1. « Lorsqu’on souhaite se purifier et que les cendres de purification sont tombées sur sa main ou sur le côté (du récipient), puis sur un abreuvoir ? » « Elles sont interdites. » « Si de l’eau de purification est tombée d’un tuyau sur l’abreuvoir ? » « C’est interdit. » « Il a pris l’eau de purification du tuyau et a recouvert le tuyau ou en a fermé la porte ? » « Les cendres de purification sont autorisées, mais l’eau est interdite. » « Il l’a déposée par terre ? » « C’est interdit. » « Il l’a déposée dans sa main ? » « C’est autorisé, car ce n’est pas possible autrement. » [ p. 310 ] 2. « Si les cendres flottaient à la surface de l’eau ? » R. Meier et Rabbi Simon ont dit : « on peut les prendre et se purifier. » mais les Sages disent : « toutes les cendres qui ont une fois touché l’eau ne peuvent pas purifier. » « Si quelqu’un a aspergé l’eau et que les cendres se trouvent au fond ? » R. Meier et R. Simon ont dit : « Il peut les sécher et les purifier. » mais les Sages disent : « toutes les cendres qui ont (une fois) touché l’eau ne peuvent pas purifier. »
3. « Si quelqu’un prépare de l’eau pour la purification dans une auge, et qu’il y ait une cruche dedans ? » « Même si son ouverture est très étroite, l’eau qu’elle contient peut purifier. » « S’il y a une éponge ? » « L’eau qu’elle contient est interdite. » « Comment doit-on agir ? » « Il doit asperger jusqu’à atteindre l’éponge. Une fois l’éponge touchée, même si l’eau la recouvre légèrement, elle est interdite. »
4. « Quelqu’un a-t-il mis sa main, ou son pied, ou des feuilles de légumes, de sorte que l’eau de purification ait débordé dans un autre récipient ? » « C’est interdit. » S’il s’agissait de feuilles de roseau ou de noix, elles sont autorisées. Telle est la règle. Ce qui contracte l’impureté est interdit. Et ce qui ne contracte pas l’impureté est autorisé.
5. « Si quelqu’un détourne un puits pour en faire un étang en forme de cuve ou un marais ? » « L’eau qui s’y trouve est interdite en cas de maladie et de lèpre, ou pour se purifier avec elle comme avec l’eau des cendres d’une génisse, car elle n’est pas versée dans un vase. »