M. VII. 1-2 ; T. V, 10. Qui peut être invité à prendre part aux repas de l'autel de bénédiction | Page de titre | M. IX. 1; T. VII. 2. Bénédictions lors de scènes de miracles ou d'idolâtrie passée |
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M.VIII. I. Voici les points de différence entre l’école de Shammaï et l’école de Hillel [^397] dans le cas d’un repas. L’école de Shammaï dit : On dit [1] la bénédiction sur le jour, puis la bénédiction sur le vin ; et l’école de Hillel dit : On dit la bénédiction sur le vin, puis sur le jour.
T. VI. 1. Questions qui sont en litige entre l’école de Shammai et l’école de Hillel dans le cas d’un repas.
L’école de Shammaï dit : On prononce la bénédiction sur le jour, puis sur le vin. Car le jour entraîne avec lui la venue du vin, et le jour saint était déjà venu avant la venue du vin.
L’école de Hillel dit : On prononce la bénédiction sur le vin, puis sur le jour. Car le vin porte en lui la parole de sanctification du jour. [2] Une autre raison [donnée] est : la bénédiction du vin est constante, mais la bénédiction du jour ne l’est pas. [3] Et la règle est conforme aux paroles de l’école de Hillel.
III. 8. La question de l’honneur du jour et de l’honneur de la nuit. L’honneur du jour [ p. 66 ]
a la priorité sur l’honneur de la nuit. [4] Si l’on n’a qu’une seule coupe (de vin), la sanctification du jour a la priorité sur l’honneur du jour et l’honneur de la nuit. [5]
Dans le cas des nuits de sabbat et des nuits de fête, la sanctification du jour est proclamée au-dessus de la coupe, et la sainteté du jour est mentionnée dans la bénédiction après le repas. [6]
Le sabbat, la fête, le premier jour du mois et les jours de la semaine des fêtes, dans tous ces jours, il y a mention de la sainteté du jour dans la bénédiction après le repas, mais il n’y a pas en eux la sanctification du jour sur la coupe.
M.VIII. 2. L’école de Shammaï dit : « Les hommes se lavent les mains [7] et mélangent ensuite la coupe. » Et l’école de Hillel dit : « Les hommes se lavent les mains et mélangent ensuite la coupe. » [8]
T. VI. 2. L’école de Shammaï dit : « Les hommes se lavent les mains, puis mélangent la coupe. Il se peut que l’humidité qui se trouve à l’extérieur de la coupe [9] devienne impure à cause des mains et rende la coupe à nouveau impure. »
Mais l’école de Hillel dit : l’extérieur de la coupe est impur dans tous les cas. Une autre raison [donnée] [ p. 67 ] est : le lavage des mains n’est associé qu’à un repas. (Par conséquent) les hommes mélangent la coupe, puis se lavent les mains. [10]
M.VII I. 3 (4). L’école de Shammaï dit : « Ils rangent la pièce et se lavent ensuite les mains. » Mais l’école de Hillel dit : « Ils se lavent les mains et rangent ensuite la pièce. » [11]
T. VI. 4. L’école de Shammaï dit : Ils rangent la pièce pour éviter de gâcher la nourriture, puis ils se lavent les mains. Et l’école de Hillel dit : Si le serviteur est versé dans la Loi, il ramasse les morceaux gros comme une olive, et ils se lavent les mains. Et après cela, ils rangent la pièce.
M.VIII. 4 (3). L’école de Shammaï dit : Un M. s’essuie les mains [12] avec une serviette et la pose sur la table ; [13] et l’école de Hillel dit : Sur le coussin. [14]
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T.
T. VI. 3. L’école de Shammaï dit : On s’essuie les mains avec une serviette et on la laisse sur la table. Il se peut que l’humidité présente sur la serviette devienne impure à travers le coussin, si la serviette y était placée, et que les mains redeviennent impures.
L’école de Hillel dit : Tout doute concernant l’humidité sur ses mains signifie qu’il est propre.
