TROISIÈME LEÇON, INTIMÉ LA CONNAISSANCE DE L’ALIMENTATION.
Ô toi qui vis longtemps (Gambûsvâmin) ! J’ai (Sudharman) entendu le discours suivant du Vénérable (Mahâvîra). Nous en arrivons maintenant à la conférence intitulée « Connaissance de la nourriture ». Son contenu est le suivant :
Ici, à l’Est, à l’Ouest, au Nord et au Sud, il existe, en tout et pour tout, quatre sortes de graines : celles qui naissent au sommet (de la plante), à sa racine, à ses nœuds, à sa tige [^1131]. Selon la graine et le lieu [ p. 389 ] (de croissance) de ces plantes, certains êtres – nés dans la terre, originaires de la terre et y ayant grandi, y ayant leur naissance, leur origine et leur croissance, étant poussés par leur Karman, et y naissant grâce à leur Karman, y grandissant dans des particules de terre, origine de diverses choses – naissent sous forme d’arbres [^1132]. (1)
Ces êtres vivants se nourrissent de la substance liquide [^1133] de ces particules de terre, à l’origine de diverses choses ; ces êtres consomment des corps terrestres, aquatiques, ardents, aériens, végétaux ; ils privent de vie les corps de multiples êtres, mobiles et immobiles ; les corps détruits, préalablement consommés ou absorbés par l’écorce, sont digérés et assimilés (par eux). Et les corps de ces (arbres) qui produisent leurs différentes parties, sont de couleurs, d’odeurs, de goûts, de touchers, de formes et d’arrangements de particules corporelles variés [^1134].
[ p. 390 ]
Ces êtres (arbres animés) viennent à l’existence à cause de leur Karman ; c’est ce que nous enseignent (les Tîrthakaras, etc.) (2)
Et il a été dit autrefois : certains êtres nés dans les arbres, issus des arbres, issus des arbres (etc., comme au § 1, jusqu’à), issus d’arbres originaires de la terre, apparaissent comme des arbres issus des arbres [^1135]. Ces êtres se nourrissent de la sève des arbres originaires de la terre (etc., comme au § 2, jusqu’à la fin). (3)
(De la même manière, et presque dans les mêmes termes, il est question des ramifications des arbres mentionnés dans le paragraphe précédent.) (4)
Et il a été dit autrefois : certains êtres nés dans les arbres (etc., tous comme ci-dessus, jusqu’à) poussant dans les arbres, qui sont issus des arbres, apparaissent sous forme de racines, bulbe, tige, branches, rameaux, feuilles, fleurs, fruits et graines [^1136]. Ces êtres se nourrissent de la sève de ces arbres issus des arbres (etc., tous comme au § 2, jusqu’à) et les corps des racines, bulbe, tige, etc. sont de couleurs variées (etc., tous comme au § 2, jusqu’à la fin). (5)
(Les quatre paragraphes qui suivent, 6 à 9, sont identiques aux précédents, sauf que « creeper [^1137] » remplace « tree ».) (6 à 9)
(De la même manière, « l’herbe [^1138] » est traitée en quatre paragraphes, mais l’ensemble est très abrégé ; puis [ p. 391 ] il est dit que « les herbes [1] » et « les plantes [2] » doivent être traitées en quatre paragraphes chacune.) (10-15)
Et il a été dit autrefois : certains êtres nés sur terre (etc., tous comme au § 1, jusqu’à), y grandissant dans des particules de terre qui sont à l’origine de diverses choses, apparaissent sous les noms d’Aya, Kâya, Kuhana, Kandu, Uvvêhaliya, Nivvêhaliya, Êsava, Sakkha, Khattaga, Vâsâniya [3]. (Le reste est comme au § 2, mais on remplace « arbres » par les mots Âya, etc.). Il n’y a ici qu’un seul paragraphe, les trois autres ne s’appliquent pas ici [4]. (16)
