[p. 311]
P. 141. Gens doux et simples. — Considérant les étranges vicissitudes de l’histoire orientale, il n’est pas surprenant que beaucoup de gens, aujourd’hui dans une pauvreté abjecte, se prétendent descendants d’hommes célèbres. Les Orientaux ont généralement un grand respect pour le sang pur et l’ancienne lignée. Parmi les pauvres de Palestine, nombreux sont ceux qui, bien qu’obligés d’accomplir des travaux subalternes pour gagner leur vie, comme domestiques, ouvriers, etc., prétendent pourtant qu’ils sont « Awlad asl », c’est-à-dire « enfants de race » ou de noble lignée, et que, pour cette raison, s’ils accomplissent fidèlement leur travail, ils devraient jouir d’un degré de respect dont ne jouissent pas les gens de basse naissance. On raconte qu’un de ces hommes, étant valide et très fort, mais n’ayant aucun autre moyen de subsistance, consentit à accepter un emploi chez un pauvre paysan qui n’avait qu’un bœuf et ne pouvait labourer faute d’un second. Le rejeton de la noblesse, dans sa grande détresse, accepta effectivement d’être attelé à la charrue à la place de l’animal manquant, stipulant cependant qu’en plus de recevoir de la nourriture et un salaire, il serait traité avec le plus grand respect et qu’on l’appellerait toujours « Ô Émir ». En conséquence de cet arrangement, le laboureur, pendant qu’il travaillait, criait constamment « Yaminak ya Émir » ou « Shemâlak ya Émir », c’est-à-dire « À droite, Ô Émir » ou « À gauche, Ô Émir ».
Il existe aujourd’hui à Jérusalem une pauvre couturière dont la famille se vante de descendre de Chosroès, roi de Perse. Un fellah qui fut quelque temps au service de l’auteur fit remonter sa lignée au calife fatimide « Ed Dahir », tandis qu’un professeur d’une des écoles missionnaires de Jérusalem affirmait en 1874 qu’il descendait des anciens rois d’Arménie. Parmi ces personnes de haute naissance, certaines ont eu plus de chance que d’autres. Ainsi, la famille du célèbre Khalid ibn Walid, surnommé « l’épée d’Allah » pour ses victoires aux premiers temps de l’islam, est toujours puissante à Jérusalem [168], et il existe au Liban des descendants du grand [312] et chevaleresque Saladin, qui sont pensionnaires de l’ordre protestant allemand des « Johanniter » ou chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem. L’importance accordée aux liens avec une bonne famille est exprimée par le dicton populaire : « Prenez bonne note, même sur le tapis », c’est-à-dire épousez une femme de bonne famille, même si elle ne possède rien d’autre qu’un tapis. D’un autre côté, les personnes qui adoptent une attitude arrogante uniquement en raison de leur prétendue noble ascendance, et qui n’ont elles-mêmes aucun mérite personnel, sont impitoyablement ridiculisées, comme il se doit. Le principe « Noblesse oblige » est parfaitement apprécié, en tout cas en théorie.
P. 148. « Apposés aux portes de la Ka’aba. » — Il était de coutume chez les anciens Arabes de récompenser les poètes reconnus comme éminents en permettant que des copies de leurs vers soient apposées à la porte du temple de la Mecque. Sept de ces poèmes furent ainsi distingués et sont connus dans la littérature sous le nom de « Mo’allakat » (Poèmes suspendus).
P. 148. Mûkleh.—On trouvera une illustration de cette forme de coiffure à la page 49 de Lane’s Modern Egyptians, vol. I. Elle n’est pas rare en Palestine, où l’on peut voir aujourd’hui pas moins de soixante formes différentes de coiffures orientales masculines, par lesquelles on peut distinguer les uns des autres les chrétiens, les juifs, les musulmans, les Bedû, les différentes classes de derwishes et les paysans de divers districts, etc.
