© 2022 Olga López
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Bulletin de l’Association Urantia d’Espagne
Luz y Vida — février 2022
M. José Sánchez Santamaría
Suivez Jésus
Arrêtez-vous un instant, s’il vous plaît.
Toujours ton rythme rapide.
Arrêtez le glissement continu vers la réalité quotidienne glissante.
On a demandé un jour à Uwais, le soufi : « Que vous a donné Grace ? Et il leur répondit :
« Quand je me réveille le matin, je me sens comme un homme qui n’est pas sûr de vivre jusqu’à la nuit. »
Ils lui demandèrent à nouveau :
« Mais est-ce que tous les hommes ne le savent pas ? » Et Uwais a répondu : « Oui, ils le savent, mais tout le monde ne le ressent pas. »
Personne ne s’est jamais enivré en comprenant « intellectuellement » le mot VIN.
Histoire de création (Bill Sadler)
Cet ouvrage est une synthèse d’un autre ouvrage plus étendu que Bill Sadler a écrit sur les sujets les plus denses du Le Livre d’Urantia tels que l’origine de l’univers, intitulé Étude du maître univers. Sans aucun doute, cet ouvrage sera aider les lecteurs du livre à être plus clairs sur la séquence des âges qui ont abouti à la création du cosmos et des personnalités divines impliquées. Ce travail est soutenu par cet autre avec des graphiques à l’appui.
La force de gravité dans le noyau atomique prophétisée en 1934 (Ken Glasziou)
Cet article, bien que bref, est très éclairant sur la façon dont la physique se rapproche progressivement de ce que les révélateurs affirment dans Le Livre d’Urantia à propos du modèle atomique et des forces qui maintiennent les atomes ensemble. Rappelons que l’ultimathon n’a pas été découvert en tant que tel par la science. Pourquoi les révélateurs nous ont-ils parlé de lui, alors qu’il semble encore très loin d’être découvert ? Eh bien, il y a peut-être déjà des scientifiques qui sont sur la bonne voie.
Aux éducateurs et croyants de la cinquième révélation (Olga López)
Cet article est une analyse de la section « Instructions pour les éducateurs et les croyants » du document 159 (La tournée de la Décapole). Ces instructions faisaient partie d’un discours prononcé par Jésus pour exprimer « les principes qui doivent guider ceux qui prêchent la vérité » et « donner de la force à tous ceux qui enseignent l’Évangile du royaume ». Et cela s’applique parfaitement à nous, lecteurs engagés dans les enseignements de la cinquième révélation.
Astronomie et superunivers (Troy R. Bishop)
Dans cet ouvrage de Troy R. Bishop, traduit par Jan Herca, une revue est faite de l’organisation du maître univers selon Le Livre d’Urantia et une tentative est faite pour l’adapter aux connaissances astronomiques actuelles et aux mesures actuellement utilisées pour calculer les phénomènes astronomiques. distances. Sont également exposés les désaccords qui existent encore entre la science et la cinquième révélation, qui sont logiques, puisque la science doit avancer selon une méthode scientifique très éloignée des méthodes de la révélation.
RECOMPTE JOURNALISTE DE LA VIE ET DES ENSEIGNEMENTS DE JESUS SELON LE LIVRE D’URANTIA
Nous vous présentons le prochain volet des chroniques de la vie de Jésus, qui contient à cette occasion ce que les révélateurs nous disent dans le document 130. Dans le PDF, vous verrez un bouton à partir duquel vous pourrez accéder au texte du document depuis le Site Web de la Fondation Urantia.
Nous continuons à réviser l’ouvrage secondaire Un guide pour enfants sur le Livre d’Urantia, de Mary Livingston. Ceci est le prochain chapitre, dédié à l’Ajusteur de Pensée, et il commence ainsi :
«Le Père réside très loin et il faut beaucoup de temps pour atteindre le Paradis, c’est pourquoi il envoie un cadeau spécial à chacun de nous. Lorsque nous avons environ cinq ans et que nous prenons notre première décision morale, le Père nous envoie son don spécial.
