Les devoirs et les restrictions concernant le grand prêtre | Page de titre | Ceux qui sont éligibles et ceux qui ne le sont pas en tant que juges ou témoins |
M. II. 2. Le roi ne peut ni juger ni être jugé, il ne peut témoigner ni être contre lui. Il ne peut ni accomplir la cérémonie de la ḥaliṣa, ni l’accomplir pour sa femme. Il ne peut épouser la femme de son frère décédé, si elle est sans enfants, ni aucun de ses frères épouser sa veuve. Rabbi Jehuda dit : S’il était disposé à accomplir la cérémonie de la ḥaliṣa ou à épouser la femme de son frère décédé, cela serait à son honneur. Il fut répondu : S’il le voulait, il ne devrait pas être écouté. Nul ne peut épouser sa veuve. Mais Rabbi Jehuda soutient qu’un roi peut épouser la veuve d’un roi, car il est écrit : ET JE TE DONNERAI LA MAISON DE TON MAÎTRE, ET LES FEMMES DE TON MAÎTRE DANS TON SEIN. [^146]
3. Si un décès survient dans sa famille, il ne peut pas quitter le palais. R. Jehuda soutient qu’il peut, s’il le souhaite, suivre le cercueil, tout comme David a suivi le cercueil d’Abner, comme il est écrit : DAVID LE ROI ALLA SUIVRE LE CERCUEIL. [1] Mais on répondit : Cela n’a été fait que pour apaiser le peuple. [2] Lorsqu’ils organisent le repas funéraire avec lui, tout le peuple s’assoit par terre pendant qu’il est assis sur le divan.
4. Il peut entreprendre une guerre d’agression avec la permission du tribunal de soixante et onze juges. Il peut forcer un passage (sur une propriété privée) et personne ne peut l’arrêter ; la voie du roi est illimitée. Lorsque le peuple a pillé, il doit d’abord le lui remettre, et il prend sa part avant les autres.
Il ne peut pas avoir plusieurs épouses [3] — seulement dix-huit. [4] Rabbi Jehuda soutient qu’il peut en avoir plusieurs, à condition qu’elles ne détournent pas son cœur. Rabbi Shimeon affirme : Il ne peut en épouser même une seule si elle détourne son cœur ; sinon, pourquoi dirait-on : Il ne peut pas avoir plusieurs épouses, même si elles sont comme Abigaïl ?
Il ne pourra pas avoir beaucoup de chevaux, mais seulement ce qui suffit pour son char. Il ne pourra pas multiplier l’argent et l’or, mais seulement ce qui suffit pour son salaire. Il écrira pour lui-même un exemplaire de la loi ; quand il partira à la guerre, elle l’accompagnera, et quand il rentrera, elle sera avec lui. Elle sera à côté de lui quand il siégera en jugement, et quand il sera à table, elle sera devant lui, car il est écrit : Elle sera avec lui, et il y lira tous les jours de sa vie.
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M.5. Nul ne pourra monter son cheval, ni s’asseoir sur son trône, ni brandir son sceptre. On ne pourra le voir nu, ni lorsqu’il se fait couper les cheveux, ni lorsqu’il est au bain ; car il est écrit : [5] Tu établiras certainement sur toi un roi dont tu seras redouté.
T. IV. 2. Le roi d’Israël ne peut pas se tenir dans la rangée pour être consolé, ni pour consoler les autres ; il ne peut pas non plus aller tenir le repas funéraire avec d’autres, mais d’autres peuvent aller tenir le repas funéraire avec lui, comme il est écrit : ET LE PEUPLE ALLA TENIR LE REPAS FUNÉRAIRE AVEC DAVID, [6] etc. S’il a transgressé un commandement positif ou négatif, il est traité comme un roturier ordinaire à tous égards.