P. 150. Cheveux longs d’un prêtre de l’Église orthodoxe. — Les ecclésiastiques de la communauté grecque orthodoxe ont la particularité de porter les cheveux très longs. Beaucoup de derwishes musulmans font de même, mais parmi les paysans musulmans, il est de coutume de se raser la tête, ne laissant qu’une touffe appelée « shûsheh » sur le sommet de la tête. L’histoire souvent racontée par les drogmans chrétiens aux touristes est que cette touffe est laissée pour que Mahomet ou les bons anges puissent avoir quelque chose à quoi s’accrocher, lorsqu’ils emmènent les musulmans morts au ciel, de la même manière que le prophète Habacuc fut transporté à Babylone. (Voir « Bel et le Dragon », verset 36.) Cependant, l’explication la plus raisonnable [313] est que la coutume est née de la crainte que si un musulman tombait entre les mains d’un infidèle et était tué, ce dernier pourrait couper la tête de sa victime, et, ne trouvant pas de cheveux pour s’y accrocher, mettre sa main impure dans sa bouche, afin de la porter, car la barbe pourrait ne pas être suffisamment longue. (Voir Lane’s « Modern Egyptians », vol. i. p. 40.)
P. 155. Au afrìt.—Le ‘afrìt est un démon particulièrement malveillant et malfaisant qui habite sur les toits des maisons, dans les coins derrière les portes, ainsi que dans les fissures des murs ou sous les seuils. Il est considéré comme très dangereux, surtout pour les femmes, de s’asseoir sur les seuils des portes après le coucher du soleil, car alors les ‘afarit sortent de leurs cachettes et pourraient leur faire de graves blessures.
P. 157. Karakoz et 'Iweyz.—Karakoz et 'Iweyz, quelque chose comme le « Punch et Judy » anglais, sont les noms des acteurs des spectacles de marionnettes orientaux, pour une description desquels voir « Modern Egyptians » de Lane, vol. ii, p. 116.
(Karakoz est universel, mais dans les deux occasions où j’ai vu les Kheyyâl-ez-Zull (formes d’ombre) mentionnés, il n’y avait pas de ’Iweyz. À une occasion, en Égypte, Asfûr était un personnage principal. — NDLR.)
P. 168. « Le cadi Abdullah el Mustakìm vivait à Bagdad. El-Mansûr, A.D. 941, ayant établi sa cour à El Hashemìeh, fut contraint par une insurrection d’ériger une nouvelle capitale, et dans la 145e année de l’Hégire, posa les fondations de Bagdad, qui, pendant près de cinq siècles, resta le siège du luxe impérial oriental. (Voir « Histoire de l’Arabie » de Crichton, vol. xxxiii. p. 16.)
P. 181. Azrael et son fils.—Comme une version de l’histoire précédente, que l’auteur a entendu raconter plusieurs fois en entier et par bribes par des indigènes de Palestine, se trouve dans le recueil de contes de fées de Grimm, il est difficile de déterminer si son origine est orientale ou au contraire. Le nom du héros de celle qui suit, qui circule parmi les paysans du village chrétien indigène de Ramallah, situé à une quinzaine de kilomètres au nord de Jérusalem, semble indiquer qu’elle a été introduite par quelque moine espagnol ou italien. Elle a été racontée à l’auteur par quatre personnes différentes, toutes indigènes, et à autant d’occasions différentes.
[p. 314]
P. 182. Le jeu de cartes de François. — Bien qu’à première vue il puisse sembler un anachronisme de mentionner que les cartes étaient jouées au temps des Hérodes, vu que la première mention réelle de leur utilisation en Europe remonte à l’année 1388 après J.-C., et que leur première introduction en France eut lieu sous le règne de Charles VII (1432-1461), certains savants allemands sont pourtant d’avis qu’elles furent une invention des Chinois, et qu’elles arrivèrent en Europe par un canal arabe. (Voir Brockhaus, « Conversations-Lexikon » sur « Spielkarten »).