Télécharger le chapitre complet au format PDF
Idéario (Santiago Flores)
Selon les mots de son auteur : « Ideario est le produit de trois facteurs principaux : un contact précoce avec la poésie dans une maison où, étant enfant, les Ballades espagnoles, les Rimas de Bécquer, le Martín Fierro de José Hernández et Grillo Nochero de Osiris Rodríguez Castillos lisait quotidiennement ; une propension héritée (de mon père et de son père) à écrire de la poésie ; et enfin plus de quinze ans de contact avec la philosophie du Le Livre d’Urantia ». En vérité, il n’est pas très courant de tomber sur de la poésie urantienne, et celle-ci en vaut certainement la peine.
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Jésus de Nazareth (Jan Herca)
Nous tous, lecteurs du livre, éprouvons une affection particulière pour la figure de Jésus, le protagoniste de cette histoire, il nous est donc facile de nous immerger dans l’histoire comme si nous y étions. Ce premier volet de « Jésus de Nazareth » raconte les événements de la vie du Maître depuis sa retraite sur le Mont Hermon, où il prit conscience de sa véritable identité pour la première fois depuis son arrivée dans notre monde, jusqu’à l’arrestation de Jean-Baptiste, en passant en revue les événements extraordinaires survenus lors du baptême de Jésus dans le Jourdain. Tout comme raconté dans Le Livre d’Urantia.
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La rencontre avec la réalité (Vicente Ferrer)
Je pense que nous connaissons tous désormais Vicente Ferrer, un ancien jésuite vivant dans le sud de l’Inde (aujourd’hui décédé) qui a consacré une bonne partie de sa vie à contribuer à l’amélioration de la situation des dalith, les plus pauvres parmi les pauvres en Inde. En basant son exposé sur « les quatre piliers existentiels de l’Univers »: l’homme, Dieu, l’humanité et « le monde tel qu’il est », Vicente Ferrer se consacre à expliquer sa simple philosophie de la vie, fuyant toute prétention de vérité absolue et tout dogmatisme, avec des termes qui coïncident parfois étonnamment avec ce qui est dit dans Le Livre d’Urantia. Ce qui n’est pas surprenant puisque l’on sait qu’il l’a lu et a montré un grand intérêt pour ce qu’il contenait.
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Projet pour une éthique globale (Hans Küng)
« Impossible de survivre sans une éthique mondiale. La paix mondiale est impossible sans la paix religieuse. La paix religieuse est impossible sans le dialogue des religions. »
C’est ainsi que commence ce livre de Hans Küng, théologien catholique décédé. Dans cet essai l’auteur se charge d’argumenter systématiquement ses réflexions pour arriver aux conclusions exprimées dans les trois phrases citées ci-dessus.
Küng déclare dans ce livre que l’éthique doit être basée sur « l’Inconditionné » ; Toute éthique qui ne s’appuie pas sur des valeurs (religieuses) transcendantes est inutile, elle n’est pas source de sens à nos vies. Si l’on considère également que le manque de valeurs qui afflige la société occidentale nous conduit dans une impasse ; De plus, cela met en danger la survie même de l’humanité, la seule solution pour éviter notre autodestruction est la création d’une éthique globale qui régit tous les domaines de notre société (culture, économie, politique, relations humaines, etc.)
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Andites en Égypte (Études des écrits d’Urantia)
Vous êtes-vous déjà demandé à quoi ressembleraient les descendants directs de la race violette ? Et les Andites ? Ce mois-ci, nous vous recommandons une autre des vidéos de la chaîne Études des Écrits d’Urantia, publiée début janvier de cette année, qui traite des Égyptiens toujours intéressants et énigmatiques de l’Antiquité et de leur relation avec les Les migrations andites qui ont commencé dans le deuxième Éden ont répandu le sang violet dans tout le monde antique et ont créé dans leur sillage des civilisations avancées.
La légende raconte qu’il y a très, très longtemps, deux agriculteurs se promenaient dans un marché lorsqu’ils se sont arrêtés juste devant l’étal d’un homme vendant des semences. Ils furent surpris lorsqu’ils en virent des qu’ils n’avaient jamais vus auparavant.
L’un d’eux a demandé au vendeur de quelles graines il s’agissait, ce à quoi le commerçant a répondu qu’il s’agissait de graines de bambou, des graines extrêmement spéciales qui venaient d’Extrême-Orient.
