© 1959 William S. Sadler
© 1961 Urantia Foundation
« « Dieu est amour. » Son unique attitude personnelle à l’égard des affaires de l’univers est donc toujours une réaction d’affection divine. Le Père nous aime suffisamment pour nous conférer sa vie. « Il fait lever son soleil sur les méchants et les bons, et envoie sa pluie sur les justes et les injustes. » » LU 2:5.1 1 Jean 4:8.
« Tout véritable amour vient de Dieu, et l’homme reçoit l’affection divine dans la mesure où lui-même effuse cet amour sur ses compagnons. L’amour est dynamique. On ne peut jamais le capturer ; il est vivant, libre, passionnant et toujours en mouvement. L’homme ne peut jamais saisir l’amour du Père pour l’emprisonner dans son cœur. L’amour du Père ne peut devenir réel pour l’homme mortel qu’en passant par sa personnalité, alors qu’à son tour lui-même effuse cet amour sur ses compagnons. Le grand circuit d’amour part du Père, se diffuse par les fils vers les frères et, de là, se dirige vers le Suprême. L’amour du Père apparait dans la personnalité du mortel par le ministère de l’Ajusteur intérieur. Ce fils qui connait Dieu révèle cet amour à ses frères de l’univers, et cette affection fraternelle est l’essence de l’amour du Suprême. » LU 117:6.10
« Le grand circuit d’amour part du Père, se diffuse par les fils vers les frères et, de là, se dirige vers le Suprême. L’amour du Père apparait dans la personnalité du mortel par le ministère de l’Ajusteur intérieur. Ce fils qui connait Dieu révèle cet amour à ses frères de l’univers, et cette affection fraternelle est l’essence de l’amour du Suprême. » LU 117:6.10
« La justice suprême peut agir instantanément lorsqu’elle n’est pas tempérée par la miséricorde divine. Le ministère de miséricorde auprès des enfants du temps et de l’espace prévoit toujours ce délai, cet intervalle salutaire entre les semailles et la moisson. Si la graine semée est bonne, ce délai permet la mise à l’épreuve et l’affermissement du caractère ; si la graine semée est mauvaise, ce délai de miséricorde laisse le temps au repentir et à la rectification. Ce retard dans le jugement et l’exécution des malfaiteurs est inhérent au ministère de miséricorde des sept superunivers. Ce frein de la miséricorde sur la justice prouve que Dieu est amour, que ce Dieu d’amour domine les univers, et qu’il contrôle en miséricorde le destin et le jugement de toutes ses créatures. » LU 54:4.6
« Si un amant divin ne vivait pas en lui, l’homme ne pourrait aimer généreusement et spirituellement. Si un interprète ne vivait pas dans son mental, l’homme ne pourrait pas vraiment se rendre compte de l’unité de l’univers. Si un estimateur ne demeurait pas en lui, l’homme serait dans l’impossibilité d’apprécier les valeurs morales et de reconnaitre les significations spirituelles. Or, cet amant divin vient de la source même de l’amour infini ; cet interprète est une fraction de l’Unité Universelle ; cet estimateur est l’enfant du Centre-Source de toutes les valeurs absolues de la réalité éternelle et divine. » LU 196:3.16
« L’amour est le secret des associations profitables entre personnalités. Un seul contact ne suffit pas pour connaitre réellement une personne. On ne peut pas apprécier la musique par des déductions mathématiques, bien que la musique soit une forme de rythme mathématique. Le numéro affecté à un abonné au téléphone n’identifie en aucune manière la personnalité de cet abonné et ne donne aucune indication sur son caractère. » LU 12:9.2
« Il est peut-être possible de concevoir la vérité séparée de la personnalité, et le concept de beauté peut exister sans personnalité, mais le concept de la bonté divine n’est compréhensible qu’en relation avec la personnalité. Seule une personne peut aimer et être aimée. Même la beauté et la vérité seraient détachées de l’espoir de survie si elles n’étaient les attributs d’un Dieu personnel, un Père aimant. » LU 1:7.3
« Néanmoins, le Père, en tant que personne, peut à tout moment interposer une main paternelle dans le courant des évènements cosmiques qui se déroulent selon la volonté de Dieu, en harmonie avec la sagesse de Dieu, et qui sont motivés par l’amour de Dieu. » LU 118:10.6
« Les Hébreux basaient leur religion sur la bonté, les Grecs basaient la leur sur la beauté, et toutes deux recherchaient la vérité. Jésus révéla un Dieu d’amour, et l’amour englobe entièrement la vérité, la beauté et la bonté. » LU 5:4.6
« Micaël, qui est un créateur, révéla l’amour divin du Père Créateur pour ses enfants terrestres. Et, ayant découvert et reçu cette divine affection, les hommes peuvent aspirer à révéler cet amour à leurs frères dans la chair. Une telle affection des créatures reflète véritablement l’amour du Suprême. » LU 117:1.8