P. 192. La plante feyjan.—Ce nom arabe n’est évidemment qu’une autre forme du grec πήγανον. Selon l’évêque Jeremy Taylor, il était utilisé par les prétendus exorcistes de son temps. Il dit : « Ils doivent éprouver le diable avec de l’eau bénite, de l’encens, du soufre et de la rue, qui de là, comme nous le supposons, est venue à être appelée « herbe de grâce ». »
P. 201. Baklâweh.— Sorte de tarte à la viande hachée recouverte de sirop de sucre, et dont les indigènes sont particulièrement friands. On raconte l’histoire d’un Arabe qui, menacé de mort immédiate s’il en prenait encore, recommanda froidement sa famille à la protection du meurtrier potentiel, qui se tenait au-dessus de lui avec une épée nue, et en prit une autre bouchée. (Voir Note 48. « Contes racontés en Palestine. »)
P. 208. « Le sultan ne pouvait se résoudre à la tuer comme il était de son devoir, puisqu’elle n’avait pas de frères. » — Selon les idées sociales orientales, le résultat, sans doute, du fait que la polygamie est autorisée, c’est le frère, et non le père, qui est le protecteur naturel d’une fille, son vengeur si elle est lésée, et son bourreau si elle se déshonore. Il faut garder cela à l’esprit lorsqu’on lit des récits bibliques tels que Genèse XXXIV ou 2 Samuel XIII.
P. 213. Cortège nuptial des Jân. — Il y a dix ans, on m’a raconté à Jérusalem l’histoire d’un serviteur du patriarche latin qui jouait très bien de la flûte à anche. Cet homme fut envoyé une nuit pour une mission urgente auprès du chef d’une maison religieuse de Nazareth, et comme il quittait la ville pour descendre dans la sombre vallée, il s’amusa et se remonta le courage avec la musique de son instrument favori. Soudain il fut entouré de torches éclairant des visages bruns, et se trouva au milieu d’un cortège nuptial dont les membres le supplièrent de s’arrêter et de jouer pour eux. Il alla jusqu’à dire que sa mission était urgente, mais ils lui dirent de ne pas s’en inquiéter ; ils [315] pouvaient le conduire plus loin en une heure qu’il ne pouvait espérer faire en une nuit. À cela et à leurs visages particuliers, il les reconnut pour les Jân, aussi craignit-il de les refuser.
Le lendemain matin, au petit matin, alors que le patriarche célébrait sa première messe, il se retourna et vit cet homme agenouillé derrière lui dans l’église. L’office terminé, il l’appela et lui demanda pourquoi il n’était pas allé à Nazareth comme on le lui avait dit. L’homme répondit : « J’y suis allé et je suis revenu », et pour prouver cette affirmation, il présenta la réponse au message avec lequel il avait été envoyé. Le patriarche le conduisit directement au confessionnal et, après avoir entendu son histoire, en guise de pénitence, lui interdit de jouer à nouveau de la flûte, dont les Jân sont connus pour aimer la musique.
P. 217 et suivantes. Uhdeydûn.—Ce récit paraît à première vue absurde, mais il me semble y déceler une réminiscence légendaire de la destruction d’une race sauvage et cannibale ou de sa soumission par des hommes plus civilisés. Le nom d’Uhdeydûn, qui est un diminutif de « Haddâd » (forgeron), et le fait que son ennemi avait un chaudron de cuivre suggèrent de façon tentante l’âge du fer conquérant celui du bronze.
P. 234. Le miroir magique d’encre et la table de sable.—Pour une description des merveilles accomplies par les sorciers orientaux avec le miroir d’encre, voir Lane’s Modern Egyptians, vol. i, p. 367 et suivantes, ou Thomson’s The Land and the Book, dans lequel Lane est cité à la p. 157 (édition de 1873). Pour la table de sable, voir Lane ci-dessus, page 362.
P. 234. Mahajaneh (plus exactement « Mahjaneh »).—Un bâton avec une fourche particulière à une extrémité, toujours taillé dans un amandier et porté par les derwiches. Son manche a la même forme que celui de certains bâtons symboliques souvent représentés par les anciens Egyptiens dans les mains de leurs divinités.
