© 1998 François Le Rohellec, Patrice et Héléna Dessoubret, Jeanmarie Chaise, Dominique Ronfet, Patrice Dessoubret, Claude Castel, Jean-Claude Romeuf, Chris Ragetly
© 1998 Association Francophone des Lecteurs du Livre d'Urantia
Journal de l'association L'A.F.L.L.U. Association Francophone des Lecteurs du Livre d'URANTIA
Membre de l'I.U.A.
Siège Social:
8, Passage de la Bonne Graine
75011 PARIS—France
Nos rencontres sont toujours un généreux moment d’échange (la dernière s’est déroulée fin novembre). A ce titre, je ne peux que vous encourager à y participer. Il reste que, indépendamment du délai d’annonce un peu court de notre dernière rencontre, la France reste grande et il n’est pas toujours aisé de la traverser le temps d’un week-end. Aussi pourquoi ne chercheriez vous pas et ne nous proposeriez vous pas un site d’accueil dans votre province susceptible d’accueillir une rencontre de l’A.F.L.L.U ? Le sud-est a déjà été un point de chute en mars dernier, il reste encore beaucoup d’autres régions !
…Et puis, le plaisir d’accueillir est certain. C’est dans cet esprit sans doute que nous avons pris la décision de principe, lors de notre dernière rencontre, d’accueillir la rencontre internationale de l’I.U.A. (Association Urantia Internationale) de l’été 2002. Une belle occasion pour nous, lectorat français, de se mobiliser autour d’un projet commun et de faire partager nos savoir-faire.
François Le Rohellec
Président de l’A.F.L.L.U.
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Dépôt légal : Décembre 1997 — ISSN 1285-1116
Abonnement en 1998 : 100 FF par an (environ 4 numéros)
La science et la technologie ont, depuis un siècle environ, progressé à un tel niveau, qu’il s’est créé un abîme important avec l’enseignement religieux traditionnel.
En effet, comment continuer de croire que l’univers a 6000 ans et que la terre a été créée en sept jours. Ne riez pas, je connais des personnes dites intelligentes qui y croient dur comme fer.
Il est évident que cela pose un problème à la nouvelle génération qui ne peut y croire, et qui, ayant fait des études, rejette l’idée de Dieu, parce que entre autres, elle ne peut accepter la belle fable de la création en sept jours, Adam et Eve il y a 6000 ans… etc.
Si nous relisons avec attention, dans le Livre d’URANTIA, Contrôle et Supercontrôle, alors nous comprenons la nécessité, l’inévitabilité de la 5ème Révélation :
« Car, lorsque la culture progresse trop rapidement, lorsque les accomplissements matériels dépassent l’évolution de la sagesse adoratrice, alors la civilisation contient en ellemême des germes de récession. A moins que cette civilisation ne soit étayée par un accroissement rapide de sagesse expérientielle, de telles sociétés humaines redescendrons des niveaux élevés, mais prématurés, qu’elles ont atteints, et les «âges des ténèbres » de l’interrègne de la sagesse témoignerons alors de la résurgence inexorable du déséquilibre entre la liberté et le contrôle du moi. » (LU 118:8.6)
Donc il nous faut les bases intellectuelles et spirituelles pour aller vers plus de sagesse : faute de quoi, la descente risque d’être très dure. En effet le Livre d’URANTIA nous précise :
« A moins que le discernement moral et le niveau spirituel de l’humanité ne soient accrus en proportion, le progrès illimité d’une culture purement matérialiste peut finir par devenir une menace pour la civilisation. Une science purement matérialiste recèle en elle-même le germe potentiel de destruction de tout effort scientifique, car un pareil comportement laisse présager l’effondrement ultime d’une civilisation qui a abandonné son sens des valeurs morales et répudié son but spirituel de réalisation. » (LU 132:1.3)