« Beaucoup de rites du temple avaient frappé d’une manière touchante son sens de la beauté et du symbole, mais il était toujours déçu par les explications du sens réel des cérémonies que ses parents lui offraient en réponse à ses multiples et pénétrantes questions. Jésus refusait absolument d’accepter les éclaircissements sur le culte de la dévotion religieuse quand ils impliquaient une croyance au courroux de Dieu ou à la colère du Tout-Puissant. Dans une nouvelle discussion de ces questions, après la fin de la visite au temple, alors que son père insistait avec douceur pour qu’il acceptât les croyances orthodoxes des Juifs, Jésus se retourna soudainement vers ses parents, regarda son père dans les yeux, d’une manière suppliante, et dit : « Mon père, cela ne peut pas être vrai — le Père qui est aux cieux ne peut pas regarder ainsi ses enfants égarés sur terre — le Père Céleste ne peut aimer ses enfants moins que tu ne m’aimes. Si malavisés que soient mes actes, je sais bien que jamais tu ne pourrais déverser sur moi ta colère ni donner libre cours à ton courroux. Si toi, mon père terrestre, tu reflètes le Divin si humainement, combien plus le Père céleste doit-il être rempli de bonté et déborder de miséricorde. Je refuse de croire que mon Père céleste m’aime moins que mon père terrestre. » » LU 125:0.6
« Votre planète est un membre d’un cosmos immense. Vous appartenez à une famille à peu près infinie de mondes, mais votre sphère est administrée avec tout autant de précision et entretenue avec tout autant d’amour que si elle était le seul monde habité existant. » LU 15:14.9
« Votre monde isolé n’est pas oublié dans les conseils de l’univers. Urantia n’est pas une orpheline cosmique stigmatisée par le péché et coupée, par la rébellion, de la vigilante protection divine. Depuis Uversa jusqu’à Salvington, et ainsi de suite en descendant jusqu’à Jérusem, et même sur Havona et au Paradis, tout le monde sait que nous sommes ici. Vous autres mortels habitant présentement Urantia, vous êtes tout aussi affectueusement chéris et fidèlement gardés, et même davantage, que si votre sphère n’avait jamais été trahie par un Prince Planétaire sans foi. Il reste éternellement vrai que « le Père lui-même vous aime. » » LU 114:7.17 Jean 16:27.
« L’amour du Père individualise absolument chaque personnalité comme enfant unique du Père Universel, un enfant sans pareil dans l’infinité, une créature volitive irremplaçable dans toute l’éternité. L’amour du Père glorifie chaque enfant de Dieu, illuminant chaque membre de la famille céleste, faisant nettement ressortir la nature unique de chaque être personnel qui se détache des niveaux impersonnels situés en dehors du circuit fraternel du Père de tous. L’amour de Dieu dépeint d’une manière frappante la valeur transcendante de chaque créature douée de volonté, et révèle infailliblement la valeur élevée que le Père Universel attribue à chacun de ses enfants, depuis la plus haute personnalité créatrice de statut paradisiaque jusqu’à la personnalité la plus humble ayant dignité volitive parmi les tribus sauvages d’hommes à l’aurore de l’espèce humaine sur un monde évolutionnaire du temps et de l’espace. » LU 12:7.9
« Le Père céleste plein d’affection, dont l’esprit habite ses enfants sur terre, n’est pas une personnalité divisée — l’une de justice et l’autre de miséricorde. Il n’y a pas davantage besoin d’un médiateur pour obtenir la faveur ou le pardon du Père. La droiture divine n’est pas dominée par une stricte justice distributive. Dieu en tant que père transcende Dieu en tant que juge. » LU 2:6.6
« L’amour du Père nous suit maintenant et tout au long du cercle sans fin des âges éternels. Lorsque vous méditez sur la nature aimante de Dieu, il n’y a qu’une seule réaction de personnalité raisonnable et naturelle : vous aimerez votre Auteur de plus en plus. Vous rendrez à Dieu une affection analogue à celle qu’un enfant donne à un parent terrestre. En effet, de même qu’un père, un père réel, un vrai père, aime ses enfants, de même le Père Universel aime les fils et filles qu’il a créés et cherche perpétuellement leur bienêtre. » LU 2:5.9
« « Parce que mon Père est un Dieu d’amour et se réjouit de pratiquer la miséricorde, ne vous imprégnez pas de l’idée que le service du royaume doit être d’une facilité monotone. L’ascension au Paradis est la suprême aventure de tous les temps, le rude accomplissement de l’éternité. Le service du royaume sur terre fera appel à toute la courageuse virilité que vous et vos collaborateurs pourrez rassembler. Beaucoup d’entre vous seront mis à mort à cause de votre fidélité à l’évangile de ce royaume. Il est facile de mourir au champ de bataille, dans une guerre matérielle, quand votre courage est renforcé par la présence de vos camarades de combat, mais il faut une forme supérieure et plus profonde de courage humain et de dévouement pour sacrifier sa vie, calmement et tout seul, pour l’amour d’une vérité enchâssée dans votre cœur de mortel. »
