13:5:1
13:5:1:11. Puis, le lendemain, il y a (utilisé) le Stoma (forme de chant) de Gotama augmentant successivement de quatre (verset) [^976] : le Bahishpavamâna en est à quatre, l’Âgya (stotras) à huit, le Mâdhyandina Pavamâna à douze, le Prishtha (stotras) à [ p. 376 ] seize, l’Ârbhava Pavamâna à vingt, et l’Agnishtoma-sâman à vingt-quatre (verset).
13:5:1:22. Or, certains font de son Agnishtoma-sâman un Sâman de quatre (versets), en disant : « Ce n’est ni un Agnishtoma, ni un Ukthya [^977]. » S’ils le font, qu’on loue (le Hotri), [ p. 377 ] après avoir récité ensemble le Stotriya [^978] (strophe), récitez ensemble l’Anurûpa (strophe) : le Rathantara Prishtha-sâman [1], le Sastra contenant le Rathantara (texte) et le sacrifice d’Agnishtoma — il s’assure ainsi de ce monde.
13:5:1:33. « Il y a vingt et une victimes Savanîya [2], toutes sacrées pour Agni : pour celles-ci il y a une seule et même performance », disent certains ; mais, en effet, il devrait immoler deux groupes de onze (victimes), en vue d’obtenir tout objet désiré qui pourrait être dans (des victimes) appartenant à un groupe de onze.
13:5:1:44. Lorsque l’Agnishtoma est achevé et que l’eau Vasatîvarî est portée, l’Adhvaryu accomplit les Annahomas [3] (oblations de nourriture) : leur signification a été expliquée. Avec douze [ p. 378 ] Anuvâkas (Vâg. S. XXII, 23-34), « À la grêle inspirée ! À la grêle expirée ! » (propose-t-il) — douze mois sont une année, et l’année est tout, et l’Asvamedha est tout : il en est ainsi pour lui pour obtenir et sécuriser tout.
13:5:1:55. Le jour central est un jour ekavimsa [4] ; car le vingt et unième est ce soleil-là, et il est l’Asvamedha : au moyen de son propre Stoma il l’établit ainsi dans sa propre déité, — c’est donc un jour ekavimsa.
13:5:1:66. Et, encore une fois, quant à la raison pour laquelle c’est un jour ekavimsa ; l’homme est vingt et un fois — dix doigts, dix orteils, et le corps (soi) comme le vingt et unième : au moyen de ce soi vingt et un fois il l’établit ainsi dans le vingt et unième (jour) comme sur une fondation solide, — c’est donc un jour ekavimsa.
13:5:1:77. Et, encore une fois, quant à la raison pour laquelle c’est un jour d’ekavimsa ; l’ekavimsa, assurément, est le fondement de Stomas, et multiple est cette performance toujours variable qui a lieu ce jour-là, — et c’est parce qu’il pense que cette performance multiple et toujours variable qui a lieu ce jour-là, aura lieu de manière à être établie sur l’ekavimsa comme un fondement solide, que c’est un jour d’ekavimsa.
13:5:1:88. Maintenant, en ce qui concerne le service du matin de ce jour. Le Hotri, ayant récité comme Âgya (hymne [5]) dans le Paṅkti (mètre) « Je pense à Agni, qui est bon… », récite celui d’un sacrifice de Soma d’un jour [ p. 379 ] [6]. Il récite le Bârhata Praüga et le Mâdhukhandasa ensemble [7] en triolets, pour obtenir les objets de désir contenus dans le Bârhata et le Mâdhukhandasa Praüga. L’office du matin est ainsi réglé.
13:5:1:99. Quant au service de midi, pour l’obtention de l’Asvamedha, l’atikhandas (verset II, 22, 1), « Dans les trois abreuvoirs, le buffle but la potion d’orge », est le verset d’ouverture du Marutvatîya (sastra) ; car cet atikhandas (verset hypercatalectique) est remarquable parmi les mètres, et l’Asvamedha est remarquable parmi les sacrifices. Ce (verset), récité trois fois, équivaut à un triplet, et ainsi il obtient l’objet du désir qui (peut être contenu) dans le triplet. « Ici, ô bon, est la plante pressée » (Rig-veda VIII, 2, 1-3) est l’« anukara » (triplet séquentiel) : ce même (triplet) est le lien constant [ p. 380 ] du sacrifice d’un jour [8]. Après avoir récité à la fois le paṅkti (versets, I, 80, 1-16) « Ici seul dans le breuvage de Soma (le Brahman t’a donné de la force) », et les six pieds (VIII, 36, 1-7) « Tu es le patron de l’offrant de Soma », il insère le Nivid dans (l’hymne) du sacrifice d’un jour. Ainsi en est-il du Marutvatîya (-sastra).
13:5:1:1010. Ensuite, quant au Nishkevalya (-sastra [9]). Les Mahânâmnî (versets) sont les Prishtha (-stotra) ; et il les récite avec les anurûpa (versets) et les pragâtha (-strophes), pour l’obtention de tous les objets de son désir, car dans les Mahânâmnîs, ainsi que dans l’Asvamedha, sont contenus tous les objets du désir. Après avoir récité les versets paṅkti (I, 81, 1-9) « Indra a grandi en ivresse et en force », et les versets à six pieds (VIII, 37, 1-7) « Tu as protégé cette œuvre sacrée dans les combats avec Vritra », il insère le Nivid dans l’hymne du sacrifice d’un jour [10]. Le service de midi est ainsi corrigé.
13:5:1:1111. Quant au service du soir, le verset atîkhandas (Vâg. S. IV, 25), « À ce dieu Saviri dans les deux bols (je chante des louanges [11]), » est le verset d’ouverture [12] du Vaisvadeva(-sastra [13]) : sa portée mystique est la même que celle du précédent (verset atikhandas). L’Anukara [14] (Rig-veda I, 24, 3-5), « À toi (abhi), (le seigneur des trésors), ô dieu Saviri, (toujours secourables nous venons pour notre part…), » contient (le mot) « abhi », comme forme (signe) de victoire (abhibhûti). Après avoir récité le Sâvitra (triplet, VI, 71, 4-6), « Se leva ce dieu Saviri, l’ami de la maison… », il insère le Nivid dans (l’hymne) du sacrifice d’un jour [15]. Après avoir récité les quatre versets au Ciel et à la Terre (IV, 56, 1-4), « Le puissant Ciel et la Terre, le plus glorieux, ici… .', il insère le Nivid dans l’hymne I, 159 du sacrifice d’un jour. Après avoir récité l’Ârbhava (hymne IV, 34), ‘Ribhu, Vibhvan, Indra, Vâga, venez à ce notre sacrifice . . .,’ [ p. 382 ] il insère le Nivid dans l’hymne I, 111 du sacrifice d’un jour. Après avoir récité l’hymne V, 41 aux Tous-Dieux, ‘Qui est juste pour vous, Mitra et Varuna ? . . .’, il insère le Nivid dans l’hymne (I, 89) du sacrifice d’un jour. Ainsi en est-il du Vaisvadeva (-sastra).
