[ p. 199 ] [162]
Son Auguste Oho-yamato-ne-ko-hiko-kuni-kuru résidait au palais de Sakaki-bara à Karu, [^1140] et gouvernait l’Empire. Ce souverain céleste épousa Son Auguste Utsu-shiko-me, [^1141] sœur cadette de Son Auguste Utsu-shiko-wo, [^1142] ancêtre des Grands de Hodzumi, [^1143] et engendra d’augustes enfants : Son Auguste Oho-biko, [^1144] puis Son Auguste Sukuna-biko-take-wi-goro ; [1] puis Son Auguste Waka-yamato-ne-ko-hiko-oho-bibi [2] (trois Déités). [ p. 200 ] De nouveau, en épousant Son Auguste I-gaka-shiko-me, [3] fille de Son Auguste Utsu-shiko-wo, il engendra un auguste enfant : Son Auguste Hiko-futu-oshi-no-makoto. [4] De nouveau, en épousant la Princesse Haniyasu, [5] fille d’Awotama [6] de Kafuchi, il engendra un auguste enfant : Son Auguste Take-hani-yasu-biko [7] (une Déité). Les augustes enfants de ce Souverain Céleste [étaient au total cinq Déités]. Ainsi Son Auguste Waka-yamato-ne-ko-hiko-oho-bibi [fut celui qui par la suite] régna sur l’Empire. Les enfants de [163] son frère aîné, Son Auguste Oho-biko, furent Son Auguste Take-numa-kaha-wake [8] (ancêtre des Grands d’Abe) ; [9] ensuite Son Auguste Hiko-inakoshi-wake [10] (C’était l’ancêtre des Grands Butler.) [11] Son Auguste Hiko-futu-oshi-no-mikoto épousa la Princesse Takachina de Kadzuraki, [12] jeune sœur de Cho-nabi, [13] ancêtre des Chefs de Wohari, [14] et engendra un enfant : le Noble Umashi Uchi. [15] (Ce fut l’ancêtre des Grands d’Uchi à Yamashiro.) [^1160] De nouveau, en épousant la princesse Yama-shita-kage, [16] sœur cadette d’Udzu-hiko, [^1162] ancêtre des Souverains du Seigneur de Ki, [^1163] il engendra un enfant, le Noble Take-Uchi [^1164] Les enfants de ce Noble Take-Uchi [au nombre] de neuf (sept garçons et deux filles), à savoir] le Noble de Hata-no-Yashiro, [17] [qui] (était l’ancêtre des Grands de Hata, [18] des Grands de Hayashi, [^1167] des Grands de Hami, [19] des Grands de Hoshikaha, [20] des Grands de Afumi, [^1170] et des ducs de la tribu Hatsuse) ; [21] ensuite le noble Kose-no-Wo-Kara [22] [qui] (était l’ancêtre des grands de Kose, [^1173] des grands de la tribu Sazaki, [^1174] et des grands de la tribu Karu) ; [23] ensuite le Noble Soga no Ishikaha [24] [qui] (était l’ancêtre des Grands de Soga, [^1177] des Grands de Kahanobe, [^1178] des Grands de Tanaka, [^1179] des Grands de Takamuko, [25] des Grands de Woharida [26] des Grands de Sakurawi, [27] et des Grands de Kishida) ; [28] ensuite le Noble Heguri-no-Tsuku, [29] [ p. 201 ] [qui] (était l’ancêtre des Grands de Heguri, [30] des Grands de Sawara,[31] et des chefs Uma-mi-kuhi) [32] ensuite le noble Kino-Tsunu [33] [qui] (était l’ancêtre des Grands de Ki, [^1189] des Grands de Tsumu ; [34] et des Grands de Sakamoto) [35] ensuite la princesse Mato de Kume ; [36] ensuite la princesse Nu-no-iro ; [37] Ensuite, Kadzuraki-no-Nagaye-no-sotsu-biko [^1194] [qui] (était l’ancêtre des Grands de Tamade, [38] des Grands d’Ikuha, [39] des Grands [166] d’Ikuye [40] et des Grands d’Agina), [41] de plus [il y avait] le Noble Waku-go [42] (l’ancêtre des Grands de Yenuma). [43] Les années augustes de ce Souverain Céleste furent de cinquante-sept ans. Son mausolée auguste se trouve sur le tertre au milieu de l’Étang de Tsurugi. [44]
[ p. 202 ]
[ p. 203 ]
[ p. 204 ]
[ p. 205 ]
Son Auguste Waka-yamato-ne-ko-hiko-ōho-bibi résidait au palais d’Izakaha à Kasuga, [45] et gouvernait l’Empire. Ce Souverain Céleste épousa la Princesse de Takanu, [46] fille de Yugori [47], le Grand Seigneur Départemental de Taniha, [48] et engendra un enfant auguste : son [167] Auguste Hiko-yumusumi, [49] (une Déité). Il épousa de nouveau sa belle-mère, son Auguste I-gaka-shiko-me, [50] et engendra deux enfants augustes : son Auguste Mima-kiri-biko-iniwe ; [51] puis son Auguste Mima-tsuhime [52] (deux Déités). Il épousa de nouveau son auguste Oke-tsu-hime, [53] sœur cadette de son auguste Hiko-kuni-oketsu, [54] ancêtre des Grands de Wani, [55] et engendra un auguste enfant : le roi Hiko-imasu [56] (une divinité). De nouveau, épousant la princesse Washi, [57] fille du noble Kadzuraki-no-tarumi, [58] il engendra un auguste enfant, le roi Take-tayo-hadzura-wake [59] (une divinité) ; les augustes enfants de ce souverain céleste [au nombre] de cinq divinités (quatre rois et une reine), ainsi son auguste Mi-maki-iri-biko-iniwe [était celle qui par la suite] régna sur l’empire. Français Les enfants de son frère aîné, le roi Hiko-yumusumi étaient : le roi Oho-tsutsuki-tari-ne ; [^1217] suivant le roi Sanugi-tari-ne [60] (deux rois). Il y avait [168] cinq divinités filles de ces deux rois. Le roi suivant Hiko-imasu épousa la princesse de Yena à Yamashiro, [61] dont un autre nom était Kari-bata-tobe, [62] et engendra des enfants : le roi Ohō-mata ; [63] suivant le roi Wo-mata ; [64] suivant le roi Noble [de?] Shibumi [65] (trois divinités). De nouveau, en épousant Saho-no-oho-kurami-tome, [66] fille de Take-kuni-katsu-tome, de Kasuga, [67] il engendra des enfants : le roi Saho-biko ; [^1226] prochain roi Wo-zaho ; [68] prochain son auguste Saho-bime, [69] dont un autre nom est Sahaji-hime [70] [ p. 206 ] (son auguste Saho-bime mentionnée ici était l’épouse du souverain céleste Ikume) ; [^1230] et le roi Muro-biko, [71] (quatre divinités). De nouveau, en épousant Okinaga-no-midzu-yori-hime, [72] fille de la divinité céleste Mikage [169], [73] qui est vénérée par les diacres de Mikami à Chika-tsu-Afumi, [74] il engendra des enfants : le roi Tatatsu-michi-no-ushi, prince de Taniha ; [75] prochain roi Midzuho-no-ma-wa-ka ; [76] prochain roi Kamu-oho-ne, [77] un autre nom pour lequel est roi Yatsuri-iri-biko ; [78] prochain Midzuho-no-i-ho-yori-hime ; [79] prochain Mimi-tsu-hime ; [80] (trois divinités). De nouveau, en épousant la sœur cadette de sa mère, Son Auguste Woke-tsu-hime, [81] il engendra des enfants : le roi Ma-wata d’Oho-tsutsuki à Yamashiro ; [82] prochain roi Hiko-osu ; [83] prochain roi Iri-ne [84] (deux divinités). Au total, les enfants du roi Hiko-imasu [nombrent] en tout onze rois. Ainsi, les enfants du frère aîné, le roi Oho, mata étaient : le roi Ake-tatsu ; [85] le prochain roi Unakami [86] [170] (deux divinités).Ce roi Ake-tatsu (était l’ancêtre des ducs de la tribu Homuji à Ise [87] et des dirigeants de Sana à Ise) [^1248] Le roi Una-kami (était l’ancêtre des ducs de Himeda. [^1249] Le roi suivant Wo-mata (était l’ancêtre des ducs de Magari à Tagima). [^1250] Le roi suivant Noble