Aucun n’est rempli de folie comme le mien
Dans toutes les tavernes ! ma robe souillée repose ici,
Voilà mon livre négligé, tous deux promis pour le vin.
Avec de la poussière mon cœur est épais, cela devrait être clair,
Un verre pour refléter le visage du Grand Roi ;
Un rayon de lumière venant de ta demeure
Pour percer ma nuit, oh Dieu ! et m’attirer près de toi.
De mes yeux jusqu’au bord de mon vêtement
Une rivière coule ; peut-être mon cyprès
À côté de ce ruisseau, elle peut élever sa tige élevée,
Arrosant ses racines de larmes. Ah, amène-moi
Le vase à vin ! puisque la joue de mon amour est cachée,
Un flot de chagrin vient de mon cœur sans que je le lui demande,
Et transforme mes yeux en une mer amère !
Non, par la main qui me vend du vin, je jure
La coupe débordante ne touchera plus mes lèvres,
Jusqu’à ce que ma maîtresse au front radieux
Orne mon festin - jusqu’à ce que le secret de l’amour s’échappe
D’elle, comme de la langue de flamme de la bougie,
Même si moi, le papillon brûlé, par honte,
N’osez pas exalter la lumière de l’Amour sans éclipse.
J’adore le vin rouge, et je l’adore—
Ne me parle pas d’autre chose,
Pour rien d’autre que ceux sur terre ou au ciel je m’en soucie.
Que défiaient les fières fleurs de narcisse
Tes yeux brillants pour se prouver plus brillants,
Mais ne les écoutez pas, ceux qui sont clairs de vue
Ne suivez pas ceux à qui toute lumière est refusée.
Devant la porte de la taverne, un chrétien chantait
Au son des tuyaux et des tambours, à quelle heure la terre
J’attendais l’aube blanche et sonnais gaiement
Sur mon oreille, ces annonciateurs de joie :
« Si la vraie foi est telle que tu le dis,
Hélas ! mon Hafiz, que ce doux Aujourd’hui
Devrait amener l’inconnu Demain à la naissance !