Une autre raison est donnée : le lavage des mains n’est pas réservé aux aliments ordinaires. [15] Mais on s’essuie les mains avec une serviette et on la laisse sur le coussin. Il se peut que l’humidité présente sur la serviette se répande sur la table et rende les aliments à nouveau impurs.
5. L’école de Shammaï dit : La coupe de vin [16] est à la droite de l’homme, et l’huile parfumée à sa gauche. Il prononce la bénédiction sur le vin, puis sur l’huile. [17] Mais l’école de Hillel dit : L’huile parfumée à sa droite, et la coupe de vin à sa gauche. Il prononce la bénédiction sur l’huile et l’étale sur la tête du serviteur. [18] Si le serviteur est instruit dans la Loi, il l’étale sur le mur, car il n’est pas honorable pour un instruit dans la Loi de sortir oint de parfum.
M.VIII. 5. L’école de Shammai dit : Lampe, nourriture et épices [19] et Habdalah. [20] Mais le
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M.[le paragraphe continue] L’école de Hillel dit : Lampe et épices et nourriture et Habdalah.
T.
T. VI. 6. R. Judah dit : L’école de Shammaï et l’école de Hillel n’ont pas contesté la bénédiction après le repas, qu’elle est prononcée au début (de la prière), ni la Habdalah, qu’elle est prononcée à la fin. Sur quoi se disputaient-elles ? Sur la lampe et sur les aromates. Car l’école de Shammaï dit la bénédiction sur la lampe, puis sur les aromates ; et l’école de Hillel dit les aromates, puis la lampe.
Celui qui entre dans sa maison à la fin du sabbat dit la bénédiction sur le vin, sur la lampe et sur les aromates, et récite la Habdalah. S’il n’a qu’une coupe, il la réserve pour après le repas et les enfile ensuite ensemble [en bénédiction]. On récite la Habdalah à la fin du sabbat, à la fin d’une fête, à la fin du Jour des Expiations, à la fin d’un sabbat pour une fête, et à la fin d’une fête pour le jour ordinaire de la fête.
Celui qui est habitué à utiliser de telles formes dit plusieurs Habdaloth, [21] et celui qui n’est pas habitué en dit un ou deux.
Dans la salle de conférence, l’école de Shammai dit : Une personne dit la bénédiction pour tous, et l’école de Hillel dit : Chacun dit la bénédiction pour lui-même. [22]
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M.VIII. 6 (5 suite). L’école de Shammaï dit : « Celui qui a créé la lampe [23] de feu. » L’école de Hillel dit : « Créateur des lampes de feu. » [24]
7 (6). Ils ne disent pas de bénédiction sur la lampe ni sur les aromates qui appartiennent aux païens ; [25] ni sur la lampe ni sur les aromates qui sont pour les morts ; [26] ni sur la lampe ni sur les aromates qui appartiennent au culte des idoles. [27] Ils ne disent pas de bénédiction sur la lampe jusqu’à ce qu’ils jouissent de sa lumière.
T. VI. 7. Si quelqu’un a une lampe (nêr) cachée dans son sein, [28] ou dans une lanterne et voit la flamme [ p. 71 ] sans utiliser sa lumière, ou utilise sa lumière sans voir la flamme, on ne dit pas la bénédiction [29] dessus jusqu’à ce qu’il voie la flamme et utilise sa lumière. S’il s’agit d’une lanterne avec verre, on dit la bénédiction dessus, même si elle n’est pas éteinte. [30]
Dans le cas d’une lampe appartenant à un non-Juif, nous ne disons pas la bénédiction sur elle. Un Israélite qui allume sa lampe avec celle d’un non-Juif, et un non-Juif qui allume sa lampe avec celle d’un Israélite, nous disons la bénédiction sur elles dans chaque cas.
