1. « La génisse qui a été égorgée sans intention convenable, (le prêtre) a recueilli le sang et l’a aspergé sans intention convenable, ou avec intention convenable, et ensuite sans intention convenable, ou sans intention convenable, et (après) avec intention convenable ? » « Elle est rejetée. » R. Éliézer « l’a rejetée. » « Et si le prêtre ne s’est pas lavé les mains et les pieds ? » « Elle est rejetée. » R. Éliézer « l’a rejetée. » « Si elle n’a pas été égorgée par le Grand Prêtre ? » « Elle est rejetée. » R. Juda « l’a rejetée. » « Si l’un de ses vêtements manquait ? » « Elle est rejetée. » Et les rites étaient accomplis en vêtements blancs.
2. Si le prêtre l’a brûlée hors de son emplacement préparé, ou en deux endroits, ou en a brûlé deux en un seul ? « Elle est interdite. » « S’il a aspergé son sang mais pas directement devant la PORTE ? » « Elle est interdite. » « S’il a aspergé son sang la sixième fois pour la septième, puis s’est retourné et a aspergé la septième ? » « Elle est interdite. » « Si le prêtre a aspergé la septième fois pour la huitième, puis s’est retourné et a aspergé la huitième ? » « Elle est autorisée. » [ p. 307 ] 3. « Si le prêtre a brûlé la génisse rousse sans bois, ou avec n’importe quelle sorte de bois, même avec du chaume et du fumier ? » [^633] « Elle est autorisée. » « S’il l’a écorchée et coupée ? » « Elle est autorisée. » « S’il l’a égorgée à condition de manger de sa chair et de boire de son sang ? » « Elle est autorisée. » Rabbi Eliezer a dit : « L’intention ne rejette pas la génisse. »
4. Tous ceux qui s’occupent de la génisse, du début à la fin, rendent leurs vêtements légalement impurs. Et tout travail qu’elle réalise la rend impure. Si une infraction a été commise pendant son abattage, elle ne rend pas ses vêtements impurs. Si elle a été commise pendant l’aspersion de son sang, quiconque s’occupait avant son impureté rend ses vêtements impurs. Après son impureté, il ne rend pas ses vêtements impurs. Il s’ensuit que sa difficulté est sa commodité. Ceux qui s’occupent d’elle sont toujours passibles d’un sacrifice de culpabilité. Ils peuvent y ajouter du bois pendant son brûlage. Et son travail se fait de jour et par un prêtre. Tout travail lucratif chez elle la rend impure, jusqu’à ce qu’elle soit réduite en cendres. Et tout travail lucratif rend impure l’eau, jusqu’à ce que les cendres soient répandues dessus.