© 1999 Bob Slagle
© 1999 Association Internationale Urantia (IUA)
L'education et la Famille | Journal — Mars 1999 — Table des matières | Le plan divin pour attaindre la perfection |
Bob Slagle
Sebastopol, Californie, USA
Le Livre d’Urantia et l’histoire humaine reflètent ce fait de conscience-engour-dissement que pendant des millénaires sans fin, les enfants dans le monde entier, ont été achetés, vendus, échangés, abusés et exterminés. Nos enfants sont une sous-unité vulnérable de la société — sans possibilité de se défendre, sans droits, et avec peu de défenseurs.
Même aujourd’hui, nous assistons à un défilé d’enfants maltraités, à la fois consciemment et surtout inconsciemment. Considérez la féssée. D’après des recherches très sérieuses, il a été mis en évidence et démontré d’une manière irréfutable que cette forme de punition est non seulement inefficace, mais elle peut aussi attester que l’enfant qui est battu sera traumatisé pendant son enfance, fera montre d’agressivité dans son adolescence, et de dépression lorsqu’il sera adulte (Laub & Sampson, 1995; Rohner et al., 1991; Straus, 1995). Cependant, les sondages suggèrent que plus de 90% des américains donnent la féssée à leurs enfants. Contrastant avec ceci, les peuplades aborigènes du bush, innocentes et primitives du Kalahari ne battent jamais leurs enfants. Ils pensent que si vous frappez un enfant, cela ferme son cœur. Des formes profondément perspicaces dans l’inconscient et socialement acceptables d’abus d’enfants ont été découvertes par des groupes de théoriciens tels que Bowen, Bradshaw, Adler, Dreikers, et la psychiatre suisse Alice Miller. Dans ses livres For Your Own Good (1990), Thou Shalt Not Be Aware (1996), et, The Drama of the Gifted Child (1998), elle fait le portrait du mécanisme d’abus inconscients, une pédagogie pernicieuse transmise innocemment de génération en génération, une répression et une honte diabolique qui brisent l’esprit, et qui sont très difficles à cicatriser complètement, même vues de la position avantageuse de l’adulte (Goldenberg et Goldenberg 1991, p. 156).
Il est clair que l’humanité à profondément besoin d’un schéma directeur pour des systèmes familiaux sains et fonctionnels. Le Livre d’Urantia offre des principes directeurs, illustrés par des récits couvrant le millénaire, et qui peuvent servir de modèles pour guérir les ravages dans nos familles. Pour étudier et appliquer ces principes et leurs méthodes dérivées, nous pouvons créer une base en vue d’une coopération d’amour dans les foyers.
Dans cet article, j’établirai le rôle suprême de la famille comme reflétée dans cette grande révélation d’époque, je décrirai l’approche que prend Jésus dans l’harmonie familiale, et discuterai de la pratique des réunions de famille qui est basée à la fois sur les conseils de la famille des Andites et les pratiques sur les nombreux niveaux de la manière universelle de gouverner. Ce bref coup d’œil servira heureusement comme une impulsion pour les individus et les familles en vue d’initier et de faire avancer ces pratiques
Nous sommes tous membres d’une seule famille, la famille de Dieu. L’appui et la reconnaissance que donnent Le Livre d’Urantia à la famille, épuise pratiquement les concepts humains sur son importance et sa suprématie.