À quel moment commence-t-on à réciter la bénédiction ? Dès la tombée de la nuit. S’il ne l’a pas récitée dès la tombée de la nuit, il peut la réciter à n’importe quel moment de la nuit. S’il ne l’a pas récitée de toute la nuit, il ne peut pas la réciter plus tard.
Le feu [31] et les hybrides [32] n’ont pas été créés pendant les six jours de la création. Mais ils ont été pensés [33] pendant les six jours de la création. Rabbi Judah dit : Le feu de la Géhenne, créé le deuxième jour de la création, ne s’éteint jamais. Car il est dit : « Et ils sortiront et verront les cadavres des hommes qui ont transgressé contre moi : car leur ver ne mourra pas, et leur feu ne s’éteindra pas. » [34]
8. Dans le cas du feu et des épices d’un bain, [35] on ne dit pas la bénédiction sur eux. Si l’on reste debout dans une boutique d’épices toute la journée, on ne dit la bénédiction qu’une seule fois. Si l’on entre et sort plusieurs fois, on dit la bénédiction à chaque fois.
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M.VIII. 8 (7). Dans le cas de celui qui a mangé, mais a oublié et n’a pas prononcé la bénédiction, l’école de Shammaï dit : « Qu’il retourne à sa place [36] et la prononce. » L’école de Hillel dit : « Qu’il la prononce à l’endroit où il s’en souvient. [37] Combien de temps après peut-il prononcer la bénédiction ? Jusqu’à ce que la nourriture contenue dans ses intestins soit consommée. [38]
9 (8). Supposons que le vin leur arrive après la nourriture, et qu’il n’y ait qu’une seule coupe, [39] l’école de Shammaï dit : On dit la bénédiction sur le vin, puis la bénédiction sur la nourriture. Mais l’école de Hillel dit : On dit la bénédiction sur la nourriture, puis la bénédiction sur le vin. [40] Ils répondent « Amen » après un Israélite qui dit la bénédiction, mais ils ne disent pas « Amen » après un Cuthéen (c’est-à-dire)
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M.[le paragraphe continue] Samaritain) qui dit la Bénédiction, jusqu’à ce qu’on entende toute la Bénédiction. [41]
T. III. 26. On répond « Amen » après un Israélite qui prononce la bénédiction, mais on ne répond pas « Amen » après un Samaritain qui prononce la bénédiction, jusqu’à ce qu’on ait entendu la bénédiction en entier. [42]
V. 21. Si un païen prononce la bénédiction au nom (de l’emprunt), on répond « Amen » après lui. Si un Samaritain prononce la bénédiction au nom (du Seigneur), on ne répond pas « Amen » après lui avant d’avoir entendu la bénédiction dans son intégralité. [43]
22. Si l’on offre des sacrifices [44] à Jérusalem [45], on dit : « Béni soit Celui qui nous a fait venir jusqu’à ce temps ! » et lorsqu’on mange, on dit : « Béni soit Celui qui nous a sanctifiés par ses commandements et nous a commandé de manger ce sacrifice. » Si l’on offre des offrandes de farine à Jérusalem, on dit : « Béni soit Celui qui nous a gardés en vie et nous a fait venir jusqu’à ce temps ! » ; lorsqu’on mange, on dit : « Béni soit Celui qui fait sortir le pain de la terre. »
23. Si dix personnes sont en voyage, bien qu’elles mangent toutes du même pain, [46] chacune récite la bénédiction pour elle-même. S’ils sont à table, bien que chacune mange de son pain, on récite la bénédiction pour toutes. [47]
