1. Je réponds avec diverses notes de chagrin à chaque colombe roucoulant perchée sur une branche dans un bosquet.
2. Elle pleure son compagnon sans larmes, mais de mes paupières coulent les larmes de chagrin.
3. Je lui dis, quand mes paupières ont versé leurs larmes abondantes en signe de mon état intérieur,
4. « As-tu connaissance de ceux que j’aime, et se reposaient-ils à midi dans l’ombre des branches ? »
1. « Toute colombe roucoulante », c’est-à-dire des essences spirituelles subtiles qui apparaissent dans les formes du monde intermédiaire.
2. « De mes paupières », etc. : à cause de mon existence corporelle.
4. « Se sont-ils reposés », etc., c’est-à-dire se sont-ils montrés dans les ombres de cet organisme naturel, afin que je puisse les y chercher ?