13:5:1:1212. Ensuite, quant à l’Âgnimâruta [16]. Après avoir récité l’hymne VI, 7 à Agni Vaisvânara, « Le chef du ciel et le maître de la terre… », il insère le Nivid dans l’hymne III, 3 du sacrifice d’un jour. Après avoir récité l’hymne V, 57 aux Maruts, « Ici, ô Rudras, venez unis à Indra… », il insère le Nivid dans l’hymne I, 87 du sacrifice d’un jour. Après avoir récité les neuf versets (VI, 15, 1-9) à Gâtavedas : « Ton hôte, celui qui se réveille tôt… », il insère le Nivid dans l’hymne I, 143 du sacrifice d’un jour. Et si les hymnes du sacrifice d’un jour sont utilisés pour insérer le Nivid, c’est pour que le Sacrificateur ne soit pas privé d’un fondement solide, car le Gyotishtoma est un fondement.
13:5:1:1313. Pour ce (jour), il y a ces animaux sacrificiels : « Un cheval, un bouc sans cornes et un Gomriga [17] », quinze « paryaṅgyas » : leur signification mystique a été expliquée. Puis ces animaux sauvages : pour le printemps, il saisit (trois) kapiñgalas [18], pour les moineaux d’été, pour la saison des pluies, des perdrix : parmi ceux-ci
[ p. 383 ]
(les animaux sauvages) ont également été racontés (l’importance mystique) [19].
13:5:1:1414. Ensuite, ces (victimes) pour les vingt et un (enjeux). Il saisit vingt et un animaux pour chacune des (onze) divinités des offrandes saisonnières [20] ; car autant il y a de dieux des offrandes saisonnières, autant sont tous les dieux ; et tous les objets de désir sont dans l’Asvamedha : « En gratifiant toutes les divinités, j’obtiendrai tous mes désirs », pense-t-il. Mais qu’il ne procède pas de cette façon.
13:5:1:1515. Qu’il saisisse dix-sept victimes pour le poteau central [21], afin qu’il puisse tout gagner et tout sécuriser, [ p. 384 ] car le dix-septième est Pragâpati, et le dix-septième (stoma) est tout, et l’Asvamedha est tout ; - et seize à chacun des autres (pieux) afin qu’il puisse tout gagner et tout sécuriser, car tout ici se compose de seize parties, et l’Asvamedha est tout. Il saisit treize bêtes sauvages pour chaque espace intermédiaire, afin de pouvoir tout gagner et tout sécuriser, car l’année se compose de treize mois, et l’Asvamedha est tout.
13:5:1:1616. Maintenant, avant le chant du Bahishpavamâna, ils (les assistants de l’Adhvaryu) amènent le cheval, après l’avoir purifié ; et avec lui, ils glissent vers le Pavamâna : la portée mystique de ceci a été expliquée [22]. Une fois le Bahishpavamâna chanté, ils font marcher le cheval sur le lieu du chant : s’il renifle ou se détourne, qu’il sache que son sacrifice est réussi. Après avoir amené ce (cheval), l’Adhvaryu dit : « Hotri, chante des louanges ! » et le Hotri chante ses louanges [23] avec onze (versets, Rig-veda I, 163, 1-11)—
13:5:1:1717. ‘Quand, premier né, tu hennissas…’ — trois fois (il loue) avec le premier, et trois fois avec le dernier (verset), cela fait quinze, — quinze fois est le coup de foudre, et le coup de foudre signifie vigueur : avec ce coup de foudre, vigueur, le Sacrificateur repousse ainsi dès le début le mal : ainsi [24], en effet, c’est au Sacrificateur que le coup de foudre est donné dans [ p. 385 ] ordre de frapper pour lui quiconque doit être frappé. —[Rig-veda I, 163, 12. 13], Le coureur rapide s’est avancé pour tuer. . . .'—‘Le coureur s’est avancé vers le lieu le plus élevé. . .’—
13:5:1:1818. Ayant omis ces deux (verset), il insère l’hymne (I, 162), « Jamais (ne nous oubliera) Mitra, Varuna, Aryaman, Âyu . . . », dans l’Adhrigu [25] (litanie). Certains, cependant, insèrent ce verset (I, 162, 18), « Trente-quatre (côtes) du coursier, apparenté aux dieux, (frappent le couteau) . . .,’ avant le (passage, — « vingt-six sont ses) côtes », pensant qu’ils ne placeraient pas la syllabe sacrée « om » au mauvais endroit [26], ou qu’ils ne suggéreraient le pluriel par un singulier [27]. Qu’il ne procède pas ainsi, mais qu’il insère l’hymne dans son ensemble. — « Le coureur rapide s’est avancé pour tuer… » — « Le coureur s’est avancé vers le lieu le plus élevé… » —
[ p. 386 ]
13:5:2
13:5:2:11. Après avoir prononcé ces deux (verset), il prononce ce qui reste de l’Adhrigu. « Un tissu, un tissu supérieur et de l’or », voilà ce qu’ils étendent pour le cheval [28] : ils l’« apaisent » (l’égorgent). Lorsque les victimes ont été « apaisées », les épouses (du roi) montent avec de l’eau pour laver les pieds : quatre épouses ; et une jeune fille comme cinquième, et quatre cents servantes.
13:5:2:22. Quand l’eau pour les pieds est prête, ils font coucher la Mahishî près du cheval et la recouvrent du tissu supérieur, avec « Au ciel vous vous enveloppez », car c’est bien le ciel où ils immolent la victime, . . ., « Que le mâle vigoureux, la couche de semence, dépose la semence ! » dit-elle [29] pour la complétude de l’union.
13:5:2:33. Tandis qu’ils sont couchés là, le Sacrificateur s’adresse au cheval (Vâg. S. XXIII, 21), ‘Utsakhyâ ava gudam dhehi!’ Personne ne lui répond, de peur qu’il n’y ait quelqu’un pour rivaliser avec le Sacrificateur.
13:5:2:44. L’Adhvaryu s’adresse alors à la jeune fille : « Hé hé jeune fille, ce petit oiseau… » — La jeune fille lui répond : « Adhvaryu ! Ce petit oiseau… »
13:5:2:55. Et le Brahman s’adresse au Mahishî : « Mahishî, hé hé Mahishî, ta mère et ton père montent au sommet de l’arbre… » — Elle a cent filles de rois qui l’accompagnent : celles-ci [ p. 387 ] répondent au Brahman : « Brahman, hé hé Brahman, ta mère et ton père jouent au sommet de l’arbre… »
13:5:2:66. Et l’Udgâtri s’adresse à la favorite : « Vâvâtâ, hé hé Vâvâtâ, tourne-toi vers le haut ! » Elle est accompagnée de cent femmes nobles (râganyâ) : celles-ci répondent à l’Udgâtri : « Hé hé Udgâtri, tourne-toi vers le haut ! »
13:5:2:77. Et la Hotri dit à l’épouse répudiée : « Parivriktâ, hé hé Parivriktâ, quand le grand rencontre le petit dans cet amhubhedî… » — Elle a une centaine de filles de hérauts et de chefs de villages qui l’accompagnent : celles-ci répondent à la Hotri : « Hotri, hé hé Hotri, quand les dieux ont favorisé le lalâmagu… »
13:5:2:88. Alors le chambellan s’adresse à la quatrième épouse : « Pâlâgalî, hé hé Pâlâgalî, quand le cerf mange le blé, on ne pense pas au gros bétail… » — Elle a une centaine de filles de chambellans et de cochers qui l’accompagnent : celles-ci répondent au chambellan : « Chambellan, hé hé chambellan, quand le cerf mange le blé, on ne pense pas au gros bétail… »
13:5:2:99. Ces discours, les discours moqueurs, sont en effet toutes sortes d’accomplissements, et dans l’Asvamedha tous les objets du désir sont contenus : « Par toutes sortes de discours, puissions-nous obtenir tous les objets de notre désir » pensant ainsi, ils font se lever le Mahishî. Celles-ci (les femmes) repartent alors par le même chemin qu’elles étaient venues ; et les autres prononcent finalement le verset contenant (le mot) « parfumé » (Rigv. IV, 39, 6), « À Dadhikrâvan j’ai chanté des louanges… »
13:5:2:1010. Car, en vérité, la vie et les divinités s’éloignent de ceux qui, lors du sacrifice, tiennent des propos impurs : c’est leur parole qu’ils purifient ainsi afin que les divinités ne s’éloignent pas du service divin. [ p. 388 ] Or, (quelqu’un) met l’épiploon du Gomriga et celui du bouc sans cornes sur le cheval, puis les amène (à l’Âhavanîya), en disant : « Le cheval n’a pas d’épiploon. » Qu’il ne le fasse pas : du cheval, il doit certainement prendre la graisse ; les (épiploons des) autres sont normaux.