24. Dans le cas des ouvriers qui travaillent auprès du maître de maison, voici, ceux-ci prononcent deux bénédictions. L’un prononce la première bénédiction, [ p. 74 ], et il inclut celle pour Jérusalem [48] avec celle pour la Terre, [49] et la scelle avec celle pour la Terre. S’ils travaillent avec lui pour leur nourriture, [50] ou si le maître de maison prononce la bénédiction pour eux, ils prononcent quatre bénédictions. [51]
M. VII. 1-2 ; T. V, 10. Qui peut être invité à prendre part aux repas de l'autel de bénédiction | Page de titre | M. IX. 1; T. VII. 2. Bénédictions lors de scènes de miracles ou d'idolâtrie passée |
65:1 Les raisons dans chaque cas sont données dans T. ↩︎
65:2 On dit. c’est-à-dire au début des sabbats et des fêtes. ↩︎
65:3 sanctification du jour. La bénédiction qui mentionne le jour n’est jamais prononcée sans l’usage du vin. ↩︎
65:4 constant . . . pas constant. Ce qui est fait tous les jours a une préséance sur ce qui n’est fait qu’occasionnellement. ↩︎
66:1 S’il est impossible d’honorer à la fois le jour et la nuit du sabbat ou de la fête par des repas spéciaux, il faut les réserver pour le jour (cf. Laible). ↩︎
66:2 La bénédiction doit être dite sur cette coupe à l’entrée du jour (cf. Laible). ↩︎
66:3 La partie indiquant la référence spéciale de chaque fête doit être mentionnée. ↩︎
66:4 se laver les mains. En versant de l’eau dessus. ↩︎
66:5 Sur cette mishna, voir T. ↩︎
66:6 sur l’extérieur de la coupe. D’où la nécessité de nettoyer l’extérieur, Matthieu 23-25. ↩︎
67:1 se laver les mains. Le texte courant ajoute : « Car si tu dis : « Les hommes se lavent d’abord », il se peut que le liquide sur les mains devienne impur à cause de la coupe, et rende les mains à nouveau impures. Mais ils mélangent la coupe, et ensuite se lavent les mains. » Cela signifie que si les mains sont humides après s’être lavées, et que l’on saisit une coupe dont l’extérieur est déjà impur, les mains deviennent alors impures et l’on mangera avec des mains impures. ↩︎
67:2 Le fait est qu’en balayant les miettes, on peut peut-être trouver parmi elles un morceau de nourriture aussi gros qu’une olive, qui aurait été rendu impur par l’eau renversée dessus. D’où l’ordre selon l’école de Shammaï. Mais l’école de Hillel soutient que partir du principe qu’un morceau aussi gros sera trouvé sur le sol implique que le préposé est un 'am ha’aretz, qui ne devrait pas être employé ainsi. La Halaka, cependant, suit l’école de Shammaï, autorisant ainsi le recours à un préposé qui est un 'am ha’aretz. ↩︎
67:3 s’essuie les mains. Après le premier lavage avant de manger. ↩︎
67:4 Voir T. ↩︎
67:5 le coussin. c’est-à-dire sur lequel il est allongé. ↩︎
68:1 pas pour la nourriture ordinaire. Il ne s’agit donc pas de rendre impures les mains, mais les aliments. ↩︎
68:2 la coupe de vin. À la fin du sabbat. ↩︎
68:3 dit ensuite la bénédiction sur l’huile. Le vin est le plus important. ↩︎
68:4 _sur la tête du serviteur_t. Pour ne pas le gaspiller. ↩︎
68:5 épices. Comme la coutume de brûler des épices à la fin des repas (M. VI. 6, supra, p. 48) « était interrompue le jour du sabbat, l’apport d’épices fut associé à la fin du sabbat » (Abrahams on SA, p. 216). ↩︎
69:1 pour une fête. Lorsqu’un sabbat précède immédiatement une fête. ↩︎
69:2 Habdaloth. Le pluriel peut faire référence à la vanité dans les Bénédictions, ou dans les citations des Écritures, ou à l’énumération de diverses « distinctions ». ↩︎
