© 2023 Halbert Katzen, JD
Par Halbert Katzen J.D.
Avant d’aborder l’étymologie du Livre d’Urantia, un exemple de phraséologie du Livre d’Urantia mérite l’attention. L’expression monde de la croix apparaît quatre fois. Notez qu’entre les guillemets et les problèmes de majuscules, elle n’est jamais utilisée deux fois de la même manière. Pourquoi ?
Lorsque les Fils d’effusion, Créateurs ou Magistraux, franchissent les portes de la mort, ils réapparaissent le troisième jour. Mais vous ne devriez pas entretenir l’idée qu’ils subissent toujours la fin tragique rencontrée par le Fils Créateur qui a séjourné sur votre monde il y a dix-neuf-cents ans. L’expérience extraordinaire et anormalement cruelle par laquelle a passé Jésus de Nazareth a valu à Urantia d’être appelée localement « le monde de la croix ». Il n’est pas nécessaire qu’un traitement aussi inhumain soit infligé à un Fils de Dieu, et la grande majorité des planètes leur a offert une réception plus respectueuse leur permettant de finir leur carrière mortelle, de terminer l’âge, de juger les survivants endormis et d’inaugurer une nouvelle dispensation sans leur infliger une mort violente. Il faut qu’un Fils d’effusion rencontre la mort, qu’il passe par toute l’expérience effective des mortels des royaumes, mais le plan divin n’exige nullement que cette mort soit violente ou anormale. (LU 20:6.6)
C’est à cette époque qu’Urantia fut rattachée au système de Satania pour son administration planétaire et inscrite sur le registre de vie de la constellation de Norlatiadek. Alors commença la reconnaissance administrative de la petite sphère insignifiante destinée à devenir la planète sur laquelle Micaël se lancerait ultérieurement dans sa prodigieuse entreprise d’effusion de mortel et participerait aux expériences qui, depuis lors, ont fait connaitre localement Urantia sous le nom de « monde de la croix ». (LU 57:8.6)
Urantia est le sanctuaire sentimental de tout Nébadon ; la plus importante de dix-millions de planètes habitées, la demeure humaine de Christ Micaël, souverain de tout Nébadon, ministre Melchizédek auprès des royaumes, sauveur systémique, rédempteur adamique, compagnon séraphique, associé des esprits ascendants, progresseur morontiel, Fils de l’Homme dans la similitude de la chair mortelle et Prince Planétaire d’Urantia. Et vos Écritures disent la vérité en affirmant que ce même Jésus a promis de revenir, un jour, sur le monde de son effusion terminale, le Monde de la Croix. (LU 119:8.8)
Bien que Jésus n’ait pas enduré cette mort sur la croix pour expier la culpabilité raciale de l’homme mortel, ni pour procurer une sorte d’accès effectif auprès d’un Dieu par ailleurs offensé et implacable ; même si le Fils de l’Homme ne s’est pas offert en sacrifice pour apaiser le courroux de Dieu et ouvrir aux pécheurs la voie du salut ; et en dépit du fait que toutes ces idées d’expiation et de propitiation soient erronées, il ne faudrait néanmoins pas négliger certaines significations attachées à la mort de Jésus sur la croix. Il est de fait que, sur d’autres planètes habitées voisines, on appelle Urantia le « Monde de la Croix ». (LU 188:4.1)
Je fais référence à cette planète comme étant connue sous le nom de « Monde de la Croix » dans mon étymologie d’Urantia et à propos de nombreux autres mots inventés. Si une telle référence n’est pas incluse, cela ne doit pas être considéré comme une omission intentionnelle. D’une manière générale, nous pouvons toujours considérer cela comme une expression étymologique, compte tenu du contexte.
LU 37:9.12 Ces citoyens de premier ordre (a) sont complètement dévoués à (abandonnent) à la perfection magistrale (don) de leur rôle (ers).
_a : premier ordre ; première lettre de l’alphabet romain, basée sur l’alpha grec (voir alpha).
abandon : du vieux français abandonner « rendre, libérer ; donner librement, permettre », aussi réflexif, « se consacrer » (XIIe siècle). Le mot en vieux français a été formé à partir de l’adverbe à bandon « à volonté, à discrétion », de à « à, à » (du latin ad ; voir ad-) + bandon « pouvoir, juridiction », du latin bannum, « proclamation », qui vient d’un mot franc ou autre mot germanique, du proto-germanique *bannan- « proclamer, convoquer, proscrire » (toutes les choses faites par proclamation). Étymologiquement, le mot porte le sens de « mettre (quelque chose) sous le contrôle de quelqu’un d’autre », et la première apparition du mot en anglais est comme adverbe (milieu du XIIIe siècle) avec le sens de « sous (son) contrôle », d’où aussi « sans restriction ». En vieux français, l’adjectif au participe passé abandoné en est venu à signifier « zélé, désireux, sans réserve ».
don: (nom) : années 1520, de l’esp. ou du port. don, titre de respect, du latin dominus « seigneur, maître ». Le sens universitaire est vers 1660, à l’origine argot étudiant ; le sens souterrain est 1952, de l’italien don, de L.L. domnus, de L. dominus (voir domaine). La forme fém. est Dona (espagnol/portugais), Donna (italien).
t: Mettre les points sur les i pour être exact est attesté depuis 1849. L’expression to a T pour être exact, avec la plus grande exactitude est enregistrée depuis les années 1690, bien que la signification exacte reste incertaine malgré de nombreuses spéculations.
_-er : terminaison de nom d’agent anglais, correspondant au latin -or. Dans les mots indigènes, elle représente le vieil anglais -ere (le vieux northumbrien aussi -are) « homme qui a affaire à », du proto-germanique -ari (apparentés : allemand -er, suédois -are, danois -ere), du proto-germanique -arjoz. Certains pensent que cette racine est identique au latin -arius, et peut-être un emprunt à celui-ci (voir -ary).
LU 50:7.2 Tout est question de lutte mentale pour la victoire (agon) au niveau des maîtres (don)(t) pour ces « gamers » (ters).
agonie : fin du XIVe siècle, « souffrance mentale » (en particulier celle du Christ au jardin de Gethsémani), de l’ancien français agonie, agoine « angoisse, terreur, agonie de la mort » (XIVe siècle), et directement du latin agonia, du grec agonia « une lutte (mentale) pour la victoire », à l’origine « une lutte pour la victoire dans les jeux », de agon « assemblée pour une compétition », de agein « diriger » (voir acte (n.)). Sens de « souffrance physique extrême » enregistré pour la première fois vers 1600.
don: (nom) : années 1520, de l’esp. ou du port. don, titre de respect, du latin dominus « seigneur, maître ». Le sens universitaire est vers 1660, à l’origine argot étudiant ; le sens souterrain est 1952, de l’italien don, de L.L. domnus, de L. dominus (voir domaine). La forme fém. est Dona (espagnol/portugais), Donna (italien).
La lettre « t » symbolise la croix.
LU 188:4.1 C’est un fait qu’Urantia est devenue connue parmi les autres planètes habitées voisines sous le nom de « Monde de la Croix ».
_-er : terminaison de nom d’agent anglais, correspondant au latin -or. Dans les mots indigènes, elle représente le vieil anglais -ere (le vieux northumbrien aussi -are) « homme qui a affaire à », du proto-germanique -ari (apparentés : allemand -er, suédois -are, danois -ere), du proto-germanique -arjoz. Certains pensent que cette racine est identique au latin -arius, et peut-être un emprunt à celui-ci (voir -ary).
LU 32:2.12 L’un des sept univers locaux les plus proches.
L’endroit où (A) ils nourrissent la croissance (Al) avec une attitude proactive (vor) (ing).
Al-: Racine proto-indo-européenne signifiant « faire pousser, nourrir ».
_vor : allemand, « devant, devant » (voir fore). vorlage (n.) « skier », 1939, de l’allemand vorlage, de vorlegen « se pencher en avant », de vor (voir fore) + legen, du vieux haut allemand laga « action de s’allonger », du proto-germanique lagam, de la racine PIE legh- « s’allonger, se coucher ». fore (adv., prép.)
Vieil anglais fore (prép.) « avant, devant, en présence de ; à cause de, pour le bien de ; plus tôt dans le temps ; au lieu de ; « comme adverbe, « avant, auparavant, autrefois, une fois », du proto-germanique fura « avant » (source également du vieux saxon fora, du vieux frison fara, du vieux haut allemand fora, de l’allemand vor, du danois pour, du vieux norrois fyrr, du gothique faiura « pour »), du PIE prae-, forme étendue de la racine per- (1) « en avant », d’où « devant, avant ».
_-ing : [vieil anglais -ung, -ing] (1) action, processus (prédation, gué) ; (2) produit de, ou associé à une action ou un processus (hongre).
Amadon a travaillé loyalement avec Van pendant et après la rébellion de Lucifer.
Celui qui (A) travaille avec (Ama) le leader (don).
Le mélange génétique des Adamites et des Nodites.
Mêlée à l’élévation Adamite planifiée, l’humanité a une élévation génétique supplémentaire (Et), (ite).
and (conj.) : vieil anglais and, ond, signifiant à l’origine « ensuite, ensuite ». L’utilisation introductive (impliquant une connexion à quelque chose de précédent) était en vieil anglais.
_-ite : élément formant un mot indiquant l’origine ou la dérivation de, du français -ite et directement du latin -ita, du grec -ites (fém. -itis), élément formant un mot constituant des adjectifs et des noms signifiant « relié à ou appartenant à ». Particulièrement utilisé à l’époque classique pour former des désignations ethniques et locales (par exemple dans les traductions de la Septante des noms hébreux en -i) et pour les noms de pierres précieuses et de minéraux.
Étant le premier homme, Andon était également le premier leader humain masculin.
Celui qui (A) est le premier et l’original (un) leader humain (don).
an: utilisé comme préfixe signifiant « seul, solitaire » (comme dans anboren « fils unique », anhorn « licorne », anspræce « parler comme un seul »). Voir un pour la divergence de ce mot par rapport à celui-ci. Voir aussi a, dont il s’agit de la forme la plus ancienne et la plus complète.
_don (n.) : titre de respect, années 1520, de l’espagnol ou du portugais Don, un titre de respect préfixé au prénom d’un homme, du latin dominus « seigneur, maître, propriétaire » (de domus « maison », de la racine PIE *dem- « maison, ménage »).