Malgré tout cela, les révélations font partie des plans de Dieu, cela est précisé dans le Livre d’URANTIA :
« Tôt ou tard, la religion évolutionnaire est destinée à recevoir l’expansion spirituelle de la révélation; cela fait partie du plan de l’univers. »(LU 101:5.4)
« La révélation est une technique qui permet d’économiser des âges et des âges de temps dans le travail indispensable de triage et de criblage des erreurs de l’évolution, afin de dégager les vérités acquises par l’esprit. »(LU 101:5.1)
Patrice et Héléna Dessoubret
Le coté merveilleux de la vie qui nous est offerte, c’est que nous soyons libres de nous unir comme de nous désunir, et de toujours nous apercevoir que, finalement, parce que l’organisation cosmique de Dieu est pyramidale, tout ce qui est union tend vers le Créateur, vers le Père, vers le sommet, alors que tout ce qui est désunion implique la nécessité de nouveaux efforts futurs pour nous unir à nouveau ou nous démettre définitivement du projet divin. Il semble, en effet, que nous ne puissions jamais parvenir à progresser spirituellement si nous laissons derrière nous des inimitiés fondamentales sur lesquels nous ne sachions revenir. Jésus nous a invités à aimer même nos ennemis, n’ayant, en vérité, aucun mérite à n’aimer que ceux qui nous aiment. L’exemple magistral de ceci nous est donné dans le Livre d’Urantia.
Jeanmarie Chaise
P. 1135 -« §1 La contrainte ne peut ni sauver ni ennoblir les hommes. La croissance spirituelle émane de l’intérieur de l’âme en évolution. La contrainte peut déformer la personnalité, mais ne stimule jamais la croissance. Même la contrainte de l’éducation n’apporte qu’un secours négatif, en ce sens qu’elle peut contribuer à empêcher des expériences désastreuses. La croissance spirituelle atteint son maximum quand toutes les contraintes extérieures sont réduites au minimum.« Là où est l’esprit du Seigneur, là est la liberté. »L’homme se développe mieux quand les pressions du foyer, de la communauté, de l’Église et de l’État sont moindres, mais il ne faudrait pas en conclure que, dans une société progressive, les foyers, les institutions sociales, l’Église et l’État n’ont pas leur place… » LU 103:5.11
Quand ?
Quand aspirerons-nous à la liberté ?
Nous qui construisons quotidiennement notre prison.
Quand danserons-nous notre vie ?
Cette prison faite des briques de nos habitudes
Scellées par le ciment de nos peurs.
Quand oserons-nous aimer la liberté ?
Quand laisserons-nous le poids pour la plume?.
La parole contre le silence?
Mais nous préférons la mort au désir
Le sommeil au soupir
Quand oserons-nous aimer la vérité ?
Comme si nous avions le choix.
Comme si nous avions le choix.
Dominique Ronfet
IL nous arrive d’entendre: Faire la volonté de DIEU, oui, mais qu’estce ?
Le Livre d’Urantia nous renseigne sur ce point.
Tout mortel qui suit consciemment ou inconsciemment les directives de son Ajusteur, vit conformément à la volonté de Dieu.
L’Ajusteur est la possibilité pour l’homme de devenir éternel. L’homme est la possibilité pour l’Ajusteur de se personnaliser. Votre Ajusteur individuel travaille à vous spiritualiser dans l’espoir d’éterniser votre identité temporelle. Son affaire est de vous préparer à l’aventure éternelle. Pour être parfait comme Dieu est parfait (dans notre sphère) la seule solution est fusionner avec notre Ajusteur.
Faire la volonté de Dieu est, accepter la survie et également les plans que notre Ajusteur a tracé pour nous. Souvenez-vous du message d’un Ajusteur à son compagnon mortel : « Je l’exhorte à survivre et à ne pas me décevoir, à ne pas me priver de la récompense de ma lutte persévérante et intense. » LU 110:7.10. Pour atteindre la personnalité nous dépendons de la volonté humaine.