69:3 Chacun . . pour soi. Peut-être parce qu’ils vont et viennent continuellement. Cf. supra, p. 63. ↩︎
70:1 la lampe. Le mot ainsi traduit ici et dans la clause suivante est ma’ôr (Gen. 116), dans la mishna précédente, nêr. Mais dans T, ma’ôr est utilisé à la place de nêr. ↩︎
70:2 La différence entre les deux formes de la Bénédiction semble être que l’École de Shammaï considérait le feu comme contenant l’unique manifestation de la lumière divine, et l’École de Hillel comme contenant diverses particules et couleurs ; aussi que la première considérait tout comme inclus dans l’unique création passée (« créée »), la seconde comme le résultat de l’œuvre présente du SEIGNEUR (« créant » ou « créateur »). ↩︎
70:3 païens. Leur lumière ou leur feu pouvaient être allumés le jour du sabbat, ou même leurs aromates utilisés à des fins idolâtres. ↩︎
70:4 qui sont pour les morts. La lampe n’est donc pas utilisée pour éclairer, mais pour honorer les morts, et se prête à la superstition. De même, brûler des épices sur les morts peut être uniquement pour des raisons de santé ou pour des motifs superstitieux. ↩︎
70:5 culte des idoles. Les « païens » sont mentionnés ci-dessus à propos de la possession ; cette expression fait référence à l’usage de lampes ou d’épices, bien que le propriétaire exact ne soit pas connu. ↩︎
70:6 dans son sein (chêqo). Un manuscrit de T. J., Berakoth VIII. 7 (12b), édité par M. Lehmann, 1875, dit tiqo, « son cas » (θήκη), et c’est ce que préfère Laible. ↩︎
71:1 la Bénédiction, sur la lumière du sabbat allumée juste avant l’entrée du sabbat. ↩︎
71:2 Il a brûlé avant le sabbat et continuera de brûler. ↩︎
71:3 Feu. Introduit le feu de la Géhenne, qui brûle continuellement. ↩︎
71:4 hybrides. Ceux-ci sont discutés dans le passage parallèle, T. J. VIII. 6 (12b). ↩︎
71:5 pensé à. Si clairement dans T.J. ↩︎
71:6 Isaïe 6624. ↩︎
71:7 le feu et les épices d’un bain. Ils n’appartiennent pas à proprement parler à l’idée d’un sabbat. ↩︎
72:1 à sa place. c’est-à-dire à table. ↩︎
72:2 L’école de Hillel présuppose que l’oubli est dû à un pur accident : l’école de Shammai suggère qu’il aurait dû être plus prudent. ↩︎
72:3 c’est-à-dire quand il a faim. ↩︎
72:4 cette [une] coupe. Aucun autre vin n’ayant été bu pendant le repas, cf. M. VI. 8. ↩︎
72:5 et ensuite la bénédiction sur le vin. L’école de Shammaï craignait probablement que la bénédiction sur le vin soit oubliée si celle pour la nourriture était donnée en premier. Mais l’école de Hillel ne considérait pas ce danger, car la bénédiction sur la nourriture ne pouvait inclure celle sur le vin, elle pouvait donc être dite en premier. ↩︎
73:1 Voir T. ↩︎
73:3 Un prosélyte païen a appris la forme juive ordinaire. Mais un Samaritain peut dire quelque chose d’hérétique. ↩︎
73:4 sacrifices. c’est-à-dire animal. ↩︎
73:5 à Jérusalem. Cela semble donc antérieur à 70 apr. J.-C., à moins que la règle ne soit purement théorique. Pour ce qui est du fait qu’aucun sacrifice n’a été offert après la destruction, voir Schürer, Geschichte 4, I. 652-655 (E. T. I. ii. 268-272). ↩︎
73:6 1 Cor. 1017. ↩︎
73:7 Si c’est un repas commun, tout le monde doit s’asseoir. ↩︎
74:1 celle pour Jérusalem. La troisième bénédiction dans la Grâce après les repas (SA, p. 282). ↩︎
74:2 celui pour la Terre. Le deuxième (SA, p. 280). ↩︎
74:3 pour leur nourriture. Pas pour un salaire. ↩︎