Le premier et original (An), leader (don), dans le développement génétique (ite).
an: utilisé comme préfixe signifiant « seul, solitaire » (comme dans anboren « fils unique », anhorn « licorne », anspræce « parler comme un seul »). Voir un pour la divergence de ce mot par rapport à celui-ci. Voir aussi a, dont il s’agit de la forme la plus ancienne et la plus complète.
_don (n.) : titre de respect, années 1520, de l’espagnol ou du portugais Don, un titre de respect préfixé au prénom d’un homme, du latin dominus « seigneur, maître, propriétaire » (de domus « maison », de la racine PIE *dem- « maison, ménage »).
_-ite : élément formant un mot indiquant l’origine ou la dérivation de, du français –ite et directement du latin –ita, du grec –ites (fém. –itis), élément formant un mot constituant des adjectifs et des noms signifiant « lié à ou appartenant à ». Surtout utilisé à l’époque classique pour former des désignations ethniques et locales (par exemple dans les traductions de la Septante des noms hébreux en –i) et pour les noms de pierres précieuses et de minéraux.
Andovontia est le nom du superviseur tertiaire des circuits de l’univers en poste dans notre univers local. Il ne s’occupe que des circuits spirituels et morontiels, pas de ceux qui sont sous la juridiction des directeurs de pouvoir. C’est lui qui a isolé Urantia au moment de la trahison de Caligastia pendant les périodes d’épreuves de la rébellion de Lucifer. En adressant ses salutations aux mortels d’Urantia, il exprime son plaisir dans l’anticipation de votre restauration éventuelle dans les circuits de l’univers sous sa supervision.
L’individu (An) qui agit (do) pour l’innocent (dov) et avec autorité d’un niveau supérieur, en apportant miséricorde et justice au « monde de la croix » (T) avec une touche personnalisée (ia).
an [a]: utilisé comme préfixe signifiant « seul, solitaire » (comme dans anboren « fils unique », anhorn « licorne », anspræce « parler comme un seul »). Voir un pour la divergence de ce mot par rapport à celui-ci. Voir aussi a, dont il s’agit de la forme la plus ancienne et la plus complète.
do (v.) : « exécuter, réaliser, accomplir, faire passer, amener à accomplissement par une procédure quelconque », etc., etc., moyen anglais do, première personne du singulier du vieil anglais don « faire, agir, exécuter, causer ; mettre, placer », du germanique occidental doanan (source également du vieux saxon duan, du vieux frison dwa, du néerlandais doen, du vieux haut allemand tuon, de l’allemand tun), de la racine PIE dhe- « placer, mettre, placer ».
_do (n.) : _dans les années 1590, « commotion, trouble » (un sens maintenant obsolète), de do (v.). À partir des années 1630 comme « acte de faire » ; en 1824 comme « quelque chose fait d’une manière définie ou formelle » ; en 1835 comme « une escroquerie, une escroquerie ». Expression do’s and don’s « choses qui devraient et ne devraient pas être faites ».
_dovish (adj.) : _des années 1530, « comme une colombe, innocente », de dove + –ish. Le sens politique, « tendant vers ou favorisant la paix » (opposé à hawkish) date de 1966.
_on (prép., adv.) : _ « dans une position au-dessus et en contact avec ; dans une position telle qu’il soit soutenu par ; » notant également le but vers lequel une action est ou a été dirigée ; « à propos de, concernant, concernant ; en mesure de couvrir ; » comme adverbe, « dans ou dans une position en contact avec et soutenu par le sommet ou la partie supérieure de quelque chose ; dans ou dans un endroit ; en place pour une utilisation ou une action ; dans un mouvement ou une action ; en opération, » vieil anglais on, variante non accentuée de an « dans, sur, dans, » du proto-germanique *ana « sur » (source aussi du néerlandais aan, de l’allemand an, du gothique ana « sur, sur »), de la racine PIE *an- (1) « sur » (source aussi de l’avestan ana « sur », du grec ana « sur, sur », du latin an-, du vieux slavon na, du lituanien nuo « en bas de »).
La lettre « T » symbolise la croix.
LU 188:4.1 C’est un fait qu’Urantia est devenue connue parmi les autres planètes habitées voisines sous le nom de « Monde de la Croix ».
_-ia : élément de formation de mots dans les noms de pays, de maladies et de fleurs, du latin et du grec. -ia, terminaison nominale, en grec particulièrement utilisée pour former des noms abstraits (typiquement de genre féminin).
LU 41:2.1 Une constellation voisine.
Tout illuminés (As), c’est comme ça qu’ils sont (sunt) à cet endroit (ia).
as- également es-, racine proto-indo-européenne signifiant « brûler, briller ». La source/preuve hypothétique de son existence est fournie par : le sanskrit asah « cendres, poussière » ; āra « autel, foyer ».
sunt : latin. Présent actif de l’indicatif, troisième personne du pluriel du verbe « être ». En termes plus simples, « sunt » se traduit par « ils sont ». Puisqu’il est au pluriel, le sujet de votre phrase doit également être au pluriel.
-ia: élément de formation de mots dans les noms de pays, de maladies et de fleurs, du latin et du grec. -ia, terminaison nominale, en grec particulièrement utilisée pour former des noms abstraits (typiquement de genre féminin).
LU 32:2.12 L’un des sept univers locaux les plus proches. Peut-être s’agit-il du premier univers local créé dans ce secteur mineur ou majeur ?
Un lieu qui a commencé (A) ce précieux processus (val) de création de la vie (sur).
A : premier ordre ; première lettre de l’alphabet romain, basé sur l’alpha grec (voir alpha).
val-: de valeur comme dans valeur et valeur.
-on: élément génétique de base.
LU 20:4.5 Celui qui est une version archétypale (A) et autorisée (A.V.) de l’expression divine (on) (al).
A : premier ordre ; première lettre de l’alphabet romain, basé sur l’alpha grec (voir alpha).
A.V. : abréviation de la version autorisée (de la Bible anglaise, 1611) attestée à partir de 1868 ; voir autoriser.
on (prép., adv.) : « dans une position au-dessus et en contact avec ; dans une position telle qu’elle soit soutenue par ; » notant également le but vers lequel une action est ou a été dirigée ; « à propos de, concernant, en vue de ; en mesure de couvrir ; » comme adverbe, « dans ou dans une position en contact avec et soutenue par le sommet ou la partie supérieure de quelque chose ; dans ou dans un endroit ; en place pour une utilisation ou une action ; dans un mouvement ou une action ; en opération. »
-al : suffixe formant des noms d’action à partir de verbes, principalement du latin et du français, signifiant « acte de ______ing » (comme la survie, l’orientation).
La deuxième phase (B), de l’initiale (a), leaders (don), dans le développement génétique (ite).
b : deuxième lettre de l’alphabet latin, correspondant au grec bêta, au phénicien beth, littéralement « maison ». Indique souvent « deuxième dans l’ordre ».
an [a]: utilisé comme préfixe signifiant « seul, solitaire » (comme dans anboren « fils unique », anhorn « licorne », anspræce « parlant comme un seul »). Voir one pour la divergence de ce mot par rapport à celui-ci. Voir aussi a, dont il s’agit de la forme la plus ancienne et la plus complète.
don (n.) : titre de respect, années 1520, de l’espagnol ou du portugais Don, un titre de respect préfixé au prénom d’un homme, du latin dominus « seigneur, maître, propriétaire » (de domus « maison », de la racine PIE dem– « maison, ménage »).
-ite : élément formant un mot indiquant l’origine ou la dérivation de, du français –ite et directement du latin –ita, du grec -ites (fém. –itis), élément formant un mot constituant des adjectifs et des noms signifiant « relié à ou appartenant à ». Utilisé notamment à l’époque classique pour former des désignations ethniques et locales (par exemple dans les traductions de la Septante des noms hébreux en –i) et pour les noms de pierres précieuses et de minéraux.
Celui dont l’obscurité (calig) le transforme entièrement (as) en une non-personne (-tia, généralement utilisé pour les noms impersonnels, au lieu de –ia, qui serait généralement utilisé pour un nom personnel).
Caligula : surnom du troisième empereur romain (12-41), fou, extravagant et légendairement cruel, né Gaius César. Le surnom est latin, littéralement « petite botte », donné lorsqu’il a rejoint son père lors de campagnes militaires alors qu’il était encore un bambin, en tenue militaire complète de taille enfant ; c’est un diminutif de caliga « lourde chaussure militaire », dont l’origine est inconnue.
caliginous (adj.) : « sombre, obscur, obscur », années 1540, du latin caliginosus « brumeux », de caliginem (nominatif caligo) « brume, obscurité, brouillard, tristesse ». En relation : Calignously ; caliginosity.
as (adv., conj., pron.) : vers 1200, forme usée du vieil anglais alswa « tout à fait ainsi, entièrement ainsi », littéralement « tout ainsi » (voir aussi), pleinement établie vers 1400. Équivalent à so ; toute distinction en usage est purement idiomatique. Apparenté à l’allemand als « comme, que », du moyen haut-allemand also. L’expression as well « tout autant » est attestée à partir de la fin du XVe s. ; l’expression peut aussi impliquer « aussi bien que non », « aussi bien que n’importe quoi d’autre ». L’expression as if, dans la métaphysique kantienne (traduisant l’allemand als ob), introduisant une supposition à ne pas prendre au pied de la lettre, date de 1892 ; comme interjection d’incrédulité (as if ! ; c’est-à-dire « comme si cela pouvait vraiment arriver ») est attestée à partir de 1995. Elle reproduit le latin quasi. L’expression as it were « comme si c’était ainsi » est attestée à la fin du 14e siècle.
Le disciple qui vient après celui (« D » après « C ») dont l’obscurité le transforme entièrement en une non-personne. Voir Caligastia.
Edentia est le siège de notre constellation d’univers local, Norlatiadek.
C’est le lieu édénique (eden) originel et archétypique (E).
Le nom de notre secteur mineur.
Étymologie par Chris Halvorson : « -a = suffixe du nom L. (première déclinaison, nominatif) = U.B., suffixe du nom général, utilisé pour indiquer les significations spécifiques supplémentaires du nom inventé (indiquées entre parenthèses ci-dessous) » « ens = être abstrait, existence au sens le plus général » « le [niveau de] l’être (Le niveau du secteur mineur est l’endroit où les mortels ascendants apprennent le véritable fondement de « l’être », comment la réalité est fondamentalement fondée sur l’univers physique des univers.) »
LU 32:2.12 L’un des sept univers locaux les plus proches.
