[ p. 315 ]
De nouveau, l’ancêtre des souverains Hada, [^1911] l’ancêtre des suzerains Aya, [^1912] et un homme qui savait distiller l’alcool, et dont le nom était Nim-pan, [^1913] ou Susukori, arrivèrent au Japon. [^1914] Cet homme, Susukori, distilla une grande et auguste liqueur et la présenta au Souverain Céleste, qui, tout excité par la grande et auguste liqueur qui lui avait été présentée, chanta avec audace, en disant :
« Je me suis enivré de l’auguste liqueur distillée par Susukori. Je me suis enivré de la liqueur apaisante, de la liqueur souriante. » [^1915]
En sortant en chantant ainsi, il frappa de son auguste bâton une grosse pierre au milieu de la route d’Ohosaka [1], sur laquelle la pierre s’enfuit. Ainsi, le proverbe dit : « Les pierres dures éloignent l’ivrogne. »
[ p. 316 ]
Ainsi, après le décès du Souverain Céleste, Son Auguste Ohosazaki, conformément aux ordres du Souverain Céleste, céda l’Empire à Uji-no-waki-iratsuko. Sur ce, Son Auguste Ohoyama-mori, désobéissant aux ordres du Souverain Céleste et désireuse malgré tout de conquérir l’Empire, conçut le projet de tuer le Prince [2] son frère cadet, leva secrètement une armée et se prépara à l’attaquer. Alors Son Auguste Oho-sazaki, apprenant que son frère aîné avait préparé une armée, envoya immédiatement un messager pour prévenir Uji-no-waki-iratsuko. Alors, surpris par la nouvelle, [ce dernier] plaça des troupes en embuscade au bord du fleuve, et de même, après avoir dressé une clôture de rideaux et dressé une tente au sommet de la colline, il y installa publiquement sur un trône [3] l’un de ses serviteurs pour se faire passer pour le roi, [4] la manière dont tous les fonctionnaires [5] allaient et venaient respectueusement étant exactement comme d’habitude en présence du roi. De plus, se préparant pour le moment [255] où le roi son frère aîné [6] traverserait le fleuve, il disposa et décora une barque et des rames, et de plus [7] pila [dans un mortier] la racine du Kadzura japonica, et après avoir pris la bave de son jus, frotta [ p. 317 ] avec cela la grille [8] à l’intérieur du bateau, de manière à faire tomber quiconque marcherait dessus, puis lui-même [9] mit un manteau de tissu et un pantalon, et ayant pris l’apparence d’un homme ordinaire, se tint dans le bateau en tenant la rame. Alors, lorsque le roi, son frère aîné, ayant caché ses troupes en embuscade et revêtu une armure sous ses vêtements, atteignit la rive et s’apprêtait à monter dans la barque, il contempla l’endroit magnifiquement décoré [sur la colline], pensa que le roi, son frère cadet, était assis sur le trône, ignorant totalement [qu’il] se tenait dans la barque, tenant la rame. Il demanda aussitôt à celui qui tenait la rame : « On m’a rapporté qu’il y a sur cette montagne un gros sanglier furieux. Je voudrais le capturer. Pourrais-je, par hasard, l’attraper ? » Alors celui qui tenait la rame répondit : « Tu ne peux pas. » Il demanda de nouveau : « Pour quelle raison ? » Le batelier répondit : « On ne peut l’attraper, aussi souvent et en aussi nombreux endroits qu’on le poursuive. C’est pourquoi je dis que tu ne peux pas non plus l’attraper. » Lorsqu’ils eurent traversé jusqu’au milieu de la rivière, le prince Uji-no-waki-iratsuko fit chavirer la barque et son frère aîné tomba à l’eau. [10] Il remonta aussitôt à la surface et se laissa porter par le courant. Aussitôt, tout en flottant, il chanta en disant :
« Celui qui sera le plus rapide parmi les bateliers du bac d’Uji viendra à moi. » [11]
Alors, les troupes cachées sur la rive du fleuve se levèrent simultanément de chaque côté et, fixant leurs flèches à leurs arcs, le laissèrent flotter. Il coula en atteignant la pointe Kawara [ p. 318 ]. [12] Alors qu’ils cherchaient avec des crochets [13] l’endroit où il avait coulé, les crochets heurtèrent l’armure sous ses vêtements et firent un bruit de cliquetis. [14] L’endroit fut alors appelé la pointe Kawara. Puis, lorsqu’ils relevèrent [15] ses os, le jeune roi chanta :
Arc de Catalpa, Évonymus, debout sur la berge du bac d’Uji ! Mon cœur avait pensé à te couper, mon cœur avait pensé à te prendre ; mais au fond, je pensais au seigneur, au fond, à la jeune sœur ; j’ai pensé douloureusement à ceci, douloureusement à cela ; et je suis revenu sans le couper, l’arc de Catalpa, l’Évonymus.