Patrice Dessoubret
Informations tirées du Livre d’Urantia
Ce texte est composé d’une manière facilement compréhensible pour toute personne qui se pose cette question, même si elle ne connaît pas le Livre d’Urantia (et surtout si elle ne le connaît pas !) Il est destiné à calmer les craintes face à cet avenir incertain qu’est l’au-delà de la mort, et à faire connaître le Livre simultanément.
Après la mort, le corps matériel retourne au monde élémental d’où il provenait mais deux facteurs immatériels de la personnalité survivante persistent :
Claude Castel
Une des grandes tragédies intellectuelles de l’aventure humaine est de ne pas savoir qui de la poule ou qui de l’œuf est apparu en premier. C’est la question à laquelle nous allons essayer de répondre. Pour cela, plusieurs cheminements de la pensée sont possibles et bien qu’ils puissent paraître en opposition, ils ne sont pourtant pas contradictoires.
L’ami qui va lire ce texte sera un peu plus éclairé sur le sujet ; mais je l’avertis toutefois, que selon ma fâcheuse habitude, je vais tenter d’influencer son opinion.
Pour ne pas perdre le fil de la démonstration, il faudra toujours avoir à l’esprit le fait que l’œuf soit la préréalité de la poule bien que ce soit la poule qui ponde l’œuf.
Jean-Claude Romeuf
Parmi les 28 citations des pages 556 et 557 , quelques unes me frappent plus que d’autres, les voici :
« Rares sont les mortels qui osent jamais retirer la totalité de leurs crédits de personnalité établis par les ministères conjugués de la nature et de la grâce. La plupart des âmes appauvries sont vraiment riches, mais elles refusent de le croire. » LU 48:7.4
Remarque : Cela est vrai pour tout le monde, nous avons un crédit pratiquement inépuisable, sans compter les aides de toutes sortes (Ajusteur, Esprit de Vérité, Esprit de la Divine Ministre etc…). L’auteur, un Archange, a vraiment raison de dire que nos âmes sont en vérité riches, mais voilà, nous ne voulons pas nous en rendre compte, nous refusons de le croire, quelle erreur !
« La droiture frappe les cordes harmonieuses de la vérité, et la mélodie vibre dans tout le cosmos, allant jusqu’à reconnaître l’Infini. » LU 48:7.10
Remarque: Qui n’a pas senti, ou ressenti, cette incitation extraordinaire de joie intérieure après avoir participé à une action de droiture ? Et il est vrai que des vibrations sont peut être perçues, à un niveau impossible à déterminer, mais la perception de ces vibrations fait qu’elles semblent effectivement se transmettre à des distances inconnues.
« Stimulez l’appétit de vos associés pour la vérité. Ne donnez un conseil que si on vous le demande. » LU 48:7.16
Remarque : S’il est domaine où Jésus excellait, c’était bien celui de stimuler l’appétit de ses interlocuteurs pour la recherche de la vérité. Nous ne pouvons que prendre une fois de plus Jésus comme modèle. Mais, « ne donnez un conseil que si on vous le demande » est d’une grande importance, car combien de fois a-t-on pu voir des personnes s’écarter après avoir entendu un conseil non sollicité, et ainsi peut être perdre une bonne occasion de se taire (pour celui qui donne le conseil). Il vaut mieux savoir écouter (comme le faisait Jésus) et saisir ainsi le moment propice pour stimuler l’appétit spirituel de l’interlocuteur.
« Il faut abandonner l’anxiété. Les déceptions les plus difficiles à supporter sont celles qui n’arrivent jamais. » LU 48:7.21
Remarque: O, combien cette citation est vraie. Combien de fois n’avonsnous pas eu l’occasion de nous faire « un sang d’encre » pour des échecs ou des déceptions imaginaires qui finalement ne furent que les reflets de notre mental paniqué ? Et c’est le moment de faire appel à ce crédit que chacun de nous possède.