13:5:2:1111. Lorsque les omenta ont été rôtis, et lorsqu’ils ont accompli (les oblations) avec les Svâhâs [30], et sont retournés au fond (du terrain sacrificiel), ils tiennent une Brahmodya [31] (discussion théologique) dans les Sadas. Après être entrés par la porte d’entrée, ils s’assoient à leurs différents foyers.
13:5:2:1212. Le Hotri demande à l’Adhvaryu (Vâg. S. XXIII, 45) : « Qui est-ce qui marche seul [32] ?.. » Il lui répond (ib. 46) : « Sûrya (le soleil) marche seul… »
13:5:2:1313. L’Adhvaryu demande alors au Hotri (Vâg. S. XXIII, 47) : « De qui la lumière est-elle égale à celle du soleil ?.. » Il lui répond (ib. 48) : « Le Brahman (n.) est la lumière égale à celle du soleil… »
13:5:2:1414. Le Brahman demande alors à l’Udgâtri (Vâg. S. XXIII, 49) : « Je te demande, pour l’amour de la connaissance, ô ami des dieux, si tu as appliqué ton esprit à cela : Vishnu est-il entré dans le monde entier à ces trois endroits où l’offrande lui est faite ? » et il répond (ib. 50) : « Je suis moi aussi à ces trois endroits où il est entré dans le monde entier : [ p. 389 ] chaque jour, avec un seul corps [33], je fais le tour de la terre, du ciel et de l’arrière de ce ciel].’
13:5:2:1515. L’Udgâtri demande alors au Brahman (Vâg. S. XXIII, 51) : « Dans quelles (choses) l’Esprit [34] est-il entré, [et quelles (choses) sont établies dans l’esprit ? Ceci, ô Brahman, nous te le demandons : que nous réponds-tu à ce sujet ?] » et il répond (ib. 52) : « Dans cinq (choses) l’esprit est-il entré, et elles sont établies dans l’esprit : ceci je te réponds à ce sujet ; tu n’es pas supérieur à moi en sagesse. »
13:5:2:1616. Lorsque ce verset est prononcé, ils se lèvent et se dirigent du Sadas vers l’est, vers le Sacrificateur. Arrivés à lui, assis devant le Havirdhâna [35] (remise), ils s’assoient à leurs places respectives.
13:5:2:1717. Le Hotri demande alors à l’Adhvaryu (Vâg. S. XXIII, 53) : « Quelle fut la première conception [36] ?.. » et il répond (ib. 54) : « Le ciel fut la première conception… »
13:5:2:1818. L’Adhvaryu demande alors au Hotri (ib. 55) : « Qui est, je vous prie, le fauve (pisaṅgilâ) ? [qui est le kurupisaṅgilâ ? qui se déplace par bonds ? qui rampe le long du sentier ?] » et il répond (ib. 56) : « Le fauve est l’incréé (nuit) [37] ; [le kurupisaṅgilâ est le porc-épic ; le lièvre [ p. 390 ] se déplace par bonds ; le serpent rampe le long du sentier].’
13:5:2:1919. Le Brahman demande alors à l’Udgâtri (Vâg. S. XXIII, 57) : « Combien de sortes y a-t-il de ce (sacrifice), combien de syllabes ? — [combien d’oblations ? à quelle fréquence (le feu) est-il allumé ? Je t’ai maintenant demandé les ordonnances du sacrifice : combien de prêtres offrent en bonne et due forme ?] » et il répond (ib. 58) : « Il y a six sortes de ce (sacrifice), cent syllabes, [quatre-vingts oblations et trois bois d’allumage ; je te déclare les ordonnances du sacrifice : sept prêtres offrent en bonne et due forme]. »
13:5:2:2020. L’Udgâtri demande alors au Brahman (Vâg. S. XXIII, 59) : « Qui connaît le nombril de ce monde ? [qui est le ciel, la terre et l’air ? qui connaît le lieu de naissance du grand Soleil ? qui connaît la Lune, d’où elle est née ?] » et il répond (ib. 60) : « Je connais le nombril de ce monde, [je connais le ciel, la terre et l’air ; je connais le lieu de naissance du grand Soleil, et je connais la Lune, d’où elle est née] »
13:5:2:2121. Le Sacrificateur demande alors à l’Adhvaryu (Vâg. S. XXIII, 61) : « Je t’interroge sur l’extrémité la plus éloignée de la terre, [je demande où est le nombril du monde ; je t’interroge sur la semence du vigoureux destrier ; je t’interroge sur le plus haut siège de la parole] ; » et il répond (ib. 62) : « Ce terrain d’autel est l’extrémité la plus éloignée de la terre ; [ce sacrifice est le nombril du monde ; ce jus de Soma est la semence du vigoureux [ p. 391 ] destrier ; ce Brahman (prêtre) est le plus haut siège de la parole]. »
13:5:2:2222. En vérité, c’est là l’accomplissement complet de la parole, à savoir le Brahmodya, et dans l’Asvamedha tous les désirs sont contenus : « Au moyen de toute parole, puissions-nous obtenir tous nos désirs ! » ainsi (pensent-ils).
13:5:2:2323. Une fois le colloque terminé, l’Adhvaryu entre dans le (Havirdhâna) et tire la première coupe Mahiman (de Soma) de Pragâpati dans un récipient en or. La formule Puroruk [38] en est la suivante (Vâg. S. XXIII, 1 ; Rig-v. X, 121, 1) : « Le germe d’or fut produit pour la première fois… » Et son Puroऽnuvâkyâ est (Vâg. S. XXIII, 63), « De bonne nature, existant par lui-même au début (dans le grand océan : je place en vérité le bon germe d’où naît Pragâpati). » — « Que le Hotri offre à Pragâpati : [du Mahiman Soma (coupe) ; puisse-t-il savourer, puisse-t-il boire le Soma ! Hotri, prononce la formule d’offrande !] » est le Praisha (ib. 64). Le Hotri prononce la formule d’offrande (ib. 65), « Ô Pragâpati, nul autre que toi n’a englobé toutes ces formes [39] . . . ; » et tandis que le Vashat est prononcé, il (l’Adhvaryu) offre avec (Vâg. S. XXIII, 2), « Quelle grandeur il y a eu en toi dans le jour et dans l’année, [^1018]!] » Il ne répète pas le Vashat, car il offre la coupe de Soma en une seule fois.