c’est la famille quijoue le rôle civilisateur majeur LU 82:0.2
La famille est …le seul espoir de survie de la civilisation . . . LU 84:8.6
Le groupe social le plus efficace de tous est la famille . . . LU 160:2.4
La vie de famille vaut n’importe quel prix, n’importe quel sacrifice LU 160:2.6
Comme les citations précédentes le démontrent, la famille est l’influence suprême, aussi bien que le véhicule d’expression et de croissance, sur les niveaux individuel, familial, racial, planétaire et cosmique:
Un Supernaphin Primaire chef des Séraphins d’Urantia dit: La famille est vitalement liée au mécanisme de la préservation de soi. Elle constitue le seul espoir de perpétuer la race sous les moeurs de la civilisation, tandis qu’en même temps elle procure certaines formes bautement satisfaisantes de contentement de soi. LU 84:6.8
Elever des citoyens cosmiques, enfants de l’éternelle destinée est un privilège qui inspire les parents pour les préserver au milieu de la vie familiale. Nul mortel survivant, nul médian, nul séraphin ne peut monter au Paradis, atteindre le Père et être enrôlé dans le Corps de la Finalité sans avoir passé par l’expérience sublime d’avoir établi des relations parentales avec un enfant … La relation entre parents et enfants est fondamentale pour concevoir la relation essentielle entre le Père Universel et ses enfants dans l’univers. LU 45:6.4
La vie de famille est le berceau de la vraie moralité, l’ancêtre de la fidélité consciente au devoir. Les associations forcées de la vie de famille stabilisent la personnalité et stimulent sa croissance par l’obligation indispensable de s’adapter à d’autres personnalités diverses. Mais ily a plus : une véritable famille une bonne famille - révèle aux parents procréateurs l’attitude du créateur envers ses enfants, tandis qu’en même temps, ses véritables parents dépeignent à leurs enfants la première d’une longue série ascendante de divulgations concernant l’amour du Père Paradisiaque à tous les enfants de l’univers. LU 84:7.30
…[L]a famille représente pour le jeune enfant tout ce qu’il peut savoir pour amorcer des relations humaines ou divines. L’enfant doit tirer des soins de sa mère ses premières impressions sur l’univers; il dépend entièrement de son père terrestre pour ses premières idées sur le Père céleste. LU 177:2.5
L’importance de la vie de famille sur notre monde est aussi mis en exergue par les médians: Nous croyons sincèrement que l’enseignement de l’évangile de Jésus fondé comme il l’est sur la relation entre enfant et père, ne pourra guère être accepté dans le monde entier avant l’époque où la vie familiale des peuples civilisés modernes, comportera plus d’amour et plus de sagesse. LU 177:2.6
L’importance suprême pour la vie familiale n’est pas unique à notre planète. Les peuples d’une nation continentale sur une planète voisine …considèrent le foyer comme l’institution fondamentale de leur civilisation. Ils escomptent que la partie la plus précieuse de l’éducation et de la formation du caractère d’un enfant sera fournie par ses parents et à son foyer. Les pères consacrent presque autant d’attention que les mères à la formation des enfants. LU 72:3.4
La famille humaine ne survit pas à la mort, mais elle peut contribuer à la survie individuelle, grâce aux valeurs, habitudes, contrôle de soi et satisfactions qui sont encouragées par la vie familiale. En plus, la famille forme la base des relations entre frère et sœur, où les parents et les enfants apprennent la patience, la tolérence, la constance et l’altruisme, tous essentiels à la réalisation de la fraternité entre les peuples.
Jésus comprenait ceci profondément, et sa vie a servi de model irréprochable pour les parents. Je suis particulièrement impressionné par la conversation que Jésus eut avec Jean-Marc, ce mercredi que le garçon passa seul avec Dieu sur les collines de Judée. Jésus rendit parfaitement clair que nos premières années de vie familiale ont une grande importance pour nous, non seulement dans cette vie et sur les mondes des maisons, mais aussi dans toute l’éternité. Toute la vie ultérieure d’un être bumain est immensément infuencée par tout ce qui se passe pendant les premières années de l’existence. LU 177:2.5
La vision qu’avait le Maître du rôle vital parental le conduisit à servir de père à sa famille terrestre pendant près de vingt ans (LU 126:3.2). Il persista jusqu’à son baptème à contribuer aux finances familiales, et à prendre un vif intérêt personnel au bien-être spirituel de chacun de ses frères et sœurs. (LU 129:0.1) Pour Jésus, la philosophie de la vie - sur terre et dans l’au-delà était centré sur la famille. Il fonda sur la famille ses enseignements au sujet de Dieu, tout en cherchant à corriger la tendance des juifs à rendre des honneurs excessifs à leurs ancêtres. Il loua la vie de famille comme leplus haut devoir humain (LU 140:8.14). Jésus conclut, à juste titre, que le soin de veiller sur la famille de son père terrestre devait prendre le pas sur tout autre devoir, et que le soutien de sa famille devait être sa première obligation (LU 126:3.5).