« « Aujourd’hui, les incroyants peuvent vous reprocher avec mépris de prêcher un évangile de non-résistance et de vivre une vie de non-violence, mais vous êtes les premiers volontaires d’une longue lignée de croyants sincères à l’évangile de ce royaume, qui étonneront toute l’humanité par leur consécration héroïque à ces enseignements. Aucune armée au monde n’a jamais déployé plus de courage et de bravoure que vous et vos loyaux successeurs n’en montreront en allant proclamer au monde entier la bonne nouvelle — la paternité de Dieu et la fraternité des hommes. Le courage de la chair est la forme inférieure de bravoure. La bravoure mentale est un type plus élevé de courage humain, mais la bravoure supérieure et suprême est une fidélité intransigeante aux convictions éclairées concernant les réalités spirituelles profondes. Un tel courage constitue l’héroïsme des hommes qui connaissent Dieu. Or, vous êtes tous des hommes qui connaissez Dieu ; vous êtes même, en toute vérité, les associés personnels du Fils de l’Homme. » » LU 143:1.6
« Depuis le Sermon sur la Montagne jusqu’au Discours du Dernier Souper, Jésus apprit à ses disciples à manifester un amour paternel plutôt qu’un amour fraternel. L’amour fraternel consiste à aimer votre prochain comme vous-même, ce qui serait une application adéquate de la « règle d’or » ; mais l’affection paternelle exige que vous aimiez vos compagnons mortels comme Jésus vous aime. » LU 140:5.1
« Jésus aime l’humanité d’une double affection. Il a vécu sur terre sous une personnalité duelle — humaine et divine. En tant que Fils de Dieu, il aime les hommes d’un amour paternel — il est leur Créateur, leur Père dans l’univers. En tant que Fils de l’Homme, Jésus aime les mortels comme un frère — il était vraiment un homme parmi les hommes. » LU 140:5.2
« « Quand un homme avisé comprend les impulsions intérieures de ses semblables, il les aime ; et, quand vous aimez votre frère, vous lui avez déjà pardonné. Cette aptitude à comprendre la nature de l’homme et à pardonner ses actions apparemment mauvaises est divine. Si vous êtes de sages parents, c’est ainsi que vous aimerez et comprendrez vos enfants, et même que vous leur pardonnerez quand des malentendus temporaires auront paru vous séparer. L’enfant est dépourvu de maturité et ne comprend pas la profondeur des relations entre enfant et père ; il éprouve donc souvent un sentiment de séparation coupable quand il ne reçoit pas la pleine approbation de son père ; mais un véritable père n’est jamais conscient d’une telle séparation. Le péché est une expérience de la conscience des créatures ; il ne fait pas partie de la conscience de Dieu. » LU 174:1.4
« Dieu le Père ne traite pas l’homme, son enfant, sur la base de ses vertus ou de ses mérites actuels, mais en reconnaissant les mobiles de l’enfant — le dessein et l’intention de la créature. Il s’agit d’une relation de parent à enfant, et cette association est animée par l’amour divin. » LU 103:4.5
« « La ‘crainte du Seigneur’ a eu différentes significations dans les âges successifs ; elle a commencé par la peur, continué par l’angoisse et la frayeur, et fini par la crainte et le respect. Partant du respect, je voudrais maintenant vous élever à l’amour en vous le faisant reconnaitre, réaliser et apprécier. Quand l’homme ne reconnait que les œuvres de Dieu, il est conduit à avoir peur du Suprême ; quand il commence à comprendre et à connaitre par expérience la personnalité et le caractère du Dieu vivant, il est conduit à aimer de plus en plus ce bon et parfait Père universel et éternel. C’est précisément ce changement de relation entre l’homme et Dieu qui constitue la mission du Fils de l’Homme sur terre. » LU 149:6.3 Prov 1:7; 9:10. Ps 111:10. Job 28:28.
« Vos ancêtres craignaient Dieu parce qu’il était puissant et mystérieux. Vous l’adorerez parce qu’il est magnifique en amour, généreux en miséricorde et glorieux en vérité. La puissance de Dieu fait naitre la peur dans le cœur humain, mais la noblesse et la droiture de sa personnalité engendrent le respect, l’amour et l’adoration spontanée. Un fils affectueux et déférent ne craint ni ne redoute un père, même puissant et noble. » LU 149:6.5
« Je suis venu dans le monde pour remplacer la peur par l’amour, le chagrin par la joie, la crainte par la confiance, l’esclavage servile et les cérémonies dépourvues de sens par le service expression de l’amour et l’adoration appréciative. Il reste cependant vrai, pour ceux qui siègent dans les ténèbres, que ‘la crainte du Seigneur est le commencement de la sagesse.’ Quand la lumière brillera plus pleinement, les fils de Dieu seront amenés à louer l’Infini pour ce qu’il est, plutôt qu’à le craindre pour ce qu’il fait. » LU 149:6.5 Ps 111:10.
« « On vous a enseigné qu’il faut ‘craindre Dieu et observer ses commandements, car c’est là tout le devoir de l’homme’. Or, je suis venu vous donner un commandement nouveau et supérieur. Je voudrais vous enseigner à ‘aimer Dieu et à apprendre à faire sa volonté, car c’est le plus grand privilège des fils de Dieu libérés’. On a appris à vos pères à ‘craindre Dieu — le Roi Tout-Puissant’. Moi, je vous enseigne : ‘Aimez Dieu — le Père infiniment miséricordieux.’ » LU 149:6.7 Eccl 12:13 .