Shibumi (était l’ancêtre des ducs de Sasa) [88] Le roi suivant Saho-biko (était l’ancêtre des chefs de la tribu Kusaka [89] et des dirigeants du pays de Kahi). [90] Le suivant, le roi Wo-zaho (était l’ancêtre des seigneurs de Kadzunu [91] et des seigneurs de Kanu à Chika-tsu-Afumi.) [92] Le prochain roi Muro-biko (était l’ancêtre des seigneurs de Mimi à Wakasa.). [^1256] Le roi Michi-no-ushi épousa la dame Masu de Kahakami à Taniha, [^1257] et engendra des enfants : son auguste princesse Hibasu ; [93] ensuite son auguste princesse Matonu ; [94] ensuite son auguste Oto-hime ; [95] ensuite le roi Mi-kado-wake [96] (quatre divinités). Ce roi Mikado-wake [171] (était l’ancêtre des seigneurs de Ho à Mikaha). [97] Le prince Midzuho-no-ma-waka, frère cadet de ce roi Michi-no-ushi, [ p. 207 ] (était l’ancêtre des suzerains de Yasu à Chika-tsu-Afumi). [98] Le suivant, le roi Kamu-oho-be (était l’ancêtre des [dirigeants du] pays de Minu, [99] des dirigeants du pays de Motosu, [100] et des chefs de la tribu Nagahata) [101] Le suivant, le roi Mawaka d’Oho-tsutsuki à Yama-shiro épousa la princesse Ajisaha de Mone, [102] fille de son frère cadet Irine, et engendra un enfant : le roi Kami-me-ikadzuchi. [103] Ce roi épousa la princesse Takaki, [104] fille du grand Tohotsu de Taniha [105] et engendra un enfant : le roi Noble Okinaga. [106] Ce roi épousa la princesse de Takanuka à Kadzuraki, [107] et engendra des enfants : son auguste princesse Okinaga-tarashi [108] puis son auguste Sora-tsu-hime ; [109] puis le roi prince Okinaga [^1275] (trois divinités. Ce roi [172] était l’ancêtre des ducs de Homuji à Kibi, [110] et des ducs d’Aso à Harima). [111] De nouveau, le noble roi Okinaga épousa la princesse Inayori de Kahamata [112] et engendra un enfant : le roi Oho-tama-saka [^1279] (c’était l’ancêtre des dirigeants du pays de Tajima). [113] Le susdit Take-toyo-hadzu-ra-wake (était l’ancêtre des Grands de Chimori, [114] des Souverains de la Tribu Oshinumi, [115] des Souverains de la Tribu Mima, [116] de la Tribu Oshinumi d’Inaba, [^1284] des Seigneurs de Takanu de Taniba, [117] et des Abiko de Yosami). [118] Les augustes années du Souverain Céleste furent de soixante-trois ans. Son auguste mausolée se trouve au sommet de la colline d’Izakaha. [119][^1250] Le prochain roi Noble Shibumi (était l’ancêtre des ducs de Sasa) [88:1] Le prochain roi Saho-biko (était l’ancêtre des chefs de la tribu Kusaka [89:1] et des dirigeants du pays de Kahi). [90:1] Le suivant, le roi Wo-zaho (était l’ancêtre des seigneurs de Kadzunu [91:1] et des seigneurs de Kanu à Chika-tsu-Afumi.) [92:1] Le prochain roi Muro-biko (était l’ancêtre des seigneurs de Mimi à Wakasa.) [^1256] Le roi Michi-no-ushi épousa la dame Masu de Kahakami à Taniha, [^1257] et engendra des enfants : son auguste princesse Hibasu ; [93:1] ensuite son auguste princesse Matonu ; [94:1] ensuite Son Auguste Oto-hime ; [95:1] ensuite Roi Mi-kado-wake [96:1] (quatre Déités). Ce Roi Mikado-wake [171] (était l’ancêtre des Seigneurs de Ho à Mikaha). [97:1] Prince Midzuho-no-ma-waka, frère cadet de ce Roi Michi-no-ushi, [ p. 207 ] (était l’ancêtre des Suzerains de Yasu à Chika-tsu-Afumi). [98:1] Le suivant, le roi Kamu-oho-be (était l’ancêtre des [Dirigeants du] pays de Minu, [99:1] des Dirigeants du pays de Motosu, [100:1] et des chefs de la tribu Nagahata) [101:1] Le suivant, le roi Mawaka d’Oho-tsutsuki à Yama-shiro épousa la princesse Ajisaha de Mone, [102:1] fille de son frère cadet Irine, et engendra un enfant : le roi Kami-me-ikadzuchi. [103:1] Ce roi épousa la princesse Takaki, [104:1] fille du Grand Tohotsu de Taniha [105:1] et engendra un enfant : le roi Noble Okinaga. [106:1] Ce roi épousa la princesse de Takanuka à Kadzuraki, [107:1] et engendra des enfants : son auguste princesse Okinaga-tarashi [108:1] puis son auguste Sora-tsu-hime ; [109:1] puis le roi prince Okinaga [^1275] (trois divinités. Ce roi [172] était l’ancêtre des ducs de Homuji à Kibi, [110:1] et des ducs d’Aso à Harima). [111:1] De nouveau, le noble roi Okinaga épousa la princesse Inayori de Kahamata [112:1] et engendra un enfant : le roi Oho-tama-saka [^1279] (c’était l’ancêtre des dirigeants du pays de Tajima). [113:1] Le susdit Take-toyo-hadzu-ra-wake (était l’ancêtre des Grands de Chimori, [114:1] des Souverains de la Tribu Oshinumi, [115:1] des Souverains de la Tribu Mima, [116:1] de la Tribu Oshinumi d’Inaba, [^1284] des Seigneurs de Takanu de Taniba, [117:1] et des Abiko de Yosami). [118:1] Les augustes années du Souverain Céleste furent de soixante-trois ans. Son auguste mausolée se trouve au sommet de la colline d’Izakaha. [119:1][^1250] Le prochain roi Noble Shibumi (était l’ancêtre des ducs de Sasa) [88:2] Le prochain roi Saho-biko (était l’ancêtre des chefs de la tribu Kusaka [89:2] et des dirigeants du pays de Kahi). [90:2] Le suivant, le roi Wo-zaho (était l’ancêtre des seigneurs de Kadzunu [91:2] et des seigneurs de Kanu à Chika-tsu-Afumi.) [92:2] Le prochain roi Muro-biko (était l’ancêtre des seigneurs de Mimi à Wakasa.) [^1256] Le roi Michi-no-ushi épousa la dame Masu de Kahakami à Taniha, [^1257] et engendra des enfants : son auguste princesse Hibasu ; [93:2] ensuite son auguste princesse Matonu ; [94:2] ensuite Son Auguste Oto-hime ; [95:2] ensuite Roi Mi-kado-wake [96:2] (quatre Déités). Ce Roi Mikado-wake [171] (était l’ancêtre des Seigneurs de Ho à Mikaha). [97:2] Prince Midzuho-no-ma-waka, frère cadet de ce Roi Michi-no-ushi, [ p. 207 ] (était l’ancêtre des Suzerains de Yasu à Chika-tsu-Afumi). [98:2] Le suivant, le roi Kamu-oho-be (était l’ancêtre des [Dirigeants du] pays de Minu, [99:2] des Dirigeants du pays de Motosu, [100:2] et des chefs de la tribu Nagahata) [101:2] Le suivant, le roi Mawaka d’Oho-tsutsuki à Yama-shiro épousa la princesse Ajisaha de Mone, [102:2] fille de son frère cadet Irine, et engendra un enfant : le roi Kami-me-ikadzuchi. [103:2] Ce roi épousa la princesse Takaki, [104:2] fille du Grand Tohotsu de Taniha [105:2] et engendra un enfant : le roi Noble Okinaga. [106:2] Ce roi épousa la princesse de Takanuka à Kadzuraki, [107:2] et engendra des enfants : son auguste princesse Okinaga-tarashi [108:2] puis son auguste Sora-tsu-hime ; [109:2] puis le roi prince Okinaga [^1275] (trois divinités. Ce roi [172] était l’ancêtre des ducs de Homuji à Kibi, [110:2] et des ducs d’Aso à Harima). [111:2] De nouveau, le noble roi Okinaga épousa la princesse Inayori de Kahamata [112:2] et engendra un enfant : le roi Oho-tama-saka [^1279] (c’était l’ancêtre des dirigeants du pays de Tajima). [113:2] Le susdit Take-toyo-hadzu-ra-wake (était l’ancêtre des Grands de Chimori, [114:2] des Souverains de la Tribu Oshinumi, [115:2] des Souverains de la Tribu Mima, [116:2] de la Tribu Oshinumi d’Inaba, [^1284] des Seigneurs de Takanu de Taniba, [117:2] et des Abiko de Yosami). [118:2] Les augustes années du Souverain Céleste furent de soixante-trois ans. Son auguste mausolée se trouve au sommet de la colline d’Izakaha. [119:2]Son Auguste Princesse Hibasu ; [93:3] ensuite Son Auguste Princesse Matonu ; [94:3] ensuite Son Auguste Oto-hime ; [95:3] ensuite Roi Mi-kado-wake [96:3] (quatre Déités). Ce Roi Mikado-wake [171] (était l’ancêtre des Seigneurs de Ho à Mikaha). [97:3] Prince Midzuho-no-ma-waka, frère cadet de ce Roi Michi-no-ushi, [ p. 207 ] (était l’ancêtre des Suzerains de Yasu à Chika-tsu-Afumi). [98:3] Le suivant, le roi Kamu-oho-be (était l’ancêtre des [Dirigeants du] pays de Minu, [99:3] des Dirigeants du pays de Motosu, [100:3] et des chefs de la tribu Nagahata) [101:3] Le suivant, le roi Mawaka d’Oho-tsutsuki à Yama-shiro épousa la princesse Ajisaha de Mone, [102:3] fille de son frère cadet Irine, et engendra un enfant : le roi Kami-me-ikadzuchi. [103:3] Ce roi épousa la princesse Takaki, [104:3] fille du Grand Tohotsu de Taniha [105:3] et engendra un enfant : le roi Noble Okinaga. [106:3] Ce roi épousa la princesse de Takanuka à Kadzuraki, [107:3] et engendra des enfants : son auguste princesse Okinaga-tarashi [108:3] puis son auguste Sora-tsu-hime ; [109:3] puis le roi prince Okinaga [^1275] (trois divinités. Ce roi [172] était l’ancêtre des ducs de Homuji à Kibi, [110:3] et des ducs d’Aso à Harima). [111:3] De nouveau, le noble roi Okinaga épousa la princesse Inayori de Kahamata [112:3] et engendra un enfant : le roi Oho-tama-saka [^1279] (c’était l’ancêtre des dirigeants du pays de Tajima). [113:3] Le susdit Take-toyo-hadzu-ra-wake (était l’ancêtre des Grands de Chimori, [114:3] des Souverains de la Tribu Oshinumi, [115:3] des Souverains de la Tribu Mima, [116:3] de la Tribu Oshinumi d’Inaba, [^1284] des Seigneurs de Takanu de Taniba, [117:3] et des Abiko de Yosami). [118:3] Les augustes années du Souverain Céleste furent de soixante-trois ans. Son auguste mausolée se trouve au sommet de la colline d’Izakaha. [119:3]Son Auguste Princesse Hibasu ; [93:4] ensuite Son Auguste Princesse Matonu ; [94:4] ensuite Son Auguste Oto-hime ; [95:4] ensuite Roi Mi-kado-wake [96:4] (quatre Déités). Ce Roi Mikado-wake [171] (était l’ancêtre des Seigneurs de Ho à Mikaha). [97:4] Prince Midzuho-no-ma-waka, frère cadet de ce Roi Michi-no-ushi, [ p. 207 ] (était l’ancêtre des Suzerains de Yasu à Chika-tsu-Afumi). [98:4] Le suivant, le roi Kamu-oho-be (était l’ancêtre des [Dirigeants du] pays de Minu, [99:4] des Dirigeants du pays de Motosu, [100:4] et des chefs de la tribu Nagahata) [101:4] Le suivant, le roi Mawaka d’Oho-tsutsuki à Yama-shiro épousa la princesse Ajisaha de Mone, [102:4] fille de son frère cadet Irine, et engendra un enfant : le roi Kami-me-ikadzuchi. [103:4] Ce roi épousa la princesse Takaki, [104:4] fille du Grand Tohotsu de Taniha [105:4] et engendra un enfant : le roi Noble Okinaga. [106:4] Ce roi épousa la princesse de Takanuka à Kadzuraki, [107:4] et engendra des enfants : son auguste princesse Okinaga-tarashi [108:4] puis son auguste Sora-tsu-hime ; [109:4] puis le roi prince Okinaga [^1275] (trois divinités. Ce roi [172] était l’ancêtre des ducs de Homuji à Kibi, [110:4] et des ducs d’Aso à Harima). [111:4] De nouveau, le noble roi Okinaga épousa la princesse Inayori de Kahamata [112:4] et engendra un enfant : le roi Oho-tama-saka [^1279] (c’était l’ancêtre des dirigeants du pays de Tajima). [113:4] Le susdit Take-toyo-hadzu-ra-wake (était l’ancêtre des Grands de Chimori, [114:4] des Souverains de la Tribu Oshinumi, [115:4] des Souverains de la Tribu Mima, [116:4] de la Tribu Oshinumi d’Inaba, [^1284] des Seigneurs de Takanu de Taniba, [117:4] et des Abiko de Yosami). [118:4] Les augustes années du Souverain Céleste furent de soixante-trois ans. Son auguste mausolée se trouve au sommet de la colline d’Izakaha. [119:4][106:5] Ce roi épousa la princesse de Takanuka à Kadzuraki, [107:5] et engendra des enfants : son auguste princesse Okinaga-tarashi [108:5] puis son auguste Sora-tsu-hime ; [109:5] puis le roi prince Okinaga [^1275] (trois divinités. Ce roi [172] était l’ancêtre des ducs de Homuji à Kibi, [110:5] et des ducs d’Aso à Harima). [111:5] De nouveau, le noble roi Okinaga épousa la princesse Inayori de Kahamata [112:5] et engendra un enfant : le roi Oho-tama-saka [^1279] (c’était l’ancêtre des dirigeants du pays de Tajima). [113:5] Le susdit Take-toyo-hadzu-ra-wake (était l’ancêtre des Grands de Chimori, [114:5] des Souverains de la Tribu Oshinumi, [115:5] des Souverains de la Tribu Mima, [116:5] de la Tribu Oshinumi d’Inaba, [^1284] des Seigneurs de Takanu de Taniba, [117:5] et des Abiko de Yosami). [118:5] Les augustes années du Souverain Céleste furent de soixante-trois ans. Son auguste mausolée se trouve au sommet de la colline d’Izakaha. [119:5][106:6] Ce roi épousa la princesse de Takanuka à Kadzuraki, [107:6] et engendra des enfants : son auguste princesse Okinaga-tarashi [108:6] puis son auguste Sora-tsu-hime ; [109:6] puis le roi prince Okinaga [^1275] (trois divinités. Ce roi [172] était l’ancêtre des ducs de Homuji à Kibi, [110:6] et des ducs d’Aso à Harima). [111:6] De nouveau, le noble roi Okinaga épousa la princesse Inayori de Kahamata [112:6] et engendra un enfant : le roi Oho-tama-saka [^1279] (c’était l’ancêtre des dirigeants du pays de Tajima). [113:6] Le susdit Take-toyo-hadzu-ra-wake (était l’ancêtre des Grands de Chimori, [114:6] des Souverains de la Tribu Oshinumi, [115:6] des Souverains de la Tribu Mima, [116:6] de la Tribu Oshinumi d’Inaba, [^1284] des Seigneurs de Takanu de Taniba, [117:6] et des Abiko de Yosami). [118:6] Les augustes années du Souverain Céleste furent de soixante-trois ans. Son auguste mausolée se trouve au sommet de la colline d’Izakaha. [119:6]
[ p. 208 ]
[ p. 209 ]
[ p. 210 ]
[ p. 211 ]
[ p. 212 ] [173]