« Une âme en évolution n’est pas rendue divine par ce qu’elle fait, mais par ce qu’elle s’efforce de faire. » LU 48:7.24
Remarque: Voilà bien une des affirmations de la Cinquème Révélation qui nous fait le plus chaud au cœur. Qui en lisant cette phrase pour la première fois ne s’est dit dans le secret de son cœur: « J’ai une chance, parce que je sais ce que je voudrais faire, et je n’y arrive pas pour le moment, mais peut être qu’un jour j’y arriverai. Et les enseignements de la Cinquième Révélation confirment ce que je ressens au plus profond de moi, et affirment que c’est cette volonté qui est importante pour moi ».
Toutes ces citations (les 28) des pages 556 et 557 sont reliées entre elles. Leur étude est d’un formidable profit, et nous font toucher du "doigt », peut être, les plans inférieurs de la mota morontielle, si nous voulons bien essayer d’abord d’accéder aux niveaux supérieurs de la philosophie humaine.
Chris Ragetly
1er exemple :
Si le texte lui-même du Livre ne donne pas de réponse directe aux problèmes posés par Jean Royer, on peut trouver indirectement une explication.
Si les séraphins transporteurs étaient partis de Jérusem le jour de la faute d’Eve (ce qui n’est pas indiqué), compte tenu qu’entre l’arrivée des Melchizédeks 70 jours plus tard et le départ effectif du Jardin, il s’est certainement passé encore quelques semaines, et que les séraphins soient arrivés disons 4 mois après la faute d’Eve (laissant 5 mois pour accoucher de Caïn et de Sansa sur un voyage de moins d’une année), la vitesse de 885.000 km / sec. (23.2 No 6), 22 fois le tour de la Terre par seconde, ne placerait Jérusem qu’à environ 1 année/lumière d’Urantia.
C’est-à-dire entre Pluton (5 ½ heures/l.) et Proxima du Centaure (4,3 années/l.), l’étoile la plus proche de notre système solaire. Il y a donc une erreur car Jérusem, d’après mes recherches, doit se trouver entre 10 et 25 années/lumière d’Urantia.
On peut par contre faire le raisonnement suivant : les séraphins ont dû partir de Jérusem bien avant la faute d’Eve, pour une mission normale et une destination non indiquée, et ont été déroutés d’urgence pendant leur trajet par des instructions reçues de leurs directeurs. C’est possible d’après LU 39:3.8 No5 puisque la faute d’Adam et Eve ne devait normalement pas être commise.
Les Melchizédeks ainsi que Gabriel, en tant qu’administrateurs, doivent pouvoir se déplacer beaucoup plus vite d’un monde à un autre pour avoir suffisamment d’efficacité. Ils n’utilisent probablement pas les séraphins pour leurs déplacements (trop lents) mais d’autres êtres « il existe de nombreux types d’êtres, similaires aux séraphins, qui sont également capables de traverser l’espace et de transporter d’autres êtres convenablement préparés » (LU 39:3.9), ou d’autres moyens personnels.
2ème exemple :
Quant aux habitants du continent sous la menace d’une surpopulation prochaine, le Livre ne dit pas combien de personnes restent célibataires. Les lois du mariage sont peut-être plus contraignantes qu’ici, et relativement peu de couples sont autorisés ou ont les moyens financiers de se marier. Les débiles mentaux ne peuvent pas avoir de descendance non plus (LU 72:4.2). Ce qui est peut-être suffisant pour que la population n’augmente que lentement. D’autre part, la notion de surpopulation est très relative car elle dépend des ressources disponibles. L’Europe n’est pas considérée comme surpeuplée, et pourtant elle est comparativement beaucoup plus peuplée au km2 que le tiers-monde. Tandis que le Yemen était considéré comme surpeuplé avant la découverte du pétrole qui lui a amené une prospérité certaine, et qui maintenant recherche des immigrants.
Je ne me fais donc pas trop de soucis pour ces « australiens » d’ailleurs car mon mental primitif n’est peut-être ni logique, ni conséquent !