Français Il n’effectue pas la cérémonie de la ḥaliṣa, et elle n’est pas effectuée dans le cas de sa femme. Il n’épouse pas la femme de son frère décédé si elle est sans enfant, et son frère n’épouse pas sa femme. R. Jehuda dit : S’il souhaite accomplir la cérémonie de la ḥaliṣa, il le peut. Mais il a été répondu : L’honneur d’un roi ne doit pas être blessé. Nul ne peut épouser sa veuve, car il est écrit : ILS ÉTAIT AINSI ENFERMÉS JUSQU’AU JOUR DE LEUR MORT, VIVANT DANS LE VEUVAGE. [7] Il peut choisir pour lui-même des épouses où il veut parmi les familles sacerdotales, lévitiques et israélites. [8] Nul ne peut monter sur son cheval, ni s’asseoir sur sa chaise royale, et nul ne peut utiliser sa couronne ou son sceptre ou aucun de ses insignes. Lorsqu’il meurt, tous ceux-ci sont enterrés avec lui lors de son enterrement, car il est écrit : [9] TU MOURRAS EN PAIX, ET AVEC LES BRÛLURES DE TES PÈRES, LES PREMIERS ROIS.
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T.
3. Comme on brûle les corps lors des funérailles des rois, on brûle aussi ceux des princes, mais pas ceux des roturiers. Que brûle-t-on ? Leur lit et leurs autres insignes.
4. Quand le roi est présent, tout le peuple se lève, et il reste assis. (Et personne ne peut s’asseoir dans la cour du temple, sauf les rois de la maison de David.) Et tout le peuple garde le silence quand il parle. Il avait l’habitude de s’adresser à eux : « Mes frères et mon peuple », selon qu’il est écrit : [10] ÉCOUTEZ, MES FRÈRES ET MON PEUPLE ! tandis qu’ils s’adressaient à lui : « Notre seigneur et notre maître », selon qu’il est écrit : [11] MAIS NOTRE SEIGNEUR DAVID LE ROI A ÉTABLI SALOMON ROI.
5. IL NE PEUT PAS AVOIR DE NOMBREUSES FEMMES — Telle que Jézabel ; mais les femmes comme Abigaïl sont permises — ainsi R. Jehuda. IL NE PEUT PAS AVOIR DE NOMBREUX CHEVAUX — pas même un seul cheval qui reste inactif, car il est écrit : DE PEUR QU’IL NE MULTIPLIE LES CHEVAUX. R. Jehuda dit : Voici, il est écrit : [12] ET SALOMON AVAIT QUARANTE MILLE ÉTABLES DE CHEVAUX, et il fit bien, puisqu’il est écrit : [13] ET JUDA ET ISRAËL ÉTAIENT NOMBREUX COMME LE SABLE QUI EST AU BORD DE LA MER PAR SON MULTITUDE. Et puisqu’il est écrit : [14] DOUZE MILLE CAVALIERS, il s’ensuit qu’il y avait des chevaux laissés inactifs.
Les interdictions ci-dessus ne s’appliquent pas au simple roturier. Rabbi José dit : Tout ce qui est ordonné dans le « paragraphe du roi » [15] est permis. Rabbi Jehuda dit : Ce chapitre [16] n’a été prononcé que pour inspirer la crainte au peuple, car il est écrit : « TU ÉTABLIRAS CERTAINEMENT UN ROI. » [17]
Français R. Jehuda a également dit : Trois ordres ont été donnés à Israël lorsqu’ils sont entrés dans le pays d’Israël : il leur a été commandé de nommer un roi, [ p. 52 ] de leur construire un temple choisi, [18] et de retrancher la descendance d’Amalek. [19] S’il en est ainsi, pourquoi ont-ils été punis à l’époque de Samuel ? Parce qu’ils l’ont fait trop tôt. R. Nehorai [20] dit : Ce paragraphe a été écrit en prévision de murmures futurs, car il est écrit : ET TU DIRAS : J’ÉTABLIRAI UN ROI SUR MOI. [21] R. Eléazar, [22] le fils de R. José, dit : Les anciens demandèrent selon la Loi, comme il est écrit : DONNE-NOUS UN ROI POUR NOUS JUGER ; [23] Mais le peuple s’en alla et se corrompit, selon qu’il est écrit : AFIN QUE NOUS SOYONS AUSSI COMME TOUTES LES NATIONS, ET QUE NOTRE ROI NOUS JUGE, ET MARCHE DEVANT NOUS POUR COMBATTRE NOS BATAILLES. [24]