Comment pouvons-nous en ces temps de challenge et de grands changements, être dignes de tels idéaux élevés ? Inspirés par les principes du Livre d’Urantia, nous pouvons inventer des méthodes adaptées aux besoins de notre temps. Premièrement, nous devons clarifier les problèmes complexes actuels, tels que la dignité du libre arbitre de l’enfant.
Sur notre planète, pendant des âges, les enfants furent considérés comme une propriété. Grâce aux révélations, des parents abandonnent cette notion d’être propriétaire, pour concevoir celle d’avoir le privilège de la parenté - du mode de pensée de considérer ses enfants comme une possession, à celui d’être reconnaissant d’avoir l’honneur d’être les gardiens temporaires d’enfants de Dieu. Le but parental véritable est de graduellement abandonner le rôle parental traditionnel, avec son égoïsme fréquent, en faveur du rôle fraternel et même du rôle paternel et de sa modification vers le désintéressement.
« Graduellement» est ici le mot clef. Le parent avisé, aspire à nourrir la dignité du libre arbitre de chaque enfant à un rythme approprié à son développement: pas trop vite, de manière à ne pas surcharger l’enfant immature avec trop de liberté, pas trop lentement pour ne pas trop favoriser la dépendance et étouffer la croissance morale et créative. Quel challenge !
Il apparaît que tousles êtres sensibles du maître univers doivent respecter le libre arbitre. Cette politique universelle est clairement démontrée par les séraphins appelés «Les Pronostiqueurs de Lois». Dans Nébadon, les lois prennent leur origine dans les assemblées législatives des Constellations …lois qui ont pour but de procurer à une constellation entière le maximum de coordination compatible avec la politique établie de ne pas violer le libre arbitre moral des créatures personnelles [LU 39:3.3]. Même les Ajusteurs divins et parfaits se soumettent toujours à votre volonté [LU 110:2.1, LU 107:7.5, LU 111:2.1].
Qu’impliquent ces mandats pour les relations humaines, spécialement avec nos compagnons et nos enfants ? Si le fragment absolu du Père refuse d’empiéter sur le libre arbitre de son hôte mortel, même de la façon la plus discrète, quel droit avonsnous de violer le libre arbitre d’un de nos compagnons? (LU 54:1.9). Pourtant, si un de nos semblables ne possède pas un libre arbitre en activité, ce décret doit être ajusté pour convenir à la situation.
L’enfant dont le développement du libre arbitre émerge tendrement, correspond exactement à un tel cas. C’est une des puissantes raisons pour laquelle la parenté est une telle responsabilité monumentale et sacrée. Comment devons-nous approcher et accomplir cette tâche en respectant pleinement le libre arbitre de nos enfants en agissant comme des parents responsables ?
Jésus nous montre la voie dans la manière avec laquelle il se conduit avec ses frères et sœurs terrestres. Il apparaît qu’il institua une ingénieuse technique: l’usage des réunions de famille, ou la pratique des conseils de famille. Néanmoins, ce n’est pas la première fois que Le Livre d’Urantia mentionne de telles pratiques. Il y a 35.000 ans, les Andites tenaient des réunions de famille. Ils ne maintinrent pas la forme patriarcale ou autocratique de gouvernement familial. Ils étaient très fraternels et coopératifs, discutant franchement et librement toute leur gestion familiale. [LU 84:7.29]
Le Livre n’en dit guère plus concernant la manière dont les Andites tenaient leurs conseils de famille. Mais il contient une recommendation: le Chef des Séraphins d’Urantia dit: La société humaine serait grandement améliorée si les races civilisées voulaient revenir plus généralement à la pratique du conseil de famille des Andites [LU 84:7.29]. Rappelez vous que les Andites étaient la descendance suprahumaine de la progéniture du croisement entre les Adamites et les Nodites (LU 78:4.1, LU 80:4.3).