Son Auguste Mima-ki-iri-biko-iniwe résidait au Palais de Midzu-gaki à Shiki, [120] et gouvernait l’Empire. Ce Souverain Céleste épousa Tohotsu-no-ayu-me-me-kuhashi, [121] fille du futur Arakaha, [122] Souverain du pays de Ki, [123] et engendra des enfants augustes : Son Auguste Toyo-ki-iri-biko, [124] puis Son Auguste Toyo-suki-iri-bime [125] (deux Déités). De nouveau, épousant la Grande Princesse d’Ama, [126] ancêtre des Chefs de Wohori, [^1295] il engendra des enfants augustes : Son Auguste Oho-iri-ki ; [127] ensuite Son Auguste [ p. 213 ] Ya-saka-no-iri-biko ; ensuite Son Auguste Nuna-ki-no-iri-bime ; ensuite Son Auguste Towochi-no-iri-bime [128] (quatre Déités). De nouveau, en épousant Son Auguste Princesse Mimatsu, [129] fille de Son Auguste Oho-biko, il engendra d’augustes enfants : Son Auguste Ikume-iri-biko-isachi [^1299] ensuite Son Auguste Iza-no-ma-waka ; [130] ensuite Son Auguste Princesse Kuni-kata ; [131] ensuite Son Auguste [159] Princesse Chiji-tsuku-yamato ; [132] ensuite Son Auguste Princesse Iga ; [133] Ensuite, Son Auguste Yamato-Hiko [134] (six Déités). Les augustes enfants de ce Souverain Céleste [au nombre] en tout douze Déités (sept Rois et Reines). Ainsi, Son Auguste Ikume-iri-biko-isachi [était celui qui par la suite] régna sur l’Empire. La suivante, Son Auguste Toyo-ki-iri-biko (était l’ancêtre [des Ducs] de Kami-tsu ke-nu, [135] et des Ducs de Shimo-tsu-ke-nu). [136] La sœur cadette, Son Auguste Princesse Toyo-Suki (était grande prêtresse du [137] temple de la Grande Déité d’Ise.) [^1308] Le frère suivant, Son Auguste Oho-iri-ki (était l’ancêtre des Grands de Noto). [138] Le suivant, Son Auguste Yamato-hiko,—(à l’époque de ce roi, une haie d’hommes fut dressée pour la première fois dans le mausolée). [139]
[ p. 214 ]
[ p. 215 ] [175]
Sous le règne de ce Souverain Céleste, une grande peste survint, et le peuple mourut comme s’il n’en restait plus aucun. [140] Alors le Souverain Céleste se lamenta et se lamenta, et la nuit, alors qu’il était sur sa couche divine, [141] apparut [à lui] dans un rêve auguste la Grande Déité, le Grand-Maître-des-Choses, [142] et dit : « Ceci est mon auguste œuvre. [143] Alors si tu veux me faire adorer [144] par Oho-tata-ne-ko, [145] l’esprit divin ne se lèvera pas, [146] et la terre sera apaisée. » Français Lorsque, par conséquent, des courriers [147] furent dépêchés dans toutes les directions [148] pour rechercher la personne [nommée] Oho-tata-ne-ko, il fut découvert dans le village de Minu [149] à Kafuchi, et fut respectueusement envoyé [au Souverain Céleste]. [150] Alors le Souverain Céleste daigna demander : « De qui es-tu l’enfant ? » Il répondit en disant : « Je [151] suis Oho-tats-ne-ko, enfant de [ p. 216 ] Son Auguste Take-mika-dzu-chi [152] [qui était] enfant de Son Auguste Ihi-gata-sumi, [153] [qui était] enfant de Son Auguste Kushi-mi-gata, [154] [qui était] enfant de la Grande Déité le Grand-Maître-des-Choses par son épouse Iku-tama-yori-bime, [155] fille de Son Auguste Suwe-tsu-mimi. [156] Sur ce, le Souverain Céleste, se réjouissant grandement, ordonna que l’Empire soit tranquille et que le peuple prospère, et fit aussitôt de Son Auguste Français Le grand prêtre Oho-tata-ne-ko [157] devait adorer [158] la Grande Déité du Grand Miwa [159] sur le Mont Mimoro. [160] Il ordonna de nouveau à Son Auguste Igaka-shiko-wo [161] de fabriquer quatre-vingts plats célestes et d’établir avec révérence les sanctuaires des Déités Terrestres ; [162] de même adorer avec un bouclier et une lance de couleur rouge la Déité de Sumi-saka [163] à Uda, et avec un bouclier et une lance de couleur noire la Déité d’Oho-sake ; [164] de même présenter d’augustes offrandes de tissu à toutes les Déités des augustes pentes des collines et à toutes les Déités des étendues des rivières, sans en négliger aucune. [165] [166] En conséquence, la vapeur pestilentielle cessa complètement et le pays fut tranquillisé.
[ p. 217 ]
[ p. 218 ]
La raison pour laquelle cette personne appelée Oho-tata-ne-ko était connue pour être l’enfant d’une divinité, était que l’Iku-tama-yori-bime mentionnée ci-dessus était régulièrement belle, [167] sur quoi un [^1339]] jeune [qui pensait] la majesté de son apparence sans comparaison au monde, [168] vint soudainement à elle au milieu de la nuit. Ainsi, comme ils s’aimaient et vivaient ensemble en mariage, la jeune fille ne tarda pas à tomber enceinte. Alors le père et la mère, étonnés que leur fille soit enceinte, lui demandèrent, [169] disant : « Tu es enceinte toute seule. Comment es-tu enceinte sans [avoir connu] un homme ? » Elle répondit, disant : J’ai conçu naturellement par un beau jeune [ p. 219 ] homme, dont je ne connais pas le nom [170], qui vient ici tous les soirs et reste avec moi. Le père et la mère, désireux de connaître l’homme, donnèrent donc des instructions à leur fille : « Saupoudre de terre rouge devant le lit, [171] et passe un écheveau de chanvre dans une aiguille, et perce le pan de son vêtement. » Elle fit ce qu’ils lui avaient dit, et, en regardant au matin, le chanvre qui avait été placé dans l’aiguille sortit par le trou du crochet de la porte, [172] et il ne resta que trois torsades [173]. Aussitôt, sachant comment il était sorti par le trou du crochet, ils partirent à la recherche du fil, qui, atteignant le mont Miwa, s’arrêta au sanctuaire de la divinité. Ils surent ainsi [qu’Oho-tata-neko était] l’enfant de la divinité [résidant] là. Le lieu fut donc appelé Miwa en raison des trois torsades de chanvre qui étaient restées. (Son L’auguste Oho-tata-ne-ko, ici mentionnée, était l’ancêtre des ducs de Miwa [174] et des ducs de Kamo.) [175]
[^1144] : 199:1 p. 201 À Yamato. Pour Karu, voir Sect. LVII, note I. Sakahi-bara signifie « lande frontière ».
[^1160] : 200:17 Katsuraki-no-takachina-bime-no-mikoto. La signification de Takachina est obscure.
[^1162] : 200:19 Wohari no Murazhi.
[^1163] : 200:20 Umashi Uchi no sukune. Umashi signifie « doux » et Uchi est le nom d’un lieu à Yamashiro.
[^1164] : 200:21 Yamashiro no Uchi no omi.
[^1167] : 200:24 Ki no kuni no miyatsuko no aya.
[^1170] : 200:27 Hata no omi.
[^1173] : 200:30 p. 203 Hoshikaha no omi. Hoshikaha, Yamato, est un endroit. Le nom signifie « rivière des étoiles ».
[^1174] : 200:31 Afumi no omi. Pour Afumi, voir Sect. XXIX, note 20.
[^1177] : 200:34 Kose no omi.
[^1178] : 200:35 Sazakibe no omi. Voir sect. LIII, note 10.
[^1179] : 200:36 Kurube no omi.
[^1189] : 201:46 Heguri no omi.
[^1194] : 201:51 Tsunu no omi.
[^1217] : 205:12 Hiko-imasu no miko. Signification obscure.
[^1226] : 205:21 Wo-mata no miko.
[^1230] : 205:25 Saho-biko no miko, c’est-à-dire, « Prince de Saho ».