6. Les biens de ceux qui sont mis à mort par le tribunal reviennent à leurs héritiers, tandis que ceux de ceux qui sont mis à mort par le roi appartiennent au roi. Mais la majorité estime que les biens de ceux qui sont mis à mort par le roi reviennent à leurs héritiers. Rabbi Jehuda leur dit : Il est écrit : VOICI, IL (ACAB) EST DANS LA VIGNE DE NABOTH, OÙ IL EST DESCENDU POUR EN PRENDRE LA POSSESSION. [25] Ils répondirent : Puisqu’il était le fils du frère de son père, [26] il convenait qu’il hérite. Rabbi Jehuda dit : Mais Naboth n’avait-il pas de fils ? Ils répondirent : Le roi ne l’a-t-il pas tué, lui et ses fils ? comme il est écrit : J’ai vu hier le sang de Naboth et le sang de ses fils, dit l’Éternel ; et je te le rendrai dans ce plat, dit l’Éternel. [27]
7. ET IL ÉCRIRA POUR LUI-MÊME UNE COPIE DE LA LOI, afin qu’il ne dépende pas de celle de ses pères, mais de lui-même, car il est écrit : IL ÉCRIRA POUR LUI-MÊME — elle doit être écrite pour lui seul ; et un roturier ne pourra pas y lire, car il est écrit : IL Y LIRA — le roi, et personne d’autre. De plus, la copie sera révisée dans une cour des prêtres, dans une cour des Lévites, et dans une cour des Israélites qui sont éligibles au mariage dans les familles sacerdotales. Lorsqu’il partira à la guerre, elle sera avec lui ; lorsqu’il entrera, elle sera avec lui ; et lorsqu’il entrera dans la cour, elle sera à côté de lui. Lorsqu’il entrera dans la chambre des toilettes, elle lui sera prête près de la porte. Et ainsi dit David : J’AI MIS DIEU PERMANEMMENT DEVANT MOI (ET IL EST À MA DROITE). [28] R. Jehuda, dit : Le livre de la Loi est sur sa main droite et les tefillin [29] sur son bras.
Français R José a dit : Il était approprié que la Loi ait été donnée par Esdras, même si Moïse ne l’avait pas précédé. Une montée est mentionnée dans le cas de Moïse, et une montée dans le cas d’Esdras ; de Moïse, comme il est écrit : [30] ET MOÏSE MONTA VERS DIEU ; et d’Esdras, comme il est écrit : ET LUI, EZRA, MONTA DE BABYLONE. [31] De même que l’ascension de Moïse enseigna la Loi à Israël (comme il est écrit : ET L’ÉTERNEL M’A COMMANDÉ EN CE TEMPS-LÀ DE VOUS ENSEIGNER DES LOIS ET DES JUGEMENTS), [32] de même l’ascension d’Esdras enseigna la Loi à [ p. 54 ]] Israël (selon qu’il est écrit : Car Esdras avait appliqué son cœur à expliquer la loi de l’Éternel, à la mettre en pratique, et à enseigner en Israël des statuts et des ordonnances [33]).
De plus, une écriture et une langue furent données par lui, comme il est écrit : « L’écriture de la lettre fut écrite en caractères araméens et interprétée en langue araméenne » [34] ; comme son interprétation était en araméen, son écriture était en araméen. Il est également écrit : « Mais ils ne purent lire l’écriture, ni en faire connaître l’interprétation au roi », [35] montrant qu’elle ne fut connue qu’à l’époque d’Esdras. » Il est également écrit : « Il écrira une copie (mishneh) de cette loi, c’est-à-dire une loi qui devait être modifiée ultérieurement. » [36]
Et pourquoi le nom de l’écriture est-il appelé assyrienne ? Parce qu’elle leur est venue d’Assyrie. Rabbi dit : La Loi fut donnée à Israël dans l’écriture assyrienne, et quand ils péchèrent, elle fut changée en Roaṣ ; [37] mais quand ils se repentirent aux jours d’Esdras, elle fut changée de nouveau en assyrienne, comme il est écrit : [38] TOURNEZ-VOUS VERS LA FORTERESSE, PRISONNIERS DE L’ESPOIR : AUJOURD’HUI MÊME JE DÉCLARE QUE JE VOUS RAMÈNERAI LE CHANGEMENT [39].
8. R. Shimeon, [40] fils d’Éléazar, dit au nom de R. Éléazar, [41] fils de Parta, qui parlait au nom de R. Éléazar [42] de Modin : La Loi a été donnée à Israël dans le présent écrit, car il est écrit : LES CROCHETS (hébr. « les waws ») DES PILIERS ; [43] c’est-à-dire des waws qui sont comme des piliers. Et il est dit : ET AUX JUIFS SELON LEUR ÉCRITURE ET LEUR LANGAGE ; [44] comme leur langue n’a pas changé, ainsi leur écriture n’a pas changé.
