© 2010 Guy de Viron, Patricia Brambilla, Chris Ragetly, Max Masotti, Samuel Ullman, Georges Michelson-Dupont, Elisabeth Liswen Delval, Jean-Louis Fournier, Jean Royer, Jean-Claude Romeuf, Pierre Morency, Dominique Ronfet
© 2010 Association Francophone des Lecteurs du Livre d'Urantia
L’humour ne fait peut-être pas partie intégrante des fruits de l’Esprit… Encore que! Il reste néanmoins une des principales joies de l’Existence… jusqu’aux portes du Paradis.
Ici-bas, c’est le principal antidote contre le surmenage, les tensions existentielles et surtout contre l’exaltation de notre ego.
Si l’une des fonctions de l’humour est de tous nous aider à nous prendre moins au sérieux, c’est bien pour nous montrer que nous sommes des éternels débutants. Et, si notre passé s’épaissit d’ombres pesantes, le regard humoristique que nous lui projetons aura tôt fait de l’illuminer et l’alléger d’une bonne partie de ses futilités.
Moins anxieux, nous sommes alors capables de minimiser les inquiétudes du présent au profit des certitudes de l’avenir. C’est ainsi notre assurance de santé en même temps que notre libérateur de pressions émotives!
Guy
Note de la rédaction (ndlr) :
Les Liens sont trimestriels et paraissent les 15 de mars, juin, septembre et décembre ! Ils sont d’abord envoyés aux abonnés sous forme numérique (format PDF) à ces mêmes dates et ensuite, dans la mesure du possible, sous leur forme « papier ». Comme les impressions AFLLU sont groupées avec d’autres périodiques, il est possible que l’échéance pour le format papier soit plus long. En ce qui concerne les textes destinés à être édités au sein du Lien concerné, ils doivent être impérativemnet arrivés 30 jours avant la date de parution précitée et approuvés par notre président, Dominique Ronfet, directeur de la publication. Merci de votre compréhension.
Guy de Viron
Cher(e)s amis(es),
Un automne sans réunion nationale doit-il être un automne de solitude ?
Evidemment non.
A Chàles nous invitions les intermédiaires régionaux à profiter de cette pause nationale pour organiser leur propre assemblée, fut-elle réunie dans leur cuisine.
Par ailleurs les groupes d’études restent les noyaux actifs de notre association.
Les rencontres, les échanges, les partages semblent essentiels dans notre évolution.
Mais la personnalité et les relations entre personnalités ne sont jamais des échafaudages ; la mémoire humaine des relations de personnalités a une valeur cosmique et persistera. Sur les mondes des maisons, non seulement vous connaîtrez et serez connus de ceux qui furent vos associés dans la courte mais mystérieuse vie physique sur Urantia, mais vous vous les rappellerez et ils se souviendront de vous. LU 112:5.22
Alors heureuses ‘relations’!
Et à bientôt.
Dominique Ronfet
Une grande tunisienne blanche et un châle immaculé jeté sur l’épaule gauche. Une croix scintillante autour du cou et deux madones aux oreilles. Elizabeth Sombart apparaît. Comme une vision, sortie de nulle part, soudain elle est là. Elle a le halo d’un ange, mais quand elle parle, sa voix est grave. Des mots pris dans les octaves du bas qui révèlent une immense force intérieure.
Sûr que cette pianiste virtuose, 51 ans, a une volonté hors du commun. Une vie de gammes et de concerts, d’honneurs et de galas, entièrement dédiée à la musique classique, qu’elle a portée dans les plus grandes salles du monde, à Paris, Londres, New York. Mais pas seulement. Plus attirée par l’ombre des humbles que les projecteurs de la gloire, elle a vite choisi d’autres lieux. Comme les EMS, les hôpitaux, les prisons.
Patricia Brambilla
La personnalité est cette qualité dans la réalité qui est conférée par le Père Universel lui-même, ou par l’Acteur Conjoint agissant pour le Père. (LU 112:0.3) 1.
Que l’acteur Conjoint puisse conférer la personnalité à la place du Père Universel est un mystère.
La personnalité est conférée par le Père Universel à ses créatures en tant que don potentiellement éternel. Un tel don divin est destinéà fonctionner sur de nombreux niveaux et dans des situations universelles successives allant de l’humble fini jusqu’au plus haut absonite, et même jusqu’aux frontières de l’absolu. LU 112:1.1
Chris Ragetly
Univers Central
Max Masotti
La traduction française de « Aides à l’étude du Livre d’Urantia » de Hara Davis vient de paraitre. Ces 41 pages tout en couleurs et comportant de nombreux schémas est publié en Angleterre, apparemment au prix de 15€ (mais la charmante Hara ne précise pas si le port est compris). On peut, pour l’instant, se le procurer directement chez Hara à l’adresse suivante: hara.davis@yahoo.com. Il existe une version anglaise, bien sûr, c’est la version originale, mais aussi une version espagnole.
