[ p. 119 ]
Page 1.
1 Pour plus de détails sur le pabbajja (ou initiation) et l’upasampada (ou ordination) voir Mahâvagga, premier khandaka (S.BE, Vol. XIII).
Page 3.
2 L’époque de notre histoire est le cinquième siècle après l’illumination du Bouddha, ce qui correspond au premier siècle de l’ère chrétienne.
Page 6.
3 Cf. « Chants et processions bouddhistes », Journal de la Société des textes bouddhistes de l’Inde, Vol. III, Partie II.
Page 10.
4 Dhammapada, 21.
5 Dhammapada, 223.
Page 11.
6 Dhammapada, 134.
7 Dhammapada, 313.
8 Dhammapada, 258 ; 240.
Page 12.
9 Dhammapada, 254.
Page 31.
10 L’histoire de Kevaddha est un récit abrégé d’un ancien texte bouddhiste pali. Les versets ainsi que d’autres détails sont traduits presque littéralement. Cf. Buddhism in Translations de Henry Warren, pp. 308-313.
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Page 32.
11 L’Uposatha, ou confession, avait lieu régulièrement les jours de pleine et de nouvelle lune. Pour un compte rendu détaillé de la cérémonie, voir Mahâvagga, deuxième Khandhaka (S.BE, Vol. XIII).
Page 40.
12 Les Grecs.
Page 56.
13 Padhâna sutta, 16. S.BE, X, [ p. 71 ].
Page 64.
14 Dhammapada, 151.
Page 74.
15 Cf. la traduction de T. Suzuki du Discours sur l’éveil de la foi dans le Mahayana d’Açvaghosha, pp. 101, 142 et suiv. Le terme « vérité suprême » est appelé par Açvaghosha en sanskrit paramârthasatya.
16 Comparer à l’Abstract of Form Lectures de Samuel Beal sur la littérature bouddhiste en Chine, [ p. 177 ], où l’on peut lire : « Celui qui possède le soi le plus élevé est capable de voir Bouddha. Bouddha, bien qu’il réside dans le monde, ne peut être vu que par ceux qui possèdent ce soi le plus élevé. Mahârâja ! Il est tout à fait vrai que, bien que Bouddha ait atteint le Nirvâna, puissiez-vous néanmoins le contempler. »
Page 87.
17 Dhammapada 5.
Page 89.
18 Pour les récits complets du prince Longue-Vie, voir Mahâvagga, X, 3-20. (Livres sacrés de l’Orient, vol. XVII.)
Page 96.
19 Le Saddharmapundarîka, chapitre 7.
[ p. 121 ]
Page 98.
20 Amitâbha (et avec lui Bouddha) n’est jamais appelé Créateur, mais on s’adresse fréquemment à lui comme « Père ». Voir le Saddharmapundarîka, III, 97, 104, et le Fo-sho-hing-tsan-king, III, 15, 1231.
Page 106.
21 La comparaison du guide aveugle des aveugles apparaît dans le même contexte dans le Tevijja Sutta, 15.
Page 108.
22 Pour les détails de la doctrine d’Açvaghosha sur le triple aspect de la vérité la plus élevée (si semblable à la trinité chrétienne) comme le Kâya (c’est-à-dire le corps ou la personnalité) de (1) la bonne loi, (2) la transformation, (3) la félicité, voir la traduction de T. Suzuki du Discours sur l’éveil de la foi d’Açvaghosha, Chicago, 1900, pp. 99-101.
Page 113.
23 L’Udâna, VI.
Page 114.
24 Dhammapada, 183
Page 116.
25 Dhammapada, 332-333.