Là où être au service (Fa) des serviteurs de Dieu (nov) est ce qui se passe (ing).
fa : quatrième note de l’échelle guidonienne. Utilisée à partir du XIIIe siècle en ancien français. Elle représente la première syllabe du latin famulus. famulus (nom) ; assistant ou serviteur, en particulier celui qui travaille pour un magicien ou un érudit.
Novembre : considérez Toussaint (n.) Français, littéralement « fête de la Toussaint » (1er novembre), de tous, pluriel de tout « tous » + saint « saint ».
-ing : [vieil anglais -ung, -ing] (1) action, processus (prédation, gué) ; (2) produit de, ou associé à une action ou un processus (hongre).
Elle est la source (F) originale (police) exprimée de manière archétypale (a).
6. Le directeur des dons.
Celui qui (F) harmonise puissamment les dons (Fort) avec les périodes de temps intermédiaires (ant).
fort (n.) : milieu du XVe siècle, « place forte, bastion », du vieux français fort « fort, forteresse ; homme fort », utilisation nominale d’un adjectif signifiant « fort, robuste, solide ; dur, sévère, difficile ; difficile à comprendre ; épouvantable, terrible ; fortifié » (Xe siècle), du latin fortis « fort, puissant ; ferme, constant ; courageux, fougueux », du vieux latin forctus, dont l’étymologie est inconnue. Provient peut-être de la racine PIE *bhergh- (2) « haut, élevé », avec des dérivés se référant aux collines et aux forts de colline, ou peut-être de *dher- « tenir fermement, soutenir ». Utilisation figurative de tenir le fort attestée dans les années 1590.
forte (adj.) : instruction musicale, « fort, fort », de l’italien forte, littéralement « fort », du latin fortis « fort »
fortitude (n.) : fin du 14e siècle, « force morale (en tant que vertu cardinale) ; courage », du latin fortitudo « force, vigueur, fermeté, virilité », de fortis « fort, brave » (voir fort). À partir du début du 15e siècle, « force physique ».
-ant : suffixe d’agent ou instrumental, de l’ancien français et du français -ant, du latin -antem, accusatif de -ans, suffixe du participe présent de nombreux verbes latins.
LU 41:2.1 Une constellation voisine. La façon dont un petit gland ne tombe pas loin de l’arbre et grandit ensuite pour devenir un puissant chêne (Glan) est ce dont ils chantent (ton) ici (ia).
glan : du proto-italique glānts, du proto-indo-européen gelh- (« gland »).
tone (n.) : milieu du XIVe siècle, « son ou note musicale », du vieux français ton « son musical, parole, mots » (XIIIe siècle) et directement du latin tonus « un son, une tonalité, un accent », littéralement « étirement » (en latin médiéval, terme propre à la musique), du grec tonos « hauteur de voix, élévation de la voix, accent, tonalité en musique », à l’origine « une corde qui s’étire, se resserre, se tend », apparenté à teinein « étirer », de la racine PIE ten- « étirer ». Le sens de « manière de parler » date de 1600 environ. La première référence à la fermeté du corps date des années 1660. Comme « état de manières dominant » de 1735 ; comme « style de parler ou d’écrire qui révèle l’attitude » de 1765.
-ia : élément de formation de mots dans les noms de pays, de maladies et de fleurs, du latin et du grec. -ia, terminaison nominale, en grec particulièrement utilisée pour former des noms abstraits (typiquement de genre féminin).
Le nom de ce pèlerin découvreur de Havona est Grandfanda, et il venait de la planète 341 du système 84 dans la constellation 62 de l’univers local 1131 situé dans le superunivers numéro un. Son arrivée fut le signal de l’établissement du service de diffusion de l’univers des univers. Jusqu’à présent, seules les diffusions des superunivers et des univers locaux étaient en service, mais l’annonce de l’arrivée de Grandfanda aux portails de Havona signala l’inauguration des « rapports spatiaux de gloire », ainsi nommés parce que la diffusion initiale de l’univers rapportait l’arrivée à Havona du premier des êtres évolutionnaires à atteindre l’entrée dans le but de l’existence ascendante.
Étymologie par Chris Halvorson : « l’ancêtre (grand-) [de tous ceux qui] cherchent (fand) [le Père]. »
7. Le haut conseiller. (Également président du conseil exécutif de Jérusalem, l’organe consultatif suprême de Satania.)
Celui (H) qui soutient gracieusement (Hana) l’effort de maintenir en vie le design créatif (Hana) en coordonnant la navigation de son équipe (nav) avec une intensité robuste (ard).
Hannah : nom propre fém., mère biblique du prophète Samuel, de l’hébreu, littéralement « grâce », du radical de Hanan « il était gracieux, montrait de la faveur ».
ikebana (n.) : art japonais de la composition florale formelle, 1901, du japonais ikeru « garder en vie, arranger » + hana « fleur ». Notez que la première syllabe est utilisée dans l’étymologie de Sangik.
nave (n.1) : « partie principale d’une église », la partie médiane, dans le sens de la longueur, s’étendant généralement de l’entrée principale au chœur ou au chœur, années 1670, du latin médiéval navem (nominatif navis) « nef d’une église », une utilisation spéciale du latin navis « navire » (de la racine PIE *nau- « bateau »), sur une ressemblance imaginaire dans la forme.
nave (n.2) : « moyeu d’une roue de charrette », moyen anglais, du vieil anglais nafa, nafu, du proto-germanique *nabo- (source aussi du vieux saxon naba, du vieux norrois nöf, du moyen néerlandais nave, du néerlandais naaf, du vieux haut allemand naba, de l’allemand Nabe), peut-être lié à la racine de navel sur la notion de centralité (comparer le latin umbilicus « nombril », également « l’extrémité d’un rouleau de parchemin » ; le grec omphalos « nombril », également « la bosse d’un bouclier »).
-ard : du vieux français -ard, de l’allemand -hard, -hart « robuste », formant le second élément dans de nombreux noms de personnes, souvent utilisé comme intensificateur. L’élément allemand vient du proto-germanique *-hart/*-hard « audacieux, robuste », de la racine PIE *kar- « dur ».
Étymologie par Chris Halvorson :
« le « nouveau ciel » (Ap 21.1). » « -a = suffixe du nom L. (première déclinaison, nominatif) = U.B., suffixe du nom général, utilisé pour indiquer les significations spécifiques supplémentaires du nom inventé »
LU 32:2.12 L’un des sept univers locaux les plus proches.
Cette maison est jugée (Hen) de manière évidente (sel) conforme à sa conception originale, comme prévu (0n).
Henri : nom propre masc., du français Henri, du latin tardif Henricus, de l’allemand Heinrich, du vieux haut allemand Heimerich, littéralement « le chef de la maison », de heim « foyer » (voir home (n.)) + rihhi « dirigeant » (de la racine PIE reg– « se déplacer en ligne droite », avec des dérivés signifiant « diriger en ligne droite », donc « diriger, gouverner »). L’un des noms normands les plus populaires après la conquête. En relation : Henrician.
sel : se considérer comme soi (pron.) Vieil anglais self, seolf, sylf « sa propre personne, -soi ; propre, même, » du proto-germanique *selbaz (source aussi du vieux norrois sjalfr, du vieux frison self, du néerlandais zelf, du vieux haut allemand selb, de l’allemand selb, selbst, du gothique silba), du proto-germanique *selbaz « soi, » du PIE *sel-bho-, forme suffixée de la racine *s(w)e-, pronom de la troisième personne et réflexif (renvoyant au sujet d’une phrase), également utilisé dans les formes désignant le groupe social du locuteur, « (nous-)selves » (voir idiome).
« Essayer de se définir, c’est comme essayer de se mordre les dents. » – Alan Watts
-on: élément génétique de base.
LU 45:3.5 4. _Le gardien du système—_Holdant …
« Il a le monde entier entre ses mains. »
hold (n.) : vers 1100, « action de tenir » ; vers 1200, « saisir, empoigner », du vieil anglais geheald (anglien gehald) « garder, garder, surveiller, protéger, gardien », de hold (v.).
hold (v.) : moyen anglais holden, anciennement halden, du vieil anglais haldan (anglien), healdan (saxon occidental), « contenir ; saisir ; retenir (un liquide, etc.) ; observer, accomplir (une coutume, etc.) ; avoir comme sien ; avoir à l’esprit (des opinions, etc.) ; posséder, contrôler, gouverner.
-ant : suffixe d’agent ou instrumental, de l’ancien français et du français -ant, du latin -antem, accusatif de -ans, suffixe du participe présent de nombreux verbes latins.
LU 15:7.5 Jérusem, le siège de votre système local de Satania, a ses sept mondes de culture de transition, chacun d’eux étant entouré de sept satellites, parmi lesquels se trouvent les sept mondes des maisons de détention morontielle, la première résidence post-mortelle de l’homme. Comme le terme ciel a été utilisé sur Urantia, il a parfois signifié ces sept mondes des maisons, le premier monde des maisons étant appelé le premier ciel, et ainsi de suite jusqu’au septième.
Étymologie par Chris Halvorson : « la « nouvelle Jérusalem » (Ap:21.2).
Notre Système Souverain.
Celui qui (L) établit la loi (La) quand les choses vont mal (na) et continue à marteler le problème jusqu’à ce que les choses soient réglées (forge).
_law (n.) : vieil anglais lagu (pluriel laga, forme combinée lah-) « ordonnance, règle prescrite par l’autorité, règlement ; district régi par les mêmes lois » ; parfois aussi « droit, privilège légal », du vieux norrois lagu « loi », pluriel collectif de lag « couche, mesure, trait », littéralement « quelque chose de posé, ce qui est fixe ou établi » du proto-germanique lagam « poser, poser », de la racine PIE legh- « mentir, poser » (de la racine PIE legh– « se coucher, poser »). Identique à lay (n) comme « ce qui est établi ou établi ».
_nadir (n.) : fin du XIVe siècle, en astronomie, « point imaginaire de la sphère céleste verticalement opposé au zénith du soleil ; le pôle inférieur de l’horizon », du latin médiéval nadir, de l’arabe nazir « opposé à », dans nazir as-samt, littéralement « direction opposée », de nazir « opposé » + as-samt « route, chemin ». Le sens transféré de « point le plus bas » de quelque chose est enregistré en 1793.