L’histoire des Andites nous offre peu de renseignements, c’est pouquoi je me tourne vers Jésus pour étudier la façon dont il s’occupa de sa famille terrestre, car son mental divin savait certainement (tout ce qui il y a à savoir) au sujet des Andites. De la manière dont l’histoire des réunions de famille se déroule, il devient clair que Jésus institua un processus céleste de prise de décisions — un processus valable.
Pendant la « dix-neuvième année », je trouve les directives les plus explicites concernant les relations essentielles de la famille et conseils de famille. Jésus utilisait invariablement la méthode positive d’exhortation. Il s’abstenait de donner de l’importance au mal en l’interdisant, tandis qu’il prônait le bien en ordonnant de l’accomplir [LU 127:4.2]. Le conseil de famille et le temps de la prière se pratiquaient ensemble. Et Jésus utilisa une discipline avisée très tôt dans l’éducation de ses frères et sœurs. Un des mots clef de la famille était « équité ». Les décisions concernant les problèmes de la famille semblent avoir été prises par consensus, elles ne prenaient effet que lorsque l’accord était unanime.
Ce qui m’a le plus surpris au sujet des conseils de famille que tenait Jésus, était l’absence de punition arbitraire et autoritaire pour tous méfaits ou infractions des règles familiales. Même une punition, unanimement approuvée par tous, ne pouvait être infligée sans la coopération volontaire de la personne incriminée (LU 127:4.3). La première fois que j’ai lu ce passage, je me suis dit que cela devait être une solution impossible. Un enfant ferait de l’obstructionnisme ou refuserait de donner son accord pour être puni, si il ou elle n’y était pas forcé. Mais avec plus de trnte ans d’expérience en tant que psychologue et conseiller en mariage, famille et enfant, j’ai découvert la validité de la méthode de Jésus. En fait, la résistence continue se révèle être rare dans le processus du conseil de famille.
L’histoire concernant le petit Jude est un exemple poignant. En trois occasions où il estima opportun de punir Jude pour avoir délibérément violé les règles de conduite de la famille et l’avoir avoué, son châtiment fut fixé par une décision unanime des enfants les plus âgés, et approuvé par Jude lui-même avant de lui être infligé [LU 127:4.3].
Par expérience personnelle, le trait le plus important des conseils de famille est d’aboutir à des décisions par un commun accord (Slagle, 1985). Beaucoup de familles ayant essayées la régle de la majorité, l’autorité parentale directe, et d’autres techniques, ont trouvé que le consensus était la méthode fonctionnant le mieux. Le consensus favorise la patience et encourage le compromis et la coopération. Tout le monde, incluant chaque enfant a le pouvoir égal et absolu d’exercer son veto dans les décisions des conseils de famille. Il est acceptable de convaincre des membres de la famille à propos d’un point de vue, mais la coercition doit être évitée. Ceci est pour se mettre en conformité avec le mandat divin que le libre arbitre de la créature est inviolable.
En tant que professeur et thérapeute, j’encourage les parents à guider l’enfant dans l’agenda des conseils de famille pour permettre à son libre arbitre à agir en fonction de son niveau de développement. Il est important que les parents n’utilisent pas leur séniorité en faisant échouer les decisions d’un conseil de famille. Une cause juste ne doit jamais être promue par la force; les victoires spirituelles se gagnent uniquement par le pouvoir spirituel [LU 159:3.2]. Graduellement, les parents aussi bien que les enfants dépendront des accords prenant leur origine dans les conseils de famille (accords inscrits dans un carnet) et reconnaissant la justice et la force du processus.
