[ p. 295 ]
Ainsi, lorsque Son Auguste la Noble Take-uchi, emmenant avec lui l’Héritier Présomptif pour le purifier, [^1794] traversa les terres d’Afumi et de Wakasa, [^1795] il construisit un palais temporaire à Tsunuga [^1796], à l’embouchure de la Route de Koshi [^1797] [pour que l’Héritier Présomptif] y réside. Alors Son Auguste la Grande Déité Izasa-wake, [^1798] qui résidait en ce lieu, apparut la nuit en rêve, [1] et dit : « Je souhaite échanger mon nom contre le nom auguste de l’auguste enfant. » Alors [le rêveur du rêve] pria, disant : « [Je] suis rempli de crainte ! [2] Le nom sera respectueusement échangé selon ton ordre. » De nouveau, la Divinité le chargea en disant : « Demain matin, l’Héritier Présomptif doit aller sur la plage ; je présenterai mon offrande de remerciement pour le nom qu’on m’a donné en échange. » Ainsi, lorsque l’Héritier Présomptif se rendit le matin à la plage, le rivage tout entier était bordé de coryphènes au nez cassé. [3] Sur ce, l’auguste enfant fit s’adresser à la Divinité en disant : « Tu m’accordes un poisson de ton auguste nourriture. » [4] Ainsi, son auguste nom fut de nouveau honoré en l’appelant la Grande Divinité de la Nourriture Auguste. [5]" Il est donc désormais appelé la Grande Déité de la Nourriture Merveilleuse. [6] [ p. 296 ] De nouveau, le sang des dauphins puait. La plage fut donc appelée Chiura. [7] elle est désormais appelée Tsunuga.
[ p. 297 ]
Alors, lorsque l’héritier présomptif revint à la capitale, son auguste mère, Son Altesse la princesse Okinaga-tarashi, distilla une liqueur d’attente et la lui présenta. Son auguste mère chanta alors avec audace :
« Cette auguste liqueur n’est pas ma auguste liqueur ; oh ! c’est une auguste liqueur respectueusement apportée en guise de félicitation divine, une félicitation répétée, une félicitation généreuse, une félicitation réitérée de la Petite et Auguste Déité, qui demeure éternellement, [239] fermement debout. Ne la consommez pas superficiellement ! Allez ! Allez ! » [8]
Après avoir chanté ainsi, elle lui présenta la grande et auguste liqueur. Son Auguste le Noble Takeuchi répondit alors pour l’auguste enfant et chanta :
« Quiconque a distillé cette auguste liqueur l’a sûrement distillée en chantant avec ce tambour sur le mortier, en dansant, pour que cette auguste liqueur, cette auguste liqueur, soit toujours plus joyeuse. Allez ! Allez ! » [9]
Ce sont des chansons à boire. [10]
[ p. 298 ] [240]
Au total, les années fastueuses de ce souverain céleste, Tarashi-naka-tsu-hiko [11], furent cinquante-deux. Son mausolée se trouve à Nagaye [12], près de Wega [13], à Kafuchi. (L’impératrice mourut à l’âge de cent ans. Elle fut enterrée dans le mausolée de Tatanami à Saki [14]).
[ p. 299 ]
[^1814] (PARTIE 1.—GÉNÉALOGIES).]
