XIV. Le rossignol avec des gouttes du sang de son cœur | Page de titre | XVI. Ce qui est forgé dans la forge du vivant et de la vie |
RETOUR! qu’à un cœur blessé plein de douleur
La vaillance et la force peuvent entrer ; revenez !
Et la vie s’arrêtera à la porte déserte,
Le corps froid et mort respire à nouveau et brûle.
Oh viens ! et touche mes yeux, de ta douce grâce,
Car je suis aveugle à tout sauf à ton visage.
Ouvrez les portes et demandez-moi de revoir une fois de plus !
Comme un groupe cruel d’Ethiopiens,
La tristesse a dévalisé le royaume de mon cœur
Reviens, heureux Seigneur de Rome, et libère la terre ;
Devant tes armes l’ennemi se brisera et se séparera.
Regarde maintenant, je tiens un miroir devant mes yeux,
Et rien d’autre que ton reflet ne se trouve là-dedans ;
Le verre dit la vérité à ceux qui comprennent.
La nuit est enceinte, n’as-tu pas entendu les hommes dire ?
« La nuit est enceinte ! Que va-t-elle donner naissance ? »
Je m’assois et demande aux étoiles quand tu es absent.
Oh viens ! et quand le rossignol de la joie
Tuyaux dans le sol du jardin réveillé par le printemps,
Dans le cœur de Hafiz résonnera un son plus doux,
Les rossignols devins accordent leur chant.
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