« Lettre d’Aristée »
Tiré des Livres oubliés d’Eden, par Rutherford H. Platt, Jr. [1926]
DANS LA Lettre d’Aristée, l’une des récupérations les plus remarquables et les plus anciennes de cette collection, nous avons parcouru un long chemin depuis Adam et Ève, un long chemin depuis le Déluge. Cet écrit présente un spectacle de la résilience de la race humaine, qui a repeuplé la Terre, avec des nations puissantes vivant dans le faste et la splendeur.
Vous lirez ici l’histoire du premier grand bibliophile : Ptolémée Philadelphe. Il désire rassembler dans sa bibliothèque d’Alexandrie « tous les livres du monde ». Finalement, dans sa passion d’obtenir un grand ouvrage – les Lois juives – il échange 100 000 captifs contre ce livre. Il s’agit probablement du prix le plus élevé jamais payé pour une seule œuvre. Cela présente une raison inhabituelle pour la fin de la Grande Captivité.
Les événements de ce récit se sont déroulés du vivant de la célèbre reine Arsinoé, décédée en 270 avant JC. La date exacte de la rédaction est incertaine.
Les détails de la vie de cour, la discussion des problèmes sociaux de l’époque sont du plus grand intérêt et de la plus grande vivacité. C’est une découverte étrange de nos jours que de voir le roi et ses invités jouer aux questions et réponses lors de leur banquet.
La structure de ce travail passionnant est la suivante :