Son auguste Homuda-wake résidait au palais d’Akira à Karushima, [15] et gouvernait l’Empire. Ce souverain céleste épousa trois [16] reines, filles du roi Homuda-no-Ma-waka, [17] dont l’une s’appelait son auguste princesse Takagi-no-iri ; [18] la suivante, son auguste Naka-tsu-hime ; [19] et la suivante, son auguste Oto-hime. [20] (Le père de ces reines, le roi Homuda-no-ma-Waka, était le fils de son auguste prince Iho-ki-noiri, [21] et de sa [241] épouse Shiritsuki-tome, [22] fille du noble Take-inada, [23] ancêtre des chefs de Wohari.) [24] Ainsi, les augustes enfants de son auguste princesse Takagi-no-iri étaient : son auguste Nakuta-no-oho-waka-tsu-hiko ; [25] ensuite son auguste Oho-yama-mori ; [26] ensuite son auguste Iza-no-ma-waka ; [27] ensuite sa sœur cadette la Dame d’Ohohara ; [28] ensuite la Dame de Komuku. [29] (Cinq divinités). Les augustes enfants de Son Auguste Naka-tsu-hime étaient : la Dame d’Arata en Ki ; [30] ensuite Son Auguste Oho-sazaki ; [31] ensuite Son Auguste Netori. [32] (Trois Déités). Les augustes [242] enfants de Son Auguste Oto-hime étaient : la Dame Abe ; [33] ensuite la Dame de Mihara en Ahaji ; [34] ensuite [ p. 300 ] la Dame d’Unu en Ki ; [35] ensuite la Dame de Minu [36] (cinq Déités). [37] Il épousa de nouveau la princesse Miya-nushi-ya-kaha-ye, [38]fille du grand Wani-no-Hifure, et engendra d’augustes enfants : Uji-no-waki-iratsuko ; [39] ensuite sa sœur cadette Yata-no-waki-iratsume ; [40] prochaine reine Medori. [41] (Trois divinités). Il épousa de nouveau Wo-nabe-no-iratsume, [42] sœur cadette de Yakaha-ye-hime, et engendra un enfant auguste : Uji-no-iratsume. [43] (une divinité). Il épousa de nouveau Okinaga-ma-waka-naka-tsu-hima [44], fille du roi Kuhimata-naga-hiko, [45] et engendra un enfant auguste : le roi Waka-nuke-futa-mata [46] (une divinité). Il épousa de nouveau la princesse d’Itowi, [47], fille de Shima-tari-ne, [48] ancêtre [243] des chefs agricoles de Sakurawi, [49] et engendra un enfant auguste : son auguste Hayabusa-wake [50] (une divinité). Il épousa de nouveau Naga-hime d’Idzumi à Himuka, [51] et engendra deux enfants augustes : le roi Oho-haye, [52] puis le roi Wo-haye ; [53] ensuite. Hata-bi-no-waki-iratsume [54] (trois divinités). Il épousa de nouveau la princesse Ka-guro, [55], et engendra d’augustes enfants : Kaha-rada-no-iratsume ; [56] ensuite, Tama-no-iratsume, [57] ensuite, Osaka-no-oho-naka-tsu-hime ; [58] ensuite, Toho-hi-no-iratsume ; [59] ensuite, le roi Kataji [60] (cinq divinités). Il épousa de nouveau Nu-iro-me de Kadzuraki, [61], et engendra un auguste enfant : le roi Iza-no-ma-waka, [62] (une divinité). Les augustes enfants de ce souverain céleste étaient au nombre de vingt-six (onze rois et quinze reines). Parmi eux, Son Auguste Oho-sazaki [était celui qui plus tard] dirigea l’Empire.
[ p. 301 ]
[ p. 302 ]
[ p. 303 ]
Là-dessus, le Souverain Céleste interrogea Son Auguste Oho-yama-mori et Son Auguste Oho-sazaki, en disant : « Lequel pensez-vous être le plus cher, un enfant aîné ou un enfant cadet ? » (La raison pour laquelle le Souverain Céleste posa cette question était qu’il avait l’intention [63] de faire régner l’Empire Uji-no-waki-iratsuko). Alors Son Auguste Oho-yama-mori dit : « L’enfant aîné est le plus cher. » Ensuite, Son Auguste Oho-sazaki, connaissant l’auguste sentiment [ p. 304 ] qui avait poussé le Souverain Céleste à daigner poser [la question], dit : « L’enfant aîné, étant déjà devenu un homme, ne pose aucun problème ; mais le plus jeune, n’étant pas encore un homme, est le plus cher. » Alors le Souverain Céleste dit : « Les paroles de mon seigneur Sazaki concordent avec mes pensées », et ordonna aussitôt le partage [de l’héritage] ainsi : Son Auguste Oho-yama-mori pour administrer le gouvernement des montagnes et de la mer, [64] Son Auguste Oho-sazaki pour prendre et daigner rendre compte du gouvernement du royaume, [65] et Uji-no waki-iratsuko pour gouverner la succession du soleil du Ciel. [66] Ainsi Son Auguste Oho-sazaki ne désobéit pas aux ordres du Souverain Céleste. [67]