[257] Ainsi, les ossements de Son Auguste Oho-yama-mori furent enterrés sur la montagne Nara [16]. Son Auguste Oho-yama-mori (était l’ancêtre des ducs de Hijikata, [17] des ducs de Heki, [18] et des ducs de Harihara. [19])
[ p. 319 ]
[ p. 320 ]
SECTE. CXIII.—L’EMPEREUR O-JIN (PARTIE X.—LES PRINCES OHO-SAZAKI ET UJI-NO-WAKI-IRATSUKO APRÈS L’EMPIRE L’UN À L’AUTRE)
Alors que les deux divinités [20], Son Augustesse Oho-sazaki et Uji-no-waki-iratsuko cédaient chacune l’Empire à l’autre, [21] un pêcheur [22] arriva avec un grand festin en guise de tribut. [23] Ils le cédèrent donc chacun à l’autre. Le frère aîné le refusa et le fit offrir au frère cadet, et le frère cadet le refusa et le fit offrir au frère aîné. Pendant ce temps, de nombreux jours s’écoulèrent entre eux. Comme cette cession mutuelle eut lieu non seulement une ou deux fois, le pêcheur pleura de fatigue à force d’allers-retours. Ainsi dit le proverbe : [ p. 321 ] « Ah ! le pêcheur pleure à cause de ses propres affaires. » [24] Pendant ce temps, Uji-no-waki-iratsuko mourut prématurément. [25] Son Auguste Oho-sazaki gouverna donc l’Empire.
De plus, il y avait autrefois un homme appelé Ama-no-hi-boko, [26] fils du souverain du pays de Shiragi. Cet homme traversa jusqu’ici, [au Japon]. La raison de sa traversée était la suivante : au pays de Shiragi se trouvait une lagune, [27] appelée lagune d’Agu. [28] Sur la rive de cette lagune, [29] une pauvre fille faisait sa sieste. Tunc solis radii, coelesti arcui similes, in privatas partes impegerunt. Il y avait aussi un pauvre homme, [259] qui, trouvant cet événement [30] étrange, observait constamment le comportement de la femme. Ainsi, la femme, ayant conçu depuis ce sommeil de midi, donna naissance à [ p. 322 ] un joyau rouge. Alors le pauvre homme qui l’avait observée supplia [qu’on lui permette] de prendre le joyau et le gardait constamment enveloppé à ses côtés. [31] Cet homme, ayant planté une rizière dans une vallée, [32] avait chargé une vache [33] de nourriture pour les ouvriers, et s’approchait du milieu de la vallée, lorsqu’il rencontra le fils du souverain, Ama-no-hi-boko, qui lui demanda alors : « Pourquoi entres-tu dans la vallée avec une charge de nourriture sur une vache ? Tu vas sûrement tuer cette vache et la manger. » Il saisit aussitôt l’homme et s’apprêtait à le mettre en prison, lorsque l’homme répondit : « Je n’allais pas tuer la vache. J’apportais simplement de la nourriture aux gens dans les champs. » Mais toujours [l’enfant du souverain] ne le laissait pas partir. « Alors il détacha le bijou qui pendait à son côté et, avec, soudoya l’enfant du souverain. Ce dernier laissa donc partir le pauvre homme, rapporta le bijou chez lui et le plaça près de son lit. Aussitôt, il se transforma en une belle jeune fille, qu’il épousa aussitôt et dont il fit sa principale épouse. La jeune fille préparait alors sans cesse toutes sortes de mets délicats dont elle nourrissait constamment son mari. L’enfant du souverain devint alors fier et insulta sa femme. Mais la femme dit : « Je ne suis pas une femme qui devrait être l’épouse d’un homme comme toi. J’irai au pays de mes ancêtres. » — et aussitôt, elle s’embarqua secrètement dans un bateau, s’enfuit d’ici, au Japon, et débarqua à Naniha. [34] (Il s’agit de la divinité appelée Princesse Akaru, [35] qui réside dans le sanctuaire de Hime-goso [36] à Naniha.) Ame-no-hi-boko, apprenant la fuite de sa femme, la poursuivit aussitôt jusqu’ici et s’apprêtait à arriver à Naniha, lorsque la divinité du passage [37] l’en empêcha. Il repartit donc et débarqua au pays de Tajima. [38]