Notre forum internet rejoint la famille.
Si vous allez sur le site du Forum de lAUI, http://www.urantia-uai.org/forums.html, vous y trouverez un lien vers notre forum.
Nous sommes ainsi le 3ème forum, avec l’anglais et l’epagnol, reconnu officiellement.
Continuez donc à venir faire vivre cette plate-forme d’échanges.
Bonjour à tous!
Nous sommes heureux d’annoncer que nous avons maintenant un forum de discussion en langue française public disponible à www.urantia-uai.org. Ce forum a été créé et est hébergé par notre association nationale AUI — Association Francophone des Lecteurs du Le Livre d’Urantia. Vous pouvez trouver le forum français à www.urantia-uai.org en cliquant sur le « forum » dans le coin supérieur gauche de la page. Vous pouvez avoir besoin de rafraîchir votre écran lorsque des pages changent.
Nous apprécions grandement le soutien de notre famille Urantia en France pour notre mission et de fournir cette importante communication et un outil d’étude pour tous les français à nos lecteurs de langue dans le monde entier.
Nous avons maintenant disponibles forums étude publique en anglais, en français et en espagnol!
Avec amour et l’amitié,
Rick Lyon, AUI administrateur exécutif
La jeunesse n’est pas une période de la vie, elle est un état d’esprit, un effet de la volonté, une qualité de l’imagination, une intensité émotive, une victoire du courage sur la timidité, du goût de l’aventure sur l’amour du confort .
On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années, on devient vieux parce qu’on a déserté son idéal.
Les années rident la peau, renoncer à son idéal ride l’âme.
Les préoccupations, les doutes, les craintes et les désespoirs sont les ennemis qui, lentement, nous font pencher vers la terre et devenir poussière avant la mort.
Samuel Ullman
Un jour, un ministre était assis sur le bord d’une fontaine.
Un moment d’inattention, et le voilà qui tombe à l’eau.
Quelques passants, témoins du drame, s’approchent et lui tendent la main en criant : « Donnezmoi la main !»
Mais l’homme politique ne tend la main à personne, l’air de ne rien entendre.
A ce moment survient un autre passant II se fraye le passage à travers la foule et explique : « Mes amis, depuis sa plus tendre enfance, notre ministre n’a appris que le verbe PRENDRE. Il ne connaît pas le verbe DONNER »!
Et tout en parlant, il lui tend la main : « Bonjour, votre Excellence, PRENEZ donc ma main ».
Immédiatement, le ministre saisit la main de l’homme et sort du bassin…
Ah, combien de gens confondent les verbes !
Dieu, Lui, ne connaît que le verbe DONNER.
Joseph Ngo van Truyen
Beaucoup de lecteurs débutants s’interrogent sur l’origine et la manière dont Le Livre d’Urantia est arrivé sur notre planète. Ces interrogations sont légitimes et nombres de documents ont été publiés sur le sujet. Certains de ces écrits mettent en doute la nature suprahumaine des fascicules ainsi que les faits et vérités qui y sont contenus. Pour autant, il n’en reste pas moins vrai que le lecteur doit évaluer pour lui-même et se faire une opinion personnelle de l’apport et des répercussions que ces enseignements apportent dans sa vie personnelle.
Georges Michelson-Dupont
Chers Urantiens, Urantiennes, après notre réunion à Chalès, je voulais attirer votre attention sur un livre sympathique « Ma vie au Paradis » qui relate les témoignages de Mgr Robert Hugh Benson, archevêque de Canterbury mort en 1914, qui dicta en esprit à Anthony Borgia, médium, les premiers jours et les premières impressions de son arrivée dans l’autre vie.
Il y a de très grandes similitudes avec la vie morontielle, qui a été le thème principal de la rencontre annuelle de l’AFLLU cette année à Chalès.
Pour ceux qui se posent des questions un peu plus terre à terre si je puis dire, voici quelques extraits de ce livre qui nous apporteront de nombreux détails sur la vie morontielle quotidienne, il vous enchantera et vous fera rêver tant son style est poétique et beau, à l’égal du monde qui nous attend…
Elisabeth Liswen Delval
NDLR :Voici deux extraits du livre susmentionné.
Le thème :
Dieu s’ennuie et cherche un job sur terre.
Il doit passer une série d’entretiens d’embauche …
... Je peux vous offrir quelque chose ? demande le directeur du personnel à Dieu.
Je veux bien, oui.
Un whisky ou un jus de fruit ?
Un petit whisky, s'il vous plait.
C'est vous qui avez inventé l'alcool ?
C'est une grande responsabilité !