Pourquoi quelque chose paraissant aussi simple et banal qu’un conseil de famille soit approuvé par une telle haute autorité céleste, telle qu’elle a été utilisée dans sa dernière effusion par le Dieu de notre univers ? Cosidérez le parallèle entre la nature consensuelle des conseils de famille de Jésus et les jugements sur les niveaux les plus élevés du superunivers. Pensez à ceci: Lucifer, Satan et Caligastia terminent tous leurs carrières grâce aux conclusions issuent d’un conseil de famille supramortel. Quand une créature a fait un choix final complet et irréel au sujet de sa destinée universelle, les diffusions signifiant son extinction ne sont pas émisent sans qu’il y ait unanimité entre les trois Anciens des Jours. Cette forme de justice consensuelle est d’autant plus impressionnante quand nous considérons que les Anciens des Jours sont les plus fotrs et les plus puissants parmi tous les chefs directs des créations de l’espace-temps (LU 18:3.7). Cependant, malgré tous ces pouvoirs et perfection de jugement, notre Père qui est aux cieux, demande qu’aucune action ne soit prise jusqu’à ce que le pêcheur lui-même approuve la justesse du verdict (LU 54:3.2). Ceci aussi est une sorte de conférence familiale, quoique cosmiquement tragique.
Il apparaît que la Trinité du Paradis incarne la version la plus noble des conseils de famille. Un Melchisédek de Nébadon affirme: [L]e Maître, lorsqu’il était sur terre, prévint ses disciples que la justice n’est jamais un acte pe rso n ne l, mais toujours une fonction colle c tive. Les Dieux n’administrent non plus la justice en tant que personnes, mais ils accomplissnet cette même fonction en tant qu’ensemble collectif, en tant que Trinité de Paradis [LU 104:2.5]. A partir de cette fonction trinitaire, j’en déduis qu’une grande prudence doit être observée quand des parents humains cherchent à administrer la justice à leurs enfants au moyen de l’autorité personnelle à la place des décisions de groupe fondées sur la souveraineté de la famille. Comment les Dieux des univers locaux prennent ils leurs décisions ? Ils tiennent des conseils de famille célestes : Néanmoins, il existe un idéal du mariage dans les sphères supérieures. Sur la capitale de chaque système local, les Fils et les Filles Matériels de Dieu dépeignent effectivement la bauteur des idéaux de l’union d’un bomme et d’une femme dans les liens du mariage quand ils ont le dessein de procréer et d’élever une descendance [LU 83:8.5]. [L]e Fils et l’Esprit opèrent tous deux ensemble, et dans aucun acte créatif l’un ne fait quelque chose sans le conseil et l’approbation de l’autre [LU 33:3.8]. Ceci englobe le composant consensuel des conseils de famille.
Comme vous pouvez vous en souvenir, au jubilé des jubilés, l’Esprit-Mère jure fidélité et obéissance au Fils Créateur. Le Fils Créateur en retour, reconnaît son éternelle dépendance et son égalité en tant que chef conjoint des domaines de son univers. Cette association devient alors le modèle transcendant pour régir et organiser les familles, même chez les bumbles créatures des mondes de l’espace. C’est en fait et vérité l’idéal élevé de la famille [LU 33:3.6].
Il semble ainsi que partant du plus bas jusqu’au plus haut, d’Urantia à Salvington, d’Uversa au Paradis et au-delà, l’idée d’un conseil de famille est le tissu du gouvernement et de la justice universelle. Il n’est pas étonnant que nous soyons dirigés dans les pratiques des conseils de famille des Andites. Le model céleste de la vie de famille encourage les parents à se débarasser de la pseudo-souveraineté de l’autorité personnelle et de se relaxer dans la joie et la lumière des accords consensuels — souveraineté de la famille — l’approche que pratique Jésus pour l’harmonie de la famille.
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