Et il a été dit autrefois : certains êtres nés dans l’eau, (etc., tous comme dans les §§ 1 à 11, substituent seulement « eau » à « terre ». Ainsi, nous avons quatre paragraphes pour les arbres, quatre pour les plantes grimpantes, quatre pour l’herbe, quatre pour les herbes, quatre pour les plantes). (17)
Or, il a été dit depuis longtemps : certains êtres nés dans l’eau, (etc., tous comme ci-dessus, jusqu’à) grandissant dans des particules d’eau qui sont à l’origine de diverses choses, apparaissent sous les noms d’Udaga, Avaga [5], Panaga, Sêvâla [6], Kalambuya [^1145], Kasêruya [^1146], Kakkhabhâniya, Uppala, [ p. 392 ] Pauma, Kumuya, Nalina [^1147], Subhagasôniya, Pondariya, Mahâpondariya, Sayavatta, Sahassavatta, Kalhâra, Kôkanada, Tâmarasa [^1148], comme tiges et fibres de lotus, comme Pukkhala [7] et Pukkhalatthibhaga. (Le reste semblable à celui du § 2.) (18)
Et il a été dit autrefois : certains êtres naissent comme êtres mobiles des arbres nés dans la terre, des arbres engendrés par les arbres, des racines, (&c., jusqu’aux) graines produites par les arbres, engendrées par les lianes nées sur les arbres, des lianes nées sur les lianes, des racines, &c. des lianes nées sur les lianes, de l’herbe [8], des herbes [8:1], des plantes [8:2], d’Aya, (&c., tout jusqu’à) Kûra né dans la terre ; des arbres nés dans l’eau (le reste étant semblable aux arbres nés dans la terre), d’Udaga, (&c., tout jusqu’à) Pukkhalatthibhaga né dans l’eau. (19)
Ces créatures se nourrissent de la sève des arbres, des plantes grimpantes, de l’herbe, des herbes, des plantes, qu’elles naissent dans la terre ou dans l’eau, sur des arbres, des plantes grimpantes, de l’herbe, des herbes ou des plantes ; de la sève de leurs racines, (etc., jusqu’aux graines, des Âyas, etc., des Udakas, etc.). Et ces créatures consomment les corps terrestres, (etc., comme au § 2, jusqu’à) qu’elles assimilent. Et les corps de ces êtres nés d’arbres, de plantes grimpantes, d’herbe, d’herbes, de plantes, de leurs racines, etc., des Âyas, etc., des Udagas, etc., sont de couleurs variées, (etc., le reste étant comme au § 2, jusqu’à la fin). (20)
[ p. 393 ]
Et il a été dit autrefois : un homme et une femme cohabitent dans un cunnus, produit par leur Karman, et y déposent leurs humeurs. Là naissent les âmes de différents hommes, à savoir ceux nés à Karmabhûmi [9], à Akarmabhûmi, ou dans les continents mineurs, des Âryas et des barbares, comme femmes, hommes ou eunuques, selon le sperme et le sang de la mère [10] et les autres circonstances [^1153] (conditionnelles à leur venue à l’existence). Ces êtres se nourrissent d’abord des menstruations de la mère et du sperme du père, ou des deux combinés en une substance impure et fétide. Puis ils absorbent avec une partie (de leur corps) l’essence [^1154] de toute nourriture que prennent leurs mères. Grandissant progressivement et atteignant les dimensions d’un fœtus [11], ils sortent du ventre maternel, certains mâles, d’autres femelles, d’autres neutres. Tant qu’ils sont bébés, ils tètent le lait maternel ; mais en grandissant, ils mangent du riz bouilli, du gruau, ou des êtres à la fois mobiles et immobiles. Ces êtres consomment des corps terrestres (etc., comme précédemment, jusqu’à) qu’ils assimilent. Et les corps de ces hommes, à savoir ceux nés à Karmabhûmi, ou à Akarmabhûmi, ou sur les continents mineurs, des Âryas et des barbares, sont de multiples couleurs (etc., comme au § 2, jusqu’à la fin). (21)