[ p. 392 ]
13:5:3
13:5:3:11. Quant à l’offrande des omenta, « Ils doivent les porter un par un jusqu’à l’omentum du Vaisvadeva (victime) [40] ; et lorsque l’omentum du Vaisvadeva a été offert, ils doivent ensuite offrir les autres », dit Satyakâma Gâbâla ; « car, sans aucun doute, les Tous-Dieux (Visve Devâh) sont tous (sarve) les dieux : c’est ainsi qu’il les gratifie divinité après divinité. »
13:5:3:22. ‘Lorsque l’épiploon de l’Aindrâgna (victime) a été offert, ils doivent ensuite offrir les autres’, dirent les deux Saumapa Mânutantavya ; ‘car, sans aucun doute, Indra et Agni sont tous les dieux : c’est de cette manière qu’il les gratifie divinité après divinité.’
13:5:3:33. ‘Lorsque l’épiploon de la (victime) sacrée à Ka a été offert, ils doivent ensuite offrir [ p. 393 ] les autres’, dit Sailâli ; ‘car, sans aucun doute, Ka est Pragâpati, et derrière Pragâpati se trouvent tous les dieux : c’est de cette manière qu’il les gratifie divinité après divinité.’
13:5:3:44. 'Ayant passé en revue les vingt et une divinités des [41] (victimes) saisonnières, qu’ils procèdent en divisant (l’omenta) en vingt et une parties [42]', dit Bhâllaveya ; ‘car autant il y a de divinités saisonnières, autant il y a de dieux : c’est de cette manière qu’il les gratifie divinité après divinité.’
13:5:3:55. « Qu’ils procèdent (avec l’omenta) un par un, et non autrement », dit Indrota Saunaka ; « pourquoi, en effet, devraient-ils se hâter ? C’est ainsi qu’il les gratifie, divinité après divinité. » Voilà donc ce qu’ils ont dit, mais la pratique établie est différente.
13:5:3:66. Or Yâgñavalkya dit : « Ils devraient procéder simultanément avec les (omenta) des [43] victimes de Pragâpati, et simultanément avec celles consacrées à des dieux uniques : c’est de cette manière qu’il les gratifie divinité après divinité, qu’il va directement à l’achèvement du sacrifice, et ne trébuche pas. »
13:5:3:77. Une fois les omenta offerts, l’Adhvaryu entre (dans le hangar Havirdhâna) et tire [ p. 394 ] la deuxième coupe Mahiman de Soma de Pragâpati dans un récipient en argent. Le Puroruk en est (Vâg. XXIII, 3), « Celui qui, par sa grandeur, est devenu le roi unique du monde respirant et clignotant, [et qui règne ici sur les bipèdes et les quadrupèdes : au dieu Ka (Qui ?) rendrons-nous hommage en offrant]. » L’Anuvâkyâ et le Yâgyâ sont interchangés afin d’assurer une vigueur intacte [44], et la Praisha (direction vers Hotri) est la même (que celle de la première coupe). En prononçant le Vashat, il offre avec (Vâg. S. XXIII, 4) : « Quelle grandeur il y a eu en toi dans la nuit et dans l’année, [^1024]]. » Il ne répète pas le Vashat : la signification de ceci a été expliquée.
13:5:3:88. Du sang des autres victimes, ils ne font aucune portion sacrificielle ; de celui du cheval, ils en font [45]. Du sang des autres, ils en font [46] du côté sud, du cheval du côté nord (de l’autel) ; du sang des autres, il en fait sur (un tapis de) brindilles de plaksha (ficus infectoria), du cheval sur des brindilles de rotin. [ p. 395 ] 13:5:3:99. Mais à ce propos, Sâtyayagñi dit : « Ils peuvent certes le faire de l’une ou l’autre manière, mais il ne faut pas s’écarter du droit chemin. » Or, la première est la pratique établie. Le sacrifice (du deuxième jour) est un Ukthya : il fait ainsi prospérer le monde aérien. Le dernier jour est un Atirâtra avec tous les Stomas, pour qu’il obtienne et garantisse tout, car l’Atirâtra avec tous les Stomas est tout, et l’Asvamedha est tout.
13:5:3:1010. Son Bahishpavamâna (stotra) se trouve dans le Trivrit (Stoma à 9 versets), l’Âgya (stotras) dans le Pañkadasa (à 15 versets), le Mâdhyandina-pavamâna dans le Saptadasa (17), le Prishthas dans l’Ekavimsa (21), le Tritîya Pavamâna dans le Trinava (27), le Agnishtoma-sâman dans le Trayastrimsa (33), les Ukthas dans l’Ekavimsa (21), le Shodasin dans l’Ekavimsa, les chants nocturnes dans le Pañkadasa, le Sandhi (chant crépusculaire) dans le Trivrit (9). Quel que soit le Sastra (récité) pour le deuxième jour du Prishthya Shadaha qui est (utilisé lors du) sacrifice d’Atirâtra [47] ; par là il fait prospérer ce monde (céleste).
13:5:3:1111. « Il y a vingt et une victimes Savanîya, toutes consacrées à Agni, et il y a une seule et même performance pour elles », disent certains ; mais qu’il immole plutôt ces vingt-quatre bovins (victimes [48]) pour douze déités, — douze mois sont une année, et l’année est tout, et l’Asvamedha [ p. 396 ] est tout : il en est ainsi pour qu’il obtienne et garantisse tout.
13:5:4
13:5:4:11. Or, Indrota Daivâpa Saunaka accomplit un jour ce sacrifice pour Ganamegaya Pârikshita, et en l’accomplissant il éteignit toute mauvaise action, tout massacre de Brahman ; et, en vérité, celui qui accomplit l’Asvamedha éteint (la culpabilité encourue par) toute mauvaise action, tout massacre de Brahman.
13:5:4:22. C’est de cela, en effet, que chante la Gâthâ (strophe) : « Dans Âsandîvat [49], Ganamegaya lia aux dieux un cheval tacheté de noir, mangeur de céréales, orné d’un ornement doré et de guirlandes jaunes. »
13:5:4:33. [Il y a] ces mêmes deux premiers jours [50], et un Atirâtra Gyotis [51] : avec cela (ils sacrifièrent) pour Bhîmasena ; — ces mêmes deux premiers jours, et un Atirâtra Go : avec cela (ils sacrifièrent) pour Ugrasena ; — ces mêmes deux premiers jours, et un Atirâtra Âyus : avec cela (ils sacrifièrent) pour Srutasena. Ce sont les Pârikshitîyas [52], et c’est d’eux que le Gâthâ chante : « Les Pârikshitas justes, accomplissant des sacrifices de chevaux, par leur œuvre juste, ont éliminé les œuvres pécheresses les unes après les autres. » [ p. 397 ] 13:5:4:44. Ces mêmes deux premiers jours, et un Abhigit [53] Atirâtra, — avec cela Para Âtnâra, le roi Kausalya, sacrifia une fois : c’est de cela que Gâthâ chante : « Le fils d’Atnâra, le Kausalya Para, Hairanyanâbha, fit lier un cheval, propre au sacrifice, et donna les régions remplies. »
13:5:4:55. Ces mêmes deux premiers jours, et un Visvagit [53:1] Atirâtra, — avec cela Purukutsa, le roi Aikshvâka, a une fois effectué un sacrifice de cheval (daurgaha), d’où c’est de cela que le Rishi chante (Rigv. IV, 42, 8), — « Ceux-ci, les sept Rishis, étaient alors nos pères lorsque Daurgaha [54] était lié. »
13:5:4:66. Ces mêmes deux premiers jours, et un Mahâvrata [55] Atirâtra, — avec lequel Marutta Âvikshita, le roi Âyogava, accomplit un jour un sacrifice ; de là, les Maruts devinrent ses gardes, Agni son chambellan, et le Visve Devâh ses conseillers : c’est de cela que le Gâthâ chante : « Les Maruts demeuraient comme gardes dans la maison de Marutta Âvikshita, Agni comme son chambellan, et le Visve Devâh comme ses conseillers. » Et, en vérité, les Maruts deviennent les gardes, Agni le chambellan et les Visve Devâh les conseillers de celui qui accomplit le sacrifice du cheval.