P. 237. Le « maûsam » ou saison de pèlerinage.—Il varie selon la dignité du makâm. Beaucoup de grands sanctuaires de saints célèbres, tels que Neby Mûsa et Neby Rubin, ont leur propre maûsam qui dure toute une semaine.
P. 238. La fenêtre à mâchicoulis au-dessus de la porte.—Au début du siècle dernier, de tels « mâchicoulis » ou fenêtres protégées au-dessus des portes étaient très courants à Jérusalem, non seulement à l’entrée des monastères et des édifices publics, mais même dans les habitations privées. On les rencontre rarement de nos jours.
[p. 316]
P. 240 et suiv. L’ignorance des prêtres chrétiens.——Les chrétiens des diverses sectes de Palestine apprécient généralement aujourd’hui la valeur de l’éducation et rivalisent entre eux pour créer des écoles, spécialement pour la formation des ecclésiastiques. A Jérusalem et dans les environs, il existe plusieurs séminaires de ce genre, et bien qu’il y ait encore, surtout dans les endroits reculés, des ecclésiastiques ignorants, le nombre de ces derniers n’est cependant pas aussi grand qu’au début du siècle dernier, lorsque le clergé rural appartenant à l’Église grecque orthodoxe était notoirement connu pour son ignorance profonde, et qu’aucune disposition adéquate n’était prise pour l’instruction des ministres paroissiaux. Même à Jérusalem, il était d’usage que le prédicateur du dimanche se rende la semaine précédente chez un archimandrite savant pour recevoir un sermon de circonstance. [1] On avait aussi l’habitude de pourvoir à la succession d’un prêtre de village qui devenait vieux ou faible, en choisissant un jeune homme du hameau et en l’envoyant comme domestique au couvent de Jérusalem, où il devait assister aux divers offices de l’église et apprendre par cœur les liturgies des dimanches, des fêtes, du baptême, etc., afin de pouvoir, au besoin, les lire au moins dans les livres de prières.
P. 254. La Huppe (Upupa Epops).—Pour des détails concernant la Huppe, voir « Histoire naturelle de la Bible » de Tristram, page 208 et suivantes, et « Dictionnaire biblique » de Hastings, articles « Vanneau » ; ainsi que le Coran xxvii. 20, où, cependant, Sale rend à tort le nom arabe « Hud-hud » par « vanneau ». Elle est également mentionnée sous ce nom dans la Bible anglaise, Lév. xi. 19. Pour l’histoire de la Huppe en rapport avec Salomon et Belkis, voir « Mejr-ed-dìn », vol. i. page 115, édition du Caire.
La plupart des histoires d’animaux de ce chapitre sont parues à l’origine dans les P.E.F. Quarterly Statements de juillet 1904 et avril 1905. Dans la présente reproduction, j’ai modifié certains détails et ajouté d’autres que je n’avais pas mentionnés dans mon article original. D’autres histoires, par exemple celle de la vieille femme et celles sur les plantes, sont, autant que je sache, nouvelles pour le public anglophone.
P. 263. Le chien qui a gagné son droit à une sépulture décente.—Depuis que j’ai contribué pour la première [317] fois à cette histoire dans le Quarterly Statement, comme indiqué ci-dessus, j’ai, à ma grande surprise, trouvé une version de celle-ci dans une vieille édition espagnole du XVIIIe siècle de « Gil Blas ».
P. 264. Bir el Kelb.—Il semble probable que la véritable origine de la légende du « Bir el Kelb » est le fait que les tombeaux du roi, à quelques mètres seulement, sont généralement appelés par les Juifs « le tombeau de Kalba Shebua ». La tradition dit que ce personnage était le beau-père d’Akiba. On dit qu’il s’est distingué en fournissant de la nourriture, à ses frais, aux pauvres de Jérusalem pendant une période de grande famine. (Cette tradition est probablement basée sur le fait historique lié à Hélène d’Adiahène et à son aumône.) La grotte où Kalba Shebua distribua ses dons est indiquée à proximité du tombeau traditionnel de Simon le Juste.