« L’amour, le désintéressement, doit constamment subir une vivante réadaptation interprétative des relations conforme aux directives de l’Esprit de Vérité. Il faut que l’amour saisisse ainsi les concepts toujours changeants et plus étendus du bien cosmique le plus élevé pour la personne qui est aimée. Ensuite, l’amour continue en observant cette même attitude envers toutes les autres personnes susceptibles d’être influencées par les rapports vivants et croissants de l’amour d’un mortel dirigé par l’esprit pour d’autres citoyens de l’univers. Et toute cette adaptation vivante de l’amour doit être effectuée en tenant compte à la fois de la présence du mal ambiant, et du but éternel de perfection de la destinée divine. » LU 180:5.10
« Les dons de Dieu — ses effusions de réalité — ne lui enlèvent rien ; il n’aliène pas sa création, mais il a établi des tensions dans les créations circulant autour du Paradis. Dieu commence par aimer l’homme et lui confère le potentiel d’immortalité — la réalité éternelle. Et, dans la mesure où il aime Dieu, l’homme devient éternel en actualité. Et voici un mystère : Plus un homme approche Dieu de près par l’amour, plus la réalité — l’actualité — de cet homme est grande. Plus un homme se retire de Dieu, plus il approche de près la non-réalité — la cessation d’existence. Quand un homme consacre sa volonté à faire la volonté du Père, quand un homme donne à Dieu tout ce qu’il a, alors Dieu fait de cet homme plus qu’il n’est. » LU 117:4.14
« L’homme ne peut provoquer la croissance, mais il peut lui fournir des conditions favorables. La croissance est toujours inconsciente, qu’elle soit physique, intellectuelle ou spirituelle. C’est ainsi que croit l’amour ; on ne peut ni le créer, ni le fabriquer, ni l’acheter ; il faut qu’il croisse. L’évolution est une technique cosmique de croissance. La croissance sociale ne peut être assurée par la législation, ni la croissance morale par une meilleure administration. L’homme peut construire une machine, mais sa valeur réelle doit dériver de la culture humaine et d’une appréciation personnelle. L’unique contribution de l’homme à la croissance est la mobilisation de la totalité des pouvoirs de sa personnalité — sa foi vivante. » LU 100:3.7
« L’avancement incessant et grandissant des forces créatives du Paradis à travers l’espace semble présager l’extension incessante du domaine d’emprise gravitationnelle du Père Universel et la multiplication sans fin de types variés de créatures intelligentes qui sont capables d’aimer Dieu et d’être aimées par lui, et qui, commençant ainsi à reconnaitre Dieu, peuvent choisir de devenir semblables à lui, peuvent décider d’atteindre le Paradis et de trouver Dieu. » LU 56:9.13
« Il faut que la conscience sociale désintéressée soit, au fond, une conscience religieuse, si elle se veut objective ; autrement, c’est une abstraction philosophique purement subjective, donc dépourvue d’amour. Seul un individu connaissant Dieu peut aimer une autre personne comme il s’aime lui-même. » LU 16:9.8
« « Je vous le dis : aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent, bénissez ceux qui vous maudissent, et priez pour ceux qui se servent de vous avec dédain. Faites aux hommes tout ce que vous croyez que je leur aurais fait. » LU 140:3.15 Matt 5:44. Luc 6:27,28,35.
« À travers toutes les vicissitudes de la vie, souvenez-vous toujours de vous aimer les uns les autres. Ne luttez pas contre les hommes, même contre les incroyants. Montrez de la miséricorde même à ceux qui abusent outrageusement de vous. Soyez des citoyens loyaux, des artisans probes, des voisins dignes de louanges, des membres dévoués de votre famille, des parents compréhensifs et des croyants sincères à la fraternité du royaume du Père. Et mon esprit sera sur vous, maintenant et jusqu’à la fin du monde. » LU 178:1.17
« Vous ne pouvez pas aimer vraiment vos compagnons par un simple acte de volonté. L’amour nait seulement d’une compréhension approfondie et consommée des mobiles et des sentiments de votre prochain. Il est moins important d’aimer tous les hommes aujourd’hui que d’apprendre chaque jour à en aimer un de plus. Si, chaque jour ou chaque semaine, vous parvenez à comprendre un compagnon de plus, et si c’est la limite de vos capacités, alors vous êtes certainement en voie de rendre votre personnalité sociale et vraiment spirituelle. L’amour est contagieux ; et, quand la dévotion humaine est intelligente et sage, l’amour a plus d’emprise que la haine. Mais seul l’amour authentique et désintéressé est vraiment contagieux. Si seulement chaque mortel pouvait devenir un foyer d’affection dynamique, le virus bénin de l’amour imprègnerait bientôt le courant émotionnel sentimental de l’humanité au point que toute la civilisation serait enveloppée d’amour, et ce serait la réalisation de la fraternité humaine. » LU 100:4.6
« Si vous apprenez à n’aimer que ceux qui vous aiment, vous êtes destinés à vivre une vie étroite et médiocre. Effectivement, il est possible que l’amour humain soit réciproque, mais l’amour divin se répand vers l’extérieur dans toutes ses recherches de satisfaction. Moins il y a d’amour dans la nature d’une créature, plus cette créature a besoin d’être aimée et plus l’amour divin cherche à satisfaire ce besoin. L’amour n’est jamais égoïste et l’on ne peut l’effuser sur soi-même. L’amour divin ne peut être contenu en lui-même ; il lui faut s’effuser généreusement. » LU 156:5.11