295:1 À savoir, par l’eau, comme décrit dans la Sect. X. ↩︎
295:2 Étymologie obscure. ↩︎
295:3 L’étymologie merveilleuse de ce nom, que l’auteur semble adopter, se trouve à la fin de la section (Note 12). Le compilateur des « Chroniques » est probablement plus proche de la vérité lorsqu’il le fait dériver de tsunu-ga, « cerf cornu ». ↩︎
295:4 Pour la signification de cette curieuse expression, voir Sect. LX, Note 20. ↩︎
295:5 Les commentateurs ne donnent aucune explication sur ce nom, l’un des trois de la divinité en question. Il semble être composé d’un mot exprimant la sollicitation et d’une partie du nom de l’héritier présomptif, signifiant ainsi peut-être « Viens, réveille-toi, [donne-moi ton nom] », en référence à la légende ici racontée. ↩︎
295:6 On ne sait pas exactement à qui des deux personnages de la légende s’adressait. Motowori, cependant, préfère supposer qu’il s’agissait de Take-uchi, car, si le prince lui-même était visé, le mot « rêve » aurait probablement reçu le titre honorifique . ↩︎
295:7 Ou, « Je révère [tes commandements]. » ↩︎
295:9 I.e., « poisson qui aurait naturellement fait partie de ta nourriture auguste », est moins bon à traduire par « poisson pour ma nourriture auguste ». Comme d’habitude, le texte japonais original n’a pas de pronoms personnels pour guider le lecteur ; mais, bien que les empereurs soient parfois amenés à utiliser l’honorifique en parlant d’eux-mêmes, ce n’est pas la coutume dans le cas des princes et Ō-jin est supposé n’avoir pas encore assumé la dignité impériale. ↩︎
295:10 Mi-ke-tsu-oho-kami. Motowori mentionne plusieurs divinités de ce nom, qui étaient, selon lui, des êtres distincts. ↩︎
295:11 Kehi no oho-kami. Le sens de la syllabe hi, rendue par « merveilleux » selon la suggestion de Motowori, n’est pas certain. ↩︎
296:12 I.e., « le fil de sang ». De chi-ura, Motowori est obligé de dériver Tsunuga du mieux qu’il peut afin de ne pas discréditer l’affirmation implicite de l’auteur : ce dernier n’est qu’une mauvaise prononciation du premier. La véritable dérivation de Tsunuga est probablement de tsunuga, « cerf cornu », comme déjà indiqué dans la note 3. ↩︎
297:1 p. 297 Machi-sake. Cette expression, qui revient dans les poèmes du « Collection d’une myriade de feuilles », désigne une liqueur distillée pour un ami absent par ceux qui attendent son retour. ↩︎
297:2 La signification générale du Chant est : « Ne pense pas que cette liqueur ait été préparée par moi. C’est un présent de la petite divinité auguste (Suku-na-biko-no), qui réside à jamais dans un pouvoir inébranlable et qui te l’envoie p. 298 avec d’infinies félicitations. Allez ! allez ! bois à grosses gorgées ! » — Certaines expressions de ce Chant font l’objet de débats parmi les commentateurs. À l’exception de la clause « ne participez pas superficiellement », dans laquelle le traducteur a adopté l’opinion de l’auteur de l’« Explication des Chants dans les Chroniques du Japon », l’interprétation de Moribe a été suivie partout. Ce dernier critique identifierait asazu (« pas lentement ») avec amasazu (« sans rien laisser »). Mais rien ne semble justifier de supposer une telle élision de la syllabe sa. L’emploi des expressions karuhoshi et motohoshi pour exprimer la réitération mérite d’être souligné. On se souviendra que la divinité mentionnée était le personnage microscopique venu chevaucher les vagues pour partager la souveraineté d’Idzumo avec la divinité Maîtresse du Grand Pays (voir Sect. XXVII). ↩︎
