait conçu la « main droite de Dieu » comme symbole de la souveraineté de l’univers est montré dans Eph 1:20-22. « Lorsqu’il l’a ressuscité d’entre les morts et l’a fait asseoir à sa droite dans les lieux célestes, bien au-dessus de toute règle, autorité, pouvoir et domination, et au-dessus de tout nom qui est nommé, non seulement en ce siècle, mais aussi en celui qui est à venir; et il a tout mis sous ses pieds et a fait de lui le chef de toutes choses.
Après tout, Paul comprenait le but réel de l’effusion. La déformation théologique de la doctrine de l’expiation était une tentative de compromis pour convertir les Juifs.
D’autres textes qui montrent la croyance que Jésus est maintenant assis à la « droite de Dieu » sont : Col 3:1. « Si donc vous êtes ressuscités avec Christ, cherchez les choses d’en haut, là où Christ est assis à la droite de Dieu. » Héb 12:2. « Regardant vers Jésus, le pionnier et le perfectionneur de notre foi, qui, pour la joie qui lui était réservée, a enduré la croix, méprisant la honte, et est assis à la droite du trône de Dieu. » Remarque : Dans la philosophie paulinienne, la main droite de Dieu est Salvington, siège de l’univers local de Nébadon. Remarque : Il est d’usage de lever la main droite en prêtant serment.
« Le sein du Père » fait référence au circuit de la personnalité de Dieu, peu importe où la communion peut avoir lieu.
La présence divine est mieux réalisée en communion avec l’Ajusteur.
Ne rêvez pas de Dieu au loin dans les cieux alors qu’il vit en vous.
¶ IV. LU 5:2.4 — « À cause de ce fragment de Dieu… »
RÉFÉRENCE : LU 5:2.4 — « À cause de ce fragment de Dieu… »
COMMENTAIRE
Les Ajusteurs nous aident à utiliser toutes les influences spirituelles qui nous entourent.
Être plus ou moins inconscient de la présence de l’Ajusteur ne réfute pas sa réalité.
Une expérience spirituelle exceptionnelle peut se produire à un niveau si élevé dans le supraconscient qu’elle est totalement au-delà de la conscience consciente, tout comme de nombreuses expériences humaines transpirent si profondément dans le subconscient qu’elles échappent à toute reconnaissance consciente par les niveaux pensants de l’esprit.
La preuve de fraternité avec l’Ajusteur consiste dans « les fruits de l’esprit ». Matthieu 7:20. « Ainsi vous les reconnaîtrez à leurs fruits. »
Luc 6:44. « Chaque arbre est connu par son propre fruit. »
« Les fruits de l’esprit sont la substance du Suprême tel qu’il est réalisable dans l’expérience humaine. » LU 117:6.17
« Les fruits de l’esprit, votre service sincère et aimant, sont le puissant levier social pour élever les races des ténèbres, et cet Esprit de Vérité deviendra votre point d’appui multiplicateur de pouvoir. » LU 178:1.6
Fruits de l’esprit dans la version King James—Gal 5:22
Amour Joie Paix Longanimité Douceur Bonté Foi Douceur Tempérance
Fruits de l’esprit dans la version révisée.
Amour Joie
Paix Patience Bonté Bonté Fidélité Douceur Maîtrise de soi
Dans Le Livre d’UrantiaLU 34:6.13 Exactement la même chose que dans la version King James—Gal 5:22
Comme résumé dans LU 56:10.20 dans The Urantia Book.
Paix intellectuelle Progrès social Satisfaction morale Joie spirituelle Sagesse cosmique Remarque : la bonté se trouve dans quatre listes ; la paix est dans les cinq.
RÉFÉRENCE : LU 5:3.1 — « Du point de vue universel,… »
COMMENTAIRE
Il y a une différence entre les Déités dans des domaines tels que la prière, la communion et l’adoration.
En dernière analyse, nous adorons le Père Universel – et lui seul.
Il est vrai que nous adorons aussi le Père tel qu’il est révélé dans ses Fils Créateurs.
¶ II. LU 5:3.2 — « Les suppliques de toutes sortes… »
RÉFÉRENCE : LU 5:3.2 — « Les suppliques de toutes sortes… »
COMMENTAIRE
Les supplications appartiennent au royaume du Fils Éternel.
Les prières (et non l’adoration et le culte) appartiennent à l’univers local – au royaume du Fils Créateur.
Quelle est la différence entre la supplication et la prière ?
A. Supplication. Acte de supplication humble et sincère. Prière pour la miséricorde, l’aide ou une bénédiction. Implorer Dieu, implorer, demander, importuner, solliciter, implorer, mendier.