« Le savant qui recherche les faits conçoit Dieu comme la Cause Première, un Dieu de force. L’artiste qui exprime l’émotion voit Dieu comme un idéal de beauté, un dieu d’esthétique. Le philosophe raisonneur incline parfois à poser le principe d’un Dieu d’unité universelle, voire d’une Déité panthéiste. La personne religieuse ayant la foi croit en un Dieu qui entretient la survie, au Père dans les cieux, au Dieu d’amour. » LU 5:5.3
« Le religioniste, qualifié en philosophie, a foi en un Dieu personnel de salut personnel, en quelque chose de plus qu’une réalité, une valeur, un niveau d’accomplissement, un processus supérieur, une transmutation, l’ultime de l’espace-temps, une idéalisation, la personnalisation de l’énergie, l’entité de la gravitation, une projection humaine, l’idéalisation du moi, la poussée élévatrice de la nature, le penchant à la bonté, l’impulsion en avant de l’évolution ou une hypothèse sublime. Le religioniste a foi en un Dieu d’amour. L’amour est l’essence de la religion et la source vive des civilisations supérieures. » LU 102:6.3
« Les hommes mortels n’ont absolument pas la possibilité de connaitre l’infinitude du Père céleste. Le mental fini ne saurait concevoir entièrement un fait absolu ou une vérité absolue de cet ordre. Mais les mêmes êtres humains finis peuvent effectivement ressentir — littéralement éprouver — le plein impact non affaibli de cet AMOUR infini du Père. On peut vraiment faire l’expérience d’un tel amour, mais, tandis que la qualité de cette expérience est illimitée, sa quantité est strictement limitée par la capacité humaine de réceptivité spirituelle et par la capacité associée d’aimer le Père en retour. » LU 3:4.6
« L’appréciation finie des qualités infinies transcende de loin les capacités limitées de logique des créatures, du fait que l’homme mortel est créé à l’image de Dieu et qu’un fragment de l’infinité vit en lui. Si donc l’homme veut s’approcher de Dieu aussi près et aussi affectueusement que possible, il doit le faire par l’amour, car Dieu est amour. La totalité de cette relation réciproque unique est une expérience actuelle de sociologie cosmique, la relation Créateur-créature — l’affection Père-enfant. » LU 3:4.7
« Évitez la malhonnêteté et l’injustice dans vos efforts pour prêcher la vérité et proclamer l’évangile. Ne recherchez pas une reconnaissance injustifiée et ne sollicitez pas une sympathie imméritée. Aimez, recevez libéralement les bienfaits de source humaine et divine indépendamment de vos mérites, et aimez libéralement en retour. Mais, dans toutes les autres choses qui concernent les honneurs et l’adulation, recherchez seulement ce qui vous appartient en toute honnêteté. » LU 156:5.19
« Jésus pouvait être d’un tel secours aux hommes parce qu’il les aimait sincèrement. Il aimait véritablement chaque homme, chaque femme et chaque enfant. Il pouvait être un véritable ami à cause de sa remarquable perspicacité — il connaissait entièrement le contenu du cœur et du mental de l’homme. Il était un observateur plein d’intérêt et de finesse. Il était expert à comprendre les besoins des hommes et habile à détecter leurs désirs. » LU 171:7.4
« Jésus n’était jamais pressé. Il avait le temps de réconforter ses semblables « en passant ». Il s’arrangeait toujours pour que ses amis se sentent à l’aise. Il était un auditeur charmant. Il ne tentait jamais de sonder de manière indiscrète l’âme de ses associés. Quand il réconfortait un mental inassouvi et soignait une âme assoiffée, le bénéficiaire de sa miséricorde n’avait pas tellement le sentiment de se confesser à lui, mais plutôt de conférer avec lui. Ils avaient en lui une confiance illimitée parce qu’ils voyaient qu’il avait tellement foi en eux. »
« Jésus ne semblait jamais faire montre de curiosité envers les gens et ne manifestait jamais le désir de les commander, de les diriger, ou de garder contact par la suite. Il inspirait une profonde confiance en soi et un solide courage à tous ceux qui jouissaient de sa compagnie. Quand il souriait à une personne, celle-ci ressentait une capacité accrue de résoudre ses multiples problèmes. » LU 171:7.5-6 Mark 2:14. Jean 9:1.
« Jésus aimait tellement les hommes, et si sagement, qu’il n’hésitait jamais à être sévère avec eux quand l’occasion exigeait cette discipline. Pour aider une personne, il commençait souvent par lui demander de l’aide. De cette manière, il suscitait de l’intérêt et faisait appel aux meilleurs éléments de la nature humaine. » LU 171:7.7
« 'Comme le Père m’a aimé, moi aussi je vous ai aimés. Vivez dans mon amour comme je vis dans l’amour du Père. Si vous faites ce que je vous ai enseigné, vous demeurerez dans mon amour comme j’ai gardé la parole du Père et je demeure à jamais dans son amour. LU 180:2.2 Jean 15:9-10.
« En fait, le sarment n’existe que pour porter des fruits et ne peut rien faire d’autre que produire des raisins. De même, le vrai croyant n’existe que pour porter les fruits de l’esprit, qui consistent à aimer les hommes comme lui-même a été aimé par Dieu — à s’aimer les uns les autres comme Jésus nous a aimés. » LU 180:2.5 Jean 13:34.
« « Mais souviens-toi de ma promesse : Quand je serai ressuscité, je demeurerai quelque temps avec vous avant d’aller vers le Père. Ce soir même, je supplierai le Père de fortifier chacun de vous pour l’épreuve que vous allez si prochainement traverser. Je vous aime tous de l’amour dont le Père m’aime, et vous devriez donc vous aimer désormais les uns les autres comme je vous ai aimés. » » LU 181:2.30 Jean 15:12.