Métaphoriquement parlant, le zénith se dirige vers le ciel et le nadir se dirige vers l’enfer.
forge (v) : 1769 (avec une utilisation apparemment isolée dans les années 1610), « faire un chemin, avancer », d’origine inconnue, peut-être une altération de force (v.), mais peut-être plutôt de forge (n.), via la notion de martelage constant sur quelque chose. À l’origine nautique, en référence aux navires.
Le dirigeant céleste terrestre (Lan) (on) est désigné comme chef-enseignant (an) en fonction de ses accomplissements méritoires (dek).
LU 35:9.1 Les Lanonandeks sont les dirigeants permanents des planètes et les souverains tournants des systèmes. Un tel Fils règne désormais sur Jérusalem, le siège de votre système local de mondes habités.
landed (adj.) : « possédé de terres », ancien anglais tardif gelandod.
on (prép., adv.) : « dans une position au-dessus et en contact avec ; dans une position telle qu’il soit soutenu par ; » notant également le but vers lequel une action est ou a été dirigée ; « à propos de, concernant, concernant ; en mesure de couvrir ; » comme adverbe, « dans ou dans une position en contact avec et soutenu par le sommet ou la partie supérieure de quelque chose ; dans ou dans un endroit ; en place pour une utilisation ou une action ; dans un mouvement ou une action ; en opération, » vieil anglais on, variante non accentuée de an « dans, sur, dans, » du proto-germanique *ana « sur » (source aussi du néerlandais aan, de l’allemand an, du gothique ana « sur, sur »), de la racine PIE *an- (1) « sur » (source aussi de l’avestan ana « sur », du grec ana « sur, sur », du latin an-, du vieux slavon na, du lituanien nuo « en bas de »).
an : article indéfini avant les mots commençant par des voyelles, 12c., du vieil anglais an (avec une voyelle longue) « un ; solitaire », également utilisé comme préfixe signifiant « célibataire, solitaire » (comme dans anboren « unique-engendré », anhorn « licorne », anspræce « parler comme un seul »).
Au-delà du parallèle associé à Melchizédek, considérez également :
dek– Racine proto-indo-européenne signifiant « prendre, accepter ».
C’est la source/preuve hypothétique de son existence qui est fournie par : le sanskrit daśasyati « montre de l’honneur, est gracieux », dacati « fait des offrandes, accorde » ; le grec dokein « apparaître, sembler, penser », dekhesthai « accepter » ; le latin decere « être convenable ou approprié », docere « enseigner », decus « grâce, ornement ».
Cette étymologie a sa propre page.
LU 17:2.3 Majeston est une vraie personne, le centre personnel et infaillible des phénomènes de réflectivité dans les sept superunivers du temps et de l’espace.
Celui (M) qui est le plus grand (Maj) de tous les conteurs (jest) résonne avec (ton) nos expériences passées (on).
majesté (n.) : vers 1300, mageste, « grandeur ou grandeur d’un rang ou d’un caractère élevé, hauteur imposante, majesté, qualités appropriées au règne », de l’ancien français majeste « grandeur, noblesse » (12e siècle), du latin maiestatem (nominatif maiestas) « grandeur, dignité, élévation, honneur, excellence », de la racine de maior (neutre maius), comparatif de magnus « grand, large, gros » (de taille), « abondant » (de quantité), « grand, considérable » (de valeur), « fort, puissant » (de force) ; des personnes, « aîné, âgé », également, au sens figuré, « grand, puissant, grandiose, important », de la forme suffixée de la racine PIE meg- « grand ».
Le premier usage anglais est en référence à Dieu ou au Christ ; comme titre d’adresse ou de dignité aux rois et aux reines (fin du 14e siècle), il est issu des langues romanes et est originaire de l’Empire romain.
meg– racine proto-indo-européenne signifiant « grand ». La source/preuve hypothétique de son existence est fournie par : l’arménien mets « grand » ; le sanskrit mahat- « grand, mazah- « grandeur » ; l’avestique mazant- « grand » ; le hittite mekkish « grand, grand » ; le grec megas « grand, grand » ; le latin magnus « grand, grand, beaucoup, abondant », major « plus grand », maximus « le plus grand » ; le moyen irlandais mag, maignech « grand, grand » ; le moyen gallois meith « long, grand ».
gest (n.) : « action célèbre, exploit », plus communément « récit de grandes actions, récit d’aventure », vers 1300, du vieux français geste, jeste « action, exploit, roman, histoire » (de personnages ou d’actions célèbres), du latin médiéval gesta « actions, exploits, faits, réalisations », utilisation nominale du pluriel neutre du latin gestus, participe passé de gerere « poursuivre, mener, exécuter », qui, selon de Vaan, est considéré comme issu de la même racine que agere « mettre en mouvement, faire avancer, faire, exécuter » (de la racine PIE ag- « pousser, tirer ou avancer, déplacer »). Maintenant seulement comme un archaïsme délibéré. Jest (n.) est le même mot, avec un sens délabré.
tone (n.) : milieu du XIVe siècle, « son ou note musicale », du vieux français ton « son musical, parole, mots » (XIIIe siècle) et directement du latin tonus « un son, une tonalité, un accent », littéralement « étirement » (en latin médiéval, terme propre à la musique), du grec tonos « hauteur de voix, élévation de la voix, accent, tonalité en musique », à l’origine « une corde qui s’étire, se resserre, se tend », apparenté à teinein « étirer », de la racine PIE ten- « étirer ». Le sens de « manière de parler » date de 1600 environ. La première référence à la fermeté du corps date des années 1660. Comme « état de manières dominant » de 1735 ; comme « style de parler ou d’écrire qui révèle l’attitude » de 1765.
on (prép., adv.) : « dans une position au-dessus et en contact avec ; dans une position telle qu’il soit soutenu par ; » notant également le but vers lequel une action est ou a été dirigée ; « à propos de, concernant, concernant ; en mesure de couvrir ; » comme adverbe, « dans ou dans une position en contact avec et soutenu par le sommet ou la partie supérieure de quelque chose ; dans ou dans un endroit ; en place pour une utilisation ou une action ; dans un mouvement ou une action ; en opération », vieil anglais on, variante non accentuée de an « dans, sur, dans », du proto-germanique ana « sur » (source aussi du néerlandais aan, de l’allemand an, du gothique ana « sur, sur »), de la racine PIE an- « sur » (source aussi de l’avestan ana « sur », du grec ana « sur, sur », du latin an-, du vieux slavon na, du lituanien nuo « en bas de »).
Malavatia Melchizadek n’apparaît qu’une seule fois dans Le Livre d’Urantia, en tant que « sponsor » du Fascicule 43 : Les Constellations.
LU 43:9.6 [Sponsorisé par Malavatia Melchizedek.]
Celui qui (M) agit comme messager dans la lignée révélatrice judéo-chrétienne d’Urantia (Mala) et qui, agissant comme devin, est un individu (ia) particulièrement poétique (vat).
Mala = Malachie : nom propre masculin, nom de l’A.T. du **dernier dans l’ordre** des douze prophètes, de l’hébreu Mal’akhi, lit. « mon messager », de mal’akh « messager », de la base sémitique l-‘-k (cf. arabe la’aka « il a envoyé »).
vat = Vates : années 1620, « poète ou barde », spécifiquement « poète celte divinement inspiré » (1728), du latin vates « devin, prophète, voyant », apparenté à l’O.Ir. faith « poète », au gallois gwawd « poème », à l’O.E. wod « fou, frénétique » (voir wood (adj.)). D’où vaticination « prédiction oraculaire » (vers 1600).
apaiser = adj. signifiant vrai ou réel et comme nom signifiant vérité ou réalité.
La lettre « T » symbolise la croix.
LU 188:4.1 C’est un fait qu’Urantia est devenue connue parmi les autres planètes habitées voisines sous le nom de « Monde de la Croix ».
-ia : élément de formation de mots dans les noms de pays, de maladies et de fleurs, du latin et du grec. -ia, terminaison nominale, en grec particulièrement utilisée pour former des noms abstraits (typiquement de genre féminin).
LU 47:4.6 … Arrêtez-vous pour réfléchir : Maisonnia numéro un est une sphère très matérielle, présentant les prémices du régime morontiel. Vous êtes encore un être humain proche et pas très éloigné des points de vue limités de la vie mortelle …
Où (m) les âmes courageuses (man) renaissent (son) dans le monde spirituel (ia).
man (n.) : vieil anglais homme, mann « être humain, personne (homme ou femme) ; homme courageux, héros »
son (n.) :_ vieux slavon synu, russe et polonais syn « fils »), un nom dérivé de la racine *seue- (1) « donner naissance » (source également du sanskrit sauti « donne naissance », vieil irlandais suth « naissance, progéniture »).
-ia : élément formant des mots dans les noms de pays, de maladies et de fleurs, du latin et du grec.
LU 45:3.3 Le premier assistant souverain, numéro 17 841 des Lanonandeks tertiaires.
Celui qui (M) se présente courageusement (Man) en remplacement (suro) quand les choses tournent mal (T) ici (ia).
mansurus : participe futur actif de maneō (« je reste, demeure »).
man (v.) : du moyen anglais mannen, de l’ancien anglais mannian « équiper (un fort, un navire, etc.) d’une compagnie d’hommes », de man (n.). Le sens de « prendre une position désignée sur un navire » est mentionné pour la première fois dans les années 1690. Le sens de « se comporter comme un homme, se préparer de manière virile, agir avec courage » est daté de 1400 environ. To man (something) out « jouer un rôle d’homme, se comporter avec courage et audace » est daté des années 1660.
subrogate (n.) : début du XVe siècle, du latin surrogatus, participe passé de surrogare/subrogare « mettre à la place d’un autre, substituer », de la forme assimilée de sub « à la place de, sous » (voir sub-) + rogare « demander, proposer », apparemment une utilisation figurative d’un verbe PIE signifiant littéralement « tendre (la main) », de la racine reg- « se déplacer en ligne droite ». Le sens de « femme enceinte de l’ovule fécondé d’une autre femme » est attesté depuis 1978 (depuis 1972 pour les animaux ; mère porteuse dans un sens psychologique est de 1971). Comme adjectif des années 1630.
La lettre « T » symbolise la croix.
LU 188:4.1 C’est un fait qu’Urantia est devenue connue parmi les autres planètes habitées voisines sous le nom de « Monde de la Croix ».
-ia : élément de formation de mots dans les noms de pays, de maladies et de fleurs, du latin et du grec. -ia, terminaison nominale, en grec particulièrement utilisée pour former des noms abstraits (typiquement de genre féminin).