[ p. 323 ]
Demeurant immédiatement dans ce pays, il épousa Saki-tsu-mi, [39] fille de Tajima-no-matawo, [40] et engendra un enfant : Tajima-morosuku. [41] L’enfant de ce dernier fut Tajima-hi-ne. [42] L’enfant de ce dernier fut Tajima-hinaraki. [43] Les enfants de ce dernier furent Tajima-mori, [44] puis Tajima-hitaka, [45] puis Kiyo-hiko [46] (trois divinités). [47] Ce Kiyo-hiko épousa Tagima-no-mehi, [48] et engendra des enfants : Suga-no-morowo, [49] puis sa sœur cadette Suga-kama-yura-domi. [50] Ainsi, le Tajima-hitaka mentionné ci-dessus épousa sa nièce Yura-domi et engendra un enfant : Son Auguste Princesse Takanuka de Kadzuraki. [51] (C’était l’auguste parent [52] de Son Auguste Princesse Okinaga-tarashi.) Ainsi, les choses qu’Ama-no-hi-boko apporta ici, et qui furent appelées les « précieux trésors », [53] étaient : deux rangs de perles : [54] ainsi qu’une écharpe qui secoue les vagues, une écharpe qui coupe les vagues, une écharpe qui secoue le vent et une écharpe qui coupe le vent ; [55] De même, un miroir du large et un miroir du rivage, [56] — huit articles en tout. (Ce sont les Huit Grandes Déités d’Idzushi.) [57]
[ p. 325 ]
315:1 p. 315 Hada na miyatsuko, , un « nom gentil ». Hada est le mot japonais natif utilisé comme équivalent du nom chinois
, Ch’in. Son origine est incertaine. ↩︎
315:2 Aya no ataha , un « nom gentil ». L’utilisation de Aya pour représenter le nom chinois
, Han, est aussi difficile à expliquer que celle de Hada mentionnée dans la note précédente. ↩︎
315:3 . Une autre lecture, plus proche du japonais, Niho, est inventée par Motowori ; mais les anciens éditeurs lisent Nim-pan selon la sonorité sinico-japonaise habituelle des caractères. La lecture coréenne moderne serait In-pon. ↩︎
315:4 Écrit phonétiquement . ↩︎
315:5 Ainsi traduit, ce Chant est trop clair pour nécessiter une explication. Les vers, cependant, rendus par « avec la liqueur apaisante, avec la liqueur souriante » — en japonais koto nagu shi we-guzhi-ni — sont en réalité extrêmement obscurs, et Moribe les comprend comme signifiant : « Oh ! p. 316 comme il m’est difficile de parler ! Oh ! comme je suis mal à l’aise ! » Pour ce faire, il doit cependant modifier et ajouter au texte ; et le traducteur, bien que peu sûr d’être sur la bonne voie, a préféré suivre Motowori, dont l’interprétation, sans nécessiter de mesures aussi extrêmes, donne pourtant un sens très plausible. ↩︎
315:6 Voir Sect. LXIV, Note 25. ↩︎
316:1 p. 318 . C’est le seul passage de l’ouvrage où cette expression apparaît. Uji-no-waki-iratsuko est le personnage ainsi désigné. ↩︎
316:2 La même expression a été rendue par « canapé » dans la Sect. XXXI (près de la Note 16). Les caractères dans l’original sont ou
. ↩︎
316:3 C’est-à-dire, Uji-na-maki-iratsuko. ↩︎
316:4 L’expression chinoise , « les cent fonctionnaires », est utilisée ici. ↩︎
316:5 Q.d., son Auguste Oho-yama-mori. ↩︎
316:6 Le texte contient le caractère , qui, en combinaison avec les mots précédents « avirons » donne le sens de « rameur », « batelier ». Mais Motowori suggère raisonnablement qu’il s’agit d’une erreur pour
, les formes de mains en herbe des deux caractères se ressemblant beaucoup, et
ayant beaucoup plus de sens ; car qui parlerait de « décorer un rameur » ? ↩︎
317:7 Une grille en bambou. ↩︎
317:8 Littéralement « le fils de ce roi ». ↩︎
317:9 Il faut comprendre qu’Uji-no-waki-iratsuko et ses hommes, p. 319 ayant projeté d’agir ainsi, étaient sur leurs gardes et ne tombèrent pas à l’eau comme le fit Oho-yama-mori, qui fut pris au dépourvu. ↩︎