B. Prière. Une demande sincère à quelqu’un pour quelque chose. Une supplication. L’acte de s’adresser à la Divinité. Une requête à Dieu.
Il semble y avoir trois niveaux concernés dans cette discussion.
A. Supplication : Les niveaux inférieurs de communion consciente et formelle avec la Déité. L’expression moins articulée et plus spontanée de la dépendance de la créature vis-à-vis du Créateur. Le type d’adresse de divinité le plus ** émotionnel **.
B. Prière : Le niveau supérieur de communication avec la Déité. L’appel plus intellectuel et mieux formulé de l’homme à Dieu. Un groupe pouvait difficilement supplier, mais ils pouvaient se mettre d’accord sur une prière.
C. Adoration : Le type le plus élevé de communion avec la Déité. Le type plus spirituel d’adresse à Dieu. Peut avoir un contenu à la fois émotionnel et intellectuel, mais est principalement spirituel. Le culte ne cherche et ne demande rien de spécifique pour l’adorateur.
L’adoration est reconnue par l’Ajusteur et transmise au Père par le circuit de sa personnalité. Question : Comment fonctionne une entité prépersonnelle sur un circuit de personnalité ? L’Ajusteur doit agir en tant que vice-gérant de la personnalité humaine.
Autres significations de mots :
A. Hommage. Cérémonie publique solennelle par laquelle un homme reconnaît qu’il est l’homme d’un seigneur et promet foi et soutien en échange de la protection de son seigneur.
B. Adoration. Acte de rendre des honneurs divins à la Divinité. L’adoration ou la révérence rendue à Dieu. Adorer, vénérer, révérer.
Ainsi, tous les types de fragments de Père sont capables d’enregistrer l’adoration de leurs sujets en présence du Père Universel.
Les Ajusteurs peuvent également utiliser les canaux prépersonnels et le circuit de gravité spirituelle du Fils Éternel. Question : Quels sont les canaux de communication prépersonnels ? Probablement l’omniprésence de Dieu.
RÉFÉRENCE : LU 5:3.8 — « L’expérience d’adoration… »
COMMENTAIRE
Dans l’adoration, l’Ajusteur tente d’exprimer les aspirations de l’âme humaine.
Il doit y avoir deux phases de culte :
A. Le conscient - l’élévation spirituelle de l’esprit de l’homme.
B. Le supraconscient — la tentative de l’Ajusteur de dire à Dieu le statut et l’attitude de l’âme en évolution.
Il y a trois phases dans la relation de l’homme à son Créateur :
A. Supplication—son expression émotionnelle.
B. La prière—la vie intellectuelle.
C. Culte—expression de l’âme. Spirituel. (Morontiel ?)
Compte tenu de tout, il n’est pas étonnant que le culte soit en grande partie inconscient.
Notez que l’âme en évolution éprouve « des désirs inexprimables et des aspirations inexprimables ». (Voir Rom 8:26)
L’Ajusteur ne réussit pas toujours dans ses efforts, mais il essaye.
L’adoration est l’acte de l’esprit qui consent à la tentative de l’âme sous la direction de l’Ajusteur de communiquer avec le Père Universel en tant que fils de foi.
Notez les étapes du culte :
A. L’esprit matériel conscient agit.
B. Cet acte d’esprit—et non la pensée, le souhait ou le désir—consiste à assentiment à quelque chose.
C. Ce quelque chose est : La tentative de l’âme (son moi spiritualisant) de communiquer avec Dieu.
D. Cette âme communique donc comme « un fils de foi » du Père Universel.
E. Le mental consent à cette aventure avec la compréhension que toute la transaction sera effectuée « sous la direction » de l’Ajusteur - « l’esprit associé ».
Ainsi, la technique d’adoration est exécutée au moyen de ce qui suit :
A. L’esprit mortel consent à adorer.
B. L’âme immortelle aspire au culte.
C. L’Ajusteur divin conduit ce culte.
D. Tout cela est au nom de l’esprit mortel et de l’âme immortelle en évolution.
La véritable adoration, en dernière analyse, devient une expérience réalisée sur quatre niveaux cosmiques :
A. L’intellectuel.
B. Le morontiel.
C. Le spirituel.
D. Le personnel.
Et tout cela englobe la conscience de l’esprit, de l’âme et de l’esprit - et leur unification dans et en tant que personnalité.
L’adoration en relation avec le mysticisme.LU 100:5.10
Culte dans la Bible.
A. Culte privé. Ps 111:1. « Je rendrai grâce au Seigneur de tout mon cœur. » Phil 3:3. « Qui adorent Dieu en esprit. (Jean 4:23) Ps 7:17. « Je rendrai au Seigneur les actions de grâces dues à sa justice. » Ps 29:2. « Adorez le Seigneur dans une sainte tenue. » Remarque : Les psaumes de louange sont : 100, 104, 113-118, 136, 145, [150](/en /Bible/Psaumes/150).
