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L’aristocratie exerçait une influence restrictive sur les rois sans scrupules qui recherchaient le pouvoir par le poison et la magie diabolique. [1]
Les rois, considérés comme sacrés et souvent gardés dans l’isolement, étaient vénérés comme possédant du sang royal surnaturel depuis les temps anciens, leur contact étant censé guérir les maladies et leur seule présence inspirant la peur et des discours spéciaux à la cour. [2]
Les chefs de guerre gouvernaient de plus en plus en temps de paix et assuraient des transitions rapides vers de nouvelles guerres, montrant qu’ils n’aimaient pas la paix. [3]
Les premiers rois étaient fortement limités par les mœurs, les lois non écrites de la tradition et de l’opinion publique, jusqu’à ce qu’ils évoluent pour appliquer des lois reflétant la cristallisation de l’opinion publique. [4]
La royauté héréditaire, issue de la croyance en des origines divines, empêchait l’anarchie successorale et évolua de l’autorité patriarcale pour être considérée comme surnaturelle et fétichisée par le peuple. [5]
Le prestige des rois et des reines dans tous les royaumes de l’univers provient de leur connaissance des Fils et des Filles Matériels qui servent en tant que dirigeants réels, ou directeurs, de mondes établis dans la lumière et la vie. [6]
Les prêteurs d’argent, avides de pouvoir et de trésors, se sont établis comme rois au moyen d’armées de débiteurs et d’un esclavage à un taux d’intérêt de cent pour cent par an. [7] Tout au long de l’histoire, les rois ont été autorisés à épouser des proches parents pour maintenir la pureté du sang royal. [8]
Malgré leur pouvoir, les rois étaient toujours retenus par la peur omniprésente de l’assassinat, car les hommes-médecine, les sorciers, les prêtres, l’aristocratie et les rébellions étaient tous des freins à leur autorité. [9]
La guerre, et non le débat, a toujours été le véritable arbitre du pouvoir, car l’histoire montre qu’un seul chef fort peut triompher de chefs de clans divisés. [10] Les primitifs vénéraient les rois comme des êtres surhumains inspirés par les dieux. [11]
Voir aussi: LU 70:6.