[^1248] : 206:43 Iri-ne no miko. Signification obscure.
[^1249] : 206:44 Ake-tatsu no miko. Voir sect. LXXII, note 20.
[^1250] : 206:45 Unakami no miko. Voir sect. LXXII, note 19.
[^1256] : 206:51 Kusakabe no murazhi.
[^1257] : 206:52 Kahi no kuni no miyatsuko. Pour Kahi, voir Sect. LXXXVI, note 1.
[^1275] : 207:70 Okinaga no sukune no miko. Pour Okinaga, voir la note 31 de cette section.
[^1279] : 207:74 Okinaga-hiko no miko.
[^1284] : 207:79 p. 212 Tajima no kuni no miyatsuko. Pour Tajima, voir Sect. LXXIV, note 1.
[^1295] : 212:4 Ki no kuni no miyatsuko.
[^1299] : 212 : 8 Wohari no murazhi.
[^1308] : 213:17 C’est-à-dire, « Prince Yamato. »
[^1351] : 219:10 Kama no kimi.
199:2 C’est-à-dire, peut-être, « la belle mais alarmante femelle ». ↩︎
199:3 C’est-à-dire, peut-être, « le beau mais alarmant mâle ». ↩︎
199:4 Hodzumi no omi. Il existe plusieurs endroits appelés Hodzumi dans différentes provinces. Ce nom semble signifier « empiler des épis de riz ». ↩︎
199:5 C’est-à-dire, « grand prince ». ↩︎
199:6 C’est-à-dire, « petit prince-cœur-de-sanglier-féroce », le sanglier étant connu pour son tempérament sauvage. ↩︎
199:7 En excluant le dernier membre du composé, ce nom signifie « jeune-Yamato-seigneur-prince-grand » Bibi est identifié par Motowori avec le mot mimi, qui revient si souvent dans les noms propres (voir Sect. XIII, Note 18). ↩︎
200:8 Motowori explique ce nom dans le sens de « femme brillante-alarmante », mais un certain doute doit s’y attacher. ↩︎
200:9 C’est-à-dire, peut-être, « prince vaste-grande-vérité ». ↩︎
200:10 Hani-yasu-bime. Ce nom a déjà été rencontré dans la Sect. VII, Note 3. Motowori suppose cependant qu’à cet endroit, Haniyasu devrait être considéré comme le nom d’un lieu du Yamato. ↩︎
200:11 C’est-à-dire, un homme appelé « joyau vert » qui vivait dans la province de Kafuchi. ↩︎
200:12 Take signifie « courageux ». Pour le reste du nom, voir la note 10. ↩︎
200:13 Take signifie « courageux ». Wake signifie soit « jeune », soit « seigneur ». Pour Nuna-kaha, voir Sect. LI, Note 31. ↩︎
200:14 p. 202 Abe no omi. Il existe plusieurs lieux appelés Abe, et il est douteux de savoir à lequel d’entre eux le texte ici fait référence. ↩︎
200:15 La signification de inakoshi semble être « chariot à riz ». Hiko est « prince » et wake signifie soit « jeune », soit « seigneur ». ↩︎
200:16 Kashihade no omi, Ce nom est traditionnellement lié à un incident survenu sous le règne de l’empereur Kei-ko, qui l’aurait offert à l’un de ses serviteurs qui lui avait servi un plat de crustacés particulièrement savoureux. Les « majordomes » (le mot pourrait peut-être aussi être traduit par « cuisiniers ») ont été mentionnés vers la fin de la Sect. XXXII, et de nouveau dans la légende du massacre des « araignées de terre » par Jim-mu relatée dans la Sect. XLVIII. ↩︎
200:18 Par aphérèse pour Oho-inabi, la forme du nom donné dans les « Chroniques des choses anciennes des âges passés ». lui-même représentant peut-être par apocope Oho-ina-biko, qui signifierait « grand prince du riz ». ↩︎
200:22 Ce nom peut être rendu littéralement par « l’ombre sous les montagnes », mais la signification est « la lueur des feuilles d’automne sur le flanc de la montagne ». ↩︎
200:23 C’est-à-dire, probablement « prince merveilleux (ou précieux) ». ↩︎
200:25 Take-Uchi no sukune. Take signifie « courageux » et Uchi est le nom d’un district du Yamato. L’interprétation courante, mais erronée, de ce nom est Take no Uchi no sukune. Le célèbre personnage, que l’on pourrait surnommer le Mathusalem du Japon, aurait vécu sous les règnes de cinq empereurs, chacun ayant vécu en moyenne plus de cent ans. Son âge est diversement estimé à 255, 260, etc., jusqu’à 360 ans. ↩︎
200:26 Hata no Yashiro no sukune. Hata et Yashiro sont supposés, selon Motowori, être les noms de lieux du Yamato. Yashiro signifie « sanctuaire ». Hata est d’origine incertaine. ↩︎
200:28 Hayashi no omi. Hayashi est le nom d’un lieu à Kawachi et signifie « forêt ». ↩︎
200:29 Hami no omi. Il y a un Hami à Afumi et un autre à Tamba. La signification du nom est obscure. ↩︎
200:32 Hatsuse-be no Kimi. Pour Hatsuse, voir Sect. CXLIII, Note 8. ↩︎
200:33 Kose no Wo-kara no sukune. Kose est le nom d’un lieu du Yamato. La signification de Wo-kara est obscure. ↩︎
200:37 Soga no Ishikaha no sukune. Soga est un lieu du Yamato, et Ishikaha un district de Kahachi. Dans ce cas, on suppose généralement que la famille possédait deux sièges, ou était divisée en deux branches résidant à des endroits différents. Parfois, cependant, le siège d’origine et celui vers lequel la famille s’est ensuite installée sont indiqués. ↩︎
200:38 Soga no omi. La signification de Soga est obscure. ↩︎
200:39 Kahanobe no omi. Kahanobe est le nom d’un district de Settsu et signifie « rive ». ↩︎
200:40 Tanaka no omi. Tanaka est le nom d’un lieu du Yamato et signifie « parmi les rizières ». ↩︎
200:41 Takamuko no omi. Takamuko semble être le nom d’un lieu à Echizen. Sa signification est incertaine. ↩︎
200:42 Woharida no omi. Woharida est un lieu du Yamato. Son nom semble signifier « petit champ labouré ». ↩︎
200:43 Sakurawi no omi. Sakurawi est le nom d’un lieu à Kahachi et signifie « puits aux cerisiers ». ↩︎
200:44 Kishida no omi. Kishida est un lieu du Yamato. La signification du nom n’est pas claire. ↩︎
200:45 Heguri no Tsuku no sukune. Heguri est le nom d’un district du Yamato, dont la signification est incertaine. Tsuku (moderne dzuku), « hibou », est un nom qui renvoie à une tradition que l’on retrouve dans le Commentaire de Motowori, vol. XXII, p. 29. ↩︎
201:47 Sawara no omi. Sawara était peut-être un district de Chikuzen. La signification du nom est obscure. ↩︎
201:48 Uma mi-kuhi no murazhi. La signification littérale des caractères avec lesquels Uma-mi-kuhi est écrit est « cheval poste auguste ». On ne sait pas vraiment si ce nom a un lien avec les chevaux, ou s’il doit simplement être considéré comme le nom d’un lieu. ↩︎
201:49 Ki no Tsunu no sukune. Ki est le nom d’une province, et p. 204 Tsunu celui d’un district d’une autre province, la province de Suhau (Suwō). Conf. Note 37. ↩︎
201:50 Je ne t’aime pas. ↩︎
201:52 Sakamoto no omi. Sakamoto est le nom d’un lieu d’Idzumi et signifie « base de la colline ». ↩︎
201:53 Kume no Ma-ito-hime. Kume pourrait être, comme le dit Motowori, le nom d’un lieu. Mais voir Sect. XXXIV, Note 7. Quoi qu’il en soit, le lieu, s’il existait, portait probablement le nom d’une personne du nom de Kume. La signification de Ma-iro est obscure. ↩︎
201:54 Nu-no-iro-hime. La signification de ce nom est obscure. ↩︎
201:55 Kadzuraki est le nom déjà fréquemment mentionné d’un district du Yamato, et Nagaye est également le nom d’un lieu – on ignore s’il se trouve à Yamato ou à Kahachi. Il signifie « longue crique ». Motowori pense que la syllabe so dans ce lieu est la même que celle de kuma-so et signifie « vaillant » ou « féroce ». ↩︎
201:56 Tamade no omi. Il existe un Tamade à Yamato et un autre à Kahachi. La signification du nom est incertaine. ↩︎
201:57 Ikuha no omi. Les « Chroniques du Japon » nous apprennent que la forme originale de ce nom Ikuha était uki-ha, c’est-à-dire _feuille flottante », et nous en donnent une explication historique. Voir le Commentaire de Motowori, vol. XXII, p. 36-37, où la raison traditionnellement avancée pour expliquer l’écriture du nom Ikuha avec le caractère est également longuement évoquée. ↩︎