318:11 Kawara no saki. Dans la phrase suivante, l’auteur tire ce nom du bruit de cliquetis produit par les livres lorsqu’ils heurtaient l’armure. Mais il semble y avoir beaucoup à dire en faveur de l’opinion d’Arawi Hakuseki selon laquelle kawara est un mot ancien signifiant « armure ». ↩︎
318:12 Le mot kagi utilisé ici apparaît ailleurs pour désigner les crochets utilisés pour fixer les portes et a pris plus tard le sens spécifique de « clé ». ↩︎
318:13 Littéralement, « sonnait kawara ». ↩︎
318:14 Le texte contient les caractères . Mais Motowori dit que
signifie
, et que nous devons interpréter le passage comme signifiant qu’ils ont gratté [sur le point de trouver] et de sortir [son cadavre]. ↩︎
318:15 La signification de ce chant est : « Je suis venu ici avec l’intention de te tuer comme j’aurais pu abattre et tuer ce catalpa, cet Evonymus, qui pousse sur la rive. Mais la pensée de notre père et de ta sœur (ou épouse) m’a touché de pitié, et je reviens sans avoir bandé mon arc contre toi. » — Uji est précédé du mot-oreiller intraduisible chihayahito (voir Dictionnaire des mots-oreillers sv ; Motowori le lit chihaya-hito sans le nigori). — Les mots adzusa-yumi ma-yumi, rendus ici respectivement par « arc catalpa » et « Evonymus », sont difficiles à interpréter, et le doute quant à savoir si nous devons comprendre que le prince parle simplement des arbres, ou s’il entend également faire allusion à son arc, fait du bois de l’un de ces arbres, est probablement aisé. « situé », car les mots en question ont toujours oscillé entre les deux sens de la page 320, et contiennent ici évidemment une double allusion. Motowori pense que le premier des deux ne constitue qu’une sorte de mot-oreiller pour le second. — Le mot rendu par « banc », conformément à la suggestion de Moribe, signifie littéralement « atteindre ». — Il ne faut pas attacher d’importance particulière aux expressions « base » (ou « partie principale ») et « extrémité », bien qu’elles puissent sans doute être considérées comme faisant allusion au père et à la sœur, dont le souvenir a attendri le cœur du jeune frère victorieux. Le mot iranakeku, rendu par « gravement », n’est pas d’une interprétation tout à fait certaine. — Il faut comprendre que bien qu’en renversant le bateau, Uji-no-waki-iratsuko ait causé de manière constructive la mort d’Oho-yama-mori, il ne lui a pas réellement tiré dessus et ne l’a pas tué alors qu’il était dans l’eau, mais l’a suivi le long de la rivière en se lamentant sur ce qui s’était passé. — Cette chanson est choisie par Moribe pour un éloge spécial. ↩︎
318:16 Voir Sect. LXXII, Note ↩︎
318:17 Tohotafumi (Tōtōmi). Dans le roman original Hijikata no Kimi. ↩︎
318:18 Cherchez-le. On ne sait rien de Heki, ↩︎
318:19 Harihara no kimi. En Tohotafumi. Harihara signifie « plantation d’aulnes ». ↩︎
320:1 Ce n’est pas réellement le mot kami, « divinité », qui est utilisé ici dans l’original, mais hashira, qui est le chiffre auxiliaire pour les divinités. ↩︎
320:2 Aucun des deux n’étant disposé à accepter la dignité impériale. ↩︎
320:3 Ou, « quelques pêcheurs », et de même au pluriel partout. ↩︎
320:4 C’est-à-dire, est venu présenter du poisson à Sa Majesté. ↩︎
321:5a Motowori a probablement raison de dire que le but de ce proverbe réside dans la considération que, tandis que les gens en général pleurent pour ce qu’ils n’ont pas, ce pêcheur pleurait à cause du trouble que lui causait le poisson qu’il avait. ↩︎
