KWAIDAN : Histoires et études de choses étranges
PAR
LAFCADIO HEARN
Boston; Houghton, Mifflin et Cie.
[1904]
Une note du numériseur sur la prononciation japonaise
Bien que simplifiées, les règles générales suivantes aideront le lecteur peu familier avec le japonais à se rapprocher suffisamment de la prononciation japonaise.
Il existe cinq voyelles : a (comme dans fAther), i (comme dans machIne), u (comme dans fOOl), e (comme dans fEllow) et o (comme dans mOle). Bien que certaines voyelles deviennent presque « silencieuses » dans certains environnements, ce phénomène peut être ignoré sans risque pour le but recherché.
Les consonnes se rapprochent approximativement de leurs sons correspondants en anglais, à l’exception de r, qui se situe en fait quelque part entre r et l (c’est pourquoi les Japonais ont du mal à faire la distinction entre le r et le l anglais), et f, qui est beaucoup plus proche de h.
L’orthographe « KWAIDAN » est basée sur la prononciation japonaise pré-moderne ; lorsque Hearn est arrivé au Japon, l’orthographe reflétant cette prononciation était encore en usage. En japonais moderne, le mot se prononce KAIDAN.
Le texte comporte de nombreuses ellipses. Hearn les a souvent utilisées dans ce livre ; elles ne représentent pas des omissions du numériseur.
Les notes originales de l’auteur sont entre crochets, celles du numériseur sont entre parenthèses. Les signes diacritiques présents dans l’original sont absents de cette version numérisée.