MV 1; T. III. 4-21. La posture et l'attention dans la prière | Page de titre | M. VI. 1-4; T. IV. 1-7. Les formes propres aux différents aliments |
T. III. 22. Celui qui écrit le nom de l’Éternel ne peut pas rendre la salutation à un homme, même s’il s’agit d’un roi. S’il écrit cinq ou six noms de ce genre, dès qu’il en a terminé un, il rend la salutation.
23. Dans un endroit où l’on a coutume de dire la bénédiction des personnes en deuil en trois prières, [1] nous disons trois ; là où, en deux, nous disons deux ; là où, en une, nous disons une.
24. Dans un lieu où l’on a l’habitude de réciter la bénédiction des personnes en deuil en trois prières, un homme associe la première à celle concernant la Résurrection des morts et la scelle par « Toi qui rends la vie aux morts ». Il associe la seconde à « la consolation des personnes en deuil » et la scelle par « Celui qui console son peuple et sa ville ». Il associe la troisième à « la restitution des bienfaits », mais ne la scelle pas. Celui qui renvoie l’assemblée au cimetière n’a pas besoin de sceller.
25. Les dix-huit bénédictions ordonnées par la majorité correspondent aux dix-huit fois où le Seigneur est mentionné dans le psaume commençant par « Donnez au Seigneur, ô fils des puissants ». [2] On combine [la bénédiction sur] les Minim [3] avec [ p. 43 ] celle sur les Pharisiens, 1 et celle sur les Prosélytes avec celle sur les Anciens, 2 et celle sur David avec celle sur Jérusalem. 3 Si les hommes ont dit chacune de ces bénédictions séparément, leur obligation est remplie. [4]
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41:6 fluent. Cf. M. IV. 3 (p. 31). ↩︎
42:1 comme trois prières. Dans la maison, de la part des visiteurs après les funérailles. SA, pp. 323 sq. Cf. supra, p. 21. ↩︎
42:2 Ps. 29. ↩︎
42:3 les Minimes. La forme palestinienne, ou « ancienne », de la Douzième Bénédiction est : « Pour les apostats (mshummāddim), qu’il n’y ait aucun espoir, et que Tu déracines promptement le royaume de l’orgueil de nos jours. Et que les chrétiens (notzrim) et les minimes périssent en un instant. Qu’ils soient effacés du livre de vie, et qu’ils ne soient pas inscrits avec les justes. Béni sois-tu, ô Éternel, qui soumets les orgueilleux. » La forme courante, et plus récente, se trouve dans SA, p. 48. ↩︎