Intrigué et très curieux, l’agriculteur ne peut se contenir et lui pose une nouvelle question : « et pourquoi ces graines sont-elles si spéciales ? » Le marchand l’encouragea à les prendre, l’avertissant qu’il s’en rendrait compte sans trop de difficultés, puisqu’ils n’avaient besoin que d’engrais et d’eau.
Finalement, la curiosité a pris le dessus et les deux agriculteurs ont décidé de ramener les graines de bambou chez eux. Ils les ont plantés, arrosés et fertilisés en suivant strictement toutes les instructions que leur avait données le vendeur.
Peu de temps après, les deux agriculteurs étaient quelque peu mal à l’aise et attristés car le résultat n’était pas celui auquel ils s’attendaient : les graines poussaient à peine. C’est alors que l’un des fermiers dit à l’autre qu’il pensait que le commerçant les avait trompés. Sa colère était telle qu’il a finalement décidé de ne plus continuer à arroser les graines ni à les fertiliser.
Mais l’autre agriculteur, cependant, pensait qu’il n’avait rien à perdre, alors il a décidé de continuer à conserver les graines : chaque jour, il les arrosait et les fertilisait soigneusement. Et ainsi, le temps a passé mais ils n’ont toujours pas porté leurs fruits.
Cependant, un jour, alors que l’agriculteur était sur le point de jeter l’éponge et d’arrêter de les cultiver, il fut surpris de constater que les bambous avaient poussé et atteint une hauteur de 25 mètres en seulement 5 semaines.
Cette belle et en même temps courte histoire nous montre l’une des meilleures leçons que nous puissions recevoir dans la vie. Le bambou met sept ans à bien s’enraciner dans la terre ; Une fois ce délai écoulé, à sept ans et six semaines, il commence à croître vigoureusement.
Les agriculteurs s’attendaient à ce que cette plante émerge du jour au lendemain, comme cela arrive souvent dans nos projets. Peut-être pensaient-ils que les graines n’étaient pas fertiles ou qu’ils avaient été trompés. Cependant, l’un d’eux a décidé de ne pas baisser les bras et de continuer à leur offrir ses soins. Cet agriculteur a découvert, au moment où il s’y attendait le moins, que tout ce qu’il avait fait pour la voir grandir avait finalement porté ses fruits.
Cette histoire nous offre une morale très intéressante, car souvent nous pensons que nous sommes fatigués ou incapables, nous devenons désespérés et perdons patience.
Cependant, quand on travaille jour après jour pour un objectif avec persévérance, au moment où on s’y attend le moins, les fruits apparaîtront et tout prendra un sens. Peu importe que les jours, les semaines ou les mois passent : si nous ne perdons pas la foi, tout ce pour quoi nous nous sommes battus viendra.
Si nous abandonnons tôt et arrêtons d’arroser le bambou, cette belle plante ne verra jamais la lumière et nous ne pourrons jamais profiter de sa beauté. Il en sera de même pour nos rêves : nous ne les verrons jamais briller.
Source : https://www.natursan.net/conoces-el-cuento-del-bambu-japones/
Miguel Majorque
L’être humain, dans son évolution continue, a été conditionné et soumis par le pouvoir religieux ; un pouvoir religieux d’une telle influence sociale que, tout au long de l’histoire, et sous prétexte de sa spiritualisation, mais avec des intentions cachées de manipulation et de contrôle politique, ils l’ont transformé en un être sceptique avec un rejet presque total des religions dites « sauveuses ».
A cause de tous ces mensonges, hypocrisies, dogmes, mythes, rituels, etc. qu’elles ont utilisé avec l’intention de le maintenir dans l’ignorance et le manque de culture les plus opaques, ces religions ont réussi à créer un modèle de société sceptique, dépourvue de valeurs telles que le respect, la moralité, l’éthique… un profil humain donc incrédule, égoïste et sans espoir pour l’avenir que le système de coexistence a été défiguré jusqu’à l’absurdité, une coexistence irrationnelle, où le consumérisme, l’ostentation, la spéculation, la pollution et bien d’autres absurdités sont les bases qui soutiennent cette société « pauvre ».