297:3 Ce chant signifie : « Un festin aussi joyeux a sûrement dû être précédé d’une joyeuse distillation de la liqueur qui l’accompagnait. Continue à boire, ô Prince ! » — Les commentateurs sont en désaccord sur un ou deux mots de ce chant, où le traducteur a suivi l’interprétation de Motowori jusqu’au bout. Les mots « ce tambour » constituent la principale difficulté. Motowori suppose que les tambours, initialement inconnus au Japon, furent découverts par les Japonais lors de la conquête de la Corée sous ce même règne, et il pense que le tambour était placé à côté du mortier pendant le pilage du riz destiné à la liqueur. « Ce tambour » désigne le tambour appartenant à celui qui pilait le riz. Le mot original so no, « cela », pourrait également être rendu par « son ». ↩︎
298:1 p. 298 L’empereur Chiū-ai. L’auteur de ces « Archives » ne reconnaissant pas, p. 299 comme le fait l’auteur des « Chroniques », la période durant laquelle l’impératrice Jin-gō exerça son règne à part, Chiū-ai est supposé, par fiction, avoir régné jusqu’au moment où son fils posthume Ō-jin monta sur le trône après la conquête de la Corée et du Yamato. ↩︎
298:2 C’est-à-dire « longue branche », ou peut-être « longue entrée ». ↩︎
298:3 Étymologie obscure. ↩︎
298:4 Mabuchi et Motowori semblent avoir raison de supposer que la phrase en petits caractères est un ajout au texte, copié des « Chroniques ». Mais comme tous les manuscrits et éditions imprimées antérieurs à celle de Motowori la contiennent, elle a été conservée dans la traduction. ↩︎
299:1 Fils de l’empereur Chiū-ai et de l’impératrice Jin-gō. ↩︎
299:2 Dans Yamato. Akira signifie « brillant ». Karushima semble signifier « le voisinage de Karu, Karu étant le lieu souvent mentionné de ce nom dans le Yamato. ↩︎
299:3 Le chiffre auxiliaire pour les divinités est utilisé ici. ↩︎
299:4 p. 301 Homuda-no-ma-waka no miko. Homuda a déjà été rencontré comme le nom d’un lieu à Kahachi. Ma-waka signifie « vraiment jeune ». Le nom pourrait donc être rendu par « vraiment jeune roi de Homuda ». ↩︎
299:5 Takagi no iri-bime no mikoto. Motowori identifie cette princesse à la Takaki-hime de la secte LXXVI, note 21. ↩︎
299:6 C’est-à-dire, « princesse du milieu », elle étant la deuxième de trois sœurs. ↩︎
299:7 C’est-à-dire, « la plus jeune princesse », elle étant la plus jeune des sœurs. ↩︎
299:8 I-ho-ki-no-iri-biko no mikoto. Voir Sect. LXXVI, Note 12. ↩︎
299:9 C’est-à-dire, probablement « vieille femme de Shiritsuki ». Mais il n’est pas certain que Shiritsuki soit le nom d’un lieu. ↩︎
299:10 Take-inada no sukune. Dans les « Chroniques des choses anciennes des âges passés », le nom s’écrit Take-ina-dane, ce qui pourrait donc signifier « graine de riz courageuse ». ↩︎
299:11 Wohari no murazhi. ↩︎
299:12 C’est-à-dire, « grand prince moyen de Nukata », ce dernier étant le nom d’un lieu du Yamato. Sa signification est incertaine. ↩︎
299:13 C’est-à-dire, « grand gardien de la montagne ». Pour la pertinence de ce nom, conf. Sect. CV. ↩︎
299:14 Le même nom apparaît dans la Sect. LXIII, Note 13. ↩︎
299:15 Ohohara no iratsume. Ohohara est le nom d’un lieu à Yamato. Il signifie « grande lande ». ↩︎
299:16 Komuku no iratsume. Ce nom s’écrit et sa lecture en Komuku est quelque peu hypothétique. Il s’agit du nom d’un lieu de Kahachi, qui signifie probablement « un bassin d’eau débordante ». ↩︎
299:17 Ki no Arata no iratsume. Ki est la province du même nom, et Arata en est un lieu. Ce dernier nom signifie probablement « champs incultes ». ↩︎
299:18 Ce nom signifie « Grand Troglodyte », et l’auteur des « Chroniques » l’explique ainsi : « Le jour de la naissance de l’Empereur (ce prince devint l’Empereur Nin-toku), un hibou entra dans la salle d’accouchement. Le lendemain matin, de bonne heure, le Souverain Céleste Homuda (c’est-à-dire l’Empereur Ō-jin) fit appeler le Premier Ministre, le Noble Takeuchi, et lui demanda quel pouvait être le signe de ce nom. Le Premier Ministre répondit : « C’est un bon présage. De plus, hier, lorsque la femme de ton serviteur a accouché, un troglodyte entra dans la salle d’accouchement, chose tout aussi étrange. Le nom du troglodyte fut donc attribué à l’Héritier Présomptif, qui fut appelé Prince du Grand Troglodyte, et le nom du hibou fut donné à l’enfant du Premier Ministre, qui fut appelé le Noble Hibou. » ↩︎