201:58 Ikuye no omi. Ikuye devait être le nom d’un lieu ; mais on n’en sait rien. ↩︎
201:59 Agina no anti. La même observation s’applique à ce nom qu’au précédent. ↩︎
201:60 Waku-go no sukune. Waku-go signifie « jeune enfant » ou « jeune homme », une désignation honorifique. ↩︎
201:61 Yenuma no omi. Yenuma est le nom d’un district de Kaga et signifie « lagune d’entrée ». ↩︎
201:62 À Yamato. Ce lac, souvent mentionné dans les poèmes du « Collection d’une myriade de feuilles », était célèbre pour ses fleurs de lotus. Les « Chroniques du Japon » le mentionnent comme ayant été creusé sous le règne de l’empereur Ō-jin, mais il s’agissait probablement, comme beaucoup d’autres, d’un lac naturel, aménagé par la suite. Son nom signifie « sabre ». ↩︎
205:1 p. 207 Pour Kasuga, voir Sect. LVIII, Note 7. Izakaha est un lieu du Yamato. La signification du nom est incertaine. ↩︎
205:2 Takanu-hime. Takanu est le nom d’un district de Tango et signifie « lande de bambous ». ↩︎
205:3 La signification de ce nom est assez obscure. ↩︎
205:4 Taniha no oho-agata-nushi. Taniha (aujourd’hui Tamba) est le nom d’une province (comprenant autrefois la province de Tango) du centre du Japon. Il est censé signifier « le lieu des rizières », le riz offert au sanctuaire de la déesse du Soleil à Ise étant apporté de là. ↩︎
205:5 p. 208 Hiko signifie « prince ». Les autres syllabes du nom sont obscures. ↩︎
205:6 Voir Sect. LXI, Note 8. ↩︎
205:7 Biko (hiko) signifie « prince ». Les autres éléments de ce composé sont obscurs. ↩︎
205:8 On serait tenté de traduire ce nom par « Princesse de Mima ». Mais rien ne permet de considérer Mima, ni dans ce nom ni dans le précédent, comme le nom originel d’un lieu. ↩︎
205:9 Motowori n’a aucune explication à offrir pour les syllabes Oke-tsu. Hime signifie « princesse ». ↩︎
205:10 Hiko signifie « prince » et kuni signifie « pays ». ↩︎
205:11 Wani no omi. Wani est un lieu du Yamato, et il existe un col ou une colline portant ce nom (Wani-zaka). Le mot wani n’a qu’une signification : « crocodile ». ↩︎
205:13 Ou « la princesse de Washi » ou « la princesse aigle ». En japonais Washihime. ↩︎
205:14 Kadzuraki est le nom d’un district de Yamato, et Motowori pense que Tarumi est le nom d’un lieu de Settsu. ↩︎
205:15 Take-toyo-hadzura-wake no miko. Les deux premiers éléments du composé signifient respectivement « brave » et « luxuriant », tandis que le dernier signifie probablement « seigneur ». La signification de hadzura est obscure. ↩︎
205:16 Oho-tsutsuki-tari-ne no miko. Tsutsuki étant le nom d’un district de Yamashiro, le composé entier signifie « prince grand, seigneur suffisant du grand Tsutsuki ». ↩︎
205:17 Sanugi-tari-ne no miko, c’est-à-dire, « prince suffisant seigneur de Sanugi » (Sanuki, — voir Sect. V, Note 6). ↩︎
205:18 Yamashiro no Yena tsu Hime. Yamashiro est le nom d’une province, et Yena celui d’un lieu de Settsu. La signification de ce dernier nom est obscure. ↩︎
205:19 Motowori croit que Karibata est le nom d’un lieu, et tobe (to-me) signifie « vieille femme », comme dans le nom Ishi-ko-ri-do-me, ce dernier étant cependant extrêmement obscur (voir Sect. XVI, Note 12). ↩︎
205:20 Oho-mata no miko. La signification de ce nom et du nom parallèle du frère cadet est obscure. ↩︎
205:22 Shibumi no Sukune no miko. Shibumi est probablement le nom d’un lieu, puisqu’il y a un Shibumi à Ise. ↩︎
205:23 Saho est le nom d’un lieu célèbre du Yamato, et Kurami p. 209 est supposé par Motowori être le nom d’un lieu du Wakasa. Oho signifie « grand » et tome, selon Motowori, signifie « vieille femme » ou simplement « femelle ». Conf. Note 19. ↩︎
205:24 Kasuga no Take-kuni-katsu-tome. Motowori suppose qu’il s’agit du nom, non pas du père, mais de la mère de la princesse mentionnée précédemment. Take signifie « courageux » et kuni « terre ». La signification de katsu est obscure. ↩︎
205:26 Wō-zaho no miko, c’est-à-dire, « petit (q.d. ‘plus jeune’) prince de Saho. » ↩︎
205:27 C’est-à-dire, la princesse de Saho. ↩︎
205:28 Il n’est pas certain que nous devions comprendre ce nom comme signifiant « princesse Sahaji » ou « la princesse de Sahaji », mais ce dernier semble le plus probable. ↩︎
206:29 C’est-à-dire, l’empereur Sui-nin. ↩︎
206:30 More-biko no miko. Muro-biko signifie « Prince de Muro ». Muro est un lieu du Yamato. Il signifie « demeure » et plus particulièrement « grotte ». ↩︎
206:31 C’est-à-dire, « princesse florissante et bonne d’Okinaga », ce dernier étant le nom d’un lieu d’Afumi (Omi). Sa signification n’est pas claire. ↩︎
206:32 Ame no Mikaga no kami. La signification de Mikaga est obscure, tout comme le lien entre cette divinité et les diacres de Mikami. ↩︎
206:33 La signification du nom Mikami est obscure. Le mot traduit par « diacre » est hufuri, nom d’une classe inférieure de prêtres shintoïstes. Pour une discussion sur l’étymologie du mot, etc., voir les remarques de M. Satow, p. 112 du vol. VII de ces Transactions. Pour Chika-tsu-Afumi, voir Sect. XXIX, Note 20. ↩︎
206:34 Tanika no hiko Tatatsu-michi-no-ushi no miko. La signification de Tatatsu est obscure, mais on peut l’accepter comme le nom personnel du digne ici mentionné. Michi-no-ushi signifie « maître de la route », c’est-à-dire « seigneur de la province ». ↩︎
206:35 Midzuho no ma-waka no miko, c’est-à-dire « le Vrai Jeune Roi de Midzuho », Midzuho étant le nom d’un lieu d’Afumi. Cela signifie probablement « jeunes épis de riz frais ». ↩︎
206:36 Kamu-oho-ne no miko, c’est-à-dire, probablement, « prince divin grand seigneur ». ↩︎
206:37 Yatsuri-iri-biko no miko. Yatsuri est le nom d’un village du Yamato, dont l’origine est incertaine. La signification de iri est obscure. ↩︎
206:38 I-ho signifie « cinq cents » et yori signifie probablement « bon ». Le composé peut donc être interprété comme signifiant « princesse de Midzuho aux multiples qualités ». ↩︎
206:39 p. 210 C’est-à-dire, probablement « la princesse Miwi » (Miwi-dera dans Afumi). Mi-wi signifie « trois puits ». ↩︎
206:40 Ce nom est parallèle à celui qui a été commenté dans la note 9 de cette section. ↩︎
206:41 Yamashiro-no-oho-Tsutsuki no ma-waka no miko. Tous les éléments de ce composé sont déjà apparus dans cette section. ↩︎
206:42 Hiko-osu no miko. La signification d’osu est obscure, ↩︎
206:46 Ise no Homuji-be no kimi. Voir la mention de la création de ce clan à la fin de la Sect. LXXII. ↩︎ ↩︎ ↩︎
206:47 Ise no Sana no miyatsuko. L’étymologie de Sana est obscure. ↩︎ ↩︎ ↩︎
206:48 Himeda no kimi. Himeda est un lieu d’Afumi. La signification du nom est obscure. ↩︎ ↩︎ ↩︎
206:49 Tagima no Magari no kimi. Tagima est le nom d’un district du Yamato, dont l’origine est incertaine. Magari est le nom d’un lieu, signifiant « pli » ou « courbure ». ↩︎ ↩︎ ↩︎
206:50 Sasa no kimi: Sasa est le nom d’un lieu à Iga, et sa signification est incertaine. ↩︎ ↩︎ ↩︎
206:53 Kadzunu no wake. Kadzunu est le nom d’un district de Yamashiro et signifie « lande de pueraria ». ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
206:54 Chika-tsu-Afumi no Kanu no wake. Kanu est un village d’Afumi. Son nom est écrit avec des caractères signifiant « lande à moustiques ». ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
206:55 Wakasa no Mimi no wake. Mimi est le nom d’un village, et sa signification est incertaine. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