Il est regrettable que, en tant que civilisation technologiquement et scientifiquement avancée, les religions en général aient atteint une distance inquiétante entre la science et la philosophie spirituelle. Ils ont réussi à faire en sorte que des valeurs telles que la croissance intérieure et l’éveil de la conscience n’aient pratiquement aucun sens ; un déséquilibre social inquiétant et assez dangereux, car la science, avec toutes ses avancées technologiques, et sans une base éthique et morale solide qui harmonise ces grandes différences entre les deux, pourrait nous conduire au chaos et même à notre possible anéantissement en tant que civilisation.
Gloria Andreu
Choisir un seul paragraphe du Livre d’Urantia est une tâche quelque peu difficile, car si j’ouvre le premier livre, je crois qu’il n’y a pas un seul document, section ou page qui ne soit souligné. Certains paragraphes sont de véritables joyaux, sinon tous ; d’autres se distinguent par leur beauté ; d’autres sont de la pure philosophie ; d’autres sont à débattre depuis longtemps, il m’est donc très difficile d’en choisir un.
J’en ai opté pour un qui ressemble plus à un mantra qu’à un paragraphe, car je l’utilise lorsque parfois je ne vois pas la sortie d’un problème ou d’une situation difficile que nous avons tous vécu tout au long de notre vie.
Je l’ai choisi pour sa simplicité, et comme on ne peut pas en dire plus en si peu de mots, le paragraphe est le suivant :
« qu’avec Dieu toutes les choses sont possibles. » (LU 163:3.2)
Depuis que je l’ai lu pour la première fois, cela m’a marqué, mais quand je l’ai relu, j’ai réalisé qu’il englobe la vérité, la beauté et la bonté, je parle toujours de manière subjective. Vrai car il suffit de lire la phrase pour comprendre qu’elle est absolument vraie. La beauté est dans sa simplicité, car pour moi la simplicité est la beauté ; et de bonté parce que le Père, par amour pour toutes ses créatures, nous dit que si nous croyons et lui faisons confiance, il nous aidera à nous relever sans rien demander en retour face à tout obstacle qui se présente à nous. Et comme si tout cela ne suffisait pas, cela englobe aussi quelque chose qui est si important pour que tous les êtres évolutifs ascendants puissent atteindre le Père Universel : la foi, car il faut avoir la foi pour croire qu’« avec Dieu tout est possible ».
Je m’appelle Victoriano Izquierdo Ramírez. Je réside à Séville et je suis à la retraite. Ma femme et moi avons trois enfants et quatre petits-enfants et nous lisons Le Livre d’Urantia depuis 1992.
Depuis toute petite, j’ai une grande passion pour la lecture. J’ai remarqué qu’un jour, alors que je discutais de mon intérêt pour la lecture des Évangiles avec le professeur de Religion, il a essayé de m’en dissuader parce qu’ils ne voulaient pas que les fidèles lisent ces textes s’ils n’étaient pas commentés par l’Église, car ils pourraient en déformer le sens.
Après quelques années, j’ai acheté une revue MAS ALLA consacrée à la vie de Jésus. Il y avait un article très intéressant écrit par Antonio Moya qui faisait référence au Le Livre d’Urantia. A cette époque, la publication du premier Trojan Horse était un véritable boom éditorial. Un collègue qui a été très impressionné par sa lecture me l’a prêté pour que je le lise. Cela ne m’a pas fait une grande impression parce que je connaissais les Évangiles, ce qui était inhabituel à cette époque. Ma femme a contacté par hasard Josefina, qui vivait dans notre quartier et tenait des réunions pour les lecteurs du Livre d’Urantia chez elle. Nous n’avions toujours pas traduit le livre en espagnol. Quand Esteban les a ramenés des Etats-Unis, on s’est rendu compte que la traduction était horrible.
La première impression a été très choquante car son programme était très vaste et traitait de concepts nouveaux et inconnus pour la majorité des chercheurs, qui avaient lu des livres d’ésotérisme, de spiritualité et d’auto-assistance très populaires à cette époque.
Luz y Vida est le bulletin d’information de l’Association Urantia d’Espagne. De 2005 à 2016, il a été publié au format PDF et distribué par courrier postal et électronique à la liste des lecteurs de l’association, mais actuellement il est distribué sous forme de newsletter à partir d’un contenu au format HTML.
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