LU 56:10.23 LU 119:8.9 Les articles des parties II et III ont été fournis sous la direction de Mantutia Melchizedek.
Un cinquième directeur de révélation d’époque nommé et présidant de distinction pour le Monde de la Croix.
man : « serviteur, vassal, homme adulte considéré comme sous le contrôle d’une autre personne », du proto-germanique *mann-, possible origine sanskrite.
mantic (adv.) : « relatif à ou relatif à la prophétie ou à la divination », 1836, du grec mantikos « prophétique, oraculaire, de ou pour un devin », de mantis « celui qui devine, un voyant, un prophète ; celui touché par la folie divine », de mainesthai « être inspiré », qui est lié à menos « passion, esprit », du PIE *mnyo-, forme suffixée de la racine *men- « penser », avec des dérivés se référant à des qualités et des états d’esprit ou de pensée.
utmost (adj.) : le double superlatif de ut « out », signifiant « être du plus grand ou du plus haut degré » date du début du 14e siècle.
utter (adj.) : « parler, dire », vers 1400, en partie du moyen néerlandais uteren ou du moyen bas allemand utern « exprimer, montrer, parler », de uter « extérieur ». En partie du verbe moyen anglais outen « révéler », du vieil anglais utan « éteindre ». À comparer à l’allemand äussern « prononcer, exprimer ».
La lettre « T » symbolise la croix.
LU 188:4.1 C’est un fait qu’Urantia est devenue connue parmi les autres planètes habitées voisines sous le nom de « Monde de la Croix ».
-ia : élément de formation de mots dans les noms de pays, de maladies et de fleurs, du latin et du grec. -ia, terminaison nominale, en grec particulièrement utilisée pour former des noms abstraits (typiquement de genre féminin).
Notre système solaire.
Le lieu où (M) ensemble homme (mon) et femme (ma) affrontent les défis (t) de l’existence (ia).
Pour le masculin et le féminin, my en français est respectivement mon et ma. Considérez que, contrairement à la philosophie anglaise de la gouvernance, qui part de la souveraineté de l’individu, la philosophie française de la gouvernance part de la souveraineté du dirigeant.
monseigneur (n.) : titre honorifique français donné aux princes, évêques et autres dignitaires de l’Église ou de la cour, équivalent à mon seigneur, vers 1600, du français monseigneur (XIIe siècle), de mon « mon » (du latin meum) + seigneur « seigneur », du latin seniorem, accusatif de senior « plus âgé » (de la racine PIE sen- « vieux »). messeigneurs au pluriel.
mamma (n.) : « mère », mot utilisé surtout par les enfants et les nourrissons, dans les années 1570, représentant la forme native de la duplication de ma- qui est presque universelle parmi les langues indo-européennes (grec mamme « mère, grand-mère », latin mamma, persan mama, russe et lituanien mama « mère », allemand Muhme « sœur de la mère », français maman, gallois mam « mère »).
La lettre « T » symbolise la croix.
LU 188:4.1 C’est un fait qu’Urantia est devenue connue parmi les autres planètes habitées voisines sous le nom de « Monde de la Croix ».
-ia : élément formant des mots dans les noms de pays, de maladies et de fleurs, du latin et du grec. -ia, terminaison nominale, en grec particulièrement utilisée pour former des noms abstraits (typiquement de genre féminin)
Alternativement, une étymologie de Chris Halvorson :
La mère (ma) lieu de (-tia) homme (mon).
En général, (m) la substance matérielle (mor) est comme (sur) cette chose (tia).
Le nom de notre Univers Local.
Ces nuages d’étoiles délimités (Neba) sont soumis à la règle paternelle (don).
Nebucadnetsar : roi de Babylone (604-562 av. J.-C.), de l’hébreu Nebhukhadhnetztzar, du babylonien Nabu-kudurri-usur, probablement littéralement « Nebo, protège la frontière ». Un texte moyen anglais de la fin du XIVe siècle le traduit par Nabugodenozar.
nebh : racine proto-indo-européenne signifiant « nuage ». Elle forme tout ou partie de : nébuleuse ; nébulaire ; nébulosité ; nébuleux ; Neptune ; Nibelungenlied ; Niflheim ; nimbus.
La source/preuve hypothétique de son existence est fournie par : le sanskrit nabhas- « vapeur, nuage, brumes, brouillard, ciel » ; le grec nephele, nephos « nuage » ; le latin nebula « brume, vapeur, brouillard, fumée, exhalation » ;
don (n.) :_ titre de respect, années 1520, de l’espagnol ou du portugais Don, un titre de respect préfixé au nom chrétien d’un homme, du latin dominus « seigneur, maître, propriétaire » (de domus « maison », de la racine PIE *dem- « maison, ménage »).
Ceux qui se sont éloignés du chemin prévu (Nod), du développement génétique (ite).
Nod : « Nod » (נוד) est la racine hébraïque du verbe « errer » (לנדוד). Par conséquent, habiter dans le pays de Nod peut signifier vivre une vie errante. Le pays de Nod (hébreu : אֶרֶץ־נוֹד – ʾereṣ-Nōḏ) est un lieu mentionné dans le livre de la Genèse de la Bible hébraïque, situé « à l’est d’Eden » (qiḏmaṯ-ʿḖḏen), où Caïn fut exilé par Dieu après que Caïn eut assassiné son frère Abel. Selon Genèse 4:16 :
Et Caïn s’éloigna de la présence de l’Éternel, et habita dans le pays de Nod, à l’orient d’Éden.
-ite : élément de formation de mot indiquant l’origine ou la dérivation de, du français –ite et directement du latin –ita, du grec –ites (fém. -itis), élément de formation de mot constituant des adjectifs et des noms signifiant « relié à ou appartenant à ». Particulièrement utilisé à l’époque classique pour former des désignations ethniques et locales (par exemple dans les traductions de la Septante des noms hébreux en –i) et pour les noms de pierres précieuses et de minéraux.
Le nom de notre constellation, dont le siège est Edentia.
L’établissement de contrôles de qualité (Nor) et le maintien de la loi et de l’ordre (la) sur le « Monde de la Croix » (t) et dans des endroits semblables (ia) sont ici pris en charge quand et comme nécessaire (dek).
normalité (n.) : « caractère ou état d’être en accord avec une règle ou une norme », 1833, de normal + -ité.
law (n.) : vieil anglais lagu (pluriel laga, forme combinée lah-) « ordonnance, règle prescrite par l’autorité, règlement ; district régi par les mêmes lois » ; parfois aussi « droit, privilège légal », du vieux norrois lagu « loi », pluriel collectif de lag « couche, mesure, trait », littéralement « quelque chose de posé, ce qui est fixe ou établi » du proto-germanique lagam « poser, poser », de la racine PIE legh- « mentir, poser » (de la racine PIE legh– « se coucher, poser »). Identique à lay (n) comme « ce qui est établi ou établi ».
La lettre « T » symbolise la croix.
LU 188:4.1 C’est un fait qu’Urantia est devenue connue parmi les autres planètes habitées voisines sous le nom de « Monde de la Croix ».
-ia : élément formant des mots dans les noms de pays, de maladies et de fleurs, du latin et du grec. -ia, terminaison nominale, en grec particulièrement utilisée pour former des noms abstraits (typiquement de genre féminin)
Au-delà du parallèle avec Melchisédek, considérez également :
dek– Racine proto-indo-européenne signifiant « prendre, accepter ».
La source/preuve hypothétique de son existence est fournie par : le sanskrit daśasyati « montre de l’honneur, est gracieux », dacati « fait des offrandes, accorde » ; le grec dokein « apparaître, sembler, penser », dekhesthai « accepter » ; le latin decere « être convenable ou approprié », docere « enseigner », decus « grâce, ornement ».
Étymologie par Chris Halvorson : « la loi (la) du nord (nor) lieu (-tia) avec identification Melchize(dek), se référant aux activités législatives au niveau de la constellation et à la présence des écoles spéciales Melchizédek dans cette constellation, et impliquant que cette constellation est dans les régions du nord de l’univers local de Nébadon. »
LU 0:0.5 Orvonton est l’un des sept superunivers évolutifs du temps et de l’espace qui entourent la création sans commencement ni fin de la perfection divine — l’univers central de Havona.
Le lieu pour (O) « se lever et briller » (Ou) avec une victoire dans la foi (v) qui « surmonte le monde » (on) et s’harmonise avec tous ceux « qui ont des oreilles pour entendre. » (ton).
orior : latin : (infinitif présent orīrī, parfait actif ortus sum) ; troisième conjugaison iō-variante, déponent
Considérez aussi …Orion : constellation remarquable contenant sept étoiles brillantes dans un motif distinctif, fin du 14e siècle, orioun, en fin de compte du grec Oriōn, Oariōn, nom d’un chasseur géant dans la mythologie grecque, aimé par Aurora, tué par Artémis, un nom d’origine inconnue, bien que certains spéculent sur l’akkadien Uru-anna « la Lumière du Ciel ».
« v » pour victoire : 1 Jean 5: 1 Quiconque croit que Jésus est le Christ est né de Dieu, et quiconque aime le Père aime aussi son enfant. 2 Voici à quoi nous connaissons que nous aimons les enfants de Dieu : en aimant Dieu et en accomplissant ses commandements. 3 Or, l’amour de Dieu consiste à garder ses commandements. Et ses commandements ne sont pas pénibles, 4 car tout ce qui est né de Dieu triomphe du monde. La victoire qui a vaincu le monde, c’est notre foi. 5 Qui est celui qui a vaincu le monde ? Celui qui croit que Jésus est le Fils de Dieu.
on (prép., adv.) : « dans une position au-dessus et en contact avec ; dans une position telle qu’il soit soutenu par ; » notant également le but vers lequel une action est ou a été dirigée ; « à propos de, concernant, concernant ; en mesure de couvrir ; » comme adverbe, « dans ou dans une position en contact avec et soutenu par le sommet ou la partie supérieure de quelque chose ; dans ou dans un endroit ; en place pour une utilisation ou une action ; dans un mouvement ou une action ; en opération, » vieil anglais on, variante non accentuée de an « dans, sur, dans, » du proto-germanique *ana « sur » (source aussi du néerlandais aan, de l’allemand an, du gothique ana « sur, sur »), de la racine PIE *an- (1) « sur » (source aussi de l’avestan ana « sur », du grec ana « sur, sur », du latin an-, du vieux slavon na, du lituanien nuo « en bas de »).
tone (n.) : milieu du XIVe siècle, « son ou note musicale », du vieux français ton « son musical, parole, mots » (XIIIe siècle) et directement du latin tonus « un son, une tonalité, un accent », littéralement « étirement » (en latin médiéval, terme propre à la musique), du grec tonos « hauteur de voix, élévation de la voix, accent, tonalité en musique », à l’origine « une corde qui s’étire, se resserre, se tend », apparenté à teinein « étirer », de la racine PIE ten- « étirer ». Le sens de « manière de parler » date de 1600 environ. La première référence à la fermeté du corps date des années 1660. Comme « état de manières dominant » de 1735 ; comme « style de parler ou d’écrire qui révèle l’attitude » de 1765.