13:5:4:77. Ces mêmes deux premiers jours, et un Aptoryâma [56] Atirâtra, — c’est avec cela que Kraivya, le roi Pâñkâla, accomplit un jour un sacrifice, — car les Krivis étaient autrefois appelés les Pañkâlas : c’est de cela que le Gâthâ chante : « À Parivakrâ, le [ p. 398 ] Pâñkâla, seigneur des Krivis, saisit un cheval, propre au sacrifice, avec des offrandes de cent mille (têtes de bétail). »
13:5:4:88. Et un second (Gâthâ) : « Il y avait mille myriades et vingt-cinq cents, que les Brâhmanas des Pañkâlas de tous côtés se partagèrent. »
13:5:4:99. L’Agnishtoma dans le Trivrit (stoma) ; l’Ukthya dans le Pañkadasa ; et le troisième jour, avec l’Uktha (stotras), dans le Saptadasa ; le Shodasin (stotra) dans l’Ekavimsa, la nuit (stotras) dans le Pañkadasa, et le Sandhi (stotra) dans le Trivrit, — c’est le (sacrifice) qui résulte de l’Anushtubh [57] : c’est avec lui que le sacrifice fut accompli par Dhvasan Dvaitavana, le roi des Matsyas, où se trouve le lac Dvaitavana ; et c’est de cela que le Gâthâ chante : « Le roi Dvaitavana, victorieux au combat, a lié quatorze destriers pour Indra Vritrahan, d’où le lac Dvaitavana (a pris son nom). »
13:5:4:1010. Les (trois) Pavamâna (stotras) dans le Katurvimsa (stoma), et (ceux exécutés) par répétitions [^1038] dans le Trivrit ; les Pavamânas dans le Katuskatvârimsa (stoma à 44 versets), et (ceux exécutés) par répétition [58] dans l’Ekavimsa ; les Pavamânas dans [ p. 399 ] l’Ashtâkatvârimsa (48), et (ceux exécutés) par répétition dans le Trayastrimsa (33) jusqu’à l’Agnishtoma-sâman, l’Uktha (stotras) dans le Dvâtrimsa (32), le Shodasin dans l’Ekavimsa, la nuit (stotras) dans le Pañkadasa, et le Sandhi (stotra) dans le Trivrit
13:5:4:1111. Telle est la foulée de Vishnu [59] : c’est avec elle que Bharata Dauhshanti accomplit autrefois un sacrifice et atteignit cette vaste domination qui appartient maintenant aux Bharatas : c’est de cela que le Gâtha chante : « Bharata Dauhshanti a lié soixante-dix-huit coursiers pour le tueur de Viritra sur la Yamunâ, et cinquante-cinq près de la Gaṅgâ. »
13:5:4:1212. Et un second (Gâthâ), — « Ayant lié cent trente-trois chevaux, propres au sacrifice, le roi Saudyumni, plus rusé, vainquit les autres inertes. »
13:5:4:1313. Et un troisième : « À Nâdapit [60], les Apsaras Sakuntalâ conçurent Bharata, qui, après avoir conquis la terre entière, apporta à Indra plus d’un millier de chevaux, dignes du sacrifice. »
13:5:4:1414. Et un quatrième [61] : « Ni les hommes avant ni ceux après lui n’ont atteint la grandeur de Bharata, ni les cinq (tribus d’) hommes, de même qu’un mortel (ne touche pas) le ciel avec ses bras. »
13:5:4:1515. Avec l’Ekavimsa-stoma [62] Rishabha Yâgñatura, [ p. 400 ] roi des Sviknas, accomplit un sacrifice : c’est de cela que le Gâtha chante : « Lorsque Rishabha Yâgñatura sacrifiait, le peuple brahmane, ayant reçu des richesses à l’Asvamedha, partagea les offrandes entre eux. »
13:5:4:1616. Avec le Trayastrimsa-stoma, Sona Sâtrâsâha, le roi Pâñkâla, accomplit un sacrifice : c’est de cela que chante le Gâthâ : « Lorsque Sâtrâsâha accomplit le sacrifice du cheval, les Trayastrimsa (stomas) sortent sous forme de chevaux (Taurvasa) et de six mille hommes vêtus de mailles [63]. »
13:5:4:1717. Et un second (Gâthâ) : « Lors de ton sacrifice, père de Koka, les Trayastrimsa (stomas) sortent, chacun comme six fois six mille [64] (chevaux) et six mille hommes vêtus de cottes de mailles. »
13:5:4:1818. Et un troisième : « Lorsque Sâtrâsâha, le roi Pâñkâla, sacrifiait, portant de belles guirlandes, Indra se délectait de Soma, et les Brâhmanas étaient rassasiés de richesses. »
13:5:4:1919. Satânîka Sâtrâgita a exécuté le Govinata (forme d’Asvamedha), après avoir enlevé le [ p. 401 ] cheval du Kâsya (roi) ; et depuis ce temps, les Kâsis n’entretiennent plus les feux (sacrificiels), disant : « La boisson Soma nous a été enlevée. »
13:5:4:2020. Le mode (de chant) pour cette (forme Govinata) est : — les Pavamâna (stotras) dans le Katurvimsa (stoma), et (ceux chantés) par répétitions dans le Trivrit ; — les Pavamânas dans le Katuskatvârimsa, les Âgya (stotras) dans l’Ekavimsa, les Ukthas [65] Dans le Trinava, le Prishthas dans l’Ekavimsa ; les Pavamânas dans le Shattrimsa (36 versets), et (ceux chantés) par répétitions dans le Trayastrimmsa (33) jusqu’à l’Agnishoma-sâman, les Ukthas dans l’Ekavimsa, les Shodasin dans l’Ekavimsa, la nuit (stotras) dans le Pañkadasa, et le Sandhi (stotra) dans le Trivrit.