« Par le pouvoir de son amour personnel pour les hommes, Jésus pouvait briser l’emprise du péché et du mal. Il donnait ainsi la liberté de choisir de meilleurs modes de vie. Jésus présenta une délivrance du passé qui, en elle-même, promettait un triomphe pour l’avenir. Le pardon procurait donc le salut. Quand l’amour divin est pleinement admis dans le cœur humain, sa beauté détruit pour toujours l’envoutement du péché et le pouvoir du mal. » LU 188:5.3
« La croix montre pour toujours que l’attitude de Jésus envers les pécheurs n’était ni une condamnation ni une indulgence, mais plutôt la recherche éternelle et aimante de leur salut. Jésus est vraiment un sauveur en ce sens que sa vie et sa mort gagnent bel et bien les hommes à la bonté et à une survie dans la droiture. Jésus aime tellement les hommes que son amour éveille une réponse d’amour dans le cœur humain. L’amour est vraiment contagieux et éternellement créatif. La mort de Jésus sur la croix donne l’exemple d’un amour suffisamment fort et divin pour pardonner les péchés et engloutir toute malfaisance. Jésus révéla à ce monde une qualité de droiture supérieure à la justice — simple technique du bien et du mal. L’amour divin ne se borne pas à pardonner les torts ; il les absorbe et les détruit réellement. Le pardon de l’amour transcende de loin le pardon de la miséricorde. La miséricorde met de côté la culpabilité du méfait, mais l’amour détruit définitivement le péché et toutes les faiblesses qui en résultent. Jésus apporta une nouvelle manière de vivre sur Urantia. Il ne nous enseigna pas à résister au mal, mais à trouver à travers lui, Jésus, une bonté qui détruit efficacement le mal. Le pardon de Jésus n’est pas une indulgence ; il sauve de la condamnation. Le salut ne minimise pas les torts, il les redresse. Le véritable amour ne comporte ni compromis avec la haine ni indulgence pour elle ; il la détruit. L’amour de Jésus ne se satisfait jamais du simple pardon. L’amour du Maitre implique la réhabilitation, la survie éternelle. Il est parfaitement correct de qualifier le salut de rédemption si l’on veut parler de cette réhabilitation éternelle. » LU 188:5.2
« Le ministère du Fils Éternel est consacré à la révélation du Dieu d’amour à l’univers des univers. Ce Fils divin n’a pas entrepris la tâche avilissante d’essayer de persuader son gracieux Père d’aimer ses humbles créatures et de témoigner de la miséricorde aux malfaisants du temps. Quelle erreur d’envisager le Fils Éternel comme suppliant le Père Universel d’être miséricordieux envers ses humbles créatures des mondes matériels de l’espace ! De tels concepts de Dieu sont grotesques et grossiers. Il vaudrait mieux réaliser que tous les secours miséricordieux des Fils de Dieu révèlent directement le cœur du Père, plein d’amour universel et de compassion infinie. L’amour du Père est la source réelle et éternelle de la miséricorde du Fils. » LU 6:3.4
« Il est faux de croire que Dieu soit amené à aimer ses enfants à cause des sacrifices de ses Fils ou de l’intercession de ses créatures subordonnées, « car le Père lui-même vous aime ». C’est par suite de cette affection paternelle que Dieu envoie les merveilleux Ajusteurs habiter le mental des hommes. L’amour de Dieu est universel. « Quiconque le veut peut venir. » Il voudrait « voir tous les hommes sauvés en parvenant à la vérité ». « Il ne désire pas qu’aucun d’eux périsse. » »
« Les Créateurs sont les premiers à tenter de sauver l’homme des résultats désastreux de ses folles transgressions des lois divines. Par nature, l’amour de Dieu est une affection paternelle. Donc, parfois « il nous châtie pour notre propre profit, afin que nous puissions participer à sa sainteté ». Même au cours de vos cuisantes épreuves, rappelez-vous que « dans toutes nos afflictions, il est affligé avec nous. » » LU 2:5.2-3 [Jean 16:27](/fr/Bible/John/ 16#v27). Actes 2:21. 1 Tim 2:4. 2 Pierre 3:9. [IlLU 12:6.10. Isa 63:9.
« La droiture implique que Dieu est la source de la loi morale de l’univers. La vérité fait ressortir Dieu comme un révélateur, comme un maitre. Mais l’amour donne l’affection et la souhaite ardemment ; il recherche une communion compréhensive comme il en existe entre parents et enfants. Il se peut que la droiture soit la pensée divine, mais l’amour est l’attitude d’un père. Certains ont supposé à tort que la droiture de Dieu était inconciliable avec l’amour désintéressé du Père céleste. Cela présupposait l’absence d’unité dans la nature de la Déité et conduisait directement à élaborer la doctrine du rachat qui est un outrage philosophique à la fois à l’unité et au libre arbitre de Dieu. » LU 2:6.5
« L’effusion d’un Fils du Paradis sur votre monde était inhérente à la clôture d’un âge planétaire. Elle était inévitable et ne résultait pas nécessairement du dessein de gagner les faveurs de Dieu. Il advint aussi que cette effusion fut l’acte final personnel d’un Fils Créateur dans la longue aventure pour gagner par expérience la souveraineté sur son univers. Les hommes ont enseigné que le cœur paternel de Dieu, dans toute sa froideur et sa dureté austères, était si peu touché par les malheurs et les chagrins de ses créatures que sa tendre miséricorde ne pouvait se manifester avant qu’il ait vu son Fils irréprochable saigner et mourir sur la croix du Calvaire ! Quelle parodie du caractère infini de Dieu ! » LU 4:5.6
« « La colère est une manifestation matérielle qui représente, d’une manière générale, la mesure dans laquelle la nature spirituelle n’a pas réussi à dominer les natures intellectuelle et physique conjuguées. La colère indique votre manque d’amour fraternel tolérant, plus votre manque de respect de soi et de maitrise de soi. La colère épuise la santé, avilit le mental et handicape l’instructeur spirituel de l’âme de l’homme. N’avez-vous pas lu dans les Écritures que ‘le courroux tue l’homme stupide’ et que l’homme ‘se déchire lui-même dans sa colère’ ? Et que ‘celui qui est lent à la colère possède une grande compréhension’, tandis que ‘quiconque s’irrite rapidement exalte la folie’ ? Vous savez tous ‘qu’une réponse douce détourne le courroux’ et que ‘des paroles dures excitent la colère’. ‘La retenue ajourne la colère’, et ‘celui qui ne se contrôle pas lui-même ressemble à une ville sans défense et sans remparts’. ‘Le courroux est cruel et la colère est outrageante.’ ‘Les hommes irrités fomentent la dispute, tandis que les furieux multiplient leurs transgressions.’ ‘Ne soyez pas hâtifs en esprit, car la colère repose dans le sein des fous.’ » Avant de terminer, Jésus dit encore : « Que votre cœur soit dominé par l’amour, afin que votre guide spirituel n’ait pas trop de peine à vous délivrer de la tendance à laisser éclater des accès de colère animale incompatibles avec le statut de filiation divine. » » LU 149:4.2 /5#v2); 18:4. Prov 14:29; 15:1 ; 19:11; 25:28; 27:4 ; 29:22. Qo 7:9.