Je sais, mais j'ai des circonstances atténuantes.
C'est-à-dire?
Je l'avais caché, dans les fruits, dans les légumes,
dans les plantes, mais ils ont réussi àle trouver.
Vous l'aviez quand même inventé, pourquoi?
Jean-Louis Fournier
Pour téléphoner à Dieu… quelques règles essentielles pour avoir une bonne communication.
CONDITIONS DE GARANTIE : Avant tout, si cela ne marche pas, vérifiez le mode d’emploi du téléphone. Ce mode d’emploi s’appelle : la BIBLE! Votre téléphone est garanti à vie, service après vente pièces et main d’œuvre inclus… Réparation immédiate par « confession de ses péchés ». Le téléphone que vous utilisez n’est pas un téléphone par ligne, ni par câble, ni par ondes hertziennes, ni par voie satellite, ni cellulaire, etc. C’est un portable que vous pouvez emporter avec vous partout dans le monde et dans toutes les pièces de votre maison, en tout lieu… Son moyen de transmission s’appelle : le Saint-Esprit !
Le taux de satisfaction, selon une enquête très sérieuse auprès des consommateurs est de 100% !
1 Employée des Télécoms
Extraits du livre susmentionné
La ponctuation est un système de signes qui servent à indiquer les divisions d’un texte…
La ponctuation sert aussi à noter certaines nuances affectives.
Qu’est-ce qu’un point final ? C’est un signe qui indique la séparation. Signe qui indique que l’histoire s’achève.
Qu’est-ce qu’une virgule ? C’est un signe de ponctuation qui marque une pause de peu de durée.
Les guillemets sont des bêtes très bizarres qui, comme les parenthèses, vont toujours par paires. Ils ressemblent à des accents circonflexes, ou des chapeaux, à demi renversés. Ils annoncent le plus souvent une citation et, comme ils sont polis, ils en saluent l’auteur. Pour saluer quelqu’un on soulève son chapeau, non? Et quand la citation est finie, nouveau salut, nouveau coup de chapeau.
Les traits d’union annoncent un lien, à la différence d’un blanc qui sépare.
Et une apostrophe ? C’est une petite virgule qui circule dans l’air. Elle signale qu’une lettre a disparu, comme un membre amputé.
Les majuscules sont aussi des ponctuations; elles aident l’oeil à s’y retrouver.
Quant au point-virgule, on ne l’utilise presque plus. On a tort. Il donne un rythme à la phrase, sans la couper. Il la réveille, la relance.
Erik Orsenna
La question de réincarnation dans le LU, à l’exception des spornagias (cfr LU 46:7.5) : le mot apparaît 8 fois au singulier et 1 fois au pluriel (cfr LU 46:7.4; LU 86:4.6; LU 88:1.4; LU 94:2.3; LU 164:3.4 et LU 94:2.6), la notion est qualifiée d’absurde et de débilitante. Si les Cent de Caligastia sont bien en quelque sorte réincarnés, aucun d’eux ne vient d’Urantia et sont de plus des surhommes qui ont abandonné leur Ajusteur sur Jérusem. On pourrait aussi dire qu’Adam et Ève, Fils et Fille Matériels sont réincarnés, mais eux aussi venaient de Jérusem et ils n’avaient pas d’Ajusteur, du moins jusqu’après la défaillance. (cfr LU 76:5.2)
Jean Royer
« Ca me tracasse beaucoup, dit Dieu,
cette manie qu’ils ont de se regarder le nombril, au lieu de regarder les autres.
J’ai fait les nombrils sans trop y penser, dit Dieu,
comme un tisserand arrive à la dernière maille et qui fait un næud, comme ça, pour que ça
tienne, à un endroit qui ne soit pas trop visible… J’étais trop content d’avoir fini.
Et d’habitude, ils tiennent bien, mes nombrils, dit Dieu.
Mais ce que je n’avais pas prévu, ce qui n’est pas loin d’être un mystère même pour moi, dit
Dieu, c’est l’importance qu’ils accordent à ce dernier petit noud, intime et bien caché.
Oui, de toute ma création, dit Dieu,
ce qui m’étonne le plus et ce que je n’avais pas prévu, c’est tout le temps qu’ils mettent, dès que ça va un peu mal, à la moindre contrariété, tout le temps qu’ils mettent à se regarder le nombril, au lieu de regarder les autres, au lieu de voir les problèmes des autres…
Vous comprenez, dit Dieu,
j’hésite, je me suis peut-être trompé!
Mais si c’était à recommencer, si je pouvais faire un rappel général comme les grandes compagnies de voitures, si ce n’était pas trop de tout recommencer, dit Dieu, je le leur placerai en plein milieu du front…
Comme cela, dit Dieu, au moins ils seront bien obligés de regarder le nombril des autres… »
Auteur Inconnu
Les mots ne doivent être que le vêtement, sur mesure rigoureuse, de la pensée.