13:5:4:2121. C’est de cela que chante le Gâtha : « Sâtânîka Sâtrâgita s’empara d’un cheval sacrificiel, à proximité du sacrifice des Kâsis, tout comme Bharata (s’empara de celui) des Satvats. »
13:5:4:2222. Et un second : « Le puissant Satânîka, ayant saisi, dans le voisinage, le cheval blanc sacrificiel de Dhritarâshtra, errant à volonté dans son dixième mois, Satânîka [66] accomplit le sacrifice de Govinata. »
13:5:4:2323. Et un quatrième [67], — ‘La grandeur des Bharatas, ni les hommes avant eux ni ceux après eux ne l’ont atteinte, ni les sept (tribus d’) hommes, de même qu’un homme mortel (ne touche pas) le ciel avec ses flancs.’ [ p. 402 ] 13:5:4:2424. Maintenant, en ce qui concerne les offrandes sacrificielles. Tout ce qui se trouve vers le milieu du royaume, autre que la terre, les hommes et les biens du Brâhmana, de cela la région orientale appartient au Hotri, la région méridionale au Brahman, la région occidentale à l’Adhvaryu, la région septentrionale à l’Udgâtri ; et les Hotrikas partagent cela avec eux.
13:5:4:2525. Lorsque l’Udayanîyâ (offrande de complétude) est terminée, il saisit vingt et une vaches stériles, consacrées à Mitra-Varuna, au Vis Devâh et à Brihaspati, dans le but d’obtenir ces divinités. Et la raison pour laquelle celles qui sont consacrées à Brihaspati viennent en dernier est que Brihaspati est le Brahman (n.), et il s’établit ainsi définitivement dans le Brahman.
13:5:4:2626. Et quant à leur nombre de vingt et un, le vingt et unième est celui qui brille là-bas : douze mois, cinq saisons, ces trois mondes, et ce soleil là-bas comme le vingt et unième — cette consommation (il l’obtient ainsi).
13:5:4:2727. Lorsque l’Udavasânîyâ (offrande de clôture) est terminée, ils donnent, en guise de don sacrificiel, quatre femmes, avec une jeune fille comme cinquième, et quatre cents servantes selon l’accord.
13:5:4:2828. Et durant l’année suivante, il accomplit les sacrifices d’animaux des saisons : six (victimes) sacrées à Agni au printemps, six à Indra en été, six à Parganya, ou aux Maruts, pendant la saison des pluies, six à Mitra et Varuna en automne, six à Indra et Vishnu en hiver, et six à Indra et Brihaspati pendant la saison de la rosée. Six saisons constituent une année : dans les saisons, dans l’année, il s’établit ainsi. Cela représente trente-six animaux, — le Brihatî (mètre) se compose de trente-six syllabes, et le monde céleste est établi [ p. 403 ] sur le Brihatî : et ainsi il s’établit finalement, au moyen du mètre Brihatî, dans le monde céleste.
375:1 ‘Des fissures et des incisions naturelles faites dans l’écorce (de Butea frondosa) sort pendant la saison chaude un jus rouge, qui durcit rapidement en une gomme de couleur rubis, cassante et astringente, semblable au kino, et vendue sous le nom de kino du Bengale.’ Stewart et Brandis. ↩︎
376:1 Selon la pratique mentionnée ici, l’Agnishtomasâman ne consisterait pas simplement en un triplet (habituellement Sâmav. II, 53-4, c’est-à-dire le triplet appelé yagñâyagñîya) habituellement utilisé pour lui, mais en quatre Sâmans différents, dans la mesure où trois des triplets qui peuvent être utilisés pour les Uktha-stotras (de l’Ukthya et d’autres sacrifices) sont ajoutés à ce triplet yagñâyagñîya. Français Dans ce cas, cependant, ce dernier n’est pas chanté sur son propre air ‘yagñâyagñîya’, mais l’air de Vâravantîya est utilisé pour les quatre triolets. Cette pratique est évoquée de manière quelque peu vague dans Tândya-Br. XIX, 5, 10-11. « Un Sâman (air), plusieurs mètres (textes) : donc un (homme) nourrit plusieurs créatures. En vérité, l’Agnishtoma (sâman) est le soi, et les mètres (textes-hymnes) sont du bétail : il s’assure ainsi du bétail pour lui-même. » Il ne s’agit ni d’un Ukthya ni d’un Agnishtoma (sacrifice), car le bétail n’est ni (entièrement) domestique ni sauvage (c’est-à-dire parce que, bien que gardé « dans le village », il paît aussi librement « dans la forêt »). Ici, le passage « Un Sâman, plusieurs mètres », selon le commentaire, fait référence à l’air de Vâravantîya comme étant employé, à cette occasion, pour les textes du Yagñâyagñîya, du Sâkamasva (II, 55-57, ici l’éd. calc., par erreur, appelle le deuxième air figuré pour le chant, comme le premier, Sâkamasva, au lieu de Vâravantîya), du Saubhara (II, 230-232, où l’éd. calc., par erreur, omet le nom de Vâravantîya), et du Tairaska (II, 233-235 ; curieusement, le Tairaska n’est pas mentionné, Lâty. Sr. VIII, 9-10, parmi les Sâmans qui peuvent être utilisés pour le troisième Uktha — ou celui de l’Akkhâvâka —, mais Sâyana, sur Sâmav. II, 233, déclare distinctement : « tairaskam tritîyam uktham »). Alors que, en tant qu’Uktha-stotras, les trois derniers textes seraient habituellement chantés sous la forme ekavimsa, ou à vingt et un versets, dans le cas présent, faisant partie du katushtoma, ils seraient chantés (avec le Yagñâyagñîya) sous la forme à vingt-quatre versets. Ainsi, bien qu’il s’agisse d’un sacrifice Agnishtoma, puisqu’il comporte douze stotras, il n’en est pas un régulier ; il ne s’agit pas non plus d’un Ukthya, car les Ukthas ne sont pas chantés comme autant de Stotras.suivi de la récitation de Sastras séparés. Dans l’Âsv. Sr. X, 6, différentes alternatives sont proposées pour le chant de l’Agnishtoma-sâman p. 377 dans le ‘Gotamastoma (c’est-à-dire Katushtoma) antarukthya’ et le Sastra correspondant, y compris apparemment l’emploi du Yagñâyagñîya-sâman soit pour les quatre triolets, soit pour le triolet Yagñâyagñîya seul avec les Sâmans respectifs utilisés pour les autres triolets ; différents modes de récitation étant ainsi impliqués en ce qui concerne les pragâthas Stotriya et Anurûpa. ↩︎
377:1 Pour l’Âgnimâruta-sastra, récité par le Hotri après le chant de l’Agnishtoma-sâman, et contenant, parmi divers hymnes et vers détachés, le triolet qui forme le texte du Stotra, c’est-à-dire le « Stotriya pragâtha », ainsi qu’une antistrophe correspondante, l’« Anurûpa pragâtha », voir partie ii, p. 369 note. Dans le cas présent, cependant, cet élément constitutif du Sastra devrait inclure les triolets des quatre Sâmans, ainsi que les quatre « antistrophes » qui sont ainsi « récitées ensemble ». ↩︎
