La rose n’est pas belle sans le visage de l’aimé,
Le printemps n’est pas joyeux sans le doux rire du vin ;
Le chemin à travers les champs, et les serpents d’un endroit parsemé de fleurs,
Sans son chèque brillant, qui brille comme une belle tulipe,
Ni les vents qui soufflent doucement, ni les champs de maïs profonds, ne sont beaux.
Et des lèvres comme du sucre, la grâce comme une fleur qui se balance,
Il n’y a rien sans baisers nombreux et doux badinage ;
Si des milliers de voix ne chantaient pas les louanges de la rose,
La joie du cyprès qui ouvre son bourgeon pour saluer,
Ni la danse des branches ni la floraison des roses n’étaient belles.
Bien que délimité par des doigts très habiles, pas de photos s’il vous plaît
À moins que l’image de l’aimé n’y soit dessinée ;
Le jardin et les fleurs, et les cheveux flottant dans la brise,
À moins que je ne puisse lutter et gagner aux côtés de ma Dame,
Ni jardin, ni fleurs, ni boucles flottantes ne sont beaux.
Avez-vous vu à un festin de mariage, quand la joie est à son comble,
Les fêtards dispersent l’or avec une main négligente ?
L’or de ton cœur, oh Hafiz, est méprisé,
Pas digne de ton amour d’être jeté par une bande d’ivrognes
Aux pieds de celle qui est plus belle que tout ce qui est beau.