Il n’y a pas de synonymes.
Il n’y a que des mots nécessaires, et le bon écrivain les connaît.
Les mots sont la monnaie d’une phrase.
Il ne faut pas que ça encombre.
On a toujours trop de monnaie.
ules Renard
Mon jardin est une mer profonde.
Ce matin il faisait beau et je me suis baigné,
Comme d’habitude Mouchka, ma chatte, m’a suivi.
Pendant que je soulevais quelques grappes d’herbe tiède,
Pour m’enfoncer dans l’eau insoupçonnable,
Elle s’est couchée sur le gazon nouvellement tondu.
Il est toujours difficile de se laisser couler.
Il faut descendre très lentement et ne pas oublier
De se pincer le nez pour décompresser les oreilles. Sinon, ça fait mal.
Ensuite lorsqu’on a atteint la profondeur voulue,
On se retourne vers le ciel et on pointe sa position par rapport au soleil.
C’est un gage de sécurité pour retrouver son chemin.
Jean-Claude Romeuf
Loin des vieux livres de grammaire
Écoutez comment un beau soir
Ma mère m’enseigna les mystères
Du verbe être et du verbe avoir…
Parmi mes meilleurs auxiliaires
Il est deux verbes originaux
Avoir et Être étaient deux frères
Que j’ai connus dès le berceau
Bien qu’opposés de caractères
On pouvait les croire jumeaux
Tant leur histoire est singulière
Mais ces deux frères étaient rivaux
Ce qu’Avoir aurait voulu être
Être voulait toujours l’avoir
À ne vouloir ni dieu ni maître
Le verbe Être s’est fait avoir
Son frère Avoir était en banque
Et faisait un grand numéro
Alors qu’Être, toujours en manque
Souffrait beaucoup dans son ego
Pendant qu’Être apprenait à lire
Et faisait ses humanités
De son côté sans rien lui dire
Avoir apprenait à compter
Et il amassait des fortunes
En avoirs, en liquidités
Pendant qu’Être, un peu dans la lune
S’était laissé déposséder
« Ah, si seulement j’avais ceci, si j’étais comme cela, ma vie serait plus agréable. » Travailler dur, économiser toute sa vie afin de profiter plus tard. Une attitude insensée aux yeux de Pierre Morency, physicien québécois qui écrit des best-sellers de psychologie. Son leitmotiv : demander pour recevoir. Il en a d’ailleurs fait le titre d’un livre, dans lequel il encourage non seulement à demander, mais à demander beaucoup, partant du principe que plus on demande, plus on reçoit.
Et on a déjà reçu beaucoup. « Vous avez déjà gagné à la plus grosse loterie de l’univers, celle de la vie. Vous êtes le spermatozoïde élu », explique-t-il. A la suite d’opérations mathématiques, le chercheur a calculé que chaque individu a « une seule chance sur 2 à 2000 trillions » de venir au monde.
Pierre Morency
Univers Central
Max Masotti
— Qu’est-ce que l’humilité ?
— Peut-être une technique…
— Que veux-tu dire par là ? Notre Maître « recommandait aux hommes de s’humilier uniquement pour leur permettre d’être vraiment grands ; le but qu’il visait réellement était une vraie humilité envers Dieu. » (LU 140:8.20).
— Oui, maintenant il faut le comprendre. Pourquoi « pour être grand faut-il « s’humilier » si ce n’est pour pemettre à notre Personnalité réelle de prendre le pas sur l’idée que nous nous faisons de nousmêmes, et que nous projetons avec tant d’orgueil : notre individualité.
— Comme tu y vas. Ne suis-je pas de nature absolue?
— Toi !?..Cher ami, restons raisonnables. Et de quoi parlons-nous?
— Mais, de moi, de ma personnalité !
— Je crains que tu nous parles du véhicule, non de l’énergie qui peut le mobiliser.
Dominique Ronfet
Le Lien Urantien est le journal de l’Association Francophone des Lecteurs du Livre d’Urantia, membre de l’AUI, l’Association Urantia Internationale.
Siège Social | rue du Temple 1, F-13012 Marseille, +33 (0)4 91 27 13 20 |
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Site | www.urantia.fr / http://forum.urantia.fr |
Directeur de publication | Dominique Ronfet, d.ronfet@noos.fr |
Rédacteur en chef | Guy de Viron, guydeviron@bluewin.ch |
Comité de lecture | Jean Royer, Max Masotti |
Abonnement | 20€ par an (parution trimestrielle 4 numéros) |
Dépôt légal | Décembre 1997 — ISSN 1285-1116 |
Tirage | 125 exemplaires © 1955 URANTIA Foundation |
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