« Quand les hommes perdent de vue l’amour d’un Dieu personnel, le royaume de Dieu devient simplement le royaume du bien. Malgré l’unité infinie de la nature divine, l’amour est la caractéristique dominante de toutes les relations personnelles de Dieu avec ses créatures. » LU 2:5.12
« Jésus mit ses apôtres sérieusement en garde contre la folie de l’enfant de Dieu qui abuse de l’amour du Père. Il déclara que le Père céleste n’est pas un père négligent, relâché ou sottement indulgent, toujours prêt à excuser le péché et à pardonner l’insouciance. Il recommanda à ses auditeurs de ne pas appliquer, de façon erronée, son illustration du père et du fils de façon qu’elle fasse apparaitre Dieu comme semblable à certains parents trop indulgents et dépourvus de sagesse qui conspirent, avec la folie de la terre, pour consommer la ruine morale de leur progéniture écervelée, et qui contribuent ainsi, certainement et directement, à démoraliser de bonne heure leurs propres enfants et à en faire des délinquants. Jésus dit : « Mon Père n’excuse pas avec indulgence les pratiques de ses enfants quand elles mènent à la destruction automatique de toute croissance morale et à la ruine de tout progrès spirituel. Ces pratiques coupables sont une abomination aux yeux de Dieu. » » LU 147:5.9
« ‘Job avait tout à fait raison lorsqu’il a contesté la doctrine selon laquelle Dieu afflige les enfants pour punir leurs parents. Job était toujours prêt à admettre que Dieu est juste, mais il aspirait à une révélation satisfaisante pour l’âme du caractère personnel de l’Éternel. Et c’est notre mission sur terre. Les mortels souffrants ne seront plus privés de la consolation de connaître l’amour de Dieu et de comprendre la miséricorde du Père céleste. Alors que le discours de Dieu prononcé depuis le tourbillon était un concept majestueux pour le jour où il a été prononcé, vous avez déjà appris que le Père ne se révèle pas ainsi, mais plutôt qu’il parle dans le cœur humain comme une petite voix douce, disant , "Ceci est le chemin; marchez-y. Ne comprends-tu pas que Dieu habite en toi, qu’il est devenu ce que tu es pour faire de toi ce qu’il est !’” LU 148:6.10
« La clairvoyance religieuse possède le pouvoir de transformer une défaite en désirs supérieurs et en nouvelles déterminations. L’amour est la motivation la plus élevée que l’homme puisse utiliser dans son ascension de l’univers. Mais, quand l’amour est dépouillé de vérité, de beauté et de bonté, il n’est que sentiment, déformation philosophique, illusion psychique et tromperie spirituelle. L’amour doit toujours être défini à nouveau sur les niveaux successifs de la progression morontielle et spirituelle. » LU 196:3.29
« Mais la vraie religion est un amour vivant, une vie de service. Le détachement du religioniste de quantité de choses purement temporelles et insignifiantes, ne conduit jamais à l’isolement social et cela ne devrait pas détruire le sens de l’humour. La religion authentique n’enlève rien à l’existence humaine, mais ajoute au contraire de nouvelles significations à l’ensemble de la vie. Elle engendre de nouveaux types d’enthousiasme, de zèle et de courage, pouvant même aller jusqu’à l’esprit de croisade ; ce dernier est plus que dangereux s’il n’est pas contrôlé par la clairvoyance spirituelle et la dévotion sincère aux obligations sociales ordinaires des allégeances humaines. » LU 100:6.5
« Pour l’homme fini, la vérité, la beauté et la bonté embrassent la pleine révélation de la réalité de divinité. À mesure que cet amour-compréhension de la Déité trouve son expression spirituelle dans la vie des mortels qui connaissent Dieu, les fruits de la divinité sont produits : paix intellectuelle, progrès social, satisfaction morale, joie spirituelle et sagesse cosmique. Les mortels avancés sur un monde au septième stade de lumière et de vie ont appris que l’amour est la plus grande chose de l’univers — et ils savent que Dieu est amour. »
“L’amour est le désir de faire du bien aux autres.” LU 56:10.20
« « L’amour de l’Esprit » est réel ainsi d’ailleurs que ses chagrins ; donc « n’attristez pas l’Esprit de Dieu ». Lorsque nous observons l’Esprit Infini soit comme une Déité du Paradis, soit comme l’Esprit Créatif d’un univers local, nous constatons que le Créateur Conjoint n’est pas seulement la Source-Centre Troisième, mais aussi une personne divine. Cette personnalité divine réagit également à l’univers comme une personne. L’Esprit vous dit : « Que celui qui a des oreilles écoute ce que dit l’Esprit. » « L’Esprit lui-même intercède pour vous. » L’Esprit exerce une influence directe et personnelle sur les êtres créés, « car tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu, ceux-là sont les Fils de Dieu ». » LU 8:6.4 Eph 4:30. Ap 13:9. Rom 8:26; 8:14.