321:6 Ou, « mourut le premier ». L’emploi à cet endroit du caractère , proprement limité au sens de la « mort d’un empereur », est remarquable. Voir les observations de Motowori sur ce point dans le vol. XXXIII, pp. 78-80. ↩︎
321:1 p. 323 Ou, selon la lecture de Motowori, Ame no-hi boko. Les caractères suivants, signifient « lance solaire céleste ». Mais les caractères homonymes
, avec lesquels le nom est écrit dans les « Glanages d’une histoire ancienne », et qui sont approuvés à la fois par Motowori et par Tanigaha Shisei, signifient « lance de pêcheur en chamaecyparis ». ↩︎
321:2 Apparemment, rien de plus n’est signifié que l’existence d’« une lagune » ; mais le un ( ) dans ce contexte est curieux, et Motowori le conserve comme hito-tsu no dans la lecture japonaise. « Un certain » semble mieux rendre sa force en anglais, comme dans les phrases suivantes, où Motowori l’interprète par le caractère
. Il revient étrangement fréquemment dans les phrases d’ouverture de cette section, qui sont d’un style tout à fait particulier. ↩︎
321:3 Agu-numa. La signification de ce nom est inconnue. ↩︎
321:5b Littéralement, « cette apparition ». ↩︎
322:6 Littéralement, « attaché à ses reins ». ↩︎
322:7 Les mots rendus par « dans une vallée » se trouvent dans le texte , dont les commentateurs ont du mal à traduire correctement en japonais. Le traducteur les a suivis en négligeant le caractère
, « montagne ». ↩︎
322:8 Ou taureau, ou bœuf ; car le japonais ne fait pas de distinction entre les genres. ↩︎
322:9 Littéralement, « arrêté ». ↩︎
322:10 Voir Sect. XLIV, Note 26. ↩︎
322:11 Akaru-hime, c’est-à-dire, « Princesse brillante ». ↩︎
322:12 La signification de ce nom est obscure. Motowori identifie le lieu avec le Kodzu moderne ( ). ↩︎
322:13 C’est-à-dire, le dieu de l’eau de la mer près de Naniha. ↩︎
322:14 Voir Sect. LXXIV, Note 1. ↩︎
323:1 p. 324 Ce nom peut signifier « oreilles porte-bonheur » ou « possesseur de chance » ; mais il est obscur, et de plus, dans les « Chroniques » (où il est donné comme nom, non pas de la fille, mais du père) il est lu Mahe-tsu-mi, une lecture qui ne supporte aucune de ces deux interprétations. ↩︎
323:2 Matawo semble signifier « mâle complet (c’est-à-dire sain ou vigoureux) ». Notez que le mot Tajima entre dans les désignations de la plupart de ses descendants. ↩︎
323:3 Dans les « Chroniques » Morosuke, et ailleurs Morosugi. L’étymologie de ces noms est obscure, sauf celle du dernier, qui signifie « nombreuses cryptomérias ». ↩︎
323:4 Hi-ne peut peut-être signifier « seigneur merveilleux ». ↩︎
323:5 La signification de ce nom est obscure, mais celle de Hina-rashi-hime dans la Sect. XXVI (Note 19) peut être comparée. ↩︎
324:6 Voir Sect. LXXIV, Note 1. ↩︎
324:7 Hi-taka peut signifier soit « hauteur du soleil » soit « hauteur merveilleuse ». ↩︎
324:8 Ce nom signifie « prince pur ». ↩︎
324:9 Comme d’habitude, ce n’est pas le mot Déité lui-même qui est utilisé, mais le chiffre auxiliaire pour les Déités. ↩︎
324:10 Tagima est le nom d’un lieu, à ne pas confondre avec la province de Tajima. La signification de mehi est assez obscure. ↩︎
324:11 Suga peut être soit le nom d’un lieu à Tajima, comme proposé p. 325 par Motowori, soit identique au Suga de la Sect. XIX. La signification de Morowo est obscure. ↩︎
324:12 La signification de ce nom est obscure. Mais Suga, Kama et Yura sont apparemment des noms de lieux. ↩︎
324:13 Kadzuraki dans Taka-nuka-hime. Kadzuraki est un département de la province de Yamato, dans le district de Takanuka. ↩︎
324:14 Littéralement, « ancêtre ». Mais voir Sect. XXII, Note 4. On se souviendra qu’Okinaga-tarashi-hime était l’impératrice Jin-go. ↩︎