Pourquoi l’appelle-t-on assyrien ? Parce que les caractères de leur écriture étaient faits droits. [45]
Pourquoi est-il écrit : « Et il écrira pour lui-même une copie de cette loi » ? Pour montrer qu’il doit écrire deux livres de la loi : un avec lequel il entre et sort, et un autre qu’il placera dans la maison. Celui qui entre et sort avec lui n’entre pas avec lui aux bains ou aux toilettes, car il est écrit : « Et il sera avec lui, et il y lira tous les jours de sa vie » ; c’est-à-dire qu’il ne l’accompagnera que dans les endroits où il sera possible de lire.
Et n’y a-t-il pas ici un argument a fortiori ? [46] Puisque, même du roi d’Israël qui est tout entier absorbé par les besoins de la communauté, il est dit : ET ELLE SERA AVEC LUI, ET IL Y LIRA TOUS LES JOURS DE SA VIE, à plus forte raison la règle devrait-elle s’appliquer au reste des enfants des hommes.
9. De même avec Josué : ET JOSUÉ, FILS [ p. 56 ] DE NUN, ÉTAIT REMPLI DE L’ESPRIT DE SAGESSE ; CAR MOÏSE AVAIT IMPOSÉ LA MAIN SUR LUI ; [47] et il est dit plus loin : ET SON MINISTRE JOSUÉ, FILS DE NUN, UN JEUNE HOMME, NE BOUGEA PAS DU MILIEU DE LA TENT. [48] Pourtant, même à lui il est dit : CE LIVRE DE LA LOI NE S’ÉLOIGNERA PAS DE TA BOUCHE. [49] La règle devrait à plus forte raison s’appliquer au reste des enfants des hommes.
10. On ne peut établir roi hors du pays d’Israël, ni l’établir s’il n’est pas admissible au mariage dans les familles sacerdotales. Et on ne peut oindre rois que sur une source, car il est écrit : [50] Et il leur dit : Prenez avec vous les serviteurs de votre Seigneur, et faites monter mon fils Salomon sur ma mule, et conduisez-le à Guihon. [51]
11. Les rois ne sont oints qu’en cas de dissension (concernant le véritable roi). Pourquoi ont-ils oint Salomon ? À cause de la dissension d’Adonija. Et de Jéhu ? À cause de Joram. Et de Joas ? À cause d’Athalie. Et de Joachaz ? À cause de Jojakim, son frère, qui était son aîné de deux ans.
Un roi doit être oint, mais pas celui qui est fils [52] d’un roi. En revanche, un grand prêtre, même s’il descend d’une lignée de grands prêtres remontant à dix générations, doit être oint.
Les rois ne sont oints que par une corne. Saül et Jéhu furent oints par un chaudron, [53] car leur royaume était destiné à être brisé. David et Salomon furent oints par une corne, car leur royaume est un royaume éternel.