Étymologie par Chris Halvorson :
Le lieu (-tia) qui voit tout (pan-). (Littéralement, les Panoptiens sont « ceux qui voient la situation dans son ensemble ». Ils ont vu au-delà des sophismes de la rébellion de Lucifer. Le nom de leur chef à cette époque, Ellanora, signifie littéralement « la lumière », brillant dans l’obscurité de la rébellion.)
LU 41:2.1 Une constellation voisine.
Boire l’expérience (Po) de la supplication solennelle (rog) est ce qui caractérise cet endroit (ia).
pō(i)- Racine proto-indo-européenne signifiant « boire ».
Il forme tout ou partie de : bière ; bever ; boisson ; bib ; bibitory ; bibulous ; hibachi ; imbibe ; imbrue ; pinocytose ; pirogi ; poison ; potable ; potation ; potion ; symposium.
C’est la source hypothétique/preuve de son existence fournie par : le sanskrit pati « boissons », panam « boisson » ; le grec pinein « boire », poton « ce que l’on boit », potos « beuverie » ; le latin potare « boire », potio « une potion, une boisson », également « breuvage toxique, potion magique » ; le vieux slavon piti « boire », pivo « boisson ».
rogation (n.) : fin du XIVe siècle, « supplication solennelle » (en particulier en référence aux jours de rogation), du latin rogationem (nominatif rogatio) « une demande, une prière, une supplication », nom d’action issu du participe passé de rogare « demander, s’enquérir, questionner », également « proposer (une loi, un candidat) », via la notion de « demander » au peuple ; également en particulier « demander une faveur, supplier, requérir ». Apparemment, il s’agit d’une utilisation figurative d’un verbe PIE signifiant littéralement « tendre (la main) », du PIE rog-, variante de la racine reg- « se déplacer en ligne droite ».
-ia : élément de formation de mots dans les noms de pays, de maladies et de fleurs, du latin et du grec. -ia, terminaison nominale, en grec particulièrement utilisée pour former des noms abstraits (typiquement de genre féminin).
LU 32:2.12 L’un des sept univers locaux les plus proches.
L’endroit qui § fournit une passerelle (Portail) vers la vie (sur).
Portal-: portail (n.) fin du 14e siècle, « porte, passage », du vieux français portal « porte » (français moderne portail) et directement du latin médiéval portale « porte de ville, porche », du neutre de portalis (adj.) « d’une porte », du latin porta « porte », du PIE *prta-, forme suffixée de la racine PIE *per- (2) « conduire, passer par-dessus ».
-on: élément génétique de base
LU 41:2.1 Pas besoin de religion de seconde main ici (Rant) ; ils ont tout ce dont ils ont besoin et sont bien au-delà de cela (ul) dans ces parties de l’univers (ia).
Extrait de Wikipédia : Les Ranters étaient l’un des nombreux groupes dissidents qui ont émergé à l’époque du Commonwealth anglais (1649-1660). C’étaient en grande partie des gens ordinaires et il existe de nombreuses preuves que le mouvement était répandu dans toute l’Angleterre, bien qu’ils n’étaient pas organisés et n’avaient pas de chef. … Les Ranters niaient l’autorité des églises, des écritures, du ministère actuel et des services, appelant plutôt les hommes à écouter le divin en eux. À bien des égards, ils ressemblent aux Frères du Libre Esprit du 14e siècle. En fait, ils suscitaient une telle controverse qu’au début des années 1650, de nombreux pamphlets anti-Ranters circulaient dans toute la Grande-Bretagne.
-ulent : élément de formation de mot signifiant « plein de, abondant en », du suffixe adjectival latin -ulentus « plein de ».
ultra- élément constitutif de mot signifiant « au-delà » (ultraviolet) ou « extrêmement » (ultramodern), du latin ultra- de ultra (adv. et prép.) « au-delà, de l’autre côté, de l’autre côté, passé, par-dessus, à travers », du PIE ol-tero-, forme suffixée de la racine al- « au-delà ». D’usage courant depuis le début du 19e siècle, il semble provenir de désignations politiques françaises. En tant que mot à part entière, un nom signifiant « extrémiste » de diverses tendances, il est enregistré pour la première fois en 1817, du français ultra, abréviation de ultra-royaliste « royaliste extrême ».
-ia : élément de formation de mots dans les noms de pays, de maladies et de fleurs, du latin et du grec. -ia, terminaison nominale, en grec particulièrement utilisée pour former des noms abstraits (typiquement de genre féminin).
Elle s’est accouplée avec Adamson, le premier-né d’Adam et Eve, ce qui a conduit à la création de médians secondaires.
L’exemple vivant ® d’une raison de mélanger des ratios génétiques (Rat) qui étaient auparavant restreints par la religion (ta).
rationaliser : « expliquer de manière rationnelle, rendre conforme à la raison », de rational + -iser. Le sens psychologique de « donner une explication qui cache les véritables motifs » date de 1922, sur la notion de « faire paraître raisonnable ou socialement acceptable ». Au 19e siècle, Newman et Browning l’ont également utilisé avec un sens intransitif de « penser par soi-même, utiliser sa raison comme critère suprême ».
ratio : années 1630, « raison, raisonnement », du l. ratio « calcul, affaire commerciale, procédure », également « raison », de rat-, pp. racine de reri « estimer, calculer », également « penser » (voir raison). Le sens mathématique est attesté à partir de 1660. »
rationnel : fin du 14e siècle, « relatif à la raison » ; milieu du 15e siècle, « doué de raison », du L. rationalis « de ou appartenant à la raison, raisonnable », de ratio (gén. rationis) « calcul, raison ».
tabou : aussi tabu, 1777 (dans « Un voyage dans l’océan Pacifique » de Cook), « consacré, inviolable, interdit, impur ou maudit », expliqué dans certaines sources anglaises comme venant du tongien (langue polynésienne de l’île de Tonga) ta-bu « sacré », de ta « marque » + bu « particulièrement ». Mais il peut s’agir d’une étymologie populaire, car les linguistes du Pacifique ont reconstruit un proto-polynésien irréductible *tapu, à partir du proto-océanique *tabu « sacré, interdit » (comparer avec l’hawaïen kapu « tabou, interdiction, sacré, saint, consacré » ; le tahitien tapu « restriction, sacré, dévoué ; un serment » ; le maori tapu « être soumis à une restriction rituelle, interdit »). Le nom et le verbe sont des innovations anglaises enregistrées pour la première fois dans le livre de Cook.
ta : mot d’argot pour « merci ». Ce mot est le résultat de la forte influence danoise sur la langue anglaise. L’anglais a des racines danoises et jutlandaises. Le mot danois pour « merci » est tak. En Écosse et dans la haute Angleterre, il était courant de laisser tomber le k à la fin en raison de la façon dont les mots étaient prononcés à l’époque de l’anglais ancien et du moyen anglais. D’où le mot d’argot « Ta » qui devrait en fait être prononcé « TA-k » mais qui au fil du temps est devenu « Ta » est en réalité Tak qui signifie « merci ».
Le deuxième assistant Souverain.
Le numéro un du capitaine (Sadib) a un numéro un (ib).
sahib (n.) : adresse respectueuse aux Européens en Inde, années 1670, de l’hindi ou de l’ourdou sahib « maître, seigneur », de l’arabe sahib, à l’origine « ami, compagnon », de sahiba « il accompagnait ». La forme féminine (« dame européenne ») est memsahib.
ibid.: « au même endroit ».
Le directeur du recensement de Nébadon, Salsatia, a son siège social dans le secteur Gabriel de Salvington. Il est automatiquement au courant de la naissance et de la mort de la volonté et enregistre actuellement le nombre exact de créatures de volonté fonctionnant dans l’univers local. Il travaille en étroite collaboration avec les enregistreurs de personnalité domiciliés sur les mondes d’enregistrement des archanges.
Celui (S) conscient du salut (Sal) de la satiété (satia).
salvation (n.) : vers 1200, à l’origine dans le sens chrétien, « le salut de l’âme », du vieux français salvaciun et directement du latin tardif salvationem (nominatif salvatio, une traduction latine de l’Église du grec soteria), nom d’action issu du radical participe passé de salvare « sauver » (voir sauver (v.)).
Dans ce contexte, le salut préserve l’âme et le sel est un conservateur.
sal (n.) : nom chimique du sel, fin du 14e siècle, du vieux français sal, du latin sal (génitif salis) « sel » (de la racine PIE sal- « sel »). Pour sal ammoniac « chlorure d’ammonium » (début du 14e siècle).
satiate (v.) : milieu du 15e siècle, du latin satiatus, participe passé de satiare « remplir pleinement, satisfaire », de satis « assez », de la racine PIE.
LU 41:2.1 Les bords rugueux sont poncés (Sable), car le processus de maturation perfectionne les âmes testées par le temps (mat) de ce système (ia).
sable (v.) : fin du 14e siècle, signifiant « meuler ou polir avec du sable » date de 1858. En relation : poncé ; ponçage.
mature (v.) : vers 1400, maturen, « encourager la suppuration » ; milieu du 15e siècle, des plantes, « faire mûrir, amener à maturité », du latin mātūrare « mûrir, amener à maturité », de mātūrus « mûr, opportun, tôt », apparenté à māne « tôt, du matin », du PIE meh-tu- « maturité ». De Vaan écrit que « la racine est probablement la même que dans mānus “bon ».” Le sens intransitif de « arriver à un état de maturité, devenir mûr ou parfait » date des années 1650.
La lettre « T » symbolise la croix.
LU 188:4.1 C’est un fait qu’Urantia est devenue connue parmi les autres planètes habitées voisines sous le nom de « Monde de la Croix ».