206:56 Taniha no Kahakami no Masu no iratsume. Masu est d’origine incertaine. Kahakami est le nom d’un village, aujourd’hui compris dans la province de Tango. Il signifie « pays fluvial ». ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
206:57 Hibasu-hime. La signification de ce nom est obscure. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
206:58 Matonu-hime. La signification de ce nom est obscure. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
206:60 Ce nom, qui s’écrit , est curieux, et Motowori n’a aucune suggestion à faire concernant son interprétation. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
206:61 Mikaha no Ho no wake. Ho est le nom d’un district, d’origine obscure. Mikaha est le nom d’une province maritime. Il signifie « trois rivières », en référence à deux grands fleuves qui la traversent et à un autre qui forme la frontière entre elle et la province de Wohari. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
207:62 Chika-tsu-Afumi no Yasu no atahe. Yasu est le nom d’un district, dont l’origine est incertaine. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
207:63 Minu no kuni no [miyatsuko]. Le mot miyatsuko, qui ne figure pas dans le texte, est fourni dans la lecture kana de Motowori. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
207:64 Motosu no kuni no miyatsuko. Motosu est le nom d’un quartier de Mino et semble signifier « lieu d’habitation originel ». ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
207:65 Nagahata-be no murazhi. Nagahata est le nom d’un lieu à Hitachi, et semble signifier « long métier à tisser ». ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
207:66 Mone no Ajisaha-bime. Ce nom est particulièrement obscur, et Mone est probablement corrompu. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
207:67 Kani-me-ikadzuchi no miko. Motowori pense que ce nom signifie « féroce comme l’œil d’un crabe », en référence peut-être à une particularité personnelle du prince qui le portait. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
207:68 Takaki-hime. Ce nom est obscur et peut-être corrompu. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
207:69 Taniha no Tohotsu omi. Ce nom est obscur. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
207:71 Kadzuraki no Takanuka-hime. Takanuka est le nom d’un lieu du Yamato. Il s’écrit en caractères signifiant « intellectuel ». ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
207:72 Okinaga-tarashi-hime. Okinaga est le nom d’un lieu (voir Note 31). Tarashi est une désignation honorifique, signifiant littéralement « suffisant », c’est-à-dire « parfait », et Motowori suppose qu’il a été accordé après sa mort à cette princesse, célèbre conquérante de la Corée, plus connue sous son « nom canonique » de Jingō Kōgō. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
207:73 C’est-à-dire, « la princesse du ciel ». ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
207:75 Kibi no Homuji no kimi. Homuji est le nom d’un district de la province moderne de Bingo, et pourrait être d’origine chinoise. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
207:76 Harima no Aso no kimi. Aso est le nom d’un lieu, dont l’origine est incertaine. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
207:77 Kahamata no Ina-yori-bime. Kahamata (« fourche de rivière ») est le nom d’un lieu à Kohachi. Ina signifie « riz » et yori signifie probablement « bon » dans ce nom propre et dans de nombreux autres. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
207:78 Oho-tamu-saka no miko. Ce nom est obscur. Motowori pense que Tamu-saka pourrait être le nom d’un lieu et signifier « ascension sinueuse ». ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
207:80 Chi-mori no omi. Chi-mori signifie « gardien des routes », et peut-être devrions-nous traduire ce « nom gentil » par « grands gardiens des routes », et supposer qu’ils ont pu autrefois exercer certaines fonctions dont l’attribution trouve son origine. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
207:81 Oshinumi-be no miyatsuko. Oshinumi est le nom d’un district de Yamato, dont la signification est incertaine. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
207:82 Mina-be no miyatsuko. Peut-être devrions-nous plutôt traduire ainsi : « les souverains de Minabe », car le nom est tout à fait obscur. ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎ ↩︎
207:83 Inaba no Oshinumi-be. Motowori suppose qu’une branche de cette famille, initialement établie à Yamato, s’est déplacée dans la province d’Inaba. ↩︎
207:84 Taniha no Takanu no wake. Takanu est le nom d’un district de la province moderne de Tango. Il signifie « haute lande ». ↩︎
207:85 Yosami no obiko. Yosami est le nom d’un lieu de Kahachi et son origine est incertaine, bien que les légendes l’associent au mot et, « un filet » (voir Commentaire de Motowori, vol. XXII, p. 81). Il est principalement connu pour son lac ou son bassin, souvent mentionné dans la poésie ancienne. Abiko est un « nom gentil » très rare, qui, dans le « Catalogue des noms de famille », s’écrit avec les caractères , mais est dérivé par Motowori de
, c’est-à-dire « mes petits-enfants ». ↩︎
207:86 À Yamato. Le nom est d’origine incertaine. ↩︎
212:1 p. 213 Dans Yamato. Shiki signifie probablement « château de pierre » (ishi-ki). Midzugaki signifie « jeune haie fraîche », désignation honorifique de la haie autour de la demeure de l’empereur, qui est devenue un nom propre. ↩︎
212:2 Selon l’exégèse de Motowori, ce nom est un exemple assez remarquable d’usage verbal, ayu-me (« yeux de truite ») ne faisant pas du tout partie du nom à proprement parler, mais seulement un mot-oreiller pour ce qui suit, à savoir, Me-kakushi-hime, c’est-à-dire « Princesse aux Beaux Yeux ». Tohotsu est le nom d’un lieu dans la province de Ki, signifiant « port lointain ». ↩︎
212:3 Arakaha est le nom d’un lieu en Ki, et signifie « rivière agitée (c’est-à-dire impétueuse et dangereuse) ». Les syllabes to-be ont une signification incertaine. ↩︎
212:5 Toyo signifie « luxuriant » et biko (hiko) « prince ». Les autres éléments du composé sont obscurs. ↩︎
212:6 p. 214 Bime (hime) signifie « princesse », et suki est identifié par Motowori avec Shiki, le nom de la résidence du monarque dont cette princesse était la fille. ↩︎
212:7 Oho-ama-hime. Ama est le nom d’un district de Wohari et signifie probablement « pêcheur ». ↩︎
212:9 La signification de ce nom et des deux suivants est incertaine. ↩︎
213:10 Towochi est le nom d’un district de Yamato. ↩︎
213:11 Mimatsu-hime. Signification incertaine. ↩︎
213:12 Signification incertaine. ↩︎
213:13 Les syllabes ma et waka, littéralement « vrai et jeune » ou « vraiment jeune », sont honorifiques. Iza a une signification douteuse. ↩︎
213:14 Kuni-kata-hime. Kuni signifie « pays », et kata signifie ici probablement « dur » ou « ferme ». ↩︎
213:15 Ohiji-tsuku-yamato-hime. Ohiji signifie probablement « mille », et Yamato est le nom d’une province. Tsuku est obscur. ↩︎
213:16 Iga-hime. Iga est le nom d’un district et d’une province (voir Sect. LVI, Note 9). ↩︎