Cohérence 2 :
Le jour de la Transfiguration était probablement une circonstance exceptionnelle à la règle citée à LU 35:1.2.
Emmanuel a certainement supervisé le tout pendant cette très courte période d’absence en accord avec Gabriel, le Père Melchizédek et Michaël. Et cet accord a dû rester secret par mesure de sécurité.
Anne-Marie a tout à fait raison. Nos enfants sont comme ceux des autres, et il faut se garder de tout intégrisme, même si ce mot peut paraître fort. Tout est en fait affaire de circonstance et c’est ce que j’ai voulu dire en précisant (cf. Lien nº 7, page 5, §3) (ce) que les enfants d’aujourd’hui doivent connaître, dans la mesure où ils sont réceptifs.
Il n’est pas question d’imposer, mais d’informer. Et comment ne pas informer lorsque le Livre nous apprend, LU 108:2.1, et LU 108:2.2, que « sur Urantia, les Ajusteurs rejoignent leur sujet humain en moyenne juste avant qu’il n’ait six ans ». Ne devonsnous pas, en tant que parents, signaler à nos enfants, réceptifs, cette arrivée possible ?
Et en expliquer le pourquoi à l’aide de l’outil privilégié qu’est le Livre ? La Hiérarchie Céleste aurait-elle choisie au hasard ce créneau de venue?
Cela dit, tous les enfants ne sont pas aptes (ou ne le sont plus) à recevoir cette information, suivie ou non d’explications et de réflexions. J’ai élevé cinq enfants âgés aujourd’hui de 37, 34, 27, 26 et 25 ans. Sur ce nombre, seuls trois ont été réceptifs aux informations données par le Livre. Mais comme par hasard, ce sont les deux aînés, âgés en 1978 de 17 et 13 ans qui n’ont pas « accrochés », considérant cette cinquième Révélation comme un autre catéchisme à tendance sectaire. C’est en ce sens que Laurent, Virginie et Tanguy ont conclu (cf. Lien nº 7 page 6 dernier §) « qu’à 11 ou 12 ans, il est déjà trop tard »…sans faire référence à un quelconque clivage.
Mes aînés sont comme mes plus jeunes, Anne-Marie, et les premiers découvriront peut-être un jour, après un long cheminement, le Livre d’Urantia, comme je l’ai moimême découvert, l’année de mes 40 ans, avec une joie et une reconnaissance immenses. Il y a tellement de voies possibles sur le Chemin…mais de grâce, si nous voyons sur ce Chemin un panneau indiquant un raccourci de 33 ans, ne le voilons pas à nos peurs ou nos scrupules. Si nos enfants l’empruntent, tant mieux, s’ils l’ignorent, tant pis.
Je crois en toute sincérité que si je n’avais pas eu la « chance » d’avoir, en 1978, des enfants ayant le « créneau d’âge » de venue de l’Ajusteur, je n’aurais pas donné l’information. En outre, si par la suite, j’étais tombé sur le texte en question (le mien), il me semble que j’aurais réagi comme Anne-Marie.
« La révélation nous est donnée pour 1000 ans »
Au rythme du développement du Livre parmi la population vraiment intéressée, cela ne m’étonne pas que 1000 ans soient nécessaires au plein aboutissement de cette révélation. Prévue donc pour au moins un millénaire, il ne faut pas craindre une possible destruction massive de la planète, ni un hypothétique Armagueddon. C’est encourageant.
C. Castel
Personnellement je considère qu’il n’y a pas de rythme de lecture à conseiller. Chacun peut lire lorsqu’il en ressent le besoin, à son propre rythme et selon son temps disponible. A mon sens, cette révélation a plutôt été donnée pour l’édification personnelle que collective, et le progrès vient automatiquement avec le temps si on cherche à bien comprendre et intégrer dans sa vie tout ce qui nous a été donné.
C. Castel
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