377:2 Ou, Prishtha-stotra, c’est-à-dire le premier stotra de ce nom au service de midi, pour lequel ce Sâman est utilisé dans le sacrifice d’Agnishtoma (partie ii, p. 339, note 2). ↩︎
377:3 C’est-à-dire les victimes sacrifiées les jours de Sutyâs, ou Soma. Deux groupes complets de onze victimes sont cependant requis chacun des trois jours, voir p. 309, note 2. ↩︎
377:4 Voir XIII, 2, 1, 1 seqq., et p. 297, note 1. ↩︎
378:1 C’est celui sur lequel tous les Stotras sont chantés dans le Stoma ‘ekavimsa’, ou forme d’hymne à vingt et un vers. ↩︎
378:2 Soit Rig-veda V, 6, formant la caractéristique spéciale de l’Âgyasastra à l’Asvamedha. ↩︎
379:1 À savoir l’Âgya-sûkta, Rig-veda III, 13, formant la partie principale de l’Âgya-sastra du Hotri, ou premier Sastra de l’Agnishtoma, pour lequel voir la partie ii, p. 327 note. ↩︎
379:2 Le Bârhata Praüga, ou Praüga-sastra dans le mètre Brihatî, — étant celui récité le cinquième jour du Prishthya-shadaha (Âsv. Sr. VII, 12, 7), et composé des sept triplets différents, adressés à autant de divinités différentes, — doit être récité également à cette occasion ; et avec lui (ou plutôt, entrelacé avec lui, triolet par triolet) le Praüga-sastra ordinaire de l’Agnishtoma, composé des deux hymnes Rig-veda I, 2 et 3 qui sont attribués aux Madhukhandas, et se composent de neuf et douze versets, soit ensemble sept triolets. Je ne comprends pas pourquoi Harisvâmin mentionne ‘Vâyur agregâh’ (? Vâg. S. XXVII, 31) comme étant le premier triolet du Mâdhukhandasa Praüga, au lieu de I, 2, 1-3 ‘vâyav â yâhi darsata’. Le Praüga est le deuxième Sastra du Hotri du service du matin, précédé par le chant du premier Âgya-stotra ; voir partie ii, p. 325. ↩︎
380:1 Voir partie ii, p. 337, où le même triolet forme l’anukara de ce Sastra à l’Agnishtoma. Il est suivi là par les Pragâthas VIII, 53, 5-6 ; I, 40, 5-6 (lire ainsi ! chaque deux comptant pour un triolet) ; trois versets Dhâyyâ, et le Marutvatîya Pragâthas VIII, 89, 3-4 (!), Ceux-ci doivent être suivis, dans la présente occasion, par les deux hymnes I, 80, et VIII, 36, après lesquels l’hymne Indra X, 73, la partie principale du Marutvatîya Sastra normal, doit être récité, avec la formule Nivid insérée après le sixième verset. ↩︎
380:2 C’est-à-dire le Sastra succédant au chant du premier Prishtha-stotra, ou celui de Hotri (voir partie ii, p. 339). Français Cependant, tandis que dans le sacrifice d’un jour, le sâman du Rathantara (ou du Brihat) est utilisé pour ce stotra, les versets de Mahânâmni (voir partie iii, introd. p. xx, note 2), avec l’air du Sâkvara, doivent être utilisés comme Stotriyâs à cette occasion, et doivent donc également être récités par le Hotri comme Stotriya-pragâthas (cf. Âsv. VII, 12, 10 seqq.), suivis de l’antistrophe (anurûpa) — ici composée des triplets I, 84, 10-12 ; VIII, 93, 31-3 ; I, 11, 1-3 — et du Sâma-pragâtha, VIII, 3, 1-2. ↩︎
381:1 Soit après le huitième verset de l’hymne Rig-veda I, 32, la partie principale du Nishkevalya-sastra normal. ↩︎
381:2 Pour le verset complet, voir III, 3, 2, 1 2. ↩︎
381:3 Ce verset est à nouveau récité trois fois, et prend ainsi la place du triolet d’ouverture ordinaire. ↩︎
381:4 Pour ce Shastra, récité après l’Ârbhava-Pavamâna-stotra, voir partie ii, p. 361. ↩︎
381:5 Âsv. Sr. X, 10, 6 prescrit l’anukara ordinaire V, 82, 4-7 ; d’où Sâyana sur I, 24, 3 (-5) n’offre aucune indication de l’usage rituel de ce triplet à cette occasion. ↩︎
381:6 Viz. IV, 54, avant le dernier verset duquel le Nivid est inséré. ↩︎
382:1 Soit le Sastra final du service du soir, précédé par le chant de l’Agnishtoma-sâman ; voir partie ii, p. 369. ↩︎
382:3 Le « Kapiñgala » est une espèce d’oiseau sauvage, apparemment de l’espèce des cailles ou des perdrix — un coq noisetier ou une perdrix francoline. Certaines autorités ultérieures, cependant, l’identifient au « kâtaka » p. 383 (« cuculus melanoleucus »). Concernant certains des animaux sauvages mentionnés dans la section correspondante du Vâg. S., le commentateur Mahîdhara remarque significativement (Vâg. S. XXIV, 29 ; cf. Kâty. XX, 6, 6 scholl.) que la signification des noms qui ne sont pas compris doit être établie à l’aide de citations (nigama), de vocabulaires védiques (nighantu) et de leurs commentaires (nirukta), de la grammaire (vyâkarana), de l’Unâdivritti et de dictionnaires. ↩︎
383:1 Viz. XIII, 2, 4, 1 seqq. On comprend mal pourquoi le texte s’interrompt brusquement avec les oiseaux représentant la saison des pluies. Pour l’automne, il y aura (trois) cailles, pour l’hiver « kakara » et pour la saison humide « vikakara ». Puis suit, jusqu’à la fin des 260 animaux sauvages, une longue série de divinités auxquelles sont confiés trois animaux (ou parfois des divinités alliées). Treize de ces animaux sauvages sont placés sur chacun des vingt espaces entre les vingt et un pieux. ↩︎
383:2 Ou peut-être, pour les onze divinités des offrandes saisonnières, il saisit vingt et un animaux pour chaque (enjeu) ; ce qui simplifierait certainement la distribution de ces animaux. Concernant les victimes effectivement consacrées aux divinités des offrandes de Kâturmâsya, voir p. 309, note 2. ↩︎
383:3 Ceci n’inclut pas les douze « paryaṅgyas » attachés aux membres du cheval, mais seulement le cheval et deux autres victimes consacrées à Pragâpati, et douze d’une longue série de bêtes, dont trois sont dédiées à chaque divinité successive (ou groupe de divinités alliées). À celles-ci s’ajoutent ensuite les deux victimes d’Agni appartenant aux deux groupes de onze victimes (sur les vingt autres, une est assignée à chacun des autres pieux). ↩︎
384:1 XIII, 2, 3, 1. ↩︎
384:2 Le mode de récitation est semblable à celui des versets d’allumage (également onze, portés, par des répétitions du premier et du dernier, à quinze), c’est-à-dire en faisant une pause après chaque demi-verset, mais sans y ajouter la syllabe « om ». Âsv. Sr. X, 8, 5. ↩︎