B. Culte public. Ps 22:22. « Au milieu de l’assemblée, je te louerai. » Ps 89:5. « Que les cieux louent tes merveilles, ô Seigneur, ta fidélité dans l’assemblée des saints. » Ps 5:7. « J’entrerai dans ta maison, j’adorerai vers ton saint temple. » Luc 18:10. “‘Deux hommes sont montés dans le temple pour prier.’” Héb 10:25. « Ne pas négliger de se rencontrer. » Ps 107:32. « Qu’ils le célèbrent dans l’assemblée du peuple, et qu’ils le louent dans l’assemblée. Remarque : La louange et l’adoration font partie de l’adoration, mais le mot « adoration » n’apparaît pas dans la version King James. La louange est une attitude qui se situe quelque part entre la prière et l’adoration, et est liée à l’action de grâce.
RÉFÉRENCE : LU 5:4.1 — « La moralité des religions »
COMMENTAIRE
La religion évolutionnaire conduit les hommes à rechercher Dieu à cause de la peur.
Les religions de la révélation séduisent les hommes à chercher Dieu parce qu’ils aspirent à devenir comme lui.
La religion n’est pas seulement un sentiment de sécurité passive, c’est une expérience dynamique d’atteinte de la divinité fondée sur le service à l’humanité.
RÉFÉRENCE : LU 5:4.3 — « Dieu n’est pas seulement… »
COMMENTAIRE
Dieu est le décideur du destin—il est le destin de l’homme.
Sans religion, l’homme cherche à plier l’univers à son service ;
avec la religion l’homme se plie au service de l’univers.
¶ IV. LU 5:4.4 — « Les domaines de la philosophie… »
RÉFÉRENCE : LU 5:4.4 — « Les domaines de la philosophie »
COMMENTAIRE
L’art et la philosophie fonctionnent dans le domaine entre la science et la religion, orientant l’homme vers des réalités spirituelles et des significations éternelles.
¶ V. LU 5:4.5 — « Toutes les religions enseignent… »
RÉFÉRENCE : LU 5:4.5 — « Toutes les religions enseignent… »
COMMENTAIRE
Toutes les religions enseignent le culte de la Divinité et un plan de salut humain.
Quelle est la promesse religieuse :
A. Bouddhiste—Paix, salut de la souffrance.
B. Juif—Prospérité, salut des difficultés.
C. Grec—Beauté, salut de la discorde.
D. Chrétien — Sainteté, salut du péché.
E. Islam — Délivrance des normes morales rigoureuses du judaïsme et du christianisme.
La religion de Jésus est :
A. Le salut de soi.
B. Délivrance de l’isolement de l’individualité dans le temps et l’éternité.
La religion de Jésus n’est pas simplement la promesse de quelque chose - c’est ** quelque chose.
Le plus grand mal du temps et de l’éternité est l’isolement de soi.
RÉFÉRENCE : LU 5:5.1 — « L’origine de la moralité… »
COMMENTAIRE
Alors que la morale est suranimale, elle est entièrement d’origine évolutive. Remarque : La moralité n’est pas simplement une attitude sexuelle.
L’évolution humaine jouit du ministère de toutes les dotations antérieures à l’effusion des Ajusteurs et de l’Esprit de Vérité. Remarque : Les Porteurs de Vie ont replié les schémas évolutifs - nous les observons se dérouler.
RÉFÉRENCE : LU 5:5.6 — « L’expérience religieuse… »
COMMENTAIRE
L’expérience religieuse, étant spirituelle, n’est pas pleinement comprise par l’esprit matériel - d’où la théologie - la psychologie de la religion.
Le paradoxe de la religion est l’immanence et la transcendance de Dieu.
Définitions : IMMANENCE : Livre d’Urantia. Dieu à l’intérieur et une partie de chaque individu. Webster. La présence permanente de Dieu dans le monde, y compris l’homme.
Notez les différents concepts d’idéalistes, de réalistes et de panthéistes. Les théistes soutiennent que Dieu est plus présent dans le personnel que dans l’impersonnel. TRANSCENDANCE : Livre d’Urantia. La domination divine de l’univers des univers. Webster. Relation de Dieu à l’univers des choses physiques et des esprits finis, comme étant, dans sa nature essentielle, antérieur à lui. Exalté au-dessus de lui, et ayant un être réel en dehors de lui.
Ces concepts de Déité – immanence et transcendance – sont unifiés par la foi, par le culte et l’espoir de survie.
Les paradoxes de la religion dérivent du fait que de telles réalités sont au-delà de la compréhension mortelle.