Le capital, qui représente l’application du travail, est un sacrifice du présent au profit de l’avenir, comme on le voit dans le développement de la thésaurisation de la nourriture et de l’épargne pour la survie et la sécurité. [1] Jésus n’a pas enseigné le jeûne ni d’autres formes d’abnégation. [2] Semer des graines d’abnégation permet de récolter des récoltes ultérieures de bonheur accru dans le royaume des cieux dans leur propre cœur. [3] La maîtrise de soi, et non l’abnégation extrême, est la clé d’une vie équilibrée et d’une véritable liberté. [4] La maîtrise de soi, et non l’abnégation, est le chemin vers le développement spirituel et la véritable liberté. [5]
Le renoncement aux plaisirs physiques, y compris sexuels, était une pratique courante dans de nombreuses religions anciennes et a été transposé dans les systèmes théologiques modernes par le biais de rituels de jeûne. [6]
La première abnégation de l'homme, l'épargne alimentaire, est devenue le fondement de la lutte séculaire de la société pour l'équilibre dans un monde accablé par les désirs excessifs et le luxe. [7] L'abnégation était considérée comme un outil puissant pour contraindre les esprits, en particulier dans les pratiques de suppression sexuelle. [8]
Les hommes recherchaient l'approbation de leurs dieux en pratiquant l'abnégation par des vœux d'auto-torture et de jeûne, croyant que plaire aux fantômes en leur causant de l'inconfort leur permettrait d'obtenir des points supplémentaires dans les registres d'abnégation de leurs dieux. [9]