299:19 Ce nom est obscur. ↩︎
299:20 Abe no iratsume. Abe est le nom de plusieurs lieux dans différentes provinces, et son origine et sa signification sont obscures. ↩︎
299:21 Ahaji no Mikara no iratsume. Le texte mentionne bien Ayuchi, mais Motowori le remplace par Ahaji en s’appuyant sur les « Chroniques ». Mihara est le nom d’un district de l’île d’Ahaji et signifie probablement « trois landes ». ↩︎
300:22 Ki no Unu no iratsume. Ki est la province de ce nom, et Unu un lieu de celle-ci. Ce dernier nom est d’une signification incertaine. ↩︎
300:23 Minu no iratsume. Minu (Mino) est la province de ce nom. ↩︎
300:24 « Cinq » doit ici être une erreur pour « quatre ». ↩︎
300:25 Pour ce nom et le suivant, voir Sect. CVI, Notes 5 et 4. ↩︎
300:26 I.e., « le jeune seigneur d’Uji ». Uji est le nom d’un district de Yamashiro, célèbre à l’époque classique et moderne pour son thé. L’étymologie est obscure. ↩︎
300:27 C’est-à-dire, « la jeune dame de Yata ». Yata est le nom d’un lieu du Yamato. L’étymologie est obscure. ↩︎
300:28 Medori no miko. Medori signifie « poule-oiseau » : mais la raison de l’application d’un nom aussi étrange à cette princesse, dont la fortune est relatée en détail dans les Sect. CXXVI et CXXVII, n’apparaît pas. Une remarque similaire s’applique au nom suivant. ↩︎
300:29 C’est-à-dire, probablement « la dame de la petite bouilloire ». ↩︎
300:30 C’est-à-dire, « la jeune dame d’Uji ». ↩︎
300:31 C’est-à-dire, « la très jeune princesse moyenne d’Okinaga. » ↩︎
300:32 Voir Sect. XCII, Note 27. ↩︎
300:33 Waka-muke-futa-mata no miko. Ce nom est obscur. ↩︎
300:34 Itowi-hime. Itowi est le nom d’un lieu du Yamato, dont l’origine est incertaine. ↩︎
300:35 Shima est probablement le nom d’un lieu, tandis que tari et ne sont les honorifiques fréquemment récurrents rendus respectivement par « parfait » et « seigneur » dans les parties précédentes de cette traduction. ↩︎
300:36 Sakurawi no ta-be no murazhi. Ta-be, traduit par « agricole », signifie littéralement « tribu des rizières ». Sakurawi (« puits aux cerises ») est le nom d’un lieu à Kahachi. ↩︎
300:37 C’est-à-dire, seigneur faucon. ↩︎
300:38 p. 303 Himuka no Idzumi no Naga-hime. Himuka est le nom d’une province, et Idzumi celui d’un district aujourd’hui compris dans les limites de Satsuma. Nagahime, littéralement « longue princesse », signifie probablement « princesse aînée ». ↩︎
300:39 Oho-haye no miko. Signification obscure. ↩︎
300:40 Wo-haye no miko. Signification obscure. L’antithèse des adjectifs oho et wo (« grand » et « petit ») montre cependant que ces noms servaient en partie à distinguer l’aîné du cadet. ↩︎
300:41 Waki-iratsume signifie « jeune femme ». Hata-bi est incompréhensible. ↩︎
300:42 Voir Sect. LXXVI, Note 28. ↩︎
300:43 C’est-à-dire, probablement « la dame de Kaharada ». Ce dernier nom (littéralement « rizière au bord d’une rivière ») est souvent rencontré. ↩︎
300:44 C’est-à-dire, « la dame aux bijoux ». ↩︎
300:45 I.e., « la grande dame moyenne d’Osaka », ce dernier étant le nom d’un lieu à Yamato (voir Sect. XLVIII, Note 1). ↩︎
300:46 Motowori identifie ce nom avec celui de Koto-fushi no iratsume dans la Sect. CXVII, q.v., et pense que ce nom et le précédent ne se sont glissés dans cette section que par erreur. ↩︎
300:47 Kataji no miko, Signification obscure, ↩︎
300:48 Kadzuraki no Nu-iro-me. Tous les éléments de ce nom ont déjà été rencontrés à plusieurs reprises. ↩︎
300:49 Cet enfant est déjà apparu au début de cette section, et le nom n’est ici sans doute répété que par une erreur de copiste. ↩︎