-ia : élément de formation de mots dans les noms de pays, de maladies et de fleurs, du latin et du grec. -ia, terminaison nominale, en grec particulièrement utilisée pour former des noms abstraits (typiquement de genre féminin).
Les merveilleux potentiels de la génétique sous-jacente qui fait saigner toute l’humanité en rouge (Sang), fleurissent maintenant avec un arrangement de diversité améliorant la vie (ik).
sanguine (adj.) : « rouge sang », fin du XIVe siècle (fin du XIIe siècle comme nom de famille), du vieux français sanguin (fém. sanguine), du latin sanguineus « de sang », également « sanguinaire, sanguinaire », de sanguis (génitif sanguinis) « sang » (voir sanguinaire). Signifiant « joyeux, plein d’espoir, confiant », attesté pour la première fois vers 1500, car ces qualités étaient considérées dans l’ancienne médecine comme provenant d’un excès de sang comme l’une des quatre humeurs. Également en moyen anglais comme nom, « type de tissu rouge » (début du XIVe siècle).
ikebana (n.) : art japonais de la composition florale formelle, 1901, du japonais ikeru « garder en vie, arranger » + hana « fleur ».
-ic : du moyen anglais -ik, -ick, élément constitutif des adjectifs, « ayant rapport avec, ayant la nature de, étant, fait de, causé par, semblable à », du français -ique et directement du latin –icus ou du grec apparenté –ikos « à la manière de ; relatif à ». Du suffixe adjectival PIE –(i)ko, qui a également donné le suffixe slave –isku, indiquant l’origine, la source du –sky (russe –skii) dans de nombreux noms de famille. En chimie, indiquant une valence plus élevée que les noms en –ous (le premier en benzoïque, 1791).
LU 32:2.12 L’un des sept univers locaux les plus proches.
Le lieu où (S) la sainteté (San) se développe chez les individus (sel) par conception (on).
San- : saint ou saint comme dans sangrail—Saint Graal.
sel-: considérer soi (pron.) Vieil anglais self, seolf, sylf « sa propre personne, -soi ; propre, même, » du proto-germanique selbaz (source aussi du vieux norrois sjalfr, du vieux frison self, du néerlandais zelf, du vieux haut allemand selb, de l’allemand selb, selbst, du gothique silba), du proto-germanique selbaz « soi », du PIE sel- bho-, forme suffixée de la racine s(w)e-, pronom de la troisième personne et réflexif (renvoyant au sujet d’une phrase), également utilisé dans les formes désignant le groupe social du locuteur, « (nous-)selves » (voir idiome).
« Essayer de se définir, c’est comme essayer de se mordre les dents. » – Alan Watts
-on: élément génétique de base
LU 15:7.5 Jérusem, le siège de votre système local de Satania, a ses sept mondes de culture de transition, chacun d’eux étant entouré de sept satellites, parmi lesquels se trouvent les sept mondes des maisons de détention morontielle, la première résidence post-mortelle de l’homme. Comme le terme ciel a été utilisé sur Urantia, il a parfois signifié ces sept mondes des maisons, le premier monde des maisons étant appelé le premier ciel, et ainsi de suite jusqu’au septième.
Le lieu originel, archétypique (S) de l’adversité (satan) qui transforme l’impersonnel en personnel, l’animal en humain, la poussière morte en vie robuste. (-ia, au lieu de –tia).
LU 75:2.4 Eve avait scrupuleusement suivi ces instructions pendant plus de cent ans, et il ne lui était pas venu à l’esprit qu’un quelconque danger pourrait être lié aux visites de plus en plus privées et confidentielles qu’elle recevait d’un certain chef nodite nommé Serapatatia.
Il (S) a une attitude « Que sera sera » (Sera) concernant la paternité (pat) avec ses proches (at) (ia).
sera: « Que sera sera. » Vraiisme français signifiant : Ce qui doit arriver arrivera.
paternité (n.) : milieu du XVe siècle, paternite, « condition d’être père, relation d’un père à un enfant ou de Dieu à l’humanité », de l’ancien français paternité (XIIe siècle), du latin tardif paternitatem (nominatif paternitas) « soins paternels, paternité », du latin paternus « d’un père », de pater (voir père (n.)). Signification de « origine paternelle, dérivation d’un père » depuis 1868.
at (prép.) : vieil anglais æt, du proto-germanique at (source également du vieux norrois, du gothique at, du vieux frison et, du vieux haut allemand az), de la racine PIE ad- « à, près de, à ».
-ia : élément de formation de mots dans les noms de pays, de maladies et de fleurs, du latin et du grec. -ia, terminaison nominale, en grec particulièrement utilisée pour former des noms abstraits (typiquement de genre féminin).
Celui qui (S) joue le sage (solon) dans la vie (ia).
LU 41:2.1 Une constellation voisine.
Il y a un destin (en quelque sorte) pour ce qui est né (sur) ici (ia).
sort (n.) : fin du XIVe siècle, « groupe de personnes, d’animaux, etc. ; genre ou variété de personne ou d’animal », du vieux français sorte « classe, genre », du latin sortem (nominatif sors) « sort ; sort, destinée ; part, portion ; rang, catégorie ; sexe, classe, réponse oraculaire, prophétie », de la racine PIE ser- (2) « aligner ». Out of sorts « pas en bon état habituel » est attesté à partir des années 1620, avec le sens littéral de « en rupture de stock ».
sort (v.) : milieu du XIVe siècle, « classer selon le type ou la qualité », du vieux français sortir « répartir, trier, assortir », du latin sortiri « tirer au sort, diviser, choisir », de sors. Dans certains sens, le verbe est une forme abrégée de assort.
origine (n.) : vers 1400, « ascendance, race », du latin originem (nominatif origo) « une ascension, un commencement, une source ; une descendance, une lignée, une naissance », du radical de oriri « surgir, s’élever, se lever ; apparaître au-dessus de l’horizon, devenir visible ; naître, descendre, recevoir la vie » ; au sens figuré « surgir, prendre origine, procéder, commencer » (de rivières, de rumeurs, etc.).
orior : latin : (infinitif présent orīrī, parfait actif ortus sum) ; troisième conjugaison iō-variante, déponent
-ia : élément de formation de mots dans les noms de pays, de maladies et de fleurs, du latin et du grec. -ia, terminaison nominale, en grec particulièrement utilisée pour former des noms abstraits (typiquement de genre féminin).
Le lieu axé sur l’explication complète des choses (Splan) est soumis à la règle paternelle (don).
LU 18:4.8 Le travail des pèlerins du temps sur les mondes entourant le siège d’un secteur majeur est principalement de nature intellectuelle, en contraste avec le caractère plus physique et matériel de la formation sur les sept sphères éducatives d’un secteur mineur et avec les entreprises spirituelles sur les quatre cent quatre-vingt-dix mondes universitaires du siège d’un superunivers.
Considérez, lorsque vous lisez les notes suivantes, comment nous en sommes venus à utiliser des expressions telles que « se mettre sur un pied d’égalité » et « aplanir les choses ».
esplanade (n.) : « espace ouvert, plat ou en pente, notamment devant une fortification », années 1590, du français esplanade (15e siècle), de l’espagnol esplanada « grande surface plane », utilisation nominale du participe passé féminin de esplanar « niveler », du latin explanare « niveler, aplatir », de ex « dehors » (voir ex-) + planus « plat » (de la racine PIE *pele- (2) « plat ; s’étendre »). Ou peut-être que le mot français vient ou est influencé par l’italien spianata, de spianare.
expliquer (v.) : début du 15e siècle, explanen, « rendre (quelque chose) clair dans l’esprit, rendre intelligible », du latin explanare « expliquer, rendre clair, rendre clair », littéralement « niveler, aplatir », de ex « dehors » (voir ex-) + planus « plat » (de la racine PIE *pele- (2) « plat ; étaler »).
plan (n.) : années 1670 comme terme technique dans le dessin en perspective ; plus généralement vers 1706 comme « la représentation de tout ce qui est dessiné sur un plan ; un dessin, une esquisse ou un diagramme de tout objet », du français plan « tracé au sol d’un bâtiment, carte », littéralement « surface plane » (milieu du 16e siècle), du latin planum « surface plane ou plane », utilisation nominale de l’adjectif planus « niveau, plat » (de la racine PIE *pele- (2) « plat ; étaler »).
plan (v.) : 1728, « faire un plan de ; mettre sur papier les parties, les dimensions et les méthodes de construction de », de plan (n.). En 1737, cela signifie « planifier, concevoir des moyens pour (faire quelque chose) ». En relation : Planifié ; planification ; plans. L’économie planifiée est attestée en 1931. Planned Parenthood (1942) était autrefois Birth Control Federation of America.
don (n.) : titre de respect, années 1520, de l’espagnol ou du portugais Don, un titre de respect préfixé au nom chrétien d’un homme, du latin dominus « seigneur, maître, propriétaire » (de domus « maison », de la racine PIE *dem- « maison, ménage »).
LU 49:5.12 Un tabulateur (Tab) du premier ordre (a), qui évalue de manière exhaustive les potentiels futurs (mant) d’un monde (ia) brûlé par la rébellion (T).
Tabamantia, superviseur souverain de la série des mondes décimaux ou expérimentaux, vint inspecter la planète et, après son examen du progrès racial, recommanda dûment qu’on accorde à Urantia des Fils Matériels. Un peu moins de cent ans après cette inspection, Adam et Eve, un Fils et une Fille Matériels du système local, arrivèrent et commencèrent la tâche difficile de tenter de démêler les affaires confuses d’une planète retardée par la rébellion et reposant sous l’interdiction de l’isolement spirituel.
tab (nom) : « compte, facture, chèque », 1888, langage familier américain, probablement une forme abrégée de tabulation ou de tablette dans le sens de « feuille sur laquelle écrire ». L’expression figurée keep a tab on est enregistrée à partir de 1890.
a : première lettre de l’alphabet romain, basée sur l’alpha grec
mantic (adj.) : 1850, du grec mantikos « prophétique, oraculaire, de ou pour un devin », de mantis « prophète », littéralement « celui touché par la folie divine » (voir mantis). En relation : Mantical (années 1580).
manta : raie de très grande taille (appelée aussi diable de mer), 1760, de l’espèce manta « couverture » (qui est attestée en anglais dès 1748 dans ce sens, spécifiquement en référence à un type de cape ou de manteau porté par les Espagnols), de L.L. mantum « manteau », formation dorsale de L. mantellum « manteau » (voir manteau (n.)). La raie est ainsi appelée « parce qu’elle est large et longue comme une courtepointe » [Jorge Juan et Antonio de Ulloa, « Un voyage en Amérique du Sud »].
