POÈMES DU DIVAN DE HAFIZ
Traduit par Gertrude Lowthian Bell
Londres : Heinemann
[1897]
- À Hafiz de Shiraz
- Présentation
- Les Poèmes
- I. Lève-toi, ô Échanson, lève-toi ! et amène
- II. L’oiseau des jardins chantait à la rose
- III. Vent d’est, ô vanneau du jour
- IV. Dors sur tes yeux, brillants comme des fleurs de narcisse
- V. Oh servante turque de Shiraz ! dans ta main
- VI. Une joue teintée de fleur, la fleur close
- VII. Du jardin du ciel une brise d’ouest
- VIII. La rose est devenue rouge, le bouton a éclaté
- IX. Ô Échanson, mets le feu à mon verre
- X. Chanteur, doux Chanteur, des notes fraîches se répandent
- XI. La gaieté, le printemps, s’attarder dans une foire de jardin
- XII. Où est ma vie ruinée, et où est la renommée de mes nobles actions ?
- XIII. Dame qui as mon cœur dans ta main
- XIV. Le rossignol aux gouttes du sang de son cœur
- XV. Retour ! que pour un cœur blessé plein de douleur
- XVI. Ce qui se travaille dans la forge du vivant et de la vie
- XVII. Ne fais pas de reproches à l’ivrogne
- XVIII. Les esclaves de tes yeux brillants sont même ceux-là
- XIX. Quelle est cette ivresse qui me donne de l’espoir
- XX. De la rue d’un tel
- XXI. La somme des bonheurs terrestres n’est pas totale
- XXII. La rose n’est pas belle sans le visage de l’aimé
- XXIII. Ma dame, cela a changé ma maison
- XXIV. Aucun n’est aussi fou que le mien
- XXV. Les jours d’absence et les nuits amères
- XXVI. Le secret du vin et de l’amour réprimé
- XXVII. Mon ami s’est enfui ! Hélas, mon ami s’est enfui
- XXVIII. As-tu oublié quand ton regard volé
- XXIX. De Canaan reviendra Joseph, dont le visage
- XXX. Salut, Shiraz, salut ! Ô site sans égal !
- XXXI. Le souffle du vent musqué de l’aube soufflera
- XXXII. Sur une branche du cyprès droit
- XXXIII. Le joyau du trésor secret
- XXXIV. La nuit dernière, j’ai rêvé que des anges se tenaient dehors
- XXXV. N’oubliez pas quand un ami cher est revenu à un ami
- XXXVI. Bien-aimé, qui t’a ordonné de ne plus demander
- XXXVII. Lève-toi ! et remplis une coupe d’or
- XXXVIII. Je ne cesse de désirer que jusqu’à ce que mon désir
- XXXIX. Cyprès, tulipe et églantine
- XL. Au bord d’un ruisseau, à l’ombre du saule
- XLI. Les jours du printemps sont là ! l’églantier
- XLII. Le véritable amour a disparu de tous les cœurs
- XLIII. Où sont les nouvelles de l’union ? afin que je puisse me lever
- Remarques