213:18 Kami-tsu-ke-nu [no kimi]. Le caractère (Ducs) est fourni par Motowori. Il s’agit de l’ancienne forme du nom aujourd’hui prononcée Kōdzuke (conf. Shimo-tsu-ke-nu corrompu en Shimotsuke). L’auteur de l’« Enquête sur la signification des noms de toutes les provinces » attire l’attention sur le fait curieux que, tandis que la syllabe finale nu du mot original est supprimée à l’oral, c’est le ke qui l’est à l’écrit – la forme originale du nom, telle qu’écrite, étant
, alors que désormais seuls les deux premiers de ces trois caractères sont utilisés. Sa signification est supposée être « lande végétale supérieure », ke (
) étant considéré comme le terme général archaïque pour les arbres et les herbes, identique à ke qui signifie « poils », la végétation ayant frappé les premiers locuteurs de la langue comme étant semblable aux poils sur le corps des hommes et des bêtes. ↩︎
213:19 Shimo-tsu-ke-nu no kimi. Shimo signifie « inférieur ». Pour le reste du nom, voir la note précédente. Les deux noms sont ceux de provinces de l’est du Japon. ↩︎
213:20 Ou plus littéralement, « adoré et célébré les fêtes à », etc. ↩︎
213:21 Viz., de la Déesse-Soleil (Ama-terasu). ↩︎
213:22 Noto no omi. Noto, autrefois partie de la province d’Echizen, p. 215 est le nom de la péninsule qui s’avance dans la mer du Japon, sur la côte ouest de l’île principale. L’étymologie du nom est obscure. ↩︎
213:23 Le sens de cette phrase imparfaitement formée est : À l’occasion de « l’enterrement du prince suivant, Son Auguste Yamato-hiko, la coutume de placer une rangée de serviteurs du prince défunt autour de sa tombe et de les enterrer vivants fut introduite pour la première fois. » Pour plus d’informations sur cette coutume, voir Sect. LXXV, Note 4. Selon les « Chroniques », l’« ancienne » coutume d’enterrer les serviteurs jusqu’au cou à proximité de la tombe de leur seigneur fut abolie après cet enterrement même. Motowori tente de concilier les deux affirmations en supposant que la coutume était en réalité ancienne, mais qu’à l’occasion mentionnée ici, le nombre des victimes avait augmenté à un degré sans précédent, de sorte que, comme le rapportent les « Chroniques », leurs cris, tandis que leurs têtes étaient déchiquetées par les corbeaux et les chiens, emplissaient l’empereur de commisération. ↩︎
215:1 p. 216 Littéralement, « sur le point d’être épuisé ». ↩︎
215:2 Cette expression, qui revient au début de la Sect. CXLV, est difficile à expliquer. Voir les remarques de Motowori dans le Vol. XXIII, pp. 24-25, et de nouveau dans le Vol. XL, pp. 14-15, de son Commentaire. ↩︎
215:3 Voir Sect. LI, Note 12. ↩︎
215:4 Littéralement, « mon auguste cœur ». ↩︎
215:5 Ou : « Fais en sorte que mon sanctuaire soit vénéré. » Les paroles du dieu signifient qu’il souhaite qu’Oho-tata-ne-ko soit nommé prêtre en chef de son temple. Pour l’origine de ce dernier, voir la seconde moitié de la section XXXII (pp. 103-105). ↩︎
215:6 Oho signifie « grand », Tata (ou Tada) est considéré comme le nom d’un lieu, et les syllabes ne et ko sont considérées comme honorifiques. Le nom entier (p. 217) peut donc, avec une certaine hésitation, être interprété comme signifiant « le Seigneur du Grand Sanctuaire de Tata ». ↩︎
215:7 C’est-à-dire, « la colère divine ne s’allumera plus. » ↩︎
215:8 Des courriers montés sont presque certainement prévus. ↩︎
215:9 Littéralement, « distribué sur les quatre côtés », « quatre côtés » étant une expression chinoise pour chaque direction. ↩︎
215:10 Ce nom peut signifier soit « trois landes » soit « auguste lande ». Le village de Minu ne doit pas être confondu avec la province de Minu. ↩︎
215:11 Les caractères utilisés sont ceux qui désignent correctement la présentation d’un tribut au monarque. ↩︎
215:12 Ici et ci-dessous, le premier pronom personnel est représenté par le caractère respectueux , « serviteur ». ↩︎
216:13 Voir Sect. VIII, Note 7, pour l’explication de ce nom. Mais la divinité visée ici est probablement une autre. ↩︎
216:14 L’étymologie et la signification de « ce nom » sont également obscures. ↩︎
216:15 Motowori interprète kushi dans le sens de « merveilleux » et Migata comme le nom d’un lieu, qui apparaît également sous la forme de Higata. ↩︎
216:16 C’est-à-dire, « bijou de vie-bonne-princesse ». ↩︎
216:17 La signification précise de ce nom est obscure. Motowori suppose que Suwe est le nom d’un lieu ; tsu est la particule génitive, et mimi l’honorifique d’importance douteuse, dont la signification a été discutée dans la note 18 de la section XIII. ↩︎
216:18 La signification exacte des caractères utilisés pour écrire le mot kayo-nushi (kamushi moderne), rendu ici par « grand prêtre », est « propriétaire de la Déité ». Bien que couramment utilisé dans le langage moderne pour désigner tout prêtre shintoïste, il ne signifie proprement que le prêtre en chef en charge d’un temple, d’où son nom à consonance étrange. ↩︎
216:19 Ou, « conduire le culte au sanctuaire de ». ↩︎
216:20 À savoir, le Déité Maître-du-Grand-Pays. Pour l’étymologie traditionnelle de Miwa, voir la légende de la Sect. LXV. ↩︎
216:21 Voir Sect. XXVIII, Notes 4 et 5. ↩︎
216:22 Ou, Ikaga-shiko-wo. La signification probable de ce nom, proposée par Motowori, est (en négligeant la lettre initiale i qui est un juron) « le mâle laid et resplendissant ». ↩︎
216:23 Voir Sect. I, Note 11 . ↩︎
216:24 Sumisaka signifie probablement « colline de charbon ». Uda, déjà mentionné dans la Sect. XLVI, se trouve à Yamato. Ce passage peut tout aussi bien être traduit ainsi : « présenter un bouclier et une lance de couleur rouge à la divinité de Sumisaka », et de même dans la clause suivante. Le sens est presque identique. ↩︎
216:26 Dans l’ancienne édition imprimée, le texte de ce passage diffère légèrement de celui adopté par Motowori ; mais le sens est exactement le même. ↩︎
216:27 Une importante lacune apparaît ici dans l’« ancienne édition imprimée », où les quatre cent quarante-cinq caractères chinois formant l’original de la partie suivante de la traduction, depuis les mots « En conséquence de cela » jusqu’aux mots précédant immédiatement « Il me semble que c’est un signe » à la page 180, manquent. Ni l’éditeur de 1687 ni Motowori ne précisent comment ils ont comblé cette lacune ; mais on peut présumer, d’après leur silence, que les autorités manuscrites leur ont fourni ce qui avait été omis par inadvertance dans le texte imprimé. ↩︎
218:1 Il n’est pas facile de traduire littéralement en français la force des caractères , contenant cette description de la beauté de la jeune fille, et de
, dans la clause suivante. Mais on espère qu’au moins la traduction les représente mieux que les lectures de Motowori kaho yokariki et kaho sugata. ↩︎
218:2 Ce mot, qui n’est pas présent dans la plupart des textes, a été fourni par l’éditeur de 1687 et est adopté par Motowori pour des raisons apparemment satisfaisantes. ↩︎
218:3 Littéralement, « dans le temps ». ↩︎
218:4 Le texte place le mot « fille » ici, au lieu de la clause précédente. Par souci de clarté, le traducteur a pris la liberté de le transposer. ↩︎
219:5 Les caractères chinois sont i, c’est-à-dire, « nom de famille et nom personnel (ce que nous devrions appeler « chrétien ») ». Mais la simple lecture de Motowori « nom », s’approuve comme étant probablement proche de l’intention de l’auteur. ↩︎
219:6 Motowori se livre à plusieurs conjectures quant à la signification de la p. 220 de ce détail, qui, on le verra, n’est pas mentionné dans la suite, et est donc inutile. ↩︎