La lettre « T » symbolise la croix.
LU 188:4.1 C’est un fait qu’Urantia est devenue connue parmi les autres planètes habitées voisines sous le nom de « Monde de la Croix ».
-ia : élément de formation de mots dans les noms de pays, de maladies et de fleurs, du latin et du grec. -ia, terminaison nominale, en grec particulièrement utilisée pour former des noms abstraits (typiquement de genre féminin).
Le nom de notre planète.
Connu dans les cieux comme (Uran) le « Monde de la Croix » (t, ia).
ur– Préfixe signifiant « original, le plus ancien, primitif », de l’allemand ur- « hors de, original », du proto-germanique uz- « dehors », du PIE ud- « en haut, dehors ».
Uranus : Première planète découverte qui n’était pas connue dans l’Antiquité, nommée d’après le dieu du Ciel, époux de Gaïa, la Terre, du latin Uranus, du grec Ouranos littéralement « ciel, le ciel » ; dans la cosmologie grecque, le dieu qui personnifie les cieux, père des titans.
uranien (adj.) : Uranie « Céleste » (grec Ourania) étant une épithète d’Aphrodite comme née d’Uranus et aussi comme distincte de la vulgaire Vénus de la luxure banale.
Urania : nom de la Muse de l’astronomie et des forces célestes, du latin Urania, du grec Ourania, fém. de ouranios, littéralement « céleste », de ouranos
La lettre « T » symbolise la croix.
LU 188:4.1 C’est un fait qu’Urantia est devenue connue parmi les autres planètes habitées voisines sous le nom de « Monde de la Croix ».
-ia : élément de formation de mots dans les noms de pays, de maladies et de fleurs, du latin et du grec. -ia, terminaison nominale, en grec particulièrement utilisée pour former des noms abstraits (typiquement de genre féminin).
La capitale du superunivers d’Orvonton. Étymologie de Chris Halvorson :
« le centre du superunivers qui est la septième expression du modèle triune (« U » est la 21e lettre de l’alphabet, et 21 est égal à 7 fois 3. Par conséquent, les mondes sièges des autres superunivers sont Cversa, Fversa, Iversa, Lversa, Oversa et Rversa. La notation « U » est également utilisée dans « Umajor le cinquième » et « Uminor le troisième ».) » « versa = L., foyer, centre (voir la note de fin intitulée « Versa ») »
« Vers : masculin : séquence métrique de mots (Il a écrit un vers.) ; aussi, versus (plaignant versus défendeur) ; féminin : caractère poétique (Elle a écrit en vers.) ; aussi, vice versa (vice = à la place d’un autre + versa = centre, moyeu)
« Versa est l’aspect non directionnel d’un « tournant », c’est-à-dire le moyeu ; tandis que versus est l’aspect directionnel, la rotation. »
LU 41:4.6 Le soleil massif de Veluntia, l’un des plus grands d’Orvonton…
vedette (n.) « sentinelle montée placée en avant d’un avant-poste », du latin videre « voir » ou encore du latin vigil « vigilant, éveillé », de la racine PIE *weg- « être fort, être vif ».
votary (n.) « celui consacré par un vœu », du latin votum « une promesse à un dieu ; ce qui est promis » (voir voeu (n.)) + -ary. À l’origine « un moine ou une nonne », le sens général de « fervent dévot d’un but ou d’une poursuite » date de 1591 (dans Shakespeare, à l’origine en référence à l’amour). En relation : Votaress.
Na : symbole chimique du sodium, du latin natrium
LU 45:3.6 5. _L’enregistreur système—_Vilton …
Celui qui garde les archives (V) pour ce groupe de planètes (Vil) résonne avec (ton) nos expériences passées (on).
villa (n.) : années 1610, « manoir de campagne des anciens Romains », de l’italien villa « maison de campagne, villa, ferme », du latin villa « maison de campagne, ferme », apparenté à vicus « village, groupe de maisons », du PIE weik-sla-, forme suffixée de la racine weik- « clan ».
tone (n.) : milieu du XIVe siècle, « son ou note musicale », du vieux français ton « son musical, parole, mots » (XIIIe siècle) et directement du latin tonus « un son, une tonalité, un accent », littéralement « étirement » (en latin médiéval, terme propre à la musique), du grec tonos « hauteur de voix, élévation de la voix, accent, tonalité en musique », à l’origine « une corde qui s’étire, se resserre, se tend », apparenté à teinein « étirer », de la racine PIE ten- « étirer ». Le sens de « manière de parler » date de 1600 environ. La première référence à la fermeté du corps date des années 1660. Comme « état de manières dominant » de 1735 ; comme « style de parler ou d’écrire qui révèle l’attitude » de 1765.
on (prép., adv.) : « dans une position au-dessus et en contact avec ; dans une position telle qu’il soit soutenu par ; » notant également le but vers lequel une action est ou a été dirigée ; « à propos de, concernant, concernant ; en mesure de couvrir ; » comme adverbe, « dans ou dans une position en contact avec et soutenu par le sommet ou la partie supérieure de quelque chose ; dans ou dans un endroit ; en place pour une utilisation ou une action ; dans un mouvement ou une action ; en opération », vieil anglais on, variante non accentuée de an « dans, sur, dans », du proto-germanique ana « sur » (source aussi du néerlandais aan, de l’allemand an, du gothique ana « sur, sur »), de la racine PIE an- (1) « sur » (source aussi de l’avestan ana « sur », du grec ana « sur, sur », du latin an-, du vieux slavon na, du lituanien nuo « en bas de »).
Créé avant (Vor) le dirigeant terrestre céleste (on) en tant que dirigeant paternel (da) basé sur une réalisation méritoire (dek).
Après la création des aides personnelles et du premier groupe des Melchizédeks polyvalents, le Fils Créateur et l’Esprit Créateur de l’univers local ont planifié et créé le deuxième grand et divers ordre de filiation universelle, les Vorondadeks. Ils sont plus généralement connus sous le nom de Pères de Constellation parce qu’un Fils de cet ordre se trouve uniformément à la tête de chaque gouvernement de constellation dans chaque univers local.
vor: allemand, « avant, devant »
on (prép., adv.) : « dans une position au-dessus et en contact avec ; dans une position telle qu’il soit soutenu par ; » notant également le but vers lequel une action est ou a été dirigée ; « à propos de, concernant, concernant ; en mesure de couvrir ; » comme adverbe, « dans ou dans une position en contact avec et soutenu par le sommet ou la partie supérieure de quelque chose ; dans ou dans un endroit ; en place pour une utilisation ou une action ; dans un mouvement ou une action ; en opération, » vieil anglais on, variante non accentuée de an « dans, sur, dans, » du proto-germanique ana « sur » (source aussi du néerlandais aan, de l’allemand an, du gothique ana « sur, sur »), de la racine PIE an- « sur » (source aussi de l’avestan ana « sur », du grec ana « sur, sur », du latin an-, du vieux slavon na, du lituanien nuo « en bas de »).
da (n.) : « père », en 1851, une abréviation maternelle ou provinciale de papa.
dā– Racine proto-indo-européenne signifiant « diviser ».
Il forme tout ou partie de : betide ; daimon ; Damoclès ; deal (v.) ; deal (n.1) « partie, portion ».
C’est la source/preuve hypothétique de son existence fournie par : le sanskrit dati « coupe, divise » ; le grec dēmos « peuple, terre », peut-être littéralement « division de la société », daiesthai « diviser » ; le vieil irlandais dam « troupe, compagnie » ; le vieil anglais tid « point ou portion de temps », l’allemand Zeit « temps ».
Au-delà du parallèle associé à Melchizédek, considérez également :
dek– Racine proto-indo-européenne signifiant « prendre, accepter ».
C’est la source/preuve hypothétique de son existence qui est fournie par : le sanskrit daśasyati « montre de l’honneur, est gracieux », dacati « fait des offrandes, accorde » ; le grec dokein « apparaître, sembler, penser », dekhesthai « accepter » ; le latin decere « être convenable ou approprié », docere « enseigner », decus « grâce, ornement ».
LU 32:2.12 L’un des sept univers locaux les plus proches.
Le lieu où (W) l’harmonie entre les aspects spirituels et matériels de la vie (Wol) expérimente le renouveau (ver) comme un mode de vie (ing).
Wol-: Sol (n.) « le soleil personnifié », milieu du XVe siècle (également en vieil anglais), du latin sol « le soleil, la lumière du soleil », du PIE *s(e)wol-, variante de la racine *sawel- « le soleil ». Le français soleil (Xe s.) vient du latin vulgaire *soliculus, diminutif de sol ; en latin vulgaire, les diminutifs avaient le sens complet de leurs principaux mots. [Wikipedia: Vulgar Latin. Ceci est une étude remarquable en soi. Les spéculations sur la façon dont cela se rapporte au contexte donné sont les bienvenues.]
-ver-: « printemps », fin du 14e siècle, de l’ancien français ver ou directement du latin ver « le printemps, le printemps » (voir vernal).
-ing: [vieil anglais -ung, -ing] (1) action, processus (prédation, gué) ; (2) produit de, ou associé à une action ou un processus (hongre).
Votre monde, Urantia, est l’une des nombreuses planètes habitées semblables qui composent l’univers local de Nébadon. Cet univers, avec des créations similaires, constitue le superunivers d’Orvonton, dont la capitale, Uversa, est la source de notre commission. Orvonton est l’un des sept superunivers évolutionnaires du temps et de l’espace qui entourent la création sans commencement ni fin de la perfection divine — l’univers central de Havona. Au cœur de cet univers éternel et central se trouve l’Ile stationnaire du Paradis, le centre géographique de l’infini et la demeure du Dieu éternel.
Notez que la liste des univers voisins les plus proches n’est pas alphabétique. Ils sont présentés ici en cohérence avec la liste fournie. S’agit-il d’un ordre croissant de distance par rapport à nous ? Ou d’une organisation circulaire ordonnée ? Autre chose ?
(32.2.12) L’univers de Nébadon oscille désormais loin vers le sud et l’est dans le circuit du superunivers d’Orvonton. Les univers voisins les plus proches sont : Avalon, Henselon, Sanselon, Portalon, Wolvering, Fanoving et Alvoring. ↩︎
Cette étymologie a sa propre page. ↩︎