(Ce paragraphe est presque identique au précédent, mais remplace « différents hommes » par « animaux aquatiques dotés de cinq organes des sens, à savoir les poissons, (tous jusqu’aux) [12] marsouins ». La phrase suivante, au milieu, est légèrement différente ; elle se présente ainsi : « tant qu’ils sont jeunes, ils se nourrissent des humeurs de leur mère, mais lorsqu’ils grandissent, ils mangent des plantes, ou des êtres à la fois mobiles et immobiles. ») (22)
Ce paragraphe traite des quadrupèdes [13], animaux terrestres dotés de cinq organes sensoriels, à savoir les animaux solidungulaires, biungulaires, multiungulaires et les animaux dotés d’orteils munis d’ongles. (Tous comme dans le paragraphe précédent, sauf que « tant qu’ils sont jeunes, ils se nourrissent du lait maternel. ») (23)
Ce paragraphe traite des reptiles se déplaçant sur la poitrine, animaux terrestres dotés de cinq organes sensoriels, à savoir les serpents, les serpents géants [^1158], les Âsâlika et les dragons [^1159]. (Comme précédemment, mais le passage suivant est différent.) Certains pondent des œufs, d’autres des petits vivants ; certains sortent de l’œuf mâles, d’autres femelles, d’autres neutres. Tant qu’ils sont jeunes, ils se nourrissent de vent. (Le reste est identique à celui mentionné ci-dessus.) (24)
(Ce paragraphe traite des) animaux terrestres dotés de cinq organes sensoriels, marchant sur leurs bras, à savoir : iguanes, ichneumons, porcs-épics, grenouilles, caméléons, [ p. 395 ] Khôras, Gharakôillas [14], Vissambharas [^1161], rats, mangoustes, Païlâiyas, chats, Gôhas, Kâuppâiyas [15]. (Le reste est identique au dernier paragraphe.) (25)
Ce paragraphe traite des animaux aériens dotés de cinq organes sensoriels : les oiseaux aux ailes membraneuses, les oiseaux aux ailes emplumées, les oiseaux aux ailes en forme de boîte, et les oiseaux (couchés sur) des ailes déployées [16]. (Tout comme précédemment ; seul le passage suivant diffère) : « Tant qu’ils sont jeunes, ils sont couvés par la chaleur de leur mère. » (Le reste est identique.) (26)
On a déjà dit : il existe des êtres de naissances et d’origines diverses (etc., comme au § 1, jusqu’à) qui croissent sur les corps animés ou inanimés de multiples créatures, mobiles ou immobiles, et qui apparaissent comme des parasites [^1164]. Ces êtres se nourrissent des humeurs de diverses créatures, mobiles et immobiles, etc. Et les corps de ces parasites mobiles et immobiles sont de couleurs variées (etc., comme ci-dessus). (27)
De la même manière, il faut traiter les nuisibles générés dans les substances sales [^1165] et dans la peau des animaux vivants [17]. (28, 29)
Français Et il a été dit de nouveau depuis longtemps : il y a des êtres de naissance et d’origine multiples, (&c., tous comme dans le § 1, [ p. 396 ] jusqu’à) qui poussent sur (ou dans) les corps animés ou inanimés de multiples créatures mobiles ou immobiles comme cette masse (d’eau) [18], qui est produite par le vent, condensée par le vent, et emportée par le vent ; elle monte, quand il y a un vent ascendant ; elle descend, quand il y a un vent descendant ; elle va dans une direction horizontale, quand il y a un vent horizontal ; (ses variétés sont) le givre, la neige, la brume, la grêle, la rosée et la pluie. Ces êtres se nourrissent des humeurs de ces multiples créatures mobiles et immobiles, etc. Et les corps de ces (vivants aquatiques, à savoir) le givre, etc., produits par de multiples créatures mobiles ou immobiles, sont de couleurs multiples, (etc., comme ci-dessus) [19]. (30)