384:3 Harisvâmin explique que ‘tad vai’ signifie ‘sa vai’ (liṅgavyatyayena) — à savoir. ce coup de foudre quinzième fois. ↩︎
385:1 Sur cette récitation, composée d’un long ensemble de formules, adressées aux bourreaux, voir partie ii, p, 188, note 2. L’ensemble des formules est donné Ait. Br. II, 6-7. L’hymne, selon Âsv. X, 8, 7; doit être inséré soit avant la dernière formule de la litanie, soit un peu plus en arrière, à savoir. avant la formule ‘shadvimsatir asya vaṅkrayas’, ‘vingt-six sont ses côtes’ — tandis que notre Brâhmana admet plutôt l’alternative du dix-huitième verset de I, 162 inséré à ce dernier endroit, — à moins, en effet, que l’insertion dans ce cas ne doive être faite immédiatement avant le mot ‘vaṅkrayah’, ce qui est peu probable. ↩︎
385:2 Harisvâmin semble comprendre cela comme signifiant que comme ce verset est de la même nature que les formules de la litanie Adhrigu, il doit le traiter comme tel, car sinon, en récitant, il devrait prononcer « om » après ce verset, ce qui n’est pas fait après ces formules. ↩︎
385:3 Ou, la pluralité par l’individu. En raison de l’état corrompu du manuscrit, l’explication du commentateur de ce passage n’est pas claire. Il semble, cependant, en tout cas, prendre le « pluriel » pour se référer à la formule « shadvimsatir asya vaṅkrayas », où apparemment « eshâm » doit être substitué à « asya » à cette occasion, car de nombreuses victimes sont immolées, et les côtes d’une pluralité de bêtes sont ainsi indiquées, alors qu’au verset dix-huit de l’hymne, au contraire, seules les côtes d’un cheval (formant ainsi une sorte d’unité) sont mentionnées ; et si ce verset était récité, avec l’hymne entier, avant la formule finale qui se réfère à toutes les victimes, le lien nécessaire serait interrompu. ↩︎
386:1 Voir XIII, 2, 8, 1. ↩︎
386:2 Nirâyatyâsvasya sisnam mahishy upasthe nidhatte ‘vrishâ vâgî retodhâ reto dadhâtv’ iti mithunasyaya sarvatvâya. ↩︎
388:1 Voir III, 8, 2, 21-23. ↩︎
388:2 Pour une discussion similaire entre le Brahman et Hotri, avant de lier les victimes aux pieux, voir XIII, 2, 6, 9 seqq. ↩︎
388:3 Pour le verset complet, comprenant quatre questions, voir XIII, 2, 6, 10-13 ; les réponses y étant données sous forme d’explications. ↩︎
389:1 Ou, avec le membre unique (ekenâṅgena) que Mahîdhara prend pour signifier « avec l’esprit, dans l’esprit ». Il est possible que « asya » doive être pris avec lui – « avec son corps unique (celui de Vishnū). » ↩︎
389:2 Ou, l’homme (purusha). Les cinq choses, selon Mahîdhara, sont les airs vitaux, ou respirations. ↩︎
389:4 Voir XIII, 2, 6, 14 seqq. ↩︎
389:5 Mahîdhara prend ici ‘agâ’ (l’éternel) comme signifiant soit la nuit, soit Mâyâ ; cf. XIII, 2, 6, 17. Peut-être, cependant, ‘agâ’ peut signifier ici ‘chèvre’. ↩︎
391:1 C’est-à-dire la formule préliminaire, ou les formules, précédant l’upayâma’ (‘Tu es pris avec un support…’). ↩︎
391:2 Voir V, 4, 2, 9. ↩︎
391:3 Voir XIII, 2, 11, 2 avec note. ↩︎
393:2 Selon ce point de vue, les omenta de toutes les victimes après les trois premières (Prâgâpatya), c’est-à-dire en commençant par les animaux ‘paryaṅgya’ (voir p. 299, note 2) jusqu’à la fin des Kâturmâsya, ou victimes saisonnières, qui sont les dernières des animaux domestiques, seraient rassemblés en un seul tas et divisés en vingt et une portions, qui seraient ensuite offertes aux vingt et une premières divinités des offrandes saisonnières, c’est-à-dire à celles des offrandes de Vaisvadeva, Varunapraghâsa, Sâkamedha et Mahâhavis, omettant ainsi les divinités des offrandes Pitryeshti et Sunâsîriya. ↩︎
393:3 Ce sont les trois premières victimes, à savoir le cheval, le bouc sans cornes et le Gomriga. ↩︎
394:1 Par simple répétition, cela serait altéré. ↩︎
394:2 Voir XIII, 2, 11, 2 avec note. ↩︎
394:3 Voir XIII, 3, 4, 2-5. ↩︎
394:4 Ceci serait un point de vue alternatif. Selon l’école sur Katy. XX, 8, 1-3, cela semblerait se référer aux autres victimes de Prâgâpatya, auquel cas on s’attendrait cependant au duel ici, car il n’y en a que deux en plus du cheval. ↩︎
395:1 De la même manière Âsv. S. X, 4, 8 établit la règle selon laquelle les Sastras du deuxième jour sont ceux du cinquième jour du Vyûdha Prishthya-shadaha ; cf. ci-dessus, XIII, 5, 1, 7 seqq. ↩︎
395:2 Voir XIII, 3, 2, 3. ↩︎ ↩︎
396:1 Lit., (dans la ville, nagare, Harisvâmin) possédé d’un trône. Cf. Ait. Br. VIII, 2 1. ↩︎
396:2 À savoir, comme indiqué précédemment, un Agnishtoma et un Ukthya. ↩︎
396:3 Quant à la différence entre les formes Gyotis, Go et Âyus du sacrifice Agnishtoma, voir la partie iv, p. 287, note 2. ↩︎
396:4 C’est-à-dire, selon Harisvâmin (et les Gâthâ), les frères de (Ganamegaya) Pârikshita, bien qu’on aurait plutôt pensé à ses fils, les petits-fils de Parikshit. ↩︎
397:1 Concernant l’Abhigit et le Visvagit, voir partie iv, p. 320, note 2. ↩︎
397:2 Sâyana, contrairement à notre Brâhmana, prend Daurgaha comme patronyme de Purukutsa (fils de Durgaha). ↩︎
397:3 Voir partie iv, p. 282, note 5. ↩︎
397:4 Voir partie iii, introd. p. xx. ↩︎
398:1 C’est-à-dire que, selon Harisvâmin, tous les Stotras totalisent ensemble 798 versets, ce qui fait vingt-cinq versets anushtubh (de 32 syllabes chacun) ou à peu près. ↩︎
398:2 C’est-à-dire tous les neuf stotras restants de ce jour, l’Agnishtoma, les soi-disant Dhuryas, à savoir les Âgya-stotras, les Prishtha-stotras et l’Agnishtoma-sâman, dans lesquels le Stoma respectif est obtenu par des répétitions des trois versets stotriyâ. ↩︎
398:3 Dans ce jour, le Ukthya, cela inclut aussi les trois Uktha-stotras, comme étant, pour ainsi dire, les Dhuryas des assistants du Hotri p. 399 (cf. partie iii, introd. p. xiv seqq.) ; tandis que dans les instructions concernant le jour suivant, ils ne sont pas inclus, car ils nécessitent un Stoma différent. ↩︎
399:1 De même qu’il y a ici de larges intervalles entre les Stomas, ainsi Vishnu, dans ses trois enjambées, parcourt de grandes distances, comm. ↩︎
399:2 C’est, selon Harisvâmin, le nom de l’ermitage de Kanva. Cf. Leumann, Zeitsch. d. DMG, XLVIII, p. 81. ↩︎
399:3 Cf. Ait. Br. VIII, 23; Weber, Ind. Stud. I, p. 202. ↩︎