P. 270. « Quand une hyène mâle atteint l’âge de sept ans, elle devient soit une femelle de la même espèce, soit une chauve-souris. » — Voir le Dr J. Levy, « Neu-Hebräisches and Chäldaisches Wörterbuch », douzième partie. « Une hyène mâle après sept ans devient une chauve-souris, une chauve-souris après sept ans devient un vampire, cet animal après sept ans devient une ortie, une ortie après sept ans devient une épine, une épine après sept ans devient un démon. » « Bava Kama », fol. 16. Coli. Cité par Hershon, « Talmudical commentary on Genesis », page 136. [2]
P. 272. Histoire de l’homme qui gagna le coeur de la hyène.—Je raconte l’histoire telle qu’elle m’a été racontée par une dame qui l’avait entendue d’un fellah. Il semble que ce soit le conte bien connu de Sénèque sur l’esclave fugitif et son roi des animaux reconnaissant (mentionné pour la première fois, dit-on, dans son « De Beneficiis »). Le lion a disparu de Palestine depuis des siècles, le léopard est rare, bien qu’on le rencontre de temps à autre, et ainsi, l’hyène, à présent le plus grand des carnivores de Judée (l’ours ne se trouvant qu’au Liban et dans l’anti-Liban), dont le nom « Ed-Daba’ » ressemble un peu au nom « Es-Seba’ », sous lequel le lion est le plus souvent connu, a pris sa place dans l’histoire.
P. 275. et les pp. suivantes. Le renard, l’aigle et le léopard.—Une version de cette histoire de renard est relatée par F. Baldensperger dans Quarterly Statement de juillet 1905, pp. 199, 201.
[p. 318]
P. 283.—La moelle épinière d’un homme devient un serpent…Voir le commentaire de Hershon ci-dessus.
P. 283. Un serpent à l’âge de mille ans devient une baleine.—P. Baldensperger dans Quarterly Statement, 1905, p. 204.
P. 283. Temps qu’il faut aux différentes créatures pour reproduire leur espèce. — Vingt et un jours sont nécessaires à la formation complète d’une poule dans l’œuf, et un temps semblable est requis dans le règne végétal pour celui des amandiers ; cinquante jours pour celui du chien et des figues ; cinquante-deux pour celui du chat et des mûres ; soixante pour celui du porc et des pommes ; six mois pour celui des renards et de toutes sortes d’insectes et des céréales ; cinq mois pour celui du petit bétail et de la vigne ; douze mois pour celui des grands animaux impurs (tels que les chevaux, etc.) et des palmiers, neuf mois pour celui des grands animaux purs (tels que les bœufs) et des oliviers, trois ans pour celui du loup, du lion, de l’ours, de la hyène, de l’éléphant, du chimpanzé et d’un fruit ressemblant à des figues ; soixante-dix ans s’écoulent avant que la vipère puisse reproduire sa propre espèce, et un temps semblable est requis pour le caroubier. Le serpent méchant exige sept ans, et rien dans le règne végétal n’exige une période semblable… Dans la mesure donc où il n’y a rien qui lui corresponde dans le règne végétal, le serpent est maudit entre tous les animaux et entre toutes les bêtes des champs. Bechoroth, fol. 8, col. I. Cité par Hershon, page 134.
P. 289. La tortue-herbe.—Cf. «Einiges aus dem Pflanzenreich», par L. Baldensperger. Dans « Evangelische Blätter aus Bethlehem ». Juillet 1906. Pp. 21 et suiv.
311:1 Le regretté Yussif Pacha El Khaldi, l’un des représentants de la Turquie à la Conférence de Berlin et quelque temps maire de Jérusalem, appartenait à cette vieille famille, ainsi qu’un ou deux des commissaires impériaux ottomans nommés pour superviser les fouilles du Fonds d’exploration de la Palestine. ↩︎
316:1 Voir « Holy City » de William, vol. ii, p. 548. ↩︎