On a dit autrefois que certains êtres, nés dans l’eau (etc., tous semblables à ceux du § 1, jusqu’à), naissent dans l’eau (les corps aquatiques) produite par de multiples êtres mobiles ou immobiles. Ces êtres se nourrissent des humeurs de l’eau (les corps aquatiques) produite par de multiples créatures mobiles ou immobiles. (Les autres sont semblables à ceux mentionnés ci-dessus.) (31)
On a déjà dit : certains êtres, nés dans l’eau (etc., tous semblables à ceux du § 1, jusqu’au § 1), naissent dans des masses d’eau produites par d’autres masses d’eau. Ces êtres se nourrissent des humeurs de ces autres masses d’eau produites par d’autres masses d’eau. (Les autres sont semblables à ceux mentionnés ci-dessus.) (32)
Et il a été dit autrefois : certains êtres, nés dans l’eau (etc., tous semblables à ceux du § 1, jusqu’à) apparaissent comme des créatures mobiles dans l’eau produite par les masses d’eau. Ces êtres se nourrissent des humeurs de l’eau produite par l’eau. (Les autres sont semblables à ceux mentionnés précédemment.) (33)
Il a été dit autrefois que certains êtres, de naissance et d’origine diverses (etc., tous comme au § 1, jusqu’à) apparaissent comme corps de feu dans les multiples corps animés ou inanimés des créatures mobiles ou immobiles [20]. Ces êtres se nourrissent des multiples créatures mobiles ou immobiles. Les autres sont semblables à la précédente.
Les trois paragraphes restants sont similaires (à ceux traitant des) plans d’eau. (34)
(Ce paragraphe traite des corps de vent de la même manière que les précédents traitaient des corps de feu ; comme lui, il se compose de quatre paragraphes). (35)
Il a été dit autrefois que certains êtres, de naissances et d’origines diverses (etc., tous comme au § 1, jusqu’à) apparaissent dans les multiples corps animés et inanimés des créatures mobiles et immobiles [21], comme la terre, le gravier, etc. Les versets suivants (de l’Uttarâdhyayana XXXVI, 74-77) doivent être utilisés ici :
1. Terre, gravier, sable, pierres, roches, sel gemme, fer, cuivre, étain, plomb, argent, or et diamant ;
2. Orpiment, vermillon, réalgar, Sâsaka, antimoine, corail, Abhrapatala, Abhravâluka ; ce sont des variétés de corps (terrestres) grossiers et de pierres précieuses. [ p. 398 ] 3. Jacinthe, natron, Aṅka, cristal, Lôhitâksha, émeraude, Masâragalla, Bhugamôkaka et saphir ;
4. Kandana, craie rouge, Hamsagarbha, Pulaka et soufre ; Kandraprabha, lapis-lazuli, Galakânta et Sûryakânta.
Ces êtres se nourrissent des humeurs de ces multiples êtres mobiles et immobiles. (Le reste est identique à celui décrit ci-dessus.)
Les trois paragraphes restants sont similaires (à ceux traitant des) plans d’eau. (36)
Et il a été dit autrefois : tous les êtres vivants, de naissance, d’origine et de croissance diverses, nés dans un corps, issus d’un corps, grandissant dans un corps, se nourrissant de corps, éprouvent leur karman, sont animés par lui, voient leur forme et leur durée de vie déterminées par le karman, et subissent des changements sous son influence. Sachez-le, et sachez-le, soyez prudent et circonspect dans votre alimentation, et faites toujours des efforts. (37)
Ainsi je dis.
[^1145] : 390:3 Agghôruha = adhyârôha, expliqué dans le Dîpikâ : vallîvriksha.
[^1146] : 390:4 Trina.
[^1147] : 391 : 1 Ôsahi = Ôshadhi.
[^1148] : 391:2 Hariya = harita.
[^1153] : 391:7 Kadamba, Naucléa Kadamba.
[^1154] : 391:8 Kasêru, Scirpus Kysoor.
[^1161] : 393 : 1 Comparez la note 1, p. 225.
[^1164] : 393:4 Ôyam = ôgas.
[^1165] : 393 : 5 Paliyâgam, a expliqué garbhaparipâka.
