| XL. La marge d'un ruisseau, l'ombre du saule | Page de titre | XLII. Le véritable amour a disparu de tous les cœurs |
Les jours du printemps sont là ! l’églantier,
La rose, la tulipe de la poussière se sont élevées—
Et toi, pourquoi restes-tu sous la poussière ?
Comme les nuages pleins du printemps, ces yeux sont les miens
Je disperserai des larmes sur la tombe de ta prison,
Jusqu’à ce que toi aussi tu arraches ta tête de la terre.
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