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48:1 2 Sam. 12. 8. ↩︎
48:2 2 Sam. 3. 31. ↩︎
48:3 Pour montrer qu’il n’était pas la cause de la mort d’Abner. Voir 2 Sam. 3. 37. ↩︎
49:1 Deut. 17. 17. Ce qui suit est de la nature d’un excursus midrashique sur Deut. 17. 16 et suivants. ↩︎
49:2 Le nombre est dérivé de 2 Sam. 12. 8, litt. « Je t’aurais ajouté comme celles-ci et comme celles-ci », ce qui signifie deux fois plus. Et comme il est déjà mentionné que David avait six femmes (2 Sam. 3. 2), le nombre total autorisé est donc de dix-huit. ↩︎
50:1 Deut. 17. 15. ↩︎
50:2 2 Sam. 3. 35. ↩︎
50:3 2 Sam. 20. 3. ↩︎
50:4 Israélites de pure lignée qui peuvent se marier dans des familles sacerdotales. Voir Kiddushim IV. I, 4, 5. ↩︎
50:5 Jér. 34. 5. ↩︎
51:1 Chron. 28. 2. ↩︎
51:2 1 Rois 5. 43. ↩︎
51:3 1 Rois 4. 26. ↩︎
51:4 1 Rois 4. 20. ↩︎
51:5 1 Rois 4. 26. ↩︎
51:6 1 Sam. 8. 11 et suiv. ↩︎
51:7 Deut. 17. 14 et suiv. ↩︎
51:8 Deut. 17. 14. ↩︎
52:1 Deut. 12. 11. ↩︎
52:2 Deut. 25. 19. ↩︎
52:3 R. Nehorai était un contemporain de R. Jose b. Halafta, et semble avoir vécu à Sepphoris. ↩︎
52:4 Deut. 17. 14. ↩︎
52:5 L’un des cinq fils de Rabbi José b. Halafta (voir T. 2. I). Il accompagna Rabbi Shimeon b. Jochai dans sa mission à Rome, qui réussit à obtenir le retrait des décrets persécuteurs d’Hadrien. Bien que cité dans la Tosefta, il n’est jamais mentionné dans la Mishnah. ↩︎
52:6 1 Sam. 8. 6. ↩︎
52:7 1 Sam. 8. 20. ↩︎
52:8 1 Rois 21. 18. ↩︎
52:9 Cette curieuse affirmation n’a aucun fondement biblique. Bien que la remarque semble acceptée par Rabbi Jehuda, elle semble être une petitio principii des plus grossières. On tient pour acquis que, puisque Jézabel considérait la mort de Naboth comme le seul obstacle à la possession de la vigne par Achab, Achab était le plus proche parent de Naboth. Et puisqu’il est possible de démontrer qu’il n’était ni le frère, ni le père, ni le fils de Naboth, il devait être son neveu. Selon B. 48 b, il était son cousin. ↩︎
53:1 2 Rois 9. 26. ↩︎
53:2 Psaume 16. 8. ↩︎
53:3 Les phylactères ; cf. Matthieu 23. 5. ↩︎
53:4 Exode 19. 3. ↩︎
53:5 Esdras 7. 6. ↩︎
53:6 Deut. 4. 14. ↩︎
54:1 Esdras 7. 10. ↩︎
54:2 Esdras 4. 7, ↩︎
54:3 Et. 5. 8. ↩︎
54:4 Deut. 17. 18. Jouant sur le double sens de la racine Shana, « répéter » et aussi « changer ». ↩︎
54:5 Litt., « brisé, rugueux » ; est censé faire référence à la forme particulière des lettres de l’écriture samaritaine. Il existe une variante da’aṣ, qui pourrait signifier « en forme de coin », et donc faire référence à l’écriture cunéiforme. Voir AE Cowley dans J. Th. S. vol. XI, p. 542. Ce qui est appelé dans le texte écriture assyrienne fait clairement référence au caractère carré hébreu moderne. ↩︎
54:6 Zach. 9. 12. ↩︎
54:7 RV « double » ; le même jeu de mots que ci-dessus. ↩︎
54:8 R. Siméon b. Eléazar était un élève de R. Meir et un contemporain de Rabbi Jehuda ha-Nasi, ↩︎
55:1 R. Eleazar b. Parta (ou Perata), bien qu’ayant souffert d’emprisonnement pour avoir participé à la révolte de Bar Kokba, a survécu à la persécution qui en a résulté. ↩︎
55:2 R. Eléazar de Modin (ou Modaim), dont il transmet le dicton, était un contemporain âgé qui a perdu la vie lors du siège de Béthar. ↩︎
55:3 Exode 27. 10. ↩︎
55:4 Esther. 8. 9. ↩︎
55:5 Jouant sur l’assonance ashshur, « Assyrie », et m’ushshar, « droit » ou « carré ». ↩︎
55:6 Cet argument kal we-ḥomer (c’est-à-dire l’inférence d’une nécessité plus légère à une nécessité plus lourde) apparaît fréquemment dans toutes les discussions rabbiniques. ↩︎
56:1 Deut. 34. 9. ↩︎
56:2 Exode 33. 11. ↩︎
56:3 Josué 1. 8. ↩︎
56:4 1 Rois 1. 33. ↩︎
56:5 Une source bien connue près de Jérusalem ; cf. 2 Chron. 32. 30. ↩︎
56:6 Vraisemblablement le fils aîné d’un roi dont la succession ne fait l’objet d’aucune dissension. ↩︎