388:1 Les commentateurs donnent ici la lecture des Nâgârgunîyas : « la croissance des graines des plantes est quintuple, à savoir qu’elles poussent du sommet (de la plante), de sa racine, de ses nœuds, de sa tige et de ses perles ; p. 389 et certaines sont d’une sixième sorte appelée sammûrkhima » (c’est-à-dire ces plantes que l’on croit provenir de la coalescence de particules de la substance dans laquelle elles poussent, par exemple l’herbe poussant sur un sol récemment défriché par le feu). — Les diverses lectures des Nâgârgunîyas sont parfois citées dans les commentaires (voir par exemple partie i, p. 32, note 2). Mais je ne pense pas qu’il ait été établi de manière satisfaisante qui étaient ces Nâgârgunîyas. ↩︎
389:1 Le sens est que les âmes qui, en raison de leur Karman, doivent naître sous forme d’arbres, sont préalablement incarnées dans la terre, et de là, elles sont transférées par leur Karman à la graine qui produit l’arbre. ↩︎
389:2 Sinêha, expliqué : snigdhabhâva. Dans la suite où il sera question des plantes, je rendrai ce mot par « sève » ou « humeurs », selon le contexte. ↩︎
389:3 C’est-à-dire que la nourriture assimilée par l’arbre est la matière dont ses différentes parties, comme la racine, la tige, les feuilles, etc., sont formées, et ces parties sont de formes, de couleurs, etc. ↩︎
390:1 Apparemment, il s’agit d’arbres issus de pousses, de rejets, de racines aériennes, etc. Ils sont considérés comme une classe différente de ceux dont ils sont les rejetons. ↩︎
390:2 Une seule âme, gîva, imprègne tout l’arbre ; c’est l’âme de l’arbre. Des gîvas distincts, cependant, résident dans les racines, etc. ↩︎
391:3 Tout ce que les commentateurs disent à propos des mots Âya, etc. (qui offrent des interprétations diverses dans les manuscrits), c’est qu’ils désignent des plantes particulières (vanaspativisêsha) qui doivent être apprises auprès de ceux qui les connaissent. Je donne les mots dans leur forme Prâkrit, et je n’essaie pas de les transposer en sanskrit. ↩︎
391:4 Car il n’y a pas d’Âyas engendrés par des Âyas sinon par leur semence. ↩︎ ↩︎ ↩︎
391:5 Avakâ, une plante herbeuse poussant dans les terres marécageuses, Blyxa Octandra. ↩︎
391:6 Saivâla, la plante aquatique Vallisneria. ↩︎
392:1 Les quatre dernières sont des variétés de lotus bien connues, appelées en sanskrit : utpala, padma, kumuda, nalina. ↩︎
392:2 Le sanskrit des sept derniers éléments est : pundarîka, mahâpundarîka, satapattra, sahasrapattra, kahlâra, kôkanada et tâmarasa ; ce sont toutes des variétés de lotus. ↩︎
392:3 Pushkara. ↩︎
392:4 Ceci doit être détaillé de la même manière que pour les arbres et les plantes grimpantes. ↩︎
393:2 Les deux sont indiqués dans le texte par bîga. Selon Sîlâṅka, un mâle sera produit si le sperme est en excès ; une femelle, si le sang est en excès ; un neutre, si les deux sont également équilibrés. ↩︎
393:3 Avakâsa. Selon Sîlâṅka, un mâle est produit du côté droit de l’utérus, une femelle du côté gauche, un neutre des deux ensemble. ↩︎
394:1 Voir Uttarâdhyayana XXXVI, 173 ; ci-dessus, p. 223. ↩︎
394:2 Comparer Uttarâdhyayana XXXVI, 180, ibidem. ↩︎
394:3 Agagara, littéralement serpents qui dévorent les chèvres. ↩︎
394:4 Mahôraga. Selon la glose Guzeratî, ces serpents sont longs de mille yôganas. ↩︎
395:1 Grihakôkila, probablement identique à grihagôlika, un lézard. ↩︎