« Dieu le Père aime les hommes. Dieu le Fils sert les hommes. Dieu l’Esprit inspire les enfants de l’univers dans l’aventure toujours ascendante de trouver Dieu le Père par les voies ordonnées par Dieu les Fils, au moyen du ministère de la grâce de Dieu l’Esprit. » LU 3:6.8
“Dieu est amour, et celui qui demeure dans l’amour demeure en Dieu.” 1 Jean 4:16.
“Le Père lui-même vous aime.” Jean 16:27.
“Je t’ai aimé d’un amour éternel.” Jer 31:3.
“Doter de richesses ceux qui m’aiment, et remplir leurs trésors.” Prov 8:21.
“Puissent prospérer ceux qui t’aiment.” Ps 122:6.
“Voyez quel amour le Père nous a donné pour que nous soyons appelés enfants de Dieu.” 1 Jean 3:1.
“Nous aimons, parce qu’il nous a aimés le premier.” 1 Jean 4:19.
“Haïssez le mal et aimez le bien… le Seigneur… sera miséricordieux.” Amos 5:15.
“Le Seigneur aime ceux qui haïssent le mal.” Ps 97:10.
“Ceux que j’aime, je reprends et je châtie.” Ap 3:19. (Prov 3:12.)
“Car le Seigneur châtie celui qu’il aime.” Héb 12:6.
“L’espérance ne nous déçoit pas, car l’amour de Dieu a été répandu dans nos cœurs par le Saint-Esprit qui nous a été donné.” Rom 5:5.
“Car Dieu ne nous a pas donné un esprit de timidité mais un esprit de puissance, d’amour et de maîtrise de soi.” 2 Tim 1:7.
“Il n’y a pas de peur dans l’amour, mais l’amour parfait chasse la peur.” 1 Jean 4:18.
“Car Dieu aime celui qui donne avec joie.” 2 Cor 9:7.
“L’amour du Christ nous contrôle.” 2 Co 5:14.
“Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle.” Jean 3:16.
“Et tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton coeur, de toute ton âme et de toute ta force.” Dt 6:5.
“Et de l’aimer de tout son coeur, de toute son intelligence et de toute sa force.” Marc 12:33.
“Si tu m’aimes, tu garderas mes commandements.” Jean 14:15.
Et c’est cela l’amour, que nous suivions ses commandements ; c’est le commandement, comme vous l’avez entendu dès le début, que vous suiviez l’amour. 2 Jean 1:6.
« Que ceux qui aiment ton salut disent toujours : ‘Dieu est grand !’ » Ps 70:4.
“L’amour est l’accomplissement de la loi.” Rom 13:10.
« Afin que Christ habite dans vos cœurs par la foi ; afin que vous, étant enracinés et fondés dans l’amour, ayez le pouvoir de comprendre avec tous les saints quelle est la largeur, la longueur, la hauteur et la profondeur, et de connaître l’amour de Christ qui surpasse toute connaissance, afin que vous soyez remplis de toute la plénitude de Dieu." Ep 3:17,18.
“Dire la vérité avec amour.” Eph 4:15.
“Sans l’avoir vu tu l’aimes.” 1 Pierre 1:8.
“Mais celui qui garde sa parole, en lui le véritable amour pour Dieu est parfait.” 1 Jean 2:5.
“Tu aimeras ton prochain comme toi-même.” Matthieu 22:39.
« Aimez la Fraternité. Craignez Dieu. 1 Pierre 2:17.
“Que l’amour fraternel continue.” Héb 13:1.
« Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres ; car l’amour est de Dieu, et celui qui aime est né de Dieu et connaît Dieu. 1 Jean 4:7.
“A ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour les uns pour les autres.” Jean 13:35.
“Ceci est mon commandement, que vous vous aimiez les uns les autres comme je vous ai aimés.” Jean 15:12. (Jean 13:34.)
« Aimez vos ennemis et priez pour ceux qui vous persécutent. Matthieu 5:44.
“La haine attise les querelles, mais l’amour couvre toutes les offenses.” Prov 10:12.
“Mais le fruit de l’esprit est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bonté, la fidélité, la douceur, la maîtrise de soi.” Ga 5:22.
« Alors la foi, l’espérance, l’amour demeurent, ces trois-là ; mais le plus grand d’entre eux est l’amour. 1 Co 13:13.
« Celui qui n’aime pas ne connaît pas Dieu ; car Dieu est amour. 1 Jean 4:8.
“Un plus grand amour n’a pas d’homme que celui-ci, qu’un homme donne sa vie pour ses amis.” Jean 15:13.
“Car l’amour de l’argent est la racine de tous les maux.” 1 Tim 6:10.
« N’aimez pas le monde ni les choses du monde. Si quelqu’un aime le monde, l’amour du Père n’est pas en lui. 1 Jean 2:15.
REMARQUE : Dans de nombreux passages de la version King James, l’amour est traduit par « charité ». Pratiquement tous ces passages de « charité » sont remplacés par « amour » dans la version révisée.
Dans l’ensemble, la Bible présente le concept grec de l’amour et, ce faisant, en reconnaît cinq types :