X. Chanteur, doux Chanteur, des notes fraîches parsèment | Page de titre | XII. Où est ma vie ruinée, et où est la renommée de mes nobles actions ? |
JOIE, Printemps, s’attarder dans une foire de jardin,
Qu’est-ce que la terre a de plus à offrir ? Vous tous qui attendez,
Où est l’échanson, où est la fiole ?
Quand les heures agréables échappent aux mains du destin,
Considérez chaque heure comme un certain gain ;
Qui cherche à connaître la fin des soucis mortels
Je questionnerai son expérience en vain.
Ta vie enchaînée ne tient qu’à un seul fil.
Invente quelque réconfort pour tes maux présents,
Mais ceux que le temps peut apporter, tu ne les craindras pas.
Les Eaux de la Vie et le Paradis d’Irem—
Quel sens véhiculent nos rêves et notre faste,
Sauve-le à côté d’un puissant ruisseau, largement alimenté,
Nous nous asseyons et chantons du vin et partons notre chemin !
On verra le modeste et le joyeux
Pour se vanter de leur parenté d’une seule voix ;
Il n’y a aucune différence entre laquelle choisir,
Tu ne fais que flatter ton âme avec ton choix !
Qui connaît le secret du rideau ? . . . Le ciel est muet
Et pourtant avec Celui qui tient le rideau, même
Avec Lui, oh Fanfaron, tu voudrais soulever une dispute !
Bien que son esclave manque la route et erre,
C’est juste pour lui enseigner la sagesse à travers la détresse,
Sinon, le pardon et la miséricorde compatissante étaient
Mais des syllabes vides et dénuées de sens.
Le Zélote a soif de quelques gorgées du vin de Kausar,
Et Hafiz préfère une coupe terrestre -
Mais